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site d'information sur la géopolitique, la nature, la science, la spiritualité, l'ésotérisme et les Ovnis.
Étrange découverte en Antarctique, Voyage dans le temps
Une cité perdue découverte dans la jungle du Honduras Découverte de la mythique "cité du dieu singe" au Honduras La Cité de Tiwanaku - Bolivie 2013. Civilisations Disparues Les plus grands blocs de pierre jamais découvert sont des ruines mégalithiques En Russie LIEN-->Les lieux mystérieux de la Terre: Les ruines mégalithiques En Russie Nazca: un ensemble de géoglyphes encore inconnus.
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Dernière édition par ClauD.31 le Lun 12 Fév - 20:21, édité 20 fois
Sujet: Re: " Archéologie Interdite " Sam 22 Nov - 17:05
Des « ruines extraterrestres » sur la lune
La NASA est bien embêtée par les fuites relatives à des ruines supposées se trouver sur la lune
Ken Johnson ancien haut responsable de l’administration américaine,
et ayant participé au programme appolo a été remercié pour avoir voulu réveler la vérité.
Johnston affirme que les astronautes ont découvert d’anciennes cités extraterrestres
et les restes d’une machinerie incroyablement avancée sur la Lune.
Une partie de cette technologie est utilisée pour manipuler la gravité.
Il prétend que l’agence americaine a ordonné le secret sur cette découverte,
rappelons que tout cela date de la période où le conflit russo-américain semblait plus que probable.
Et Ken Johnston a été obligé de participer a cette conspiration du silence.
Pendant les 40 dernières années, les hommes de science,
les ingénieurs et les techniciens ont accusé la NASA de dissimulation et de cacher les données.
Le nombre croissant des allégations des accusateurs incluent le fait de cacher les informations sur des objets spatiaux anormaux et de mentir sur la découverte de tels engins sur la surface de la Lune et de Mars, et, bien sûr de nier l’évidence des preuves de vie revélées par les vaisseaux trouvés. Selon Johnston, les astronautes d’Apollo ont rapporté les épreuves photographiques des objets qu’ils ont trouvé pendant les activités extra véhiculaires lunaires. Johnston affirme que la NASA lui a ordonné de détruire les images en question tandis qu’il se trouvait dans le Laboratoire de Propulsion. Mais il a refusé. Quand il a décidé de rendre public cette découverte, l’agence spatiale l’a renvoyé.
En témoigne la photo ci contre prise par le sonde Viking vers le milieu de 1970.
Gilbert Levin, l’homme de science qui a dirigé l’expérience importante de détection de vie à bord de la missionViking 1976, la mythique sonde spatiale ayant la première naviguée vers Mars, appuit les accusations de Johnston envers l’agence spatiale américaine. Levin insiste sur le fait que son expérience de biologie a démontré qu’il y a une vie dans le sol martien. « Nous avons obtenu des données positives correspondantes avec tous les critères la pre-mission, qui a démontré l’existence de vie microbienne dans le sol de Mars »,a dit Levin au National Geographic. « Nous avons trouvé une vie sur Mars dès 1976 ″, a dit l’homme de science.il est si irrité par la NASA qu'il a créé son propre site Web pour crier au monde qu’il y a réellement une vie sur la Planète Rouge. Voir http://www.gillevin.com /
Des preuves de grandes structures ont surgi, peut-être même une base dans l’extrémité de la Lune,
qui semble appuyer les discussions de Johnston.
ci contre la sonde Lunik 13 a pris une photo agrandie de l’engin manufacturé.
Encore plus fort plusieurs scientifiques ont défié la NASA sur une autre fraude de l’Agence probablement perpétrée pendant des décennies : la couleur du ciel Martien. Pendant des années, l’Agence Spatiale avait publié des photos de Mars avec un ciel rougeâtre et des paysages de rouge oxydé. Et ce j’usqu’à ce que les enquêteurs indépendants et les missions de Mars réalisées par l’Agence Spatiale Européenne révélent que le ciel Martien semblait réellement au ciel de la terre . Une ex-employée de la NASA, Donna Hare, accuse la NASA d’aveugler et d’obscurcir des milliers de photos depuis des années. Elle s’est manifestée en alléguant que l’Agence Spatiale a gommé des anomalies inconvenantes sur des certaines photos compromettantes.
La chine aurait fait des découvertes grâce à la sonde spatiale lunaire Change 2 Orbiter. Qui montrent clairement des bâtiments et des structures sur la lune. La source a priori chinoise, préfère rester anonyme… elle aurait envoyé les documents a un membre de L’ADG-UK (Alien Disclosure Groupe du Royaume Uni) qui les a compilé dans cette vidéo qui a fait le buzz…
A ce jour aucun spécialiste de l’image n’a validé ces clichés. Toujours selon cette source chinoise : La NASA aurait délibérément bombardé des zones importantes de la lune afin de détruire des installations aliens.
D’autres photos qui n’ont pas encore été publiées montreraient clairement des cratères d’impacts nucléaires
et des ruines de constructions ravagées par les explosions destinées à détruire la vérité.
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: " Archéologie Interdite " Dim 23 Nov - 8:48
Bonjour, superbe idée que ce sujet. l'article et les vidéos sur la lune me plait bien. C'est plutôt intriguant ces fameuses ruines, il y en a plains de plus, il y a dû à une époque avoir une grande effervescence sur la lune. Autre sujet qui me parle c'est les ancienne civilisation et des contact supposé avec des extraterrestres avec certaines de ces civilisations. Et le tout garanti 100 % sans "alien theory" (rires diabolique)
Le Gouvernement Mexicain Révèle des Documents Mayas qui Prouvent le Contact Extraterrestre
La réalité du contact extraterrestre avec la civilisation humaine est de plus en plus clair au fil des mois alors que le flot d’informations sur la présence extraterrestre et leur influence dans le passé attirent de plus en plus de gens. Alors que certains d’entre nous doutent encore du contact Extraterrestre, la plupart commence à réaliser que cette vérité n’est pas nouvelle et a été l’objet de discussion pendant des siècles. L’une de ces histoires implique le gouvernement Mexicain qui a publié des documents, images et objets découverts sur le site de Calakmul qui aident à prouver ce contact.
Grand merci à l’Institut National d’Anthropologie et d’Histoire (INAH) d’avoir publié et découvert ces disques fascinants au Mexique.
Cette nouvelle découverte porte un coup très lourd au secret qui a été délibérément maintenu autour de la véritable histoire de notre planète. Les disques ont été créés par les Mayas et ont été trouvés il y a environ 80 ans selon l’INAH. Ces merveilleuses pièces archéologiques ont été présentées avant et feront l’objet d’un documentaire produit par Raul Julia-Levy et réalisé par Juan Carlos Rulfo, le vainqueur du festival de Sundance 2006, avec son film « Dans la fosse. » Le documentaire est actuellement intitulé « 2012 : Révélations des Mayas et au-delà. »
« Le Mexique va publier les codex, artefacts et documents importants avec des preuves de contacts entre Mayas et Extraterrestres, et toutes leurs informations seront corroborées par les archéologues, » a t-il dit. « Le gouvernement mexicain ne fait pas cette déclaration seul – tout ce que nous disons, nous le prouverons. »
Le gouvernement mexicain publie ces secrets d’État qui ont été protégés pendant plus de 80 ans. Bien que les photographies des disques ont d’abord été présentées par Klaus Dona et le Dr Nassim Haramein lors d’une conférence tenue à Sarrebruck, en Allemagne en Juin 2011.
Les anciens disques Mayas décrivent un contact avec des entités extraterrestres:
Ci-dessus se trouve l’image des disques présumés. Différentes zones ont été numérotées afin que nous puissions discuter de chaque image présentée.
1) est supposé représenter la Terre et son atmosphère. Cela est symbolisé par deux anneaux.
2/3) est supposé être une comète ou un astéroïde qui se dirige vers la Terre.
4) est supposé représenter un vaisseau spatial qui frappe ou dévie la comète.
5) est supposé être un astronaute qui contrôle le vaisseau.
6) est supposé être un vaisseau contrôlé par une forme de vie intelligente.
Luis Augusto García Rosado est le fonctionnaire de haut rang du gouvernement Mexicain qui s’est intéressé au dossier des extraterrestres. Rosado a parlé de contact « entre les Mayas et les extraterrestres, soutenus par la traduction de certains codex, dont le gouvernement a gardé en sécurité dans des voûtes souterraines pendant un certain temps. » Il a également mentionné « des pistes d’atterrissage dans la jungle qui sont vieilles de 3000 ans. »
L’énigmatique Tiahuanaco, et la relation avec Vénus et la Terre…
Extrait du Blog de Merlin…
L’énigmatique cité de Tiahuanaco...
Entre le lac Titicaca et les lignes de Nazca, on a découvert en 1549 les ruines
d’une cité énigmatique abandonnée :Tiahuanaco.
Cette cité pré-colombienne est construite à 3840 mètres d’altitude
dans les montagnes du sud de la Bolivie.
Elle est édifiée dans une chaîne montagneuse entre 4700 à 6000 mètres,
ce qui n’est pas un lieu adapté à l’installation d’une civilisation,
pourtant on y découvre un temple de forme pyramidale et un autre semi enterré
qui selon les estimations,abritait environ 40.000 habitants protégés par un immense fossé.
Les fonctions de la cité…
Statues géantes et porte du soleil on ignore la véritable vocation de ce culte (tout comme les lignes de Nazca situé à proximité)
En 1549, quand les Espagnols ont demandé aux anciens des informations sur l’origine de la cité, ceux ci ont raconté que la ville avait été édifiée en une nuit par des géants il y a plus de 10.000 ans.
Les blocs monolithiques d’andésite qui ont été utilisés pour les bâtiments ont un poids moyen de 40 tonnes. Les plus gros blocs (statues et la porte du soleil) atteignent une masse d’environ 130 tonnes.
On ne trouve aucune de ces roches à moins de 80 kms du site (secteur de haute montagne). Les archéologues qui ont cherché à comprendre la méthode d’acheminement de ces blocs, sont restés sans explications pour les blocs de plus de 10 tonnes (il faut 20 hommes pour tirer un bloc d'environ une tonne avec de bonnes cordes).
Une cité édifiée par des géants extraterrestres ?
Dans les années 60, B.Garcia avance la théorie qu’un astronef d’origine Vénusienne se serait posé sur les rives du lac Titicaca, et qu’ils y auraient fondé Tiahuanaco il y a 10.000 ans.
Vénus à en effet une atmosphère proche de la Terre à cette altitude et 10.000 ans
c’est aussi la date estimée de la construction du Sphinx.
Certains textes Egyptiens affirment qu’autrefois les géants étaient en guerre contre les hommes et qu’ils édifièrent des cités en altitude pour éviter les grandes inondations. Ils furent cependant anéantis par une intervention divine suite à une conduite jugée répréhensible.
Comme le fût l’Atlantide 10.000 av J.C. Les architectes de notre cité Bolivienne
auraient-ils un rapport avec ceux de l’Atlantide ? Etait-elle le refuge pour une civilisation qui se savait menacée par la montée des eaux ?
Cette civilisation de géants aurait plus tard reproduit ses connaissances et sa technologie architecturale sur les pyramides de Gizeh (2600 ans av JC).
Ces géants sont aussi mentionnés dans les textes bibliques : "L’humanité aurait commencé par
une race gigantesque extrêmement développée intellectuellement, artistiquement et psychiquement. Dieu, en raison de leur mauvaise conduite, causa leur extermination
et les remplaça par les hommes actuels."
Dans le désert d’Atacama, au Chili, la plus belle pièce que l’ont peut voir depuis le ciel
est le géant d’Atacama, haut de 120 m, sur la Sierra Unica. Comme à Nazca, il est entouré d’un réseau de lignes et de « pistes ».
Hypothèse …
des extraterrestres (venus d’Orion) curieux de connaître le degré d’évolution que les humains avaient atteint il y a 10.000 ans, firent une visite sur Terre.
Furieux de ce qu'ils trouvèrent, ils ne purent accepter les dérives et la débauche à laquel s'adonnaient les hommes. Pour les punir, ils firent monter les eaux de la planète pour anéantir cette civilisation avancée (dont le sphinx porte les traces). Quelques survivants en réchappèrent, réfugiés dans de hautes montagnes
(Machu Pichu, Tiahuanaco). Ils reconquérirent la Terre jusqu’en basse Egypte où ils édifièrent les pyramides grâce à d’anciennes technologies oubliées.
Ils surveillèrent ensuite le calendrier astronomique de peur que les dieux ne reviennent sur Terre à intervalles réguliers (Stonehenge, Théotihuacan). Ils construisirent également des monuments à leurs mesures (île de paques, les pyramides) et en leur honneur.
Afin de guider leur retour sur Terre, ils édifièrent des pistes d’atterissage, visibles du ciel avec un symbolisme animal pour les guider (des légendes prêtent à ces dieux le pouvoir de parler aux animaux et de prendre leur apparence).
Ils nous laissent aujourd’hui avec des vestiges archéologiques dont la fonction et la construction nous échappent, mais pourquoi nos ancêtres se seraient-ils donné tant de mal, s’ils n’étaient pas certains q’une présence divine est dans le ciel ?
Géants et Vénusiens …
Les légendes locales associées à Tiahuanaco et le peu d'informations recueillies jusqu'à ces dernières années ont permis à des auteurs d'élaborer les hypothèses les plus extravagantes
sur les origines de la cité mystérieuses.
Le règne des géants…
Au début des années 1950, Denis Saurat, en s'appuyant sur les théories de l'Allemand Hoerbiger, élabore une incroyable théorie : il y a 300 000 ans, la Lune aurait été si proche de la Terre que sa force de gravitation aurait provoqué la naissance d'une race de géants de trois mètres de haut en même temps que la formation, autour de la planète, d'un bourrelet fixe des eaux océaniques
montant à plus de 3 000 mètres dans la région andine.
Dans les années 1960, un "rénovateur de la religion du Soleil inca", un certain Beltran Garcia, prétend qu'un astronef originaire de Vénus se serait posé sur les rives du Titicaca
et que ses habitants y auraient fondé Tiahuanaco.
Ces événements se seraient produits il y a cinq millions d'années... Les idoles géantes seraient les représentations des voyageurs vénusiens.
Tout en rapportant le fait à environ 10 000 ans avant notre ère, Robert Charroux soutient de même que les Vénusiens sont venus fonder une sorte de colonie à Tiahuanaco, parce que là se trouvait un des rares endroits sur Terre correspondant à leur milieu naturel !
Et l'Atlandide…
Certains de ces explorateurs extraterrestres seraient partis visiter la Terre au risque de leur vie, et c'est à eux que l'on devrait la naissance des grandes civilisations antiques. Tiahuanaco et l'Atlantide ne feraient donc qu'une... Mais leur acclimatation à la Terre n'ayant pas réussi, les Vénusiens auraient disparu, laissant leur dernier message sur la frise d'un des bâtiments : la "porte du Soleil".
Que nous apprend la légende sur la ville mystérieuse de Tiahuanaco ?
Elle parle d'un vaisseau doré qui descendit des étoiles ; à bord de celui-ci il y avait une femme nommé Orjana dont la mission était de fonder une race nouvelle. Les mains d'Orjana étaient palmées
et ne comptaient que quatre doigts.
Elle donna le jour sur terre à 70 enfants, puis regagna les étoiles. De fait, on trouve à Tiahuanaco, gravés ou taillés dans la pierre, des êtres qui n'ont que quatre doigts.
Ces figurines sont aussi anciennes que la ville elle-même.
On peut présumer que le cosmonaute, l'Homme de Tiahuanaco, tout comme Prométhée, a dû payer le tribut de son inadaptation à l'atmosphère épaisse, torride des plaines arabiques. Alors, se référant aux carte que découvrit plus tard Piri Réis. par-delà la mer Rouge, il se dirigea vers le pays des cimes neigeuses, éparpillant sur sa route, en Arabie, en Chaldée, en Assyrie, des bribes de son savoir.
Et l'on songe à Prométhée, initiateur des hommes, châtié par Jupiter et enchaîné précisément
selon la tradition grecque - sur la cime du Caucase,
à une altitude qui est exactement celle du plateau des Andes.
La ressemblance est troublante entre l'Atlante, fils d'Orejona aux jolis pieds, et Prométhée, fils de l'Océanide aux jolis pieds. Quoi qu'il en soit, quelque 10 000 ans avant notre ère, Tiahuanaco entrait dans la nuit de l'oubli et Abydos, Heliopolis, Thèbes, Memphis, Karnac et Saïs ouvraient pour le monde occidental les premières pages de l'Histoire inconnue des Hommes.
À l'appui de cette relation, une cosmographie gravée sur la paroi rocheuse d'une grotte du Kohistan représente Vénus et la Terre reliées par des traits qui figurent une route spatiale. Or, cette origine des hommes, exprimée par l'Orient, appartient aussi à la cosmologie musulmane, et apporte une lumière singulière sur notre primhistoire, racontée par l'Ancien Testament des Hébreux.
Littéralement, ou presque, la Bible relaterait ainsi la création du monde :«Au début Dieu créa le Ciel puis la Terre.» «Adam et Ève vivaient au Paradis (sur la planète Vénus).» «Après le péché qui leur fit perdre la divine protection, ils furent chassés (de la planète Vénus) et durent s'exiler sur la Terre...»
Le Koran dit expressément qu'Adam vivait ailleurs que sur la Terre.
Lucifer, que l'on a grand tort de confondre avec Satan, est en réalité un Ange du Ciel, mais un ange déchu pour avoir, comme Prométhée, apporté aux hommes la lumière de la science divine.
Il symbolise aussi et depuis toujours la planète Vénus, luciférienne par sa lumière exceptionnelle. Par ailleurs, d'après la tradition chrétienne, la chute de Lucifer a précédé la Création du Monde,
alors que le prophète Isaïe déclare que cette chute se produira dans le futur,
contradiction qui embarasse fort les théologiens !
Qui dit vrai… ?
Est-il venu sur Terre, l'homme de Vénus, ou viendra-t-il bientôt ?
En se sens, Lucifer, issu de Vénus, aurait peuplé la Terre de sa «première humanité» comme l'assurent les Hindous et comme on peut l'interpréter d'après la Bible.
Et c'est vers Vénus - inéluctable retour à la patrie originelle - que les cosmonautes veulent tenter leur grands raids spaciaux, avec d'autant plus de raisons inconscientes et conscientes que sur la planète de Lucifer les probalités d'une vie analogue à la vie terrestre paraissent plus grandes que partout ailleurs. Voilà donc, convergeant vers Vénus, un faisceau prodigieux... une chaîne de crédibilités dont les maillons naissent au plus profond de nos âges !
Pierre Noire …
De Tiahuanaco, de Glozel, des Indes, de l'Égypte, de l'Asie-Mineure, etc., le secret trahi de la tradition clame plus qu'une effarante hypothèse !
La science classique n'apporte aucune preuve, aucun indice de l'origine terrestre des hommes. En revanche, la tradition, avec une véhémence millénaire, soutient cette thèse qui,
de jour en jour, recueille des adhésions nouvelles.
Elle présente aussi, comme le voyageur revenu d'une lointaine expédition, les marques et les témoignages de cette aventure, les moteurs mystérieux de la Porte du Soleil, les briques à écriture de Glozel, les gravures rupestre du Kohistan, les énigmatiques et fascinants enseignements
de la science de Prométhée, de Lucifer et de Mahomet.
Est-ce là tout l'héritage insolite de nos lointains ancêtres ?
Il n'est guère venu à l'esprit des partisans d'une immigration planétaire, Flammarion, Richter, Kelvin, Robert Tocquet, de rechercher dans notre civilisation, dans notre science, architecture ou notre industrie, ce qui paraissait étranger au génie terrestre. ..
Nous trouvons pourtant, tout autour de nous, de curieux indices.
Il se pourrait que des êtres venus des planètes, incapables de supporter longtemps l'atmosphère terrestre, se soient enfoncés dans le sol, laissant à la surface l'incompréhensible trace de leur passage. Incompréhensible pour nous, mais non pour ceux de leur race.
Des ancêtres supérieurs auraient donc habité la fabuleuse Agartha, la cité sous la terre, en y pénétrant par le Dolmen de Do-King au Tibet, comme ils auraient pénétré dans d'autres centres souterrains de Bretagne, de Palestine et des Indes, c'est-à-dire aux points du globe
où foisonnent les dolmens ou les grottes. En ce sens, les alignements des mégalithes de Carnak en France prennent une autre signification fantastique qui fut mentionnée par la mythologie des Celtes, et il est intéressant de noter que les extra-planétaires des Andes, avant de s'exoder vers l'Égypte, s'enterrèrent dans la cité souterraine de Tiahuanaco, ce qui est pour le moins une coïcidence exagérée...
De toute façon, une immixtion extraterrestre, avant ou durant le cataclysme, ressort de la connaissance scientifique extraordinaire que l'on prête aux hommes de ces temps là.
De multiples indices accréditent cette thèse, les plus remarquables se situant en ancien Pérou (qui comprenait la Bolivie) avec les traditions, le matériel insolite des Incas, et les dessins gravés de Tihuanaco, et au Mexique où ils sont très perceptibles pour l'archéologue averti.
Quetzalcoatl, le dieu blanc toltèque, à la fois serpent et oiseau, était le grand ami des humains
à qui il apporta la civilisation, la connaissance des arts, du feu, de la métallurgie
exactement comme firent Prométhée et Oannès.
Les Toltèques et les Aztèques le disaient venu de la «planète brillante» (Vénus) et précisaient que sa peau était blanche, détail qui indiquait bien une appartenance étrangère à la race rouge. Il se retira dans le «vieux pays de Tlapallan» apès la ruine par inondation, étouffement, empoisonnement de sa cité de Tula qui était peut-être la soeur jumelle de Thulé en Hyperborée.
Quetzalcoatl, Virracocha et Kukulkan, dieux pré-colombiens …
- Quetzalcoatl «s'embarqua sur la mer de l'Est, précédé de ses serviteurs transformés
en oiseaux au gai plumage, et promettant à son peuple de revenir». Or, il est significatif de noter que la plupart des grands initiateurs du monde antique sont mystérieusement rattachés au pays d'Ouest, à la planète Vénus,
et qu"ils repartent vers l'est pour une destination inconnue.
- Viracocha, chez les Incas, était une sorte de Prométhée d'origine étrangère - tout comme Orejona la Vénusienne* «il s'éloigna vers l'est et disparut dans les eaux». - Kukulcan, dieu yucatèque «arriva de l'ouest avec dix-neuf compagnons. Il demera dix ans au Yucatan, y établit des lois sages et disparut du côté où le soleil se lève».
Ptah - Bastet …
Le mystérieux dieu Ptah «celui qui ouvre» extra-planétaire ou mutant monstrueux, était marié à la déesse Bast, à la fois lionne et chatte. Réputé pour avoir «ouvert l'oeuf primordial», on le disait maître du monde. Comme Prométhée, il avait apporté le feu du ciel et était l'aîné des hommes. Le Tiahuanaquense ou Atlante qui fit surgir la civilisation égyptienne fut certainement le parangon de Prométhée; son image transmise par la tradition fut adoptée et adaptée par les Grecs qui lui conservèrent néanmoins ses attaches avec l'Amérique et la planète Vénus, par sa mère l'«océanide aux pieds merveilleux», parente d'Orejona, et par son sauveur: Hercule, héros de l'initiation aux Jardins des Hespérides qui se situait «à l'extrême ouest de la terre, par-delà le fleuve Océan».
L'Atlante et Prométhée, comme les autres initiateurs auxquels ils s'identifient,
allèrent finir leur vie de crucifiés vers l'est. Il n'est peut-être pas inutile de rappeler que les événements extraordinaires, notés par des astronomes antiques, se sont passés sur Vénus à une époque très reculée.
Saint Augustin rapporte, d'après Varron, que Castor le Rhodien a laissé, écrit,
le récit d'un prodige étonnant qui se serait opéré dans Vénus. Cette planète qui avait plusieurs satellites aurait changé de couleur,
de grandeur, de figure et de course. Ce fait sans précédent serait arrivé du temps du roi Oxygès (grecque), comme l'attestetent Adrastus, Cyzicenus et Dion, nobles mathématiciens de Naples.
De quel ordre était le prodige ? Collision ? Explosion nucléaire ?
Nous ne pouvons le dire, mais il est vraisemblable que, «planète soeur» pourvue d'un ou de plusieurs satellites maintes fois observés, Vénus est liée à l'histoire de notre humanité.
D'après les traditions andines, la mère de l'humanité fut une femme qui vint de la planète Vénus à bord d'un astronef «plus brillant que le soleil». Elle atterrit près du lac Titicaca, à Tihuanaco en Bolivie.
Son nom était Orejona Elle ressemblait aux femmes de nos temps avec toutefois les particularités suivantes : crâne conique et des mains palmées à quatre doigts. Ses pieds étaient très beaux. Un de ses descendants, vénusien de Tihuanaco, avant le cataclysme qui détruisit sa race, alla comme Prométhée, révéler aux hommes les principaux secrets du savoir scientifique,
notamment en Égypte, à Sumer et aux Indes.
Source : Zephéon.com - Civilisations.com - EntitéOverBlog.com - Les Mysteres de notre histoire.net.
Concernant cette mystérieuse cité, certaines recherches tendent à démontrer que la construction de la plus ancienne cité de cette civilisation remonterait à plus de 10 000 ans avant J.C.
Ces analyses se basent notamment sur différentes constructions qui apparaissent comme des quais et qui se trouvent à une distance du lac qui ferait remonter leur construction à 15 000 ans avant J.C., à l’époque où le lac longeait ces constructions.
Cette théorie serait « confirmée » par des dessins et gravures d'animaux dont l'espèce aurait disparu à la fin du pléistocène c'est-à-dire vers 12 000 ans avant JC.
Voir également cet article tout récent sur futura sciences qui confirme sans le savoir les écrits ci dessus
Une statuette de 35.000 ans bouscule l'histoire de l'art.
Vénus est la 2e planète du système solaire en partant du Soleil. Son orbite autour du Soleil dure 224,7 jours. C'est le 3e objet le plus brillant du ciel, après le Soleil, et la Lune. Les cultures chinoise, coréenne, japonaise et vietnamienne désignent Vénus sous le nom
d'« étoile d'or », selon la « théorie » des cinq éléments. Les Maya connaissaient la durée de sa révolution synodique et l'avaient mis en relation avec leur calendrier solaire, avec une marge d'erreur très faible, de l'ordre de un jour en plus de 6 000 ans. Son symbole astronomique est un cercle avec une croix pointant vers le bas qui représente le miroir à main de la déesse Vénus. En biologie, il est utilisé comme signe pour le sexe féminin.
Le pentagramme est aussi utilisé comme symbole. Car vu de la Terre, les positions successives de Vénus forment approximativement un pentagramme autour du Soleil, tous les 8 ans. Vénus est de taille comparable à celle de la Terre. Selon les observations, Vénus ne possède pas de champ magnétique. En revanche, elle traîne dans son sillage une queue de plasma longue de 45 millions de kilomètres, observée pour la première fois par la sonde SOHO en 1997.
Sœur jumelle de la Terre… ?
Vénus a longtemps (jusqu'en 1960 à peu près…) été considérée comme la sœur jumelle de la Terre.
En effet, les deux planètes sont très similaires par certains aspects, autant physiques qu'orbitaux. La Terre et Vénus ont peu de cratères, signe d'une surface relativement jeune et d'une atmosphère dense, leurs compositions chimiques sont très proches, et Vénus est la planète la plus proche de nous.
Vénus la rétrograde…
(Vénus tourne autour du Soleil dans le sens direct, comme toutes les autres planètes du système solaire, et la durée de sa révolution est de 224,7 jours terrestres (224,70096 jours précisément).
La vitesse de rotation de Vénus est très faible : cette rotation s'effectue en 243 jours terrestres (243,0185 jours précisément). De plus, elle s'effectue dans le sens rétrograde
(à l'envers, par rapport à la Terre et à la plupart des autres planètes).
Ainsi, la planète met 243 jours terrestres pour tourner sur elle-même contre 224,7 jours terrestres pour tourner autour du Soleil : une année vénusienne comprend ainsi un peu moins d'un jour (sidéral) vénusien (0,924 jour exactement). Ce qui amène à conclure qu'à chaque année sur Vénus,
on n'a même pas un jour (sidéral) complet. Les causes de cette rotation rétrograde ne sont pas du tout comprises. Mais bien sur l'explication la plus probable comme toujours pour nos scientifiques, est une collision gigantesque avec un autre corps celeste de grande taille...!
Les jours solaires vénusiens sont tels que Vénus nous présente la même face lors de chaque conjonction inférieure, il existe une incroyable synchronisation Terre-Vénus
( les deux principales planètes telluriques). Le passage de la planète Vénus entre la Terre et le Soleil, est un phénomène extrêmement rare à l'échelle humaine, se produisant deux fois à huit ans d'intervalle, ces doubles passages étant séparés les uns des autres de plus d'un siècle (105,5 ou 121,5 ans).
Les dernier transit de Vénus ont eu lieu le 8 juin 2004,et le 6 juin 2012.
En 1645, l'astronome italien Francesco Fontana déclara avoir découvert un satellite autour de Vénus. Cassini affirma l'avoir observé deux fois (1672 et 1686). Lagrange, lui l'aperçut en 1761, et Johann Heinrich Lambert calcula son orbite en 1773. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, la communauté astronomique semblait persuadée de l'existence de ce satellite qui reçut un nom, Neith. On nous affirme depuis qu'il n'existe pas... ( Russes et Américains seuls détenteurs des informations bien entendu )
Les 4 planètes tellurgiques de notre système solaire, respectivement de gauche à droite : Mercure - Vénus - Terre - Mars.
Notons juste en conclusion que la déesse Neith ( nom du supposé satelitte qui n’existerait pas) fait partie du mythe d’ Osiris en tant que la « Grande de sagesse » qui jugea le combat entre Seth et Horus et proposa au tribunal divin que Horus devienne roi du monde végétal et Seth du désertique,
mais pour ne pas favoriser Horus elle offre à Seth les déesses étrangères.
Des scientifiques annoncent: la découverte de structures
Mégalithiques artificielles trouvées par la NASA.
Les photos prises par les mars Expert Global (sondes satellites) on révéler des structures artificielles qui sont la preuve stupéfiante que mars a été une fois peuplés par une civilisation intelligente. Inclut une collection (un ramassage) spectaculaire de nouvelles photographies présentées par le docteur Tom Van Flandern, l'ancien Astronome En chef pour les États-Unis de l'Observatoire Naval. On peut y Voir des monuments remarquables, des cratères formés, des systèmes de tube (métro) gigantesques fait de verre, des restes forestiers antiques et de grands édifices qui vous laisseront muet.
Une vue de Mars, prise depuis le télescope spatial Hubble. Quelle est la composition de la calotte polaire Nord qui coiffe la planète rouge ? A quoi correspond le sommet qui surgit des nuages à l'extrême gauche.
Elle est froide. Elle est venteuse. Elle est désolée. Elle est sans vie. Peut être pas?
Description : Voici une très belle photo de "dust devils", des tourbillons de poussières. On avait jamais vu autant de dust devils en même temps ! Pour avoir la vidéo de ces dust devils,
Bonjour mes frères & sœurs Le mythe des géants à toujours suscité les passions les plus diverse et enragés les sceptiques Pourtant ce mythe est présent dans les plus profondes histoires de l'humanité ! Jusqu'à dans la bible...Et très bien décrit dans les mythes babyloniens et assyriens...Mais pas seulement, en vérité comme nous allons le découvrir, on y retrouvent leurs traces dans le monde entier (cf Amérique, Australie,...). Apparemment c'est une théorie historique qui dérange, car l'homme n'aime pas ce qu'il ne peut expliquer, et surtout être concurrencé par une autre espèce que lui même, enfin surtout chez les scientifiques ! Il a besoin de repères pour se sentir existé, limité de part sa propre nature... Je penses qu'il serait temps d'un peu évoluer... Je vous proposes deux articles et reportage, qui à défaut d'être définitif, nous éclaire tout de même quelque peu sur à quoi s'en tenir.
La Smithsonian Institution admet avoir détruit des milliers de squelettes d’humains Géants en 1900
Une décision de la Cour suprême des États-Unis a forcé la Smithsonian Institution à publier des documents datant du début des années 1900 qui prouvent que l’organisation a été impliquée dans une importante dissimulation de preuves historiques montrant que des restes de dizaines de milliers d’humains géants avaient été découverts partout en Amérique, et dont leurs destructions avaient été ordonnées par des administrateurs de haut rang afin de préserver la chronologie de l’évolution humaine médiatisée à cette période.
[color=#ffffcc]Les allégations provenant de l’Institution Américaine d’Archéologie Alternative (AIAA) que la Smithsonian Institution a détruit des milliers de restes humains géants au début des années 1900 n’ont pas été prises à la légère par la Smithsonian, qui a répondu en poursuivant l’organisation pour diffamation pour avoir essayé d’endommager la réputation de la vieille institution de plus de 168 ans.
Lors du procès, de nouveaux éléments ont été mis en évidence alors que plusieurs dénonciateurs de la Smithsonian ont admis l’existence de documents qui prouveraient la destruction de dizaines de milliers de squelettes humains mesurant entre 2 mètres et 4 mètres de haut; Une réalité que l’archéologie mainstream ne peut pas admettre pour des raisons diverses et variées, affirme le porte-parole de l’AIAA, James Churward.
« Il y a eu une importante dissimulation médiatique de la part des institutions archéologiques occidentales depuis le début des années 1900 afin de nous faire croire que l’Amérique a été colonisée par les peuples asiatiques qui migrèrent à partir du détroit de Béring il y a 15 000 ans, alors qu’en fait, il y a des centaines de milliers de sépultures de part l’Amérique qui étaient là bien avant l’arrivée des Indiens d’Amérique, et qui présentent des traces d’une civilisation hautement développée, l’utilisation complexe d’alliages métalliques et où l’on retrouve généralement des restes de squelettes humains géants sont souvent notés, mais ne sont jamais rapportés par les organismes de presse mainstream, » explique t-il.
Un fémur géant déterré dans l’Ohio en 2011 par l’Institution Américaine d’Archéologie Alternative, similaire à la preuve présentée au procès.
Un tournant de l’affaire judiciaire s’est produit quand un long fémur humain de 1,3 mètres a été présenté comme preuve au tribunal de l’existence de ces ossements d’humanoïdes géants. La preuve a porté un coup dur aux avocats de la Smithsonian car l’os leur avait été volé par l’un de leurs commissaires de haut rang au milieu des années 1930, et qui avait gardé l’os toute sa vie et qui avait admis par écrit les opérations d’infiltration de la Smithsonian sur son lit de mort.
« C’est une chose terrible qui est faite au peuple américain », écrit-il dans la lettre. « Nous cachons la vérité sur les ancêtres de l’humanité, nos ancêtres, les géants qui parcouraient la terre comme cela l’est rappelé dans la Bible et les vieux manuscrits du monde. »
La Cour suprême américaine a depuis forcé la Smithsonian Institution à publier des informations classifiées à propos de tout ce qui touche à la « destruction des éléments de preuves relatifs à la culture des faiseurs de monticules » et à des éléments « par rapport aux squelettes humains de plus grande taille que d’accoutumé », une décision dont s’est extrêmement réjouie l’AIAA.
« La publication de ces documents aidera les archéologues et les historiens à réévaluer les théories actuelles sur l’évolution de l’humanité et nous aidera à mieux comprendre la confection des monticules en Amérique et dans le monde » explique le directeur de l’AIAA, Hans Guttenberg. « Enfin, après plus d’un siècle de mensonges, la vérité sur nos ancêtres géants doit être révélée au monde entier », reconnaît-il, visiblement satisfait par la décision du tribunal.
La publication des documents est programmée pour 2015 et l’opération sera coordonnée par un organisme scientifique indépendant pour s’assurer de la neutralité politique.
Un site archéologique en Turquie orientale pourrait changer nos croyances sur la préhistoire. En effet, on y trouve une série de pierres gigantesques qui aurait été érigées il y a douze mille ans. L'homme de cette époque est surtout connu pour chasser. Mais les pierres, couvertes de gravures, montrent un savoir-faire et une organisation inconnus à cette époque. Pourraient-ils être la preuve de la première société civilisée à avoir jamais existé?
La naissance de l'humanité, est un documentaire (0h45) de la série De l'ombre à la lumière, qui revient sur le site de Göbekli Tepe en Turquie où le plus ancien temple en pierre a été découvert, que les archéologues ont fouillé et daté à environ 12.000 ans avant notre ère, et qui pourrait changer les croyances sur nos connaissances de la préhistoire.
Le temple de Göbekli Tepe a été bâti au sud-est de l’Anatolie, région de l’actuelle Turquie, 7.000 ans avant les pyramides égyptiennes, et environ 6.000 ans avant Stonehenge. Une série de pierres gravées trouvées ensevelies sous la terre témoignent d'un savoir-faire et d'une organisation que les archéologues pensaient inconnus à cette époque. Une découverte fascinante qui suscite de nombreuses hypothèses sur la civilisation à l'origine de l'édification de la structure. L'enfouissement du temple intrigue particulièrement Klaus Schmidt, qui dirige le chantier archéologique. Selon lui, une chose étrange s'est produite vers 8.000 an av. J.-C., pendant la transition vers l'agriculture. Göbekli Tepe a été enterrée délibérément, et non pas par une coulée de boue. Pour des raisons inconnues, les bâtisseurs ont décidé d'enterrer le site. La terre retirée sur les pierres a été placée ici par l'homme. Toutes ces collines sont donc artificielles.
Les archéologues ont mis au jour un sanctuaire monumental parmi les plus anciens connus en Occident. Le temple en lui-même est une colline artificielle, aux murs faits de pierres sèches non sculptées. Chaque pièce est une construction mégalithique ronde. À ce jour, quatre enceintes dessinées par d’énormes piliers de calcaire pesant plus de 10 tonnes ont été dégagées. Selon Klaus Schmidt, elles symbolisent des assemblées humaines, et les pierres levées, disposées en cercle, représentent des personnages stylisés Il y a quelques années, Klaus Schmidt et son équipe découvrirent une pierre en forme de T, à moitié extraite d’un lit de pierre à chaux, à un km du site. Cette énorme pierre mesure 9 mètres de long et était apparemment destinée à rejoindre les autres piliers de Göbekli. Les analyses géomagnétiques des montagnes artificielles de Göbekli Tepe indiquent qu’au moins 250 pierres supplémentaires seraient encore enfouies dans le sol. À ce jour, quarante pierres monumentales en forme de T et atteignant 3 mètres de haut ont été sorties de terre, la plupart gravées. Sur certains piliers, on peut voir de nombreux animaux finement représentés comme, des serpents, canards, grues, taureaux, renards, lions, sangliers, vaches, scorpions, fourmis. Certaines de ces gravures ont été volontairement effacées, sans savoir pourquoi.
Göbekli Tepe fut enregistré en tant que site archéologique en 1963 dans le cadre de recherches turco-américaines. Une équipe d'archéologues américains, dont Peter Benedict, remarqua plusieurs collines étranges recouvertes de milliers de silex cassés, ce qui est un signe certain d'activité humaine, mais les scientifiques n'eurent pas le temps et les finances pour procéder à des fouilles. Trois décennies plus tard, un berger de la région aperçut un groupe de pierres aux formes étranges sortant du sol poussiéreux. La redécouverte du site parvint aux oreilles des conservateurs du musée de la ville de Şanlıurfa, à cinquante kilomètres. Les responsables du musée contactèrent le ministère approprié, qui, en retour, se mit en relation avec l'Institut archéologique allemand à Istanbul. Le site fut donc l'objet de fouilles à partir de 1995, année durant laquelle le Musée de Şanlıurfa et l'Institut archéologique allemand commencèrent la fouille du site. Klaus Schmidt dirigea le chantier archéologique depuis le début. En 2006, les fouilles dépendaient de l'Université de Heidelberg, l'Université de Karlsruhe, associée, s'occupant du référencement des artéfacts découverts.
Il y a aussi des sculptures isolées semblant être des représentations de sanglier, de renard, de tatous ou d'oies, des animaux non communs à la région. Vu qu'elles sont faites d'argile, et particulièrement craquelées, il est difficile de le déterminer. Des statues de même type ont été trouvées à Nevali Cori et Nahal Hemar. Les ateliers de sculpture ayant créé ces statues seraient situés sur le plateau lui-même, des piliers non terminés ayant été trouvés in situ. Des cuvettes en forme de bol dans la roche argileuse ont été trouvées, technique peut-être déjà utilisée pour faire de la sculpture et du mortier argileux, dans l'Épipaléolithique. Il y a aussi des formes phalliques et des motifs géométriques dans la roche, dont la datation est inconnue. Ils sont à rapprocher des cultures sumérienne et mésopotamienne, ainsi que des sites d'Asie Mineure et d'Égypte de la même époque, comme Byblos, Nemrik, Helwan et Aswad. Se basant sur les importantes représentations d'animaux, Schmidt indique qu'il doit s'agir d'une culture shamanique à rapprocher à ces cultures, ce qui semblerait corroborer cette hypothèse. On peut donc supposer des pratiques rituelles proches. Au début des années 1990, le préhistorien Jacques Cauvin avança la thèse que le développement de la religiosité a poussé les hommes à se regrouper pour vivre et célébrer les rites en société. Göbekli pourrait lui donner raison.
Ce site de Göbekli Tepe montre notamment que l'humanité disposait, à une époque pré-agricole, de moyens suffisants pour mettre en place un lieu de culte imposant, idée qui contredit l'hypothèse que l'agriculture aurait précédé toute érection de constructions importantes. C'est probablement l'œuvre d'une tribu de chasseur-cueilleurs. Schmidt spécule sur le fait que le site ait joué un rôle majeur dans la transition à l'agriculture, supposant que l'organisation sociale nécessaire à la création de ces bâtiments a favorisé une exploitation organisée du blé. Des recherches annoncent que les débuts de l'agriculture furent associés à une baisse de la qualité alimentaire. Ce ne fut que lorsqu'on créa des potagers religieux, pionniers pour raison religieuse, que les sélections et techniques de plantations s'améliorèrent, permettant l'émergence d'une agriculture nourricière. Ce grand bond en avant religieux ne serait apparu qu'en 10.000 av. J.-C., en Anatolie. Göbekli Tepe est situé dans la région de Turquie appartenant au Croissant fertile, qui est probablement le lieu d'origine de l'Engrain, une variante du blé, première céréale utilisée par l'homme, mais aucune trace de plantes ou d'animaux domestiqués n'a été trouvée. On n'a pas non plus retrouvé d'habitations durables en pierre. Cette transition reste encore aujourd'hui une hypothèse. Pourtant, on a retrouvé ensevelis à 4 m de profondeur des outils, comme des racloirs, des pointes de flèches, des os d'animaux, des graines sauvages et du bois carbonisé. Cela prouve, avec les silex retrouvés, une présence humaine durable, et conforte l'idée que les hommes de Göbekli se nourrissaient de gibiers, de plantes et de fruits qu'ils cueillaient et chassaient, sans être éleveurs ou fermiers.
Le nom turc Göbekli Tepe se traduit en français par "la colline au nombril", en référence à sa forme. Sur ce site repose le plus ancien temple de pierre jamais découvert répertorié d'architecture monumentale, estimé entre 11.500 et 10.000 avant notre ère. Il aurait fallu plusieurs centaines d’hommes pour le construire et les travaux auraient duré de trois à cinq siècles. La civilisation mégalithique à l’origine de ce site est encore très mal connue. Le temple aurait été abandonné vers 8.000 av. J.-C. Cette colline artificielle haute de 15 mètres pour un diamètre de 300 mètres, aurait été volontairement enfoui au Néolithique précéramique...
Sujet: Re: " Archéologie Interdite " Mar 3 Mar - 21:03
======================================================================================== La datation de l’apparition de la vie sur Terre remise en question !
ENFIN ! Voilà qui donne du grain à moudre à tous les tenants de cette théorie rejetés à la marge par la pensée scientifique unique, malgré les preuves « inexplicables » accumulées. (cf notre série sur l’archéologie interdite).
La Terre aurait accueilli la vie un milliard d’années plus tôt que ce que nous pensions La genèse de notre planète fut longue – c’est le moins que l’on puisse dire – et très complexe. Mais elle est encore plus difficile à dater précisément. L’apparition de la vie par exemple, est un événement ô combien important qu’il est délicat de placer dans le temps. Et selon une récente étude, elle pourrait avoir eu lieu un milliard d’années plus tôt que ce que nous pensions…
Les chercheurs se sont depuis longtemps accordés à dire que les premières formes de vies sont apparues, et ont commencé à utiliser l’azote de la Terre,
il y a environ 2 milliards d’années. Mais une nouvelle étude de l’Université de Washington révèle que quelque chose convertissait déjà de l’azote
il y a quelques 3,2 milliards d’années. À cette époque, la Terre n’avait « que » 1,3 milliard d’années. Cette découverte, publiée dans le journal Nature,
contredit totalement l’idée que notre biosphère était à cette époque inhabitable pour tout être vivant…
C’est en examinant 52 échantillons de roches très anciennes – entre 2,75 et 3,2 milliards d’années – prélevées en Afrique du Sud et en Australie que ces
scientifiques en sont arrivés à cette conclusion. Ces roches, qui se sont formées avant l’apparition de l’oxygène dans l’atmosphère
(entre 2,3 et 2,4 milliards d’années), peuvent contenir des « indices chimiques » de cet ancien monde que les cailloux modernes ont perdu.
L’un de ces indices, c’est le ratio d’atomes d’azote lourd par rapport à l’azote léger. Pour que les premières formes de vie acquièrent de l’azote
depuis l’atmosphère, elles avaient besoin d’une enzyme capable de récupérer le gaz de l’air et de le convertir en une forme utilisable – ce processus s’appelle
la fixation de l’azote -. Selon les chercheurs, les ratios correspondent à ceux de ces enzymes dans les organisme unicellulaires, et ils ne correspondent à
aucune autre réaction chimique existant sans aucune présence de vie… Cette découverte suggère donc l’existence d’une « créature » plus ancienne encore.
Sujet: Re: " Archéologie Interdite " Jeu 5 Mar - 14:59
Étrange découverte en Antarctique, Voyage dans le temps
Publié le 3 janvier 2011 / Par Le blog de dossiermystere
Une équipe de scientifique basé en antarctique aurait découvert un étrange phénomène temporelle .
Le temps à été tourné en arrière le 03/01/2004 à 15h37. Ni la tv ni la radio n’ont rapporté ce fait incroyable !!!!! Il y a huit ans, des scientifiques américains et britanniques qui ont conduit des investigations en Antarctique ont fait une découverte sensationnelle. Le physicien américain Mariann McLein a dit que les chercheurs ont remarqué un brouillard gris en rotation dans le ciel au-dessus du pôle le 27 janvier, qu’ils ont pris pour une tempête de sable ordinaire. Cependant, le brouillard gris n’a pas changé de forme et n’a pas évolué dans le cours du temps. Les chercheurs ont décidé d’étudier le phénomène et ont lancé un ballon météo avec un équipement capable d’enregistrer la vitesse du vent, la température et l’humidité de l’air. Mais le ballon météo est monté vers le haut et a immédiatement disparu.
Au bout d’un moment, les chercheurs ont ramené le ballon météo à terre avec l’aide d’une corde attachée à lui auparavant. Ils étaient extrêmement surpris de voir qu’un chronomètre placé dans le ballon météo indiquait la date du 27 janvier 1965, le même jour mais il y a 30 ans. L’expérience a été répétée plusieurs fois après que les chercheurs aient constaté que l’équipement était en bon état. Mais chaque fois que la montre était de retour elle a indiqué le passé. Le phénomène a été appelé “la porte temporelle” et a été rapporté à la Maison Blanche.
Aujourd’hui l’enquête sur ce phénomène peu commun est en cours. On suppose que le cratère tourbillonnant au-dessus du Pôle Sud est un tunnel permettant de pénétrer dans d’autres temps. Qui plus est, des programmes de lancement de personnes vers d’autres époques ont été commencés. La CIA et le FBI combattent pour gagner le contrôle du projet qui peut changer le cours de l’histoire. Il n’est pas évident de savoir quand les autorités fédérales des USA approuveront l’expérience.
Le célèbre scientifique russe Nikolay Kozyrev a entrepris une expérience pour montrer que se déplacer du futur vers le passé était possible. Il a justifié ses points de vue avec les hypothèses sur l’information instantanée s’étendant à travers les caractéristiques physiques du temps. Nikolay Kozyrev a même supposé que le “temps pourrait exécuter un travail et produire de l’énergie.” Un physicien théoricien américain est arrivé à la conclusion que le temps est ce qui a existé avant l’existence du monde.
On sait que chacun de nous perçoit un cours différent du temps dans différentes conditions. Une fois, la foudre a frappé un escaladeur de montagne; plus tard l’homme a dit avoir vu que la foudre est entrée dans son bras, s’est lentement déplacée le long de ce dernier, a séparé la peau des tissus et carbonisé ses cellules. Il a senti comme si il y avait des milliers d’aiguilles de hérissons sous sa peau.
L’enquêteur russe des phénomènes anormaux, philosophe et auteur de nombreux livres Gennady Belimov, a publié un article avec le titre: “Machine à voyager dans le temps: Première vitesse enclenchée” dans le journal “Sur le bord de l’impossible”. Il a décrit des expériences uniques entreprises par un groupe de personnes enthousiastes dirigées par Vadim Chernobrov, l’homme qui a commencé la création de machines temporelles, des dispositifs avec pompage électromagnétique, en 1987. Aujourd’hui ce groupe de fervents peut ralentir ou accélérer le cours du temps en utilisant l’impact particulier d’un champ magnétique. Le plus grand ralentissement du temps a été constaté de 1,5 secondes par heure de fonctionnement de l’équipement dans les laboratoires.
En août 2001, un nouveau modèle de machine à voyager dans le temps pour humain a été testé dans une forêt à distance de la région de Volgograd, en Russie. Même si la machine a été alimentée par des batteries de voiture et avait peu de capacité, elle parvenait déjà à changer le cours du temps de trois pour cent; le changement a été enregistré par des oscillateurs en cristal symétriques.
D’abord, les chercheurs ont passé cinq, dix et vingt minutes dans la machine en fonctionnement; le plus long séjour a été d’une demi-heure. Vadim Chernobrov a indiqué que les gens sentaient comme si ils se déplaçaient dans un monde différent; ils ont senti la vie ici et “là” en même temps, comme si un peu d’espace se dépliait. “Je ne peux pas définir les sentiments peu communs que nous avons éprouvé à ces moments.”
Ni la TV ni la radio n’a rapporté ce fait étonnant; Gennady Belimov indique que le président russe n’était pas au courant de l’expérience. Cependant, il dit que déjà sous Stalin il y avait un institut de recherche sur les mondes parallèles. Des résultats d’expériences entreprises par les Académiciens Kurchatov et Ioffe peuvent maintenant être trouvées dans les archives. En 1952, à la tête de l’organisation policière secrète soviétique, Lavrenty Beria lance un mandat d’arrêt contre des chercheurs participant aux expériences, à l’issue duquel 18 professeurs ont été exécutés par balle et 59 candidats et médecins des sciences physiques ont été envoyés dans des camps. L’institut a recommencé son activité sous Khruschev. Mais un stand expérimental avec huit principaux chercheurs a disparu en 1961, et des bâtiments près de celui où des expériences ont été entreprises ont été détruits. Après cela, le bureau politique de parti communiste et le Conseil des Ministres ont décidé de suspendre des chercheurs de l’institut pour une période indéterminée.
Le programme a été repris en 1987 quand l’institut a été remis en fonctionnement sur le territoire de l’ Union soviétique. Une tragédie s’est produite le 30 août 1989: une explosion extrêmement forte a retenti dans la succursale de l’institut sur les îles de l’Anjou. L’explosion a non seulement détruit le module expérimental de 780 tonnes, mais également l’archipel lui-même d’une superficie de 2 kilomètres carrés. Selon une des versions de la tragédie, le module avec trois expérimentateurs a heurté un grand objet, probablement un astéroïde, dans un monde parallèle ou en allant vers un monde parallèle. Après avoir perdu son système de propulsion, le module est probablement resté dans le monde parallèle.
Le dernier enregistrement réalisé dans le cadre l’expérience et conservé aux archives de l’institut indique: “Nous mourrons mais continuez à poursuivre l’expérience. Il fait très sombre ici; nous voyons tous les objets devenir doubles, nos mains et nos jambes sont transparents, nous pouvons voir nos veines et nos os à travers la peau. L’approvisionnement en oxygène sera épuisé dans 43 heures, l’appareil respiratoire est sérieusement endommagé. Nos meilleurs souvenirs pour nos familles et amis! Puis la transmission s’est soudainement arrêtée.
Sujet: Re: " Archéologie Interdite " Jeu 5 Mar - 16:15
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: " Archéologie Interdite " Sam 7 Mar - 3:43
Une cité perdue découverte dans la jungle du Honduras
Voilà 1000 ans qu’elle avait disparu, la cité du Dieu singe qui vient d’être retrouvée était un refuge pour ceux qui souhaitaient échapper aux invasions espagnoles, celles-là même qui ont ouvert le bal d’un des plus grands génocides de l’histoire, celui des amériendiens. Mais si la découverte est annoncée de manière officielle, la découverte de cette citée n’est pourtant pas récente, elle date de 2012.
Comme nous l’explique un article du Courrier International, un avion équipé d’un scanner a survolé la vallée dans laquelle se trouve la cité mythique, tout en sondant la jungle à l’aide d’un laser. Les chercheurs ont alors pu réaliser par la suite une carte en 3D révélant la présence de ruines archéologiques. Et si rien n’a vraiment filtré, on le doit à Porfirio Lobo Sosa, président du Hondura à l’époque qui a considéré que les coordonnées exactes relevaient du secret d’état, pour éviter tout pillage.
Le souci actuel, c’est que le pays manque de moyens pour protéger la cité, et fait appel à l’aide internationale pour cela.
Disparue depuis mille ans, la mythique « cité blanche » (ou « cité du dieu singe ») a été découverte par des archéologues au Honduras. Cette découverte pourrait être la plus importante du début du XXIe siècle, comme le rapporte le National Geographic.
Pour une raison inexpliquée, cette mystérieuse citée d’Amérique centrale avait disparu depuis plus de mille ans. Il s’agit de la mythique « cité blanche » (ou « cité du dieu singe »). Une équipe d’archéologues américains et honduriens a retrouvé sa trace en pleine en plein cœur de la forêt tropicale du Honduras.1.000 à 1.400 après J.-C Parmi les découvertes, selon le site du National Geographoc, il y a une pyramide de terre, des monticules, des sculptures, et des sièges cérémoniels. Au total, 52 pièces ont été trouvées dont une incroyable tête de jaguar sculptée. Cette découverte pourrait être la plus importante du début du XXIe siècle. Selon un membre de l’équipe de chercheurs, ces objets dateraient de 1.000 à 1.400 après J.-C. « Des archéologues ont étudié et cartographié des places, terrassements, monticules ainsi qu’une pyramide appartenant à une culture ayant prospéré il y a un millier d’années avant de disparaître. Selon le site internet de la National Geographic Society, l’équipe scientifique est retournée mercredi sur le site et a découvert des sculptures en pierre demeurées intactes », relate encore le site du National Geographic.
Légendes
La mythique « cité blanche » (ou « cité du dieu singe ») suscite des passions depuis des décennies. Elle est située dans la région de La Mosquitia, dans le nord-est du Honduras.
« Selon les légendes locales, les populations indigènes trouvaient refuge dans cette cité blanche afin de fuir les invasions espagnoles, et personne n’en revenait jamais », peut-on lire sur EuronewsE.
Reste à savoir si cela apportera des réponses jusque là inconnues, entre autre sur la méthode utilisée pour construire les pyramides, étant donnée que dans cette « cité blanche », une pyramide similaire aux pyramides mayas a été découverte, et que étrangement, les pyramides construites par différentes civilisations sont très proches les unes des autres:
Sujet: Re: " Archéologie Interdite " Sam 7 Mar - 18:01
complément du post de akasha
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Découverte de la mythique "cité du dieu singe" au Honduras
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Disparue depuis mille ans, la mythique "cité blanche" (ou "cité du dieu singe")
a été découverte par des archéologues au Honduras.[/size]
Cette découverte pourrait être la plus importante du début du XXIe siècle,
comme le rapporte le National Geographic.
Pour une raison inexpliquée, cette mystérieuse citée d'Amérique centrale avait disparu depuis plus de mille ans.
Il s'agit de la mythique "cité blanche" (ou "cité du dieu singe"). Une équipe d'archéologues américains
et honduriens a retrouvé sa trace en pleine en plein cœur de la forêt tropicale du Honduras.
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1.000 à 1.400 après J.-C
------------------------------- Parmi les découvertes, selon le site du National Geographic, il y a une pyramide de terre, des monticules, des sculptures,
et des sièges cérémoniels. Au total, 52 pièces ont été trouvées dont une incroyable tête de jaguar sculptée.
Cette découverte pourrait être la plus importante du début du XXIe siècle. Selon un membre de l'équipe de chercheurs,
ces objets dateraient de 1.000 à 1.400 après J.-C.
"Des archéologues ont étudié et cartographié des places, terrassements, monticules ainsi qu'une pyramide appartenant
à une culture ayant prospéré il y a un millier d'années avant de disparaître. Selon le site internet de la National Geographic Society,
l'équipe scientifique est retournée mercredi sur le site et a découvert des sculptures en pierre demeurées intactes",
relate encore le site du National Geographic.
-------------- Légendes
-------------
La mythique "cité blanche" (ou "cité du dieu singe") suscite des passions depuis des décennies.
Elle est située dans la région de La Mosquitia, dans le nord-est du Honduras.
"Selon les légendes locales, les populations indigènes trouvaient refuge dans cette cité blanche afin de fuir les invasions espagnoles,
et personne n'en revenait jamais", peut-on lire sur Euronews.
Un secret éventé par manque de moyen ------------------------------------------------------------------ Si cette découverte est aujourd'hui révélée, c'est essentiellement par manque de moyen de l'état hondurien qui n'a pas l'argent nécessaire
pour protéger un tel site. Il est vrai que la déforestation fait des ravages dans cette région reculée tout comme l'élevage de boeuf
qui s'étale chaque année davantage. Le directeur de l'université du Honduras et l'Institut hondurien d'anthropologie et d'histoire (IHAH)
qui a participé à l'expédition de 2015 s'est donc résolu à faire appel à l'aide internationale pour protéger les vestiges de cette cité perdue.
Le magazine National Geographic a publié un long reportage et les premières photos de la cité perdue. Le tout est à lire ici.
Dernière édition par ClauD.31 le Dim 13 Mar - 18:55, édité 1 fois
orné Modérateur
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Bonjour, Je vous proposes une vidéo sensationnelle (a défaut d''être effrayante comme titre naïvement la vidéo). Sur une cité perdue de Bolivie. Une cité qui c'est retrouvée balayée on ne sait par quel prodige. Une cité qui contient des pièces singulière taillée par je ne sais quel outil de précision. Ce qui est intriguant c'est que les guides touristique du site ne montre jamais ces pièces aux touristes car on ne peut aller à l'encontre de l'histoire officielle. La datation officielle de la cité est de - 1200 avant JC or elle serait ancienne de - 15.000 ans. Ce qui permet d'avancer cette date est le besoin énorme d'eau pour bâtir une telle cité, or c'est les rives du lac Titicaca bordait les abord de la cité Tiwanaku ou Puma Punk il y a de ça 15.000 ans. Orné.
Sujet: Re: " Archéologie Interdite " Jeu 19 Mar - 22:16
Découverts en 1926 au Pérou, les géoglyphes de Nazca sont bien connus dans le monde. Véritable patrimoine mondial de l'Humanité, ces grandes figures tracées dans le sol du désert de Nazca ont encore quelques secrets à nous dévoiler. Récemment, des vents violents additionnés à des tempêtes de sables ont permis de faire une incroyable découverte : un ensemble de géoglyphes encore inconnus.
Dernière édition par ClauD.31 le Lun 27 Fév - 21:56, édité 2 fois