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Novi Orbis - Le Nouveau Monde
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site d'information sur la géopolitique, la nature, la science, la spiritualité, l'ésotérisme et les Ovnis.
Sujet: Re: à propos de la planète X Jeu 21 Jan - 23:13
PLANÈTE X, NÉMÉSIS, NIBIRU
L'annonce de la probable découverte d'une neuvième planète aux confins du Système solaire
donne un second souffle aux théories jugées fantaisistes sur l'existence de Nibiru,
une planète mythique et menaçante qui reviendrait régulièrement semer la désolation sur la terre. Nibiru a largement inspiré Melancholia, la planète errante du film homonyme de Lars Van Trier.
L'ÉTERNEL RETOUR DE LA PLANÈTE FANTÔME
Quelles sont les limites du système solaire ? En septembre 2013, la NASA a annoncé avec tambours et trompettes que la sonde Voyager 1, lancée en 1977, avait quitté le Système solaire. C’était aller un peu vite en besogne: en réalité, Voyager a bel et bien dépassé Pluton mais pas la zone d’influence gravitationnelle du Soleil qui s’étend encore à 20 000 années lumière au-delà de la planète naine… La plus vaste partie du Système Solaire tient plus de l’immense foire à tout que des images des livres scolaires où les planètes apparaissent sagement rangées autour du soleil.
La quête de la neuvième planète En 1846, lors de la découverte de Neptune par le Français Urbain Le Verrier, de nombreux astronomes se disent qu’il n’y a aucune raison de s’arrêter là et redoublent d’efforts pour dénicher d’autres planètes après la géante glacée. Parmi les plus acharnés, l’Américain Percival Lowell. L’astronome délaisse l’étude ingrate des inexistants canaux martiens pour rechercher, sans plus de succès, l’hypothétique Planète X, selon le nom que lui attribue Percival Lowell. C’est cet astre introuvable qui serait à l’origine des anomalies dans les orbites d’Uranus et Neptune.
Pluton, planète née sous X Pluton, découverte en 1930 par Clyde W. Tombaugh, fait figure d’excellente candidate au titre de Planète X. Mais, au fil des années, la masse de Pluton est sans cesse revue à la baisse jusqu’à l’humiliation finale de sa relégation au rang de planète naine.
Pluton ne peut pas être responsable des contradictions dans les orbites des planètes géantes.
DE NÉMÉSIS À NIBIRU
Au cours des 40 dernières années, la Planète X est devenue l’Arlésienne de l’astronomie. Son existence, toujours supputée mais jamais démontrée, s’apparente désormais à un mythe moderne : parmi les théories scientifiques les plus originales, celle de Richard A. Muller, de l’université de Californie, décroche la palme. Il postule l’existence de la planète Némésis, du nom de la déesse grecque de la colère des dieux. Cet astre à l’orbite capricieux reviendrait régulièrement dans nos parages pour semer la mort et la désolation sur terre avec les météorites qu’elle traîne dans son sillage. Némésis serait responsable, entre autres, de la disparition des dinosaures. Cette sinistre planète rappelle par bien des aspects la mythique Nibiru, popularisée par l’écrivain Zecharia Sitchin.
Nibiru, planète pas nette Avec Zecharia Sitchin, écrivain d’origine russe décédé en 2010 à l’âge de 90 ans, on quitte les rivages de la science pour arriver dans le grand n’importe quoi. En s’appuyant sur les tablettes cunéiformes de l’époque sumérienne, qu’il prétend avoir traduites, Sitchin affirme que l’humanité aurait été crée par une race extraterrestre, les Annunaki, révérés comme des dieux par les Sumériens.
Le bas-relief sumérien sur lequel Sitchin croit avoir trouvé la preuve de l'existence de Nibiru, la neuvième planète.
Dans la cosmogonie de Zecharia Sitchin, la Terre a été formée par la collision de deux planètes, Tiamat et de Nibiru. Tiamat a été détruite, mais Nibiru, manifestement plus résistante, continue à rôder dans notre système solaire et revient tous les 3600 ans pour, à l’instar de Némésis, déclencher de terribles cataclysmes. Dans l’espèce de syncrétisme loufoque qui caractérise les théories apocalyptiques, c’est d’ailleurs Nibiru qui, en 2012, aurait dû provoquer la fin du monde annoncée par les Mayas.
Mais ce n’est sans doute que partie remise. Nibiru est si présente dans la culture populaire qu’on ne compte plus, sur Internet, les photos et les vidéos de cette planète fantôme repérée par des prophètes à la petite semaine. Tous les sites et les blogs consacrées à la menace Nibiru font leur « une » sur l’annonce de la découverte de la planète X sur l’air de « on vous l’avait bien dit ». Difficile de leur jeter la pierre…
SOURCE Paris MaTch
Dernière édition par ClauD.31 le Mar 10 Avr - 23:45, édité 1 fois
Sujet: Re: à propos de la planète X Sam 23 Jan - 15:17
Annunaki les géants Venez voir cette vidéo sur l'origine de l'homme. Un reportage qui donne à réfléchir sur l'évolution humaine et surtout comment somme nous arrivé là.
" L’ignorance c’est l’absence de connaissances, mais aussi le refus de l’acquérir… "
Les spéculations et les théories concernant l’existence de planètes encore inobservées dans notre système solaire
circulent depuis des siècles. Chaque découverte d’une nouvelle planète extérieure a été précédée par la détection
d’anomalies dans les mouvements erratiques et inexplicables de la planète la plus éloignée alors connue.
Par exemple, avant que l’existence de Neptune ne soit déterminée, les astronomes avaient théorisé pendant
des décennies que le mouvement irrégulier d’Uranus (découverte en 1781) pourrait être causé par la présence
d’une autre planète alors inconnue. Ce qui fut démontré en 1846 lorsque Neptune a été aperçue et identifiée
pour la première fois.Pluton, la neuvième planète (en 2006, elle a été détrônée de ce titre et reléguée au
statut de planète naine), a été découverte en 1930 et Charon, la lune de Pluton découverte ultérieurement,
a ensuite été utilisée pour expliquer les « vacillements » observés dans les orbites respectives d’Uranus et Neptune.
Ainsi, les erreurs dans le calcul des positions précises des planètes connues présentent un modèle durable
de confirmation ultérieure de l’origine de ces erreurs, déterminée avec chaque planète nouvellement découverte.
Par conséquent, depuis plus d’un siècle, les débats scientifiques se poursuivent concernant l’existence
d’autres grandes planètes ou de planètes naines appartenant à notre système solaire qui seraient toujours
là dans l’espace en attente d’être trouvées, permettant d’expliquer d’autres anomalies.
La planète comète de Carlos Ferrada…
En 1940, l’astronome chilien Carlos Muñoz Ferrada [1909-2001] ne s’était pas trompé en prévoyant que
les pouvoirs en place seraient tentés de camoufler l’existence de la planète X [dont il avait déjà confirmé
l’existence] tandis qu’elle foncerait vers la terre. Ferrada qualifiait la planète X (Nibiru) de « planète comète »
parce qu’elle a la taille d’une planète, mais la vitesse et l’orbite elliptique d’une comète.
La 12e planète…
L’existence de la planète inobservée la plus controversée dans notre système solaire, surnommée Nibiru
ou planète X, a été popularisée en 1976 par le célèbre chercheur et auteur Zecharia Sitchin dans son livre à succès
intitulé La 12ème planète. Un des rares savants capables de lire et d’interpréter les tablettes d’argile sumériennes,
Sitchin s’est appuyé sur ces anciens textes pour soutenir l’existence de la planète X (aussi appelée Nibiru
le Destructeur dans les anciens textes) qui reviendrait vers la Terre tous les 3 600 ans. Les Sumériens ont vécu il y a plus de 6 000 ans dans ce qui est aujourd’hui l’Irak. On leur attribue la première civilisation
connue sur Terre, ainsi que l’invention des mathématiques, de l’écriture, de l’agriculture, du droit, des écoles,
de l’astronomie et de l’astrologie.Un système binaire – le Soleil et Némésis… Notre système solaire et son soleil sont semblables à 90 % des systèmes solaires de la Voie lactée, qui font partie
d’un système binaire contenant deux étoiles ou plus. Le système de la planète X peut être considéré comme
une mini-constellation* composée de la jumelle de notre soleil, appelée Némésis et catégorisée comme étoile naine brune.
Cette étoile est généralement invisible, même en infrarouge en raison des nuages de poussière d’oxyde de fer rouge
qui l’entourent. Il y aurait au moins trois planètes qui gravitent autour de Némésis, dont Nibiru et Hélion qui possèdent
des lunes, ainsi qu’Arboda.Bien que Nibiru se déplace le long d’une orbite elliptique et pénètre notre système solaire
environ tous les 3 600 ans, traversant une par une les orbites des planètes de notre système solaire,
elle ne gravite pas autour de notre soleil [mais autour de Némésis].
D’autres sources estiment que la planète X ne peut être détectée qu’en infrarouge. Incidemment, l’observatoire
du Vatican exploite un télescope infrarouge parmi les plus puissants et les plus évolués dans le monde. Appelé
LUCIFER , il est situé à l’observatoire de Mount Graham, en Arizona, et dirigé par un jésuite, le père José G. Funes.
En 1990, le chercheur-auteur Zecharia Sitchin a interviewé l’astronome Robert S. Harrington, superviseur de l’US Naval
Observatory (observatoire astronomique de la marine américaine), pour discuter de sa récente découverte de la planète X,
[une planète] rouge. Harrington avait spécialement mis en place un observatoire télescopique en Nouvelle-Zélande afin
d’observer la planète X.Toutefois, le réputé directeur de l’observatoire naval est subitement et mystérieusement
décédé à l’âge de 50 ans d’une forme rare de cancer, dans des circonstances suspectes. Son épouse est convaincue
qu’il a été assassiné pour avoir semble-t-il révélé trop d’informations concernant la planète X.
Pourtant, deux ans après l’entrevue de Sitchin avec M. Harrington, et quelques mois seulement avant le décès de Harrington
en janvier 1993, un communiqué de presse de la NASA soutenait encore publiquement l’existence de la planète X (Nibiru) :
‘’Des écarts inexpliqués dans les orbites d’Uranus et de Neptune pointent vers l’existence d’un corps céleste
de grandes dimensions (4 à 8 fois la masse de la Terre) aux limites du système solaire, suivant une orbite
fortement inclinée, à plus de 7 milliards de miles du Soleil.
Toujours en 1992, un scientifique de la NASA nommé Ray T. Reynolds a publiquement affirmé avec assurance que
« les astronomes sont tellement sûrs de l’existence de la dixième planète qu’ils estiment qu’il ne reste plus qu’à la nommer ».
À ce moment-là, c’était tout juste s’il ne restait plus à la NASA qu’à hurler « Nibiru ! » du sommet des montagnes. Mensonges et désinformation… Mais depuis la mort prématurée de Harrington, à quelques exceptions près, le couvercle a été fermé hermétiquement
pour empêcher que toute information plus précise ne soit diffusée par les sources traditionnelles directement au public. Apparemment, le gouvernement américain avait pris la décision de garder sous le boisseau l’existence de Nibiru
et son potentiel destructeur pour la Terre. Au cours des dernières années, les autorités fédérales ont employé des trolls
pour diffuser de la désinformation et de la propagande mensongère afin de discréditer toute personne qui tenterait
de dévoiler la vérité.En plantant des complices affairés à multiplier activement les campagnes concentrées de
désinformation et de dénigrement mensongers, l’élite s’assure que cette histoire qui refuse de disparaître ne sera
pas entièrement divulguée.Les prédictions hautement publicisées de catastrophes qui s’avèrent des non-événements
font partie des tactiques les plus couramment employées, comme le récent tremblement de terre du 28 mai [2015]
sur la faille de San Andreas, qu’on avait délibérément prévu pour correspondre au lancement du film du même nom;
ou les scénarios de fin du monde associés au calendrier maya en 2012, autre non-événement;
ou l’ère glaciaire du 5/5/2000 qui n’est jamais venue; et qui peut oublier le fiasco du bogue de l’an 2000 ?
Et ainsi de suite…
Plus nous avons de ces prévisions de « fin du monde » qui se révèlent fausses, plus il y a de chances que les
avertissements légitimes concernant la planète X soient sommairement moqués et ignorés.
Le syndrome du « garçon qui crie au loup » désensibilise efficacement la population et lui fait douter que les preuves
et la vérité concernant Nibiru soient considérées sérieusement par une personne raisonnable, quoi qu’en dise la foule
des réalistes de la conspiration portant un chapeau d’aluminium qui ont plus souvent raison que tort ces temps-ci
quand il s’agit d’exposer les innombrables dissimulations, opérations sous fausse bannière (false flags)
et mensonges des gouvernements. Est-ce que le ciel va nous tomber sur la tête ? Plutôt que de fouiller dans la mythologie antique ou la prophétie biblique, comme le font déjà de nombreuses
spéculations sur Nibiru, la suite de cette présentation mettra l’accent sur un examen des preuves scientifiques
les plus tangibles et les plus crédibles présentées par les astronomes et les astrophysiciens qui, au cours des
dernières années, ont mis en jeu leur carrière, leur réputation et même leur vie en faisant la promotion de
leurs découvertes et conclusions controversées.
Preuves scientifiques…
Cette année plus que jamais, le mouvement visant à révéler la vérité concernant l’existence de la planète X a pris de l’élan,
obtenant même l’appui nuancé de certaines personnalités bien en vue au sein de la communauté scientifique.
Cet article va documenter ce recueil grandissant de preuves empiriques validant non seulement l’existence de la planète X,
mais également son approche imminente vers la Terre. L’existence de la planète X est connue depuis longtemps…
La controversée planète X et son système, faisant leur entrée dans notre système solaire avec des implications
potentiellement catastrophiques, ont été présentés pour la première fois dans un article du Washington Post
publié en 1983.Le télescope astronomique infrarouge de la NASA avait découvert cette mystérieuse planète
« peut-être aussi grande que Jupiter » près de la constellation d’Orion. Déjà il y a trente-deux ans,
on la considérait comme le corps céleste le plus proche de la Terre au-delà de Pluton.Le chercheur et activiste
John Moore a longtemps affirmé qu’un certain nombre de ses sources ex-militaires et des services de
renseignement gouvernementaux avaient indépendamment confirmé qu’une réunion hautement secrète avait
eu lieu en 1979 dans une salle de réunion de La Nouvelle-Orléans, où des officiers généraux du plus haut rang
de la marine américaine avaient originalement été informés de la venue catastrophe inévitable de la planète X,
qui surviendrait de leur vivant.En octobre 2003, un document hautement significatif et révélateur du Département
de la Défense des États-Unis a été publié sous le titre « Un scénario de changement brutal du climat et ses implications
pour la sécurité nationale des États-Unis ». Ce document soulignait la chute des niveaux de salinité des océans,
Une perturbation importante de la bande porteuse de l’Atlantique qui pousse l’eau salée chaude près de la surface
en circulation vers le nord depuis le sud, tandis que les eaux en profondeur plus froides circulent vers le sud,
aurait un impact dévastateur sur le climat mondial.Le document conclut avec ces prédictions qui donnent à réfléchir :
guerres pour les ressources énergétiques, alimentaires et en eau; sécheresses plus fréquentes sur des surfaces terrestres
plus étendues; et violents changements climatiques entraînant des catastrophes naturelles de toutes sortes, plus fréquentes
et de plus dévastatrices.Une douzaine d’années plus tard, tous ces développements des plus inquiétants se manifestent clairement.
Les changements climatiques : une supercherie pour masquer la vérité ?
Bien sûr, le dogme scientifique actuellement politiquement correct énonce que le réchauffement climatique
(alias changements climatiques) est entraîné par les gaz à effet de serre comme le CO2. Cette tromperie massive est conçue pour masquer convenablement les nombreux effets nocifs dus
à plusieurs décennies de géo-ingénierie, d’expériences avec le système HAARP, de modifications et de guerres
climatiques, sans mentionner la « non existante » planète X qui fonce sur nous depuis les confins du système solaire
et qui est susceptible d’entraîner d’énormes bouleversements à la surface de toutes les planètes de notre système solaire,
incluant bien sûr l’atmosphère et la surface de notre propre planète.En mars 2010, le journal britannique
grand public The Telegraph a publié un article intitulé « À la recherche de l’Étoile de la mort qui éjecte des comètes mortelles »
Le sous-titre indiquait que la NASA était à la recherche de l’étoile jumelle du soleil, la naine brune Némésis qui tourne
lentement autour de notre soleil et qui « catapulte » périodiquement des comètes mortelles vers la Terre.
Ainsi, aussi discrète que la NASA soit demeurée au fil des années, des bribes d’information provenant de sources
« fiables » continuent d’atteindre le public de temps à autre, indiquant qu’elle est toujours à l’affût du cataclysmique
système dont fait partie la planète X. L’article ajoute que cette étoile ayant « cinq fois la taille de Jupiter »
demeure le principal suspect pour l’extinction des dinosaures il y a 65 millions d’années.
Le trophée le plus récent de la NASA lui permettant d’explorer les cieux, le Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE,
en français « Explorateur à grand champ pour l’étude dans l’infrarouge ») a pu détecter la faible chaleur émanant de
l’étoile naine à 25 fois la distance séparant la Terre du Soleil, ou un tiers d’année-lumière. Lancé en janvier 2009, WISE a découvert jusqu’en octobre 2010 (on s’attentait alors à ce que son système de refroidissement
s’épuise) au moins 1 000 étoiles naines situées à moins de 25 années-lumière du Soleil. Deux fois plus éloigné que Némésis
réside le nuage d’Oort, une sphère de corps célestes glacés qui entoure notre système solaire. Tandis que le système de la planète X pénètre notre système solaire, on estime que sa force gravitationnelle lance dans sa
trajectoire des comètes et des astéroïdes constitués de débris spatiaux de grande taille et formés de roches et de poussières
glacées qui bombardent les planètes de notre système solaire, y compris la Terre.
Le professeur John Matese de l’Université de la Louisiane/Lafayette estime que cette Némésis
qui accompagne Nibiru au sein du système de la planète X est la principale source de la volée
concentrée de comètes envoyée vers le centre de notre système solaire depuis le nuage d’Oort.
Influence gravitationnelle de la planète X…
En mai 2012, les sites livescience.com et examiner.com ont tous deux publié des articles pointant vers la découverte
de la planète X. L’astronome Rodney Gomes de l’Observatoire national du Brésil à Rio venait de présenter
de nouvelles preuves de l’existence de la mystérieuse planète lors d’une réunion de l’American Astronomical Society. Gomes a démontré que les objets glacés situés à l’extérieur de l’orbite de Neptune dans le nuage d’Oort et affichant
des mouvements irréguliers ne peuvent pas être expliqués par les lois mathématiques connues de l’astrophysique,
mais peuvent l’être par l’influence gravitationnelle de ce qu’on appelle la planète X.En outre, l’orbite particulière
de la planète naine Sedna peut aussi seulement être expliquée par la présence d’une grande planète inconnue.
Les conclusions de Gomes ont été très bien accueillies par ses pairs, estimant qu’il avait bien fait ses calculs. Mais bien sûr,
ne voulant pas endosser complètement l’existence de la planète X, ils ont consciencieusement respecté la ligne officielle du
statu quo scientifique et gouvernemental en tempérant leur enthousiasme avec un appel à plus de recherche et en proposant
des théories alternatives qui n’impliqueraient pas une autre grande planète. Puis, en novembre de l’an dernier, iflscience.com a indiqué que deux nouvelles planètes inconnues pourraient bien se cacher
dans notre système solaire. Un article publié en janvier 2015 par Space.com a également abordé la possibilité que deux autres
planètes se déplaçant dans les limites extérieures de notre système solaire, au-delà de Neptune et Pluton, puissent influencer
subtilement les orbites des planètes naines.
Carlos de la Fuente de l’Université Complutense à Madrid a déclaré :
‘’ Cet excès d’objets affichant des paramètres orbitaux inattendus nous incite à croire que des forces invisibles modifient
la répartition des éléments orbitaux des OTNE [objets transneptuniens extrêmes], et nous considérons que l’explication la
plus probable est que d’autres planètes inconnues existent au-delà de Neptune et Pluton. ‘’ En mars 2014, une autre équipe d’astronomes, Chadwick Trujillo et Scott Sheppard, a annoncé la découverte
de 2012 VP113, un autre OTNE à rejoindre Sedna parmi les membres connus du « nuage d’Oort interne »,
cette sphère remplie de comètes qui se trouve juste au-delà de la ceinture de Kuiper et de Pluton. Trujillo et Sheppard soutiennent que les orbites de ces deux objets sont conformes avec la présence
d’un important « perturbateur », ayant jusqu’à dix fois la masse de la Terre.
Le système solaire est en pleine mutation…
Des changements majeurs et inouïs se produisent actuellement à la surface et dans l’atmosphère du Soleil,
et de toutes les planètes.L’astronome Mike Lockwood du Rutherford Appleton National Laboratories en
Californie a révélé que depuis 1901, le champ magnétique global du Soleil a augmenté de 230 %.
Les éruptions et les tempêtes solaires ont également augmenté.
La Lune a maintenant une atmosphère de natrium [sodium] d’une profondeur de 6 000 km, du jamais vu auparavant.
Mercure, la planète la plus rapprochée du soleil, a maintenant de la glace polaire. La luminosité de Vénus a grimpé de 2 500 %,
et son atmosphère a expérimenté des changements majeurs dans les quatre dernières décennies.
Pendant ce temps, plus loin du Soleil que la Terre, les calottes polaires de Mars ont fondu et l’ampleur de ses tempêtes
s’est accrue de façon exponentielle.La luminosité des nuages de plasma de Jupiter a augmenté de 200 %,
accompagné par un motif intermittent d’épaississement et d’éclaircissement. Les énormes ceintures de la plus grosse
planète dans notre système solaire [Saturne] ont changé de couleur, avec des niveaux de radiation qui faiblissent
et augmentent de façon erratique.Une augmentation des impacts d’astéroïdes et de comètes sur Jupiter, probablement
attribuable à l’entrée de Nibiru dans notre système solaire, a également été observée.Au cours des trois dernières
décennies, le courant-jet sur l’équateur de Saturne a perdu de la vitesse, tandis que les rayons X à l’équateur ont bondi.
Uranus est devenue plus lumineuse, et sa surface auparavant placide est maintenant agitée de nombreuses tempêtes.
La luminosité de Neptune a également augmenté de 40 %. La pression atmosphérique sur Pluton a bondi de 300 %
en dépit de son éloignement accru du Soleil. Le plasma incandescent aux extrémités de notre système solaire
a augmenté de 1000 %.Les profonds changements constatés dans l’espace sont sans précédent. Une émission d’énergie
accrue est en train de changer la structure fondamentale de toute la matière à travers notre système solaire. Pris dans leur
ensemble, ces changements majeurs sont en toute probabilité dus au déplacement de la planète X au sein de notre système solaire.
La Terre n’y échappe pas…
Bien sûr, des changements prononcés sont également survenus sur la Terre, notamment des fluctuations
électromagnétiques, un déplacement annuel plus prononcé de l’axe polaire, et des changements climatiques extrêmes.
Par exemple, la municipalité de North Pole, en Alaska, a récemment vu des températures printanières tardives
s’élever au-delà de 25 C. De 1963 à 1993, la fréquence mondiale des catastrophes naturelles a bondi de 410 %.
Et au cours des dernières années, le rythme des catastrophes naturelles a progressé encore plus rapidement.
Avec un nombre croissant d’éruptions volcaniques le long de l’anneau de feu du Pacifique et des tremblements de terre
ressenti globalement, en particulier le long des failles de San Andreas et de New Madrid, en plus du tremblement de terre
de 7,8 survenu au Népal il y a quelques mois, les éruptions volcaniques et les tremblements de terre majeurs ont augmenté
rapidement en 2015.Déjà en 2013, dix volcans inactifs depuis longtemps se sont éveillés, premiers indices de la présence
de la planète X. Le nombre d’éruptions volcaniques a augmenté de 500 % entre 1875 et 1975, mais la progression est
maintenant encore plus rapide.Une augmentation exponentielle des tremblements de terre de magnitude 3,0
ou plus secoue le cœur de l’Amérique en raison de la fracturation hydraulique, passant uniquement en Oklahoma
de deux ou trois par année (avant la fracturation) à 562 l’an dernier seulement.
Depuis 1973, les tremblements de terre ont augmenté de 400 % dans le monde entier. Les tremblements de terre
de magnitude 6,0 ou plus ont également grimpé au cours des dernières années, passant d’une moyenne de 108,5
tremblements de terre par année dans la décennie 1980 à 1989 à 160,9 tremblements de terre par année de 2000 à 2009,
une hausse de 38,9 %.Dans le premier trimestre de l’année 2014 seulement, les grands séismes ont été deux fois
plus fréquents que la moyenne enregistrée depuis 1979. Il y a deux mois [c.-à-d. juillet 2015],
des scientifiques de la Fondation européenne de la science ont averti que dans les années à venir,
il existe une possibilité de 5 à 10 % qu’une éruption volcanique colossale catapulte la Terre vers la préhistoire.
Une hausse significative des glissements de terrain et des inondations a également été constatée.Diminution du champ
magnétique de la Terre… Depuis 2 000 ans, le champ magnétique de la terre a progressivement diminué.
Mais dans les 500 dernières années, cette baisse est devenue beaucoup plus dramatique. En septembre 2015,
les scientifiques ont été choqués de constater le rythme alarmant de la disparition de la magnétosphère de la Terre.
Ce bouclier naturel de la planète qui empêche les vents solaires et le rayonnement d’atteindre la surface de la Terre
est en train de disparaître...
Cette découverte inquiétante survient tandis que l’activité des tempêtes solaires est également en forte progression cette année.
Ces éruptions solaires menacent sérieusement d’interférer avec les communications par satellite et GPS, sans parler des risques
croissants d’impulsions électromagnétiques qui pourraient être fatales pour le réseau électrique, plongeant instantanément des
milliards de personnes dans le noir, sans aucune source d’électricité pendant des mois, voire des années.
Une diminution du champ magnétique aurait pour effet de doubler l’exposition aux radiations solaires, entraînant une épidémie
de décès dus au cancer de la peau, une accélération des changements climatiques, et une progression des conditions
météorologiques extrêmes.Les vents solaires élimineraient les ions qui permettent à la Terre de retenir l’eau et l’air.
Ces terribles changements se produisent actuellement. Ce que pratiquement aucun scientifique qui désire demeurer en vie
ne veut révéler, c’est que ce rythme affreux de dégradation écologique et de changements fatals qui affectent la surface
de la Terre est en toute probabilité causé par l’approche sans cesse plus rapide de la planète X.
Le truc de magie de Google Sky…
Un autre développement plutôt curieux en ce qui concerne la planète X, ce sont les actions étranges de Google Sky.
Il y a plusieurs années, sans doute pour s’harmoniser avec le silence médiatique, Google a masqué une portion du ciel
pour s’assurer que la planète X disparaisse de sa carte du ciel. Puis, au court de cette année 2015, Google Sky a mystérieusement réinséré la grille manquante montrant clairement
la flamboyante Nibiru avec ses ailes. Donc, elle est maintenant visible dans le ciel lui-même,
et sur Google Sky… autre indication que le vent tourne vers la divulgation de la vérité concernant la planète X.
À la mi-avril [2015], l’Agence spatiale européenne a invité des astronomes, physiciens, ingénieurs nucléaires,
mathématiciens, et même des militaires œuvrant dans la défense spatiale provenant du monde entier à une
conférence tenue dans la banlieue de Rome pour discuter du sujet d’un astéroïde frappant la Terre,
l’hypothèse proposée n’étant pas « si », mais quand. Hum, cela ressemble au scénario cataclysmique
concernant Nibiru, moins la planète interdite bien sûr.
Cette conférence de défense planétaire visant à élaborer des stratégies pour gérer collectivement les objets
géocroiseurs [ou NEO, Near-Earth Objects] plongeant vers nous en utilisant la technologie des armes spatiales
est devenue un événement annuel au cours des six dernières années. 12 700 astéroïdes ont été identifiés comme
NEO ayant des orbites dans les 121 millions de miles de notre soleil principal.
Sujet: Re: à propos de la planète X Sam 8 Oct - 15:50
Les annunakis de la planète nibiru dieux des hommes ?
Zecharia Sitchin est un auteur d'origine russe né en 1922 et décédé le 9 octobre 2010.
Zecharia Sitchin est auteur de nombreux livres dans lesquels il expose sa théorie controversée
et fondée sur les traductions qu'il aurait faites de tablettes cunéiformes de l'époque pré-babyloniennes
sur l'origine de l'Humanité, dont il attribue la création aux Annunakis, divinités sumériennes qu'il présente
comme étant des extraterrestres qui, venus sur Terre pendant la Préhistoire, auraient été divinisés par
les premiers hommes. La Mésopotamie aurait été la première colonie terrienne de ces visiteurs venus de l'espace.
Les Annunakis auraient créé l' homo sapiens en croisant leurs propres gènes avec ceux de l' homo erectus, pour ensuite l'utiliser en tant qu'esclave à l'extraction de matières premières, lesquelles eussent été nécessaires pour protéger l'atmosphère alors en danger de leur propre planète : Nibiru. On peut d'ores et déjà remarquer que l'homme partageant plus de 98% de gènes avec le chimpanzé, il en partage surement bien plus avec l'homo erectus, on peut dès alors se demander où sont donc ces fameux gènes dans notre patrimoine, ceux-ci ne témoignant pas d'une différenciation plus importante que ne le permet la spéciation des espèces.
Dans son livre, la 12e planète, il traduisit une ancienne légende, L'Épopée de la Création, découverte dans les ruines
de la bibliothèque d'Assourbanipal à Ninive. Plutôt que d'y voir des combats célestes symboliques opposant les divinités,
il décida de les interpréter comme des faits astronomiques réels, chaque divinité représentant une planète et il remarqua
qu'une planète inconnue était mentionnée en tant que Tiamat. Il explique qu'une collision de Tiamat et de Nibiru aussi
nommée Mardouk engendra la Terre et la ceinture d'astéroïde, Tiamat fut complètement détruite durant la collision.
Accomplissant une orbite elliptique Nibiru ne passerait au voisinage de la Terre que tous les 3600 ans,
causant à chaque fois d'importantes perturbations et destructions.
Ses idées interviennent dans les livres de David Icke sur la fraternité babylonienne. Contrairement à lui, Sitchin ne considère pas les Annunakis d'origine reptilienne.
Dernière édition par ClauD.31 le Mar 10 Avr - 23:38, édité 1 fois