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El-Assad : L’Occident pleure d’un œil sur le sort des réfugiés et les vise avec une arme de l’autre
2 participants
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akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: El-Assad : L’Occident pleure d’un œil sur le sort des réfugiés et les vise avec une arme de l’autre Jeu 17 Sep - 18:49
Bonsoir mes frères & sœurs A l'heure ou la propagande atlantiste bas son pleins, ou les ennemis sont diabolisé aux yeux du Charlies moyens n'ayant pas encore appris à penser par lui même. Il est justement important de ne plus se laisser dicter notre vision par la pensée unique. Regardez ici, parfois on ne sais trop pourquoi, même des personnages politiques ont un éclat de lucidité, et le disent Un élu PS belge : « Les migrants ne paieront pas vos retraites, mais vous allez payer leur chômage, leur logement et leurs mosquées »..Ce qui n'aura pas manqué de soulever un tollé de protestation set de déclaration véhémente à l'encontre du monsieur qui n'a fait que exprimer la réalité...Il est désormais devenu interdit de discuter la pensée unique, sans le risque d'être taxé de partisan d'extrême droite ou conspis (voir les deux^^). Ce qui est évident c'est que les médias participent activement à cette propagande, car il n'existe plus d'indépendance journalistique, et par définition plus de liberté de presse..Car ces dernières sont regroupée sous la houlette de lobby's qui entend protéger leurs intérêts. Bachar el-Assad reste le dernier rempart contre l'impérialisme américain et européiste, et même si il n'est pas parfait (y a-t-il seulement un homme politique idéale ?), c'est celui dont le peuple a choisi, au moyen orient ils ont besoins d'hommes fort capable de gérer les différents seigneurs de la guerres et différentes ethnies. Ce que nos dirigeants ne sont même plus capable de faire, ça joue les donneurs de leçon, mais refusent les catholiques syriens : « Des consignes gouvernementales » pour refuser l’asile aux chrétiens syriens, parce que sois disant pro régime...Ici quand on est pas pro régime du 4ème Reich de l'UE, que risquerons-nous dans un avenir proche ? Texte Akasha.
El-Assad : L’Occident pleure d’un œil sur le sort des réfugiés et les vise avec une arme de l’autre
Aux prises avec une situation extrêmement compliquée en Syrie, qui affecte toute le Moyen-Orient jusqu’en Europe, le dirigeant du pays a livré son opinion aux médias russes sur la lutte contre le terrorisme et les origines de la crise des réfugiés.
Question : Monsieur le président, tout d’abord nous tenons à vous remercier pour cette interview, de la part de RT, Rossiïskaya Gazeta, Pervy Kanal, Rossiya 24, RIA Novosti et NTV. Merci beaucoup de nous l’avoir accordée dans ce moment critique de la crise syrienne, au moment où il y a beaucoup de questions à aborder, portant sur la possible issue du processus politique de pacification, sur l’état actuel de la lutte contre Daesh et sur le statut du partenariat russo-syrien, tout comme sur l’exode massif des Syriens vers l’Europe, qui fait la une des médias européens.
Nous entrons en ce moment dans la cinquième année de la crise syrienne. Vous avez démenti toutes les prédictions des leaders occidentaux considérant votre départ comme imminent, et exercez toujours la fonction de président de la République arabe syrienne. Récemment il y a eu beaucoup de spéculations liées aux rapports indiquant que les représentants de votre gouvernement avaient rencontré des représentants de votre adversaire, l’Arabie Saoudite, d’où la supposition que le processus politique en Syrie avait franchi une nouvelle étape. Cependant, les déclarations de l’Arabie Saoudite, qui continue à insister sur votre départ, montreraient qu’au final il n’y a eu que très peu de changements, malgré l’existence d’une menace très importante de la part de groupes comme Daesh, bien au-delà des frontières syriennes.
Quelle est alors votre position concernant ce processus politique ? Que ressentez-vous à l’idée de partager le pouvoir et de travailler en commun avec ces groupes d’opposition, qui continuent de déclarer qu’il ne peut y avoir de solution politique en Syrie sans votre départ immédiat ? Vous ont-ils montré qu’ils étaient prêt à collaborer avec votre gouvernement et vous-même ? En plus de cela, dès le début de la crise syrienne, plusieurs de ces groupes exigeaient des réformes et un changement politique. Mais ce changement est-il réalisable aujourd’hui, dans les conditions actuelles, où la guerre continue et la terreur se propage en Syrie ?
Bachar el-Assad : Permettez-moi d’abord de diviser cette question. C’est une question multiple sous forme d’une seule question. Tout d’abord, à propos du processus politique. Dès que la crise a commencé, nous avons adopté une approche de dialogue. Il y a eu beaucoup de tours de ce dialogue entre les Syriens en Syrie, à Moscou, à Genève. En fait, le seul résultat vraiment tangible, était le Moscou 2 – pas le Genève, pas le Moscou 1 – et en réalité il s’agit d’un résultat partiel, incomplet, ce qui est naturel vu l’ampleur de la crise. C’est impossible d’arriver à une solution en quelques heures ou en quelques jours. C’est un pas en avant, et nous attendons le Moscou 3. Je pense que nous devons poursuivre le dialogue entre les différentes entités syriennes, entre les entités et les courants politiques, tout en combattant le terrorisme afin de trouver un accord sur l’avenir de la Syrie. C’est ce qu’on doit continuer à faire.
Si j’avance vers la dernière partie de la question – car elle est liée à celle à laquelle je suis en train de répondre – s’il est possible de réussir à atteindre quelque chose vu la prévalence du terrorisme en Syrie et en Irak et dans la région en général. Comme je l’ai dit, nous devons poursuivre le dialogue afin d’arriver à un accord, mais si on veut mettre en place quelque chose de réaliste, il est impossible de faire quoi que ce soit quand des gens sont tués, quand le sang coule sans cesse et tant que les gens ne se sentent pas en sécurité. Admettons que nous allons nous mettre ensemble – les partis ou les entités politiques – et que nous atteindrons des accords dans les domaines politique, économique, de l’éducation, de la santé, dans tous les domaines.
Comment pourrons-nous les appliquer si la priorité de chaque citoyen syrien reste sa propre sécurité ? Nous pouvons donc parvenir à un accord, mais il n’est pas possible de l’appliquer tant que le terrorisme n’est pas vaincu en Syrie. Il faut vaincre le terrorisme et pas seulement Daesh. Je parle du terrorisme, car il y a beaucoup d’organisations, surtout l’Etat Islamique et al-Nosra, qui ont été déclarées terroristes par le Conseil de sécurité. Voilà ma réponse concernant le processus politique.
Quant au partage du pouvoir, nous le partageons déjà avec une partie de l’opposition qui a été d’accord pour le partager avec nous. Il y a quelques années, ils ont rejoint le gouvernement. Bien que le partage du pouvoir soit une question qui relève de la constitution, qui est liée aux élections, surtout aux élections parlementaires, et bien évidemment à la façon dont ces entités représentent le peuple syrien – mais vu la crise, nous avons décidé de faire un pas vers eux, peu importe son efficacité.
A propos de la crise des réfugiés, je voudrais dire quelques mots concernant les accusations de la propagande occidentale, qui essaye de montrer que ces réfugiés échappent au gouvernement syrien que les occidentaux traitent de «régime» bien évidemment. Dans les faits, l’Occident pleure d’un œil sur le sort de ces réfugiés et les vise avec une mitrailleuse d’un autre œil, car ces gens ont quitté la Syrie à cause du terrorisme, surtout à cause des terroristes et des meurtres, mais aussi à cause des conséquences du terrorisme.
Quand vous faites face au terrorisme, vous voyez vos infrastructures être détruites, et vous ne parvenez plus à subvenir à vos besoins. Du coup beaucoup de gens partent, à cause du terrorisme, et parce qu’ils veulent gagner leur vie quelque part dans ce monde. Alors, l’Occident s’apitoie sur eux, ce même Occident qui soutient les terroristes depuis le début de la crise, quand il a dit que c’était un soulèvement pacifique, quand il a dit après que c’était une opposition modérée. Et maintenant, quand ils disent que s’il y a des organisations terroristes, telles que Daesh ou al-Nosra, c’est à cause de l’Etat syrien, du régime syrien ou du président syrien. Alors, tant qu’ils resteront dans cette optique propagandiste, ils auront de nouveaux réfugiés. Le souci n’est donc pas dans le fait que l’Europe ne les a pas acceptés ou gardés, le souci c’est qu’elle ne veut pas s’occuper des causes du problème.
Si leur destin vous préoccupe, arrêtez de soutenir les terroristes. C’est notre point de vue concernant cette crise. C’est au cœur de toute cette question des réfugiés.
Question : Vous avez déjà évoqué le sujet de l’opposition syrienne dans votre première réponse. Cependant, j’aimerais y revenir, puisque c’est très important pour la Russie. Qu’est-ce que doit faire l’opposition interne afin de pouvoir collaborer et coordonner les autorités syriennes, pour les appuyer dans leurs batailles ? C’est quelque chose qu’ils évoquent et qu’ils ont l’intention de faire. Aussi, quelle est votre opinion concernant les perspectives de Moscou-3 et de Genève-3 ? Seront-ils utiles à la Syrie dans le cas présent ?
Bachar el-Assad : Comme vous le savez, nous sommes en guerre contre le terrorisme, et le terrorisme est soutenu par des forces étrangères. Ce qui signifie que nous sommes en état de guerre totale. Je crois que toutes les sociétés, tous les patriotes et tous les partis qui appartiennent véritablement au peuple doivent s’unir dans la guerre contre l’ennemi, qu’il s’agisse d’un ennemi formé par des groupes terroristes domestiques ou étrangers. Si on demande aujourd’hui à n’importe quel syrien ce qu’il souhaite le plus au monde, la première chose qu’il évoquera sera la sécurité pour lui et sa famille. Ainsi, nous, en tant que forces politiques, que ces forces soit intérieures ou extérieures au gouvernement, devons nous unir autour de ce que souhaite le peuple syrien. Ce qui signifie que nous devons avant tout nous unir contre le terrorisme. C’est logique et évident. C’est pourquoi je dis que nous devons nous unir en tant que forces politiques ou gouvernementales ou en tant que groupes armés qui ont combattu contre le gouvernement, afin de pouvoir combattre le terrorisme. Et c’est exactement ce qui s’est passé : il y a actuellement des forces qui combattent le terrorisme avec l’Etat syrien, des forces qui se sont auparavant battues contre l’Etat syrien. Nous avons fait des progrès à cet égard, mais j’aimerais profiter de cette opportunité pour appeler toutes les forces à s’unir contre le terrorisme, parce que c’est le moyen d’atteindre les objectifs que nous visons, en tant que syriens, à travers le dialogue et l’action politique.
Question : Et en ce qui concerne Moscou-3 et Genève-3 : les perspectives sont-elles encourageantes ?
Bachar el-Assad : L’importance de Moscou-3 réside dans le fait qu’il prépare les bases pour Genève-3, parce que le parrainage international de Genève n’était pas neutre, alors que le parrainage russe est neutre, il n’est pas biaisé et est basé sur les lois internationales et sur les résolutions du Conseil de Sécurité. Deuxièmement, il existe des différences considérables autour de l’article qui traite du gouvernement de transition dans la déclaration de Genève. Moscou-3 doit permettre de résoudre ces problèmes entres les différents partis syriens. Et lorsque nous arriverons à Genève-3, on aura la certitude d’un consensus syrien qui lui permettra de devenir une réussite. Nous croyons qu’il sera difficile pour Genève-3 de réussir à moins que Moscou-3 ne soit déjà un succès. C’est pourquoi nous souhaitons avoir ce tour de négociations à Moscou une fois que tout est prêt du côté des officiels russes.
Question : Je voudrais continuer avec une question sur la coopération internationale afin de résoudre la crise syrienne. A cet égard, après le règlement de la question nucléaire iranienne, il est évident que l’Iran jouera un rôle plus actif dans les affaires régionales. Dans ce contexte, comment évaluez-vous les initiatives iraniennes récentes quant à l’atteinte d’un accord sur la situation en Syrie ? Et, en général, quelle importance donnez-vous au support de Téhéran, y a-t-il un support militaire ?
Bachar el-Assad : Actuellement, il n’y a aucune initiative iranienne. Il y a des idées ou des principes pour une initiative iranienne basée principalement sur la souveraineté de la Syrie, la décision des Syriens et sur la lutte contre le terrorisme. Les rapports entre la Syrie et l’Iran sont anciens. Ils ont plus de 35 ans. Il s’agit d’une alliance basée sur un haut degré de confiance. C’ est pourquoi nous croyons que le rôle de l’Iran est important. L’Iran supporte la Syrie et le peuple syrien. Il est solidaire sur le plan politique, économique et militaire avec l’Etat syrien. Quand nous disons militaire, cela ne signifie pas, comme certains le prétendent dans les médias occidentaux, que l’Iran a envoyé une armée ou des forces armées en Syrie. Ce n’est pas vrai. Il nous envoient de l’équipement militaire, et bien sûr, il y a des échanges entre les experts militaires de Syrie et d’Iran. Cela a toujours été le cas, et c’est normal que cette coopération entre deux pays en situation de guerre se renforce. Oui, le soutien constant de l’Iran était essentiel dans cette guerre difficile et féroce.
Alors que vous pouvez retrouver l'intégralité (voir intitulé du sujet) de l'échange sur notre site, nous vous avons préparé un résumé avec l'essentiel en 7 points clés.
Sur Daesh
« Ils représentent la troisième phase de la politique et du poison idéologique de l'Occident. L'État islamique est destiné à parachever ses objectifs politiques. Les Frères musulmans, au tournant du siècle dernier, constituaient une première phase. La deuxième a pris place avec Al-Qaïda luttant contre l'Union Soviétique en Afghanistan. Daesh, le front Al-Nosra et tous ces groupes extrémistes représentent la troisième phase. Qui sont les terroristes de l'Etat Islamique ? De tous ces groupes ? Ils sont simplement des extrémistes produits par l'Occident. »
La carte de la présence de Daesh dans le monde
Sur la crise des migrants
« Bien sûr que l'Europe est coupable. Elle est responsable parce qu'elle supporte le terrorisme comme je l'ai déjà dit à plusieurs reprises. Et elle continue de le faire et de couvrir les extrémistes. L'Europe continue de les appeler des modérés. Tous ces groupes présents en Syrie sont des extrémistes. »
Sur la coopération avec les États-Unis
« Il n'y a pas le moindre contact ou la moindre coordination entre le gouvernement syrien et son homologue américain ni entre nos deux armées. Et tout cela parce qu'ils ne peuvent avouer, ne peuvent accepter que nous sommes la seule force capable de se battre contre l'État islamique sur le terrain. »
Sur les pourparlers de paix
« Le seul vrai pas concret a été réalisé durant la conférence Moscou 2 et pas à Genève ni durant Moscou 1. Et ce n'est qu'une étape parmi tant d'autres. Il n'y a pas eu de grandes avancées. C'est normal, c'est une crise d'une grande importance. Vous ne pouvez pas trouver de solutions en quelques heures ou même en quelques jours. Nous attendons le prochain pallier qui sera la conférence Moscou 3. »
Sur sa vision de la politique
« La mission principale de chaque politique ou gouvernement, président, Premier ministre, peu importe, c'est de travailler dans l'intérêt de son peuple et de son pays. Si une réunion ou une poignée de main avec qui que ce soit dans le monde peuvent être bénéfiques pour mon peuple, alors je dois le faire. Que cela me plaise ou non. Donc ce n'est pas à propos de moi, de ce que j'accepte ou de ce qui me plaît. C'est à propos d'agir dans l'intérêt supérieur de mon peuple et de mon pays. Alors oui, je suis prêt à faire n'importe quoi qui profite aux Syriens. »
Sur l'Occident
« Tant que je serai à la tête du pays, ils continueront à supporter le terrorisme parce que leur objectif principal en Syrie et dans d'autres pays est de changer les présidents, les États ou comme ils disent, abattre les régimes. Pourquoi ? Parce qu'ils n'acceptent pas les partenaires et les nations indépendantes. Quel est leur problème avec la Russie ? Avec la Syrie ? Qu'ont-ils contre l'Iran ? Vous remarquerez qu'il s'agit là de trois pays indépendants. Ils veulent que certains dirigeants partent pour les remplacer par des individus qui agissent dans leurs intérêts et non dans celui de leurs peuples. »
Sur ses erreurs
« Dans chaque État des erreurs sont commises tous les jours. Mais elles ne justifient pas ce qui est arrivé. Si ces fautes sont la cause de tout cela, pourquoi ils n'encouragent pas les révolutions dans les États du Golfe, particulièrement en Arabie Saoudite qui ne connaît absolument rien de la démocratie ? Je pense que la réponse est évidente. »
Sujet: Re: El-Assad : L’Occident pleure d’un œil sur le sort des réfugiés et les vise avec une arme de l’autre Jeu 17 Sep - 20:48
lut , jai lu cette article hier sur assad , er il i a 20 mn je tombe sur une serie de photo su les heur en hongrie , regarder a droite ce policier armer d un fusil a pompe braquer sur l homme portant sa petite fille
bon lebergeur marche pas je re avec le lien
set7 Membre Actif
Messages : 32 Date d'inscription : 14/06/2015
Sujet: Re: El-Assad : L’Occident pleure d’un œil sur le sort des réfugiés et les vise avec une arme de l’autre Jeu 17 Sep - 20:54
Sujet: Re: El-Assad : L’Occident pleure d’un œil sur le sort des réfugiés et les vise avec une arme de l’autre Ven 18 Sep - 1:28
ouiiiiiii , merci meme charger avec des balles en silicone c est mortel a cette distance ,er en plus il braque le pere er ca fille (desoler mon pc ma conect mes touch de clavier ecttt tout decone sur mon pc ) merci encore bonne nuit
set7 Membre Actif
Messages : 32 Date d'inscription : 14/06/2015
Sujet: Re: El-Assad : L’Occident pleure d’un œil sur le sort des réfugiés et les vise avec une arme de l’autre Ven 18 Sep - 1:31
un peu d humour a gauche de l image c est daniel combendit qui fui avec les migrans lol ji go desoler bye
j ai retracer la vraie scene , donc cest bien dani la pointe poursuivie par le gign pour une sombre affaire de pedo humhum , lenflure de dani cest planquer parmi les migran er le tipe au fusil braque dani logique non
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: El-Assad : L’Occident pleure d’un œil sur le sort des réfugiés et les vise avec une arme de l’autre Lun 21 Sep - 12:36
(2 vidéos) Un Autre Regard sur la Syrie
Merci à Vincent Parlier pour la réalisation de la première vidéo (et pour le lien vers la seconde). Je ne cesse de saluer la valeur non seulement morale, mais pédagogique de ce genre de « travail bénévole ». Nous sommes aujourd’hui avec la crise syrienne au coeur d’une situation qui peut très facilement glisser vers quelque chose de beaucoup plus grave. Or la « mise en perspective », le rappel des faits et actions passés qui ont amenés à la situation actuelle est plus qu’importante ! On devine une intention sournoise dans le « camp du bien » visant à encourager une certaine forme d’amnésie… « Non, non ! C’est du passé, maintenant la situation est comme ça, qu’est-ce qu’on fait ?! Arrêtez de nous parler des causes, ce n’est plus d’actualité ! » Or il n’y a rien de plus actuel et important, que le fait de rendre les mensonges et manipulations passés VISIBLES pour tous ! On doit comprendre à qui on à a faire… les « maîtres du chaos » doivent être déshabillés systématiquement, et le plus rapidement possible, dans les moindres de leurs boniments. Les masses ne lisent presque plus, c’est pourquoi ce genre de vidéos peuvent avoir un impact d’autant plus grand et qu’elles doivent circuler le plus largement possible…