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C'est la Russie qui nous a libéré du nazisme, fait historique occulté pour cause de propagande...
2 participants
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akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: C'est la Russie qui nous a libéré du nazisme, fait historique occulté pour cause de propagande... Dim 10 Mai - 12:52
Bonjour mes frères & sœurs Il y a l'histoire officielle et la vraie histoire..Alors que le 8 mai on fêtait en grande pompe la libération dédiée en grande partie aux américains, la vérité historique en est tout autres...Sans la Russie, on aurait sans doute jamais gagné, du moins pas aussi "rapidement" le conflit se serait prolongé et aurait été encore plus meurtrier ! Cette grande victoire fut occulté par l'influence américaine et le parfum de guerre froide qui s'en suivit.Et qui continue pour les mêmes raison, l'occident ne veut pas.. ne peut pas, rendre hommage à un ennemis potentiel. Encore pour cette commémoration elle aura été boycotter.Ainsi Hollande ne s'y est pas rendu, sous prétexte de ne pas cautionné la démonstration de force...Mais de qui se moque t-on ? il le fait constamment envers les américain ! Avec les forces de l'OTAN qui encercle la Russie, ou les parades militaires au frontières de la Lituanie, et bien sûr l'appuis inconditionnel au régime nazis d'Ukraine, un beau paradoxe ! Sans compter les mensonges éhonté des merdias et leur titres propagandistes sur la commémoration du côté russe, ou ils occultent la vérité et calomnie les russes pour redoré le blason des américains et leur vassaux... les gens sont amnésiques et surtout bien ingrat..Donc un moment donné il faut vraiment arrêter de prendre les gens pour des billes...Le pire c'est que ça marche vu l'ignorance de la plupart des gens...Donc j'ai à cœur de remettre l'église au milieu du village et de rendre hommage à qui de droit et de rétablir la vérité historique ! Akasha
Pourquoi les USA n'ont pas gagné la 2ème Guerre Mondiale
Les nombreuses tentatives de réécriture de l'histoire commencent à porter leurs fruits. Je ne parle pas des déclarations ridicules de Yatséniuk affirmant à la télévision allemande que l'Ukraine comme l'Allemagne a été victime de la Russie lors de la Deuxième guerre mondiale. Quoi que, avec la glorification des soldats collaborationnistes de l'UPA, il ne s'agissait peut être pas d'un lapsus. Il s'agit en fait d'un long travail de sape qui veut faire, dans l'idée des habitants en Europe, des Etats Unis l'armée qui a permis de faire tomber le IIIe Reich tout en accusant la Russie de vouloir "privatiser la victoire". A la veille des commémorations de mai, voyons un peu ce qu'il en est des faits
Selon un sondage récent fait par l'institut britannique ICM Research dans trois pays, la France, l'Allemagne et l'Angleterre, la majorité de la population pense que ce sont les américains qui ont gagné la guerre. Pour être plus exacte, 61% des français et 52% des allemands interrogés. 46% des anglais pensent que c'est l'Angleterre qui a joué un rôle déterminant et 16% pensent à l'armée américaine. En général, 43% des personnes interrogées dans ces trois pays pensent que c'est l'armée américaine qui a joué un rôle décisif dans la guerre, 13% le reconnaisse à l'armée soviétique. Plus précisément, 8% des français, 13% des anglais et 17% des allemands considèrent que l'armée rouge a joué un rôle décisif. Ce qui est effarant est que, en moyenne, 20% des personnes interrogées n'ont pas pu répondre à la question.
Qu'est-ce que cela signifie?
Tout d'abord, pour une grade partie de la population, il est évident que la Seconde guerre mondiale est dans un passé très lointain qui ne les concerne pas. Ce qui peut aussi expliquer la remonté de l'extrémisme en Europe et notamment en Ukraine dans l'indifférence la plus totale : les gens ne faisant plus attention à l'histoire, on peut la réécrire pour eux et, par exemple, présenter les soldats ukrainiens de l'UPA, des nazis sanguinaires, comme de gentils combattants pour l'indépendance contre le grand monstre moscovite.
Il est également évident que Hollywood a bien fait son travail. L'armée américaine y gagne toutes les batailles qu'elle perd sur le terrain, comme ce fut le cas aussi pour la guerre du Vietnam, mais peu importe, l'image s'incruste dans les têtes modernes qui préfèrent regarder un film et internet plutôt que d'ouvrir un ouvrage historique, trop compliqué. Et si l'URSS, et ensuite la Russie, ont fait d'excellents films sur la guerre, ils ne peuvent pas accéder aux salles de cinéma de l'Europe libre.
La guerre en chiffres
D'une manière générale, on compte pour l'Union soviétique la perte de 26 millions 600 milles hommes, soldats et civils confondus. 34 476 700 hommes ont participé aux combats. 1710 villes ont été détruites, plus de 70 000 villages, plus de 32 000 usines etc.
En ce qui concerne l'Allemagne, de juin 1941 à juillet 1945, 6,5 millions d'hommes ont été soit tué, soit blessés, soit ont disparu. Rien qu'en l'été 1941, quand l'Union soviétique est entrée en guerre, l'Allemagne a perdu 742 milles soldats, alors que depuis 1939, lors des combats contre Pologne, France, Angleterre, Belgique, Hollande, Danemark, pays baltes, elle n'avait perdu que 418 805 soldats.
Pour leur part, les États Unis ont mobilisé 16 112 566 soldats, il y eut 405 399 morts, 652 000 blessés et 140 000 disparus.
Maintenant quelques chiffres permettant d'apprécier l'aspect technique - quantité d'armes utilisées par pays en milliers :
Les pertes financières :
Et pour en finir avec le rôle décisif de l'armée américaine dans la victoire contre l'Allemagne nazie, rappelons que si les Etats Unis sont entrés en guerre, dans le Pacifique, en décembre 1941, ils ne sont intervenus sur le front européen qu'en juin 1944 quand l'armée soviétique reprenait le contrôle. A aucun prix, les Etats Unis ne pouvaient, pour des raisons politiques évidentes, laisser l'armée rouge libérer l'Europe seule, sinon ils la perdaient et perdaient par là même tous les gains financiers et politiques qu'ils pouvaient retirer de cette guerre.
Sur le territoire européen, l'armée américaine est intervenue en France (surtout en Normandie), Italie, Allemagne, Hollande, Belgique et Luxembourg.
Rappelons également que l'armée soviétique, seule, a libéré plus de 50% du territoire des pays européens, sans compter évidemment la partie européenne de son propre territoire, ce qui correspond à la libération de plus de 120 millions de personnes sur 16 pays aujourd'hui indépendants. Pour la libération de 6 autres pays, l'armée rouge est intervenue en coopération avec les alliés.
Dans ce contexte, la démarche des États Unis faisant pression sur les dirigeants européens, notamment, pour ne pas assister à la grande parade à Moscou en l'honneur de la date anniversaire des 70 ans de la victoire sur le nazisme sonne le glas de l'entente d'après guerre visant à ne pas privatiser la victoire. Il s'agit d'une tentative éhontée de finir la réécriture de l'histoire, de l'officialiser en quelque sorte. S'ils assistent à Moscou à la Parade, dans ce cas ils reconnaissent le rôle décisif de l'Union soviétique, ce qui fut toujours le cas jusqu'à aujourd'hui. Or, maintenant, le nouvel ordre du monde ne peut le tolérer. Et les pays, notamment, européens doivent s'aligner.
Et l'on entre dans un monde étrange, à la fois virtuel et réel, où les États Unis auraient gagné la guerre. Non pas seuls, en fin pas tout à fait, avec l'aide des européens, même des soldats de l'UPA s'il le faut, peu importe car c'est essentiellement grâce à l'effort de guerre américain. Point, la discussion est close si tant est qu'elle ait eu lieu. Et donc il ne faut pas assister à la Parade à Moscou, car finalement c'est tout juste si la Russie était un allié. Et ça marche, car l'Europe se plie encore une fois devant l'agresseur, encore une fois elle rend les armes au lieu de se battre.
Un dernier détail : en Russie la Seconde Guerre Mondiale s'appelle la Grande Guerre Patriotique car c'est tout le peuple qui s'est levé contre l'agresseur nazi, tant il était inacceptable de perdre sa terre, sa patrie. Car ils n'attendaient pas que d'autres viennent les libérer, ils ne négociaient pas la survie des monuments historiques de la ville au prix du renoncement des habitants à eux-mêmes. Ils ont souffert, mais debout. Et aujourd'hui aussi ils sont debout.
Cérémonie russe: «Affront», «honte»... L'absence de Hollande à Moscou critiquée de Mélenchon à Philippot
25 CONTRIBUTIONSRÉAGISSEZ À CET ARTICLE 716230 IMPRIMERENVOYER Jean-Luc Mélenchon, le 21 mars 2015. Jean-Luc Mélenchon, le 21 mars 2015. - NICOLAS MESSYASZ/SIPA M.G. avec AFP Publié le 09.05.2015 à 21:24 Mis à jour le 09.05.2015 à 21:24 MOTS-CLÉS François Hollande, Jean-Luc Mélenchon, Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan, Russie Ça ne passe pas. L'absence du président François Hollande aux cérémonies de commémoration du 70e anniversaire de la victoire de la Russie sur les nazis, organisées ce samedi à Moscou, a été vivement critiquée par certains politiques. Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche): «L'absence de Hollande est un affront diplomatique autant qu'historique. J'appelle cela par son nom: c'est une honte. Je souffre pour mon pays qui donne à voir un visage insupportable de sectarisme (...) Elle est d'autant plus incompréhensible que Vladimir Poutine avait assisté aux commémorations du 70e anniversaire du Débarquement en Normandie en 2014, à l'invitation du même Hollande. Il a donc la mémoire courte», écrit-il sur son blog.(...) Lire la suite sur 20Minutes.fr
La bataille de Koursk, l'authentique histoire de cette bataille - Documentaire
La bataille de Koursk constitue la plus grande bataille de chars de l'histoire. Elle oppose du 5 juillet au 23 août 1943 les forces allemandes aux forces soviétiques sur un immense saillant de 23 000 km2 situé au sud-ouest de la Russie, à la limite de l'Ukraine, entre Orel au nord et Belgorod au sud. C'est l'une des batailles qui ont déterminé l'issue de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Alors qu'il est communément admis que la bataille de Stalingrad représente le véritable tournant de la Seconde Guerre mondiale en Europe, le « début de la fin » pour la Wehrmacht et la mise en route de l'avancée irrésistible du « rouleau-compresseur » soviétique jusqu'à Berlin, la bataille de Koursk n'est perçue comme un tournant dans le conflit qu'à partir des années 1950, alors que Khrouchtchev, membre du conseil de guerre du front du Voronetz pendant la bataille, exerce une certain nombre de responsabilités en URSS. De plus, cette bataille nuance la thèse du rouleau compresseur soviétique jusqu'à Berlin : le premier semestre de l'année 1943 constitue en fait sur le front russe une phase d'équilibre, de récupération et de préparation à l'ultime tentative du Troisième Reich de reprendre l'initiative contre l'Armée rouge après ses échecs successifs devant Moscou et Stalingrad. Pour le haut-commandement (Oberkommando der Wehrmacht), son nom de code est opération Zitadelle. Elle va se solder par un nouvel échec pour le Reich. Trois armées allemandes regroupant 900 000 hommes soit 50 divisions dont 19 blindées et motorisées (plus 20 divisions de réserve), 10 000 canons et mortiers, plus de 2 000 avions et 2 700 chars5 se lancent à l'assaut de deux armées blindées soviétiques épaulées de 4 corps blindés de 3 300 chars et d'une armée d'infanterie regroupant 1,337 million d'hommes, 19 300 canons et mortiers ; soit 2 millions de combattants sur un front long de 270 km. Le Reich y engage 2 000 avions dont les 1 800 avions des 4e et 6e flottes aériennes et plus de 50 % de ses blindés disponibles. Le Général Erfurth ira même jusqu'à déclarer que « tout le potentiel offensif que l'Allemagne avait pu rassembler fut jeté dans l'opération Citadelle. ». Bien qu'y ayant engagé l'essentiel et le meilleur de ses forces disponibles, la Wehrmacht se heurte à une défense soviétique solide, bien organisée et opiniâtre qu'elle ne parvient pas à percer malgré l'ampleur considérable des moyens engagés ; elle subit de lourdes pertes. L'Armée rouge, malgré des pertes encore plus importantes, dispose de réserves stratégiques et lance deux contre-offensives de part et d'autre du saillant de Koursk, l'opération Koutouzov et l'opération Rumyantsev. Ces contre-attaques rejettent la Wehrmacht sur ses lignes de départ et permettent la libération de deux villes stratégiquement importantes, Orel et Kharkov. Comme il était prévisible, l'issue de cet affrontement gigantesque fut exagérée par la suite par la propagande soviétique et minorée par la propagande nazie, entre autres. Après cette défaite, la Wehrmacht ne parvint plus jamais à reprendre l'offensive sur le front russe. Elle subit dès lors une poussée continue, parsemée de défaites successives, qui allait conduire à la libération du territoire soviétique de l'occupation nazie, à la traversée de la Pologne par l'Armée rouge et enfin à la conquête de Berlin. Mais après cette bataille, fin août 1943, il apparaît que l'Allemagne a probablement déjà perdu la Seconde Guerre mondiale.
La bataille de Stalingrad - Documentaire complet
La bataille de Stalingrad fut la 1ère défaite du IIIe Reich. Elle marqua un tournant de la 2nde guerre mondiale.
La férocité des combats, l'acharnement des défenseurs, les souffrances endurées par les combattants allemands mourant de froid et de faim sont incompréhensibles si l'on ignore les enjeux de cette bataille et le déroulement inéluctable du scénario.
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: C'est la Russie qui nous a libéré du nazisme, fait historique occulté pour cause de propagande... Lun 11 Mai - 20:00
[L'enseignement de l'ignorance] Quelle est la nation qui a le plus contribué à la défaite de l’Allemagne en 1945 ?
J’ai découvert incidemment en commentaire (merci encore d’enrichir autant cet espace de discussion d’ailleurs), une très intéressante étude de l’Ifop (Institut français d’opinion publique). Je ne savais pas que cet institut de sondage était le plus ancien du pays, et surtout qu’il avait été créé en 1938 – et donc qu’il avait réalisé des sondages forts intéressants dans la période 1938-1945 dont, hélas, beaucoup ont été détruits par son fondateur Jean Stoetzel lors de l’occupation.
On apprend ainsi deux choses intéressantes.
Les accords de Munich
“À la suite de la signature des accords de Munich le 29 septembre 1938 par la France, la Grande- Bretagne, l’Italie et l’Allemagne, Jean Stoetzel réalise le tout premier sondage politique : 57 % des personnes interrogées déclarent approuver ces accords tandis que 37 % les jugent néfastes. [...]
Les autres questions posées dans cette enquête apportent des éléments de compréhension sur l’état d’esprit d’un peuple pris entre deux tensions qui s’avèreront contradictoires. D’un côté, figure la crainte d’un nouvel embrasement mondial, vingt ans seulement après la fin de la Grande Guerre, qui explique cette recherche du compromis avec l’Allemagne nazie et pour finir le « lâche soulagement » après Munich. Pour 73 % des personnes interrogées, une nouvelle guerre mondiale entraînerait la destruction de la civilisation.
De l’autre côté, le sondage de l’Ifop montre que le renoncement de Munich s’accompagne désormais de fortes résolutions pour l’avenir. A la question « pensez-vous que la France et l’Angleterre doivent désormais résister à toute nouvelle exigence de Hitler, 70 % des Français répondent oui, 17 % manifestent leur opposition. Cette adhésion à l’idée que Munich doit être une sorte de « der des der » face à la politique d’expansion du Führer est majoritaire dans tous les segments de la population, à l’exception des professions libérales ainsi que des commerçants et des industriels interrogés rejetant à plus des deux tiers l’idée qu’il faut résister à toute nouvelle exigence allemande. [...]
Pour autant, même après l’invasion allemande de la Bohème-Moravie, les Français, tout en prenant la mesure des menaces extérieures, refusent dans leur majorité de croire à la guerre. Seuls 37 % des personnes interrogées par l’Ifop en mai 1939 estiment que le pays sera inévitablement entraîné dans une guerre en 1939 ou en 1940 (63 % ne le pensent pas ou se disent sans opinion). Ce n’est qu’en juillet 1939 soit moins de 40 jours avant l’invasion de la Pologne par l’armée allemande et la déclaration de guerre de la France et de la Grande-Bretagne à l’Allemagne que l’on assiste à un basculement relatif de l’opinion : 45 % des interviewés (contre 34 %) pronostiquent une guerre dès 1939.
76 % considèrent que « si l’Allemagne tente de s’emparer de la ville libre de Dantzig par la force, nous devrons l’en empêcher au besoin par la force ». L’opinion était désormais prête à mourir pour Dantzig.”
Qui a le plus aidé à battre l’Allemagne ?
Un sondage mené par l’Ifop en mai 1945, sur l’ensemble du territoire français désormais libéré (et confirmant un sondage de septembre 1944 auprès des Parisiens), a montré que les interviewés apparaissent bien conscients du rapport de force et du rôle des alliés dans la guerre, et ce malgré la censure et la difficulté sous l’occupation à accéder à une information fiable.
Ainsi, une
très nette majorité (57 %) considèrent que l’URSS est la nation qui a le plus contribué à la défaite allemande
alors que les États-Unis et l’Angleterre, pourtant libérateurs du territoire national, ne recueillent respectivement que 20 % et 12 %.
Mais ce qui est proprement sidérant est que cette vision de l’opinion publique
s’est inversée de manière très spectaculaire avec le temps,
comme l’ont montré deux sondages réalisés en 1994, en 2004 et en mai 2015 :
C’est tout de même formidable : en 1945, les Français qui ont vécu sous la censure ont bien compris qui a vraiment battu l’Allemagne, mais 70 ans plus tard, c’est une Histoire totalement différente qui est dans nos esprits !
Le sondeur britannique ICM a réalisé le même sondage en 2015 dans plusieurs pays d’Europe. Voici le résultat :
Interpellant sur la notion d’Histoire, non ?
“Les vainqueurs sont ceux qui écrivent l’Histoire. C’est celle-là qui est rédigée dans nos livres d’école, pas la vraie Histoire telle qu’elle s’est déroulée, mais une Histoire qui caresse le camp des gagnants. L’Histoire a cessé, depuis longtemps d’être la somme des humanités aujourd’hui elle n’appartient qu’à une poignée d’individus.” [Maxime Chattam, Les arcanes du chaos]
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: C'est la Russie qui nous a libéré du nazisme, fait historique occulté pour cause de propagande... Jeu 14 Mai - 3:23
.....
Dernière édition par orné le Jeu 14 Mai - 3:27, édité 1 fois
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: C'est la Russie qui nous a libéré du nazisme, fait historique occulté pour cause de propagande... Jeu 14 Mai - 3:26
Bonsoir mes frères & sœurs je vous se reportage, qui nous montre une fois de plus comment les Etats-Unis procèdent
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