Bienvenue sur le Nouveau Monde,
Visitez le forum à votre envie, connectez-vous ou inscrivez-vous en cliquant sur l’icône ci-dessous !
En vous souhaitant une bonne navigation, l'Administration.
Novi Orbis - Le Nouveau Monde
Bienvenue sur le Nouveau Monde,
Visitez le forum à votre envie, connectez-vous ou inscrivez-vous en cliquant sur l’icône ci-dessous !
En vous souhaitant une bonne navigation, l'Administration.
Novi Orbis - Le Nouveau Monde
site d'information sur la géopolitique, la nature, la science, la spiritualité, l'ésotérisme et les Ovnis.
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Mer 22 Juil - 2:24
Bonsoir mes frères & sœurs J'ouvre se nouveau sujet qui aura pour but de rassembler les informations concernant le conflit entre Israël et la Palestine. Ce grand pays qui est en occupation depuis plus de 60 ans. Un pays qui a subit tant et tant de souffrance et d'injustice. Victime des intérêts des sionistes et leurs complices. De la désinformation. Mais les palestiniens, ce grand peuple, jamais ils ne courberont l'échine, et se battront avec leurs moyens jusqu'au bout face à l'occupant qui n'hésitent pas à tuer, torturé, emprisonner de façon arbitraire des civiles (femmes et enfants comprit). Israël est une nation voyou qui devrait être jugé pour crime de guerre, mais ils sont couvert par les Etats-Unis et l'OTAN..Ils ne respectent même pas les droits de l'homme...Et les médias se rendent coupable de donner une tribune à des pro-sionistes, et calomnient les défenseurs de la cause Palestinienne en les taxant injustement (pour le plus souvent) d'antisémite...Or le peuple sémite (Sem) sont les habitants des terre palestiniennes, donc en clair les palestiniens sont sémites, vous comprenez ? Plus fort, n’oublions pas que plus de 90% des juifs d’Israël ne sont pas de vrais autochtones, c-a-d qu'ils ne sont pas les descendants direct des 12 tributs d’Israël ! Se sont pour la plus part des ashkénazes d'origine Khazar ! se qui en font des émigrés colonisateurs ! Leur diaspora ne tient pas la route... N'oublions pas non plus la persécution des séfarades par les juifs dans les années 50, se qui fait que les juifs sont les plus grand antisémites de l'histoire ! Savez-vous aussi que se sont les juifs qui les 1er on perpétré des attentats ? Se sont même eux qui ont inventé les attentats dans les bus ! Il est donc temps d'un peu faire preuve de discernement quand à se conflit qui a tant et tant fait de victime des deux côté, car je n'oublie pas que le peuple juif souffrent aussi des exactions des sionistes...Beaucoup de juifs condamnent le sionisme, ne l'oublions pas.
Compilation d'extraits du Talmud dignes des heures les plus sombres de l'univers intersidéral^^
LA DÉCLARATION BALFOUR
Connaissez-vous Benjamin Freedman et son discours en 1961 sur le sionisme
Aujourd’hui je vous propose le Discours donné en 1961 par Benjamin H. Freedman au nom d’un magazine de l’époque Common Sens à l’hôtel Willard de Washington DC.
Benjamin Freedman est né en 1890 de parents juifs. Il devint un homme d’affaire new-yorkais réputé au point d’être le principal propriétaire de la Woodbury Soap Company. Il rompit avec le sionisme international à la fin de la deuxième guerre mondiale, puis a passé le restant de sa vie à exposer les faits de l’influence sioniste en Amérique ; dépensant pour cela plus de $ 2.5 millions de sa propre poche. Lire la suite sur Planète Révélations
Il faut aussi oser parler des acointances qu'ils existaient entre le 3ème Reich et les sionistes :
Le Sionisme et le Troisième Reich
Comme je vous disais dans un article précédent, 2013 est l’année des révélations.
Fini les manipulations et les mensonges des médias, politiciens et autres vendus.
Le peuple veut les vérités !
N’oubliez jamais : Nous sommes responsables de nos actes et aussi de la mémoire collective.
A lire aussi sur PR mon analyse sur la conquête sioniste, les enjeux et leur but finale ça se passe ici
Texte et mise en page par Akasha
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Mer 22 Juil - 2:39
Bonsoir mes frères & sœurs Voici la fin d'une terrible histoire qui à l'époque, j'avais relaté sur Planète Révélation. Je me souviens aussi d'avoir été diffamé et traité de menteuse et de distiller de la désinformation, que c'était un HOAX, et ce par plusieurs membres...Eh oui, ils ne tenaient même pas compte du sort des pauvres petites victimes de se fou...C'est là qu'on voient à quel point la propagande médiatique fonctionne sur la masse, vu qu'ils font passer Tsahal pour des saints..L'armée la plus morale du monde disait l'autre....C'est donc avec un plaisir non dissimulé que je vous donne l'info et qui démontre que j'avais raison une fois de plus, voyez plutôt.
30 jours de prison pour le soldat de Tsahal tueur d’enfants
Il s’était vanté sur les réseaux sociaux d’avoir tué 13 enfants palestiniens en une journée, une photo de lui avec un fusil de tireur d’élite entre les mains à l’appui.
Plusieurs dizaines de sites d’information, dont Quenel+, avaient relayé cet acte aussi moral que sain. Ceci étant dit, aucun d’entre eux ne disposait de détails supplémentaires concernant cet incident, faute d’avoir un rapport étroit avec la source de CounterCurrentNews, une femme palestinienne qui se nomme Sherrii El Kaderi. Certains en ont donc profité pour prétendre qu’il s’agissait d’un mensonge, et que le soldat en question n’avait d’ailleurs jamais publié ce commentaire haineux.
Mme El Kaderi s’est quant à elle évertuée à confirmer que la publication en question, de l’œuvre du soldat Ovadia du corps de l’ingénierie militaire de Tsahal, était bien réelle. Ovadia posait avec un fusil de tireur d’élite Barrett calibre .50 dans une photo, et s’en prenait avec virulence à cette femme palestinienne. Une capture d’écran qui a fait le tour du monde.
CounterCurrentNews l’avait déclaré dès le début : il n’était pas tout à fait certain que le modèle Barrett ait été utilisé pour commettre ce genre de crimes, étant donné qu’il s’agit d’une arme habituellement réservée aux tireurs d’élite les plus expérimentés. Mais cette image publiée par Ovadia avait clairement pour objectif d’intimider les Palestiniens.
Puisque de nombreux médias israéliens, iraniens, européens et presque tous les autres médias du monde (à part les médias étasuniens… sauf l’International Business Times) ont pris cette information au sérieux, Tsahal a débuté une enquête interne. Ovadia a tout d’abord affirmé que son compte Instagram avait été piraté. Une affirmation que de nombreux défenseurs de Tsahal et de son incursion à Gaza ont rapidement repris en chœur, et qui pouvait tenir la route puisque le groupe d’hacktivistes Anonymous avait piraté son compte et l’avait effacé intégralement à la suite de la publication initiale concernant cet incident.
Ovadia pensait s’en être tiré à bon compte. En quelques heures, des régiments entiers de « debunkers » [ndQ+ : lire trolls pro-sionistes] ont envahi les réseaux sociaux pour affirmer qu’il s’agissait d’un « hoax ». Mais pour les enquêteurs au sein de Tsahal, quelque chose ne tournait toujours pas rond dans les déclarations d’Ovadia. L’interrogatoire a par la suite permis de mettre en évidence un certain nombre de contradictions et de mensonges. Ovadia a fini par admettre avoir publié ce commentaire, et l’avoir effacé en toute hâte lorsqu’il s’est rendu compte qu’il risquait d’avoir de sérieux ennuis en raison de ses commentaires emplis de haine.
Il y a quelques jours, Tsahal a annoncé que le soldat Ovadia était condamné à une peine de prison de 30 jours. Selon eux, il n’a pas réellement tué 13 enfants, mais l’a simplement affirmé pour terroriser et harceler les Palestiniens sur les réseaux sociaux. Comme le suspectait CCN, le soldat Ovadia n’était même pas qualifié pour utiliser l’arme de calibre .50. Il avait juste utilisé une photo pour avoir l’air plus impressionnant.
Il a ainsi admis son tort, mais entre-temps, le groupe Anonymous a piraté des sites du renseignement israélien (Mossad) avec un message éloquent : « En l’honneur du valeureux sniper de Tsahal ». Une référence ironique à Ovadia. Anonymous avait également attaqué le site Internet du ministère israélien de la Défense en réponse aux commentaires publiés par Ovadia sur le Net.
Cependant, certaines personnes croient encore qu’il s’agit d’une invention, bien que tous les journaux nationaux israéliens en aient fait leur une dernièrement. Ce n’était donc pas un mensonge, bien au contraire. Cette histoire a fait l’objet d’une enquête, les zones d’ombre ont été éclairées, les faits sont avérés, et Ovadia va purger une (trop légère) peine de prison.
Remarque Akasha : En espérant que cela fasse jurisprudence, malgré la légerété du jugement. Mais ne faisons pas la fine bouche c'est un bon début Car ici cela resemble plus à une opération de communication...
orné Modérateur
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Lun 3 Aoû - 9:14
Bébé palestinien brûlé vif : c’est la cause palestinienne qui doit vaincre, pas l’émotion
Depuis que la triste nouvelle est tombée, même les médias de masse internationaux ont relayé ces faits horribles et abjects. Pourtant, des faits similaires se produisent très régulièrement en Palestine occupée.
Plus le temps passe, et plus la rédaction de Quenel+ estime que relayer ce type d’information doit être fait de la bonne façon. En soi, expliquer qu’un bébé de 18 mois a été consumé par les flammes d’un objet incendiaire lancé par un colon israélien, et que son petit cœur a cessé de battre après une souffrance que l’on imagine atroce, c’est cru et cela ne peut qu’engendrer de la colère. Légitime certes, mais seule, elle n’a aucune chance de vaincre. Il faut transformer cette énergie négative en énergie positive : soutenir la cause palestinienne concrètement. Financez des projets humanitaires et des militants palestiniens ou pro-palestiniens confirmés.
Il convient toutefois bien évidemment de relayer les exactions commises par l’entité sioniste en Palestine occupée afin d’apporter toujours plus d’arguments aux personnes qui, aujourd’hui encore et malgré la liste toujours plus longue de faits à charge, boivent à grandes gorgées le mensonge selon lequel Israël ne fait que se défendre.
Ces personnes sont en général :
-Des mougeons encore dans la matrice, désinformés et parfois même islamophobes ou arabophobes, qui par association cognitive hasardeuse (amalgame) mettent tout le monde dans le même panier. Les racailles paumées (la minorité la plus virulente qui sert malgré elle les intérêts du pouvoir) des cités (ces territoires oubliés par le gouvernement où des générations d’immigrés qui ont aidé à reconstruire la France ont été entassées) deviennent ainsi l’archétype de « l’Arabe musulman » embrigadé par les sectes wahhabites qui… paient le gouvernement pour avoir accès aux mosquées de France et y distiller leur venin. On ne peut pas en vouloir aux mougeons : ils regardent la TV et ont été très réceptifs à l’affaire Charlie Hebdo. L’émotion, c’est la vaseline avec laquelle on peut tout faire passer. -Des lobbyistes pro-Israël qui défendent bec et ongles la réputation pacifiste, démocratique et défensive d’Israël. Ils sont présents sur chaque page Facebook, Twitter et autres des grands journaux nationaux, dans tous les pays. Ils reçoivent même de l’argent pour ce travail ingrat qui consiste à transformer une merde nauséabonde en auréole. Celà dit, certains esprits faibles, coincés dans leur communautarisme sectaire, le font gratuitement.
Pourtant, ces faits, aussi tragiques et horribles soient-ils, ne doivent pas faire perdre de vue l’essentiel : toute réaction violente de la part des Palestiniens face à cette injustice est directement instrumentalisée par le régime sioniste pour commettre un énième massacre.
La colère est certes légitime, mais elle n’a jamais suffi à remporter un combat encore plus légitime.
Les violences commises par Israël (qui fait tout au nom de toutes les âmes de confession hébraïque du monde) provoquent un sentiment d’injustice qui alimente un climat néfaste envers ces âmes, ainsi plus manipulables et donc « encouragées » à faire leur aliah. Ces nouveaux arrivants (souvent des crève-la-faim qui sont restés en Khazarie ou à proximité et qui sont bien heureux de disposer d’avantages économiques, sociaux et législatifs dans une colonie illégale) deviennent, de fait, électeurs des partis d’extrême droite israéliens, et des militants extrémistes qui brûlent des Palestiniens. Mais même s’ils votaient à gauche, le projet sioniste serait le même, quoi qu’il advienne. C’est même plus pervers de la part de la gauche israélienne de se donner une image d’humanistes alors qu’ils soutiennent globalement les mêmes politiques colonialistes et mortifères.
L’idée, c’est de couper l’approvisionnement à cette machine de morts qu’est l’entité sioniste : par l’information, la compréhension globale, la diffusion de ces vérités qui dérangent. Mais également au portefeuille, avec le mouvement BDS. Au niveau personnel, la plupart des Israéliens modérés sont sans doute tout de même sensibles aux épisodes de violence, mais sont guidés par la peur qui leur est enseignée dès leur plus jeune âge. L’idéal serait de pouvoir les réinformer et de dialoguer avec eux de façon constructive afin qu’ils deviennent, un jour, des citoyens de confession hébraïque qui résident en Palestine Libre, c’est à dire la « solution à 1 État multiconfessionnel ».
Cela relève de l’utopie, mais c’est le seul moyen d’éviter la destruction d’un des deux camps à terme. La guerre, c’est ce que cherche Israël. Une agression digne de ce nom qui justifie un déploiement de force militaire insensé contre le peuple palestinien. Ce moteur est un cercle vicieux qui tourne en boucle depuis des décennies : il faut par conséquent briser cette boucle.
Et les tentatives mesquines qu’emploie l’entité sioniste pour rallier à sa cause des groupes de pression influents sont un signe qui ne trompe pas. Comme par exemple le Pinkwashing du lobby LGBT à Tel Aviv et à Jérusalem, l’agression commise il y a quelques jours par un ultra-orthodoxe libéré de prison trois semaines auparavant (alors qu’il était en prison pour des faits similaires) contre des manifestants pro-LGBT et ensuite dénoncé avec un certain opportunisme par Netanyahou en personne.
Israël se sent acculé ; le travail de longue haleine qui vise à dénoncer le projet colonialiste et raciste qu’est le sionisme porte ses fruits.
Aujourd’hui, Netanyahou a même osé se rendre à l’hôpital où sont soignés les parents et le frère du bébé brûlé vif. Son humanisme le perdra… Hum… Il a qualifié cet acte de « terrorisme ». C’est un fait assez rare pour être souligné. La politique israélienne consiste essentiellement à provoquer tous les jours les Palestiniens pour qu’ils réagissent, et les colons venus d’Europe de l’Est ont pour objectif de rendre la vie impossible au peuple indigène.
Après avoir dénoncé le terrorisme de DAESH et Al-Nosra (qu’il soutient concrètement) et le terrorisme de l’affaire Charlie Hebdo (sur laquelle de très importantes zones d’ombre pèsent toujours et où l’empreinte du false-flag est criante), voici que Netanyahou dénonce les terroristes des colonies (qu’il soutient intégralement). Sacré Benyamin !
Bref, vous l’aurez compris. Céder à la colère est la chose la plus facile à faire, et la pire des solutions. Car c’est ce que l’ennemi veut. Il convient, comme toujours, de maîtriser ses émotions et d’analyser la situation avec pragmatisme. Il en va de l’avenir de la Palestine Libre !
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Mar 11 Aoû - 18:02
Le côté obscur de la création d’Israël
On m’a vivement conseillé de visionner un documentaire israélien qui a pour titre, sur Dailymotion : « Théodore Herzl, le côté antisémite du sionisme ». Au début du documentaire, on lit une phrase à des Israéliens dans un centre commercial et on leur demande qui, d’après eux, l’a écrite :
J’ai eu une idée formidable : attirer des antisémites honnêtes et les inciter à détruire les propriétés juives.
Tous répondent : « Hitler »!
Eh! non, cette phrase est tirée du journal intime de Theodor Herzl (1860-1904), grande figure juive de l’Histoire récente, fondateur du mouvement sioniste qui aboutira à la création de l’État d’Israël.
Ce que le documentaire démontre, c’est que la création d’Israël est basée sur un rejet profond du judaïsme traditionnel, un mépris du « juif de l’exil », même un rejet de la croyance tout court : le désir d’un État fondé sur un « nouveau modèle qui rejette complètement toute référence juive ». Très représentatif, Haïm Hazaz, idéologue de la direction sioniste à écrit, en 1943 :
Sionnisme et judaïsme ne sont pas la même chose, mais deux idées différentes et sûrement contradictoires.
Aussi, l’idéal sioniste n’était pas de regrouper tous les juifs dans un territoire, mais bien seulement ceux qui étaient intéressants pour le mouvement, dans une sorte de logique eugénique, où on ne voulait pas des juifs hassidiques s’ils ne désiraient pas s’affranchir de la tradition. Zeev Jabotinsky écrivit dans le journal Haaretz, à l’année de sa fondation en 1919 :
Dans notre Maison Nationale, nous allons déclarer tous ces juifs qui n’ôteront pas la rouille de l’exil, et refuseront de raser barbes et papillotes, des citoyens de deuxième catégorie. Nous ne leur donnerons pas le droit de vote.
À la suite de cette citation, on montre une prise de vue d’un somptueux palais qui porte le nom de l’auteur de ces lignes. Et ensuite, on refait le même manège qu’avec Herzl, la faisant lire entre autres à un directeur du « mouvement de jeunesse juif radical, sioniste » Bétar, fondé par Jabotinski qui n’en revient tout simplement pas…
Mais il faut spécifier ici que le mouvement sioniste n’a pas eu le choix d’intégrer la religion dans son projet pour qu’il prenne de l’ampleur, pour y trouver des adhérents, et cela a bien sûr fonctionné.
Vient ensuite David Ben Gourion, « fondateur et chef de l’État pendant de nombreuses années » qui écrivait dans son livre « La marque de Caïn » :
La Terre d’Israël a besoin d’une immigration sélective : le sionisme n’est pas une oeuvre de bienfaisance. Nous avons besoins de juifs de « qualité supérieure ».
Et le clou du spectacle, ce sont les efforts qui ont été mis pour ne pas aider des juifs condamnés à l’extermination. Oui, oui, pour aider indirectement le génocide, la Shoa, menée par Adolf Hitler! On prend quelques grandes respirations et on continue…
En vérité, un sioniste, du nom de Yaël Brand, se fit convoquer par un nazi du nom de Adolf Eichmann. Ce dernier offrit de « vendre » 1 million de juifs hongrois qu’ils s’apprêtaient à exterminer contre de la marchandise, des camions, du café, thé, etc. Brand accepta de faire les démarches pour que cet échange se fasse. Mais on lui mit des bâtons dans les roues et ce sont surtout les sionistes eux-mêmes qui firent en sorte que ce projet de sauvetage tomba à l’eau.
Ce qui est relaté ici ne couvre même pas la première moitié des faits exposés dans le reportage et tout est bien sûr hautement vulgarisé.
Pensez-vous que je vais trop loin avec mon choix de titre pour « Le côté obscur de la création d’Israël »?
Citations des principales personnalités historiques sionistes, exprimant sans masque, leur programme de génocide des Palestiniens
Photo: Déclaration d’Indépendance de l’Etat d’Israël
————————————————
Citations des principales personnalités historiques sionistes, exprimant sans masque, leur programme de génocide des Palestiniens 9128 vues 20 juillet 2015 23 commentaires Impérialisme Réseau International Citations des principales personnalités historiques sionistes, exprimant sans masque, leur programme de génocide des Palestiniens
Photo: Déclaration d’Indépendance de l’Etat d’Israël
————————————————
« Nous devons expulser les arabes et prendre leur place » David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël
« Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves » Président Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987
« Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population arabe » Israël Koenig, « The Koenig memorandum »
« La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule tribu » Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973
« Une terre sans peuple avec un peuple sans terre » Israel Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans
« A l’étranger nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque vide ; que rien n’y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas acheter les terres qu’il désire. En réalité, la situation n’est pas ainsi. Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà cultivée » Commentaire de l’essayiste hébreu Achad Ha-Am, après avoir visité la Palestine en 1891
« Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n’y a personne à qui les rendre » Golda Meir, premier ministre d’Israël, 8 mars 1969
« Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens n’ont jamais existé » Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969
« Les palestiniens » seront écrasés comme des sauterelles … leurs têtes éclatés contre les rochers et les murs » Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril 1988
« Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne sont pas les mêmes » Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989
« Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la frontière en lui refusant du travail. Le processus d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection » Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale, note du 12 juin 1895
Description par Rabin de la conquête de Lydda, après l’achèvement du plan Dalet. « Nous réduirons la population arabe à une communauté de coupeurs de bois et de serveurs ». Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion, 1960, tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias
« Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent … » Ehud Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30 août 2000
« Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes » Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and the beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman, 25 juin 1982
« Il y a une énorme différence entre nous (les juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c’est comme si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui n’appartenait pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait véritablement à une autre galaxie » Président israélien Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001
« Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les palestiniens) ne reviennent pas » … « Les vieux mourront et les jeunes oublieront » David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948
« Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille » Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces de défense israéliennes (Tsahal), New york Times, 14 avril 1983
« La thèse d’un danger d’un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu’Israêl se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre » Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972
« C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction des arabes et l’expropriation de leurs terres » Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972
« La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif ultime qui est la création de l’Empire israélien » Moshe Dayan, ministre israélien de la défense et des affaires étrangères, 12 février 1952 Radio Israel
« Des villages juifs ont été construits à la place des villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent plus. Et non seulement les livres, mais les villages n’existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays qui n’a pas une ancienne population arabe » Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz, 4 avril 1969
« … si les gens s’habituent à cette donnée et que nous soyons réellement obligés d’accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour nous, quand nous seront confrontés à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne vivaient pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu’il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre … sinon » Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan, directeur général du ministère des affaires étrangères israélien (ISA FM 2564/22). D’après Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés palestiniens 1947-49 », p. 297
« Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d’empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela qu’elle est dépendante d’une force armée. Il est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la colonisation » Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur du likoud), Le Mur de fer, 1923
« La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone. C’est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d’une puissance indépendante de la population locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est notre politique à l’égard des arabes » Vladimir Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923
« Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons pas notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas d’autres possibilités que de transférer les arabes d’ici vers les pays voisins – tous. Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit rester Joseph Weitz, chef du département colonisation de l’Agence juive en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem »
« Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les arabes des territoires » Benyamin Netanyahu, alors député israélien au ministère des affaires étrangères, ancien premier ministre d’Israël, s’exprimant devant des étudiants à l’université de Bar Ilan, tiré du journal israélien « Hotam », du 24 novembre 1989
« A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ? De la même façon, les arabes de Palestine n’abandonneront pas leur souveraineté sans l’usage de la violence » Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes sionistes), cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou problème juif » (Jewish people or jewish problem)
« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ? » David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.
« Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont aucun droit de s’établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël … La force est l’unique chose qu’ils comprennent. Nous devons utiliser la force absolue jusqu’à ce que les palestiniens viennent ramper devant nous » Raphael Eitan, chef d’Etat-major des forces de la défense israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York Times, le 14 avril 1983
« Si l’assemblée générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de l’armistice (frontière d’avant juin 1967), Israël refuserait de se plier à cette décision » Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères. New York Times, 9 juin 1967
« Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela … Je vais vous dire quelque chose de très clair : Ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique, et les américains le savent » Le premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael
« Parmi les phénomène politiques les plus inquiétants de notre temps, il y a l’émergence, dans l’Etat nouvellement créé d’Israël, d’un parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des nazis et des partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus premiers ministres » Albert Einstein. Hana Arendt et d’autres juifs américains célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948.
« La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le mandat britannique. Le peuple juif possède une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate » Ben Gurion
« Nous devons affronter la réalité qu’Israël n’est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion, nous les juifs avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population de réfugiés dans une diaspora » Martin Buber, philosophe juif, s’adressant au premier ministre Ben Gurion, sur le caractère moral de l’Etat d’Israël en faisant référence aux réfugiés arabes en mars 1949.
« Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous sommes retournés en Palestine … la majorité des juifs, ont préféré apprendre d’Hitler plutôt que de nous » Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958
« Le pouvoir légal d’Hitler était basé sur le « décret de loi », qui était voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Führer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de loi. Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le parlement israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien, et à ses représentants le pouvoir d’Hitler, qu’ils utilisent de façon hitlérienne » Docteur Israel Shahak, président de la Ligue israélienne pour les droits de l’homme et les droits civiques, survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les lois d’urgence de l’armée israélienne suite à la guerre de 1967. Palestine, vol. 12, décembre 1983
« Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon a répété sa question : « Que devons-nous faire avec la population palestinienne ? » Ben Gurion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les » » Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New York times, 23 octobre 1979.
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Sam 15 Aoû - 2:46
Bonsoir mes frères & sœurs je suppose que tout le monde a vu dans l'actualité française, l'initiative à Paris d'organiser le Tel Aviv sur Seine...Pourquoi n'ont-ils pas choisi un thème plus rassembleur, au lieu d'encore chercher la division et les polémiques inutile ? Pour moi cela démontre une chose, le gouvernement ne cherche pas la paix et a un parti-pris. Quand certains disent, "on est en terre occupée" on peut légitimement trouver ça excessif, mais pas tant que ça finalement...Il est tout de même étrange d'organiser un pareil événement au vue de la situation. Car outre les problèmes de sécurité qu'engendre un tel événement, je ne trouve décidément pas ça très malin d'aller dans la provocation. Et c'est mettre une minorité sur un pied d'estale, quand la voie du peuple, elle, est clairement du côté de la cause palestinienne. je ne veux pas exclure pour autant le peuple israélien, qu'on me comprenne bien ! Ce que je vise c'est leur gouvernement sioniste, et un tel événement est organiser pour le sionisme, et certainement pas un événement populiste ou le but est pluriculturel, non il est clairement orienté. Le gouvernement est responsable de crimes contre l'humanité, ne l'oublions pas. De plus les autorité de la mairie de Paris, ont poussé le bouchon, jusqu'à "enrôler" la LDJ pour la sécurité ! Je rappel que la LDJ est un corpuscule illégale, une sorte de groupe para-militaire, pro-sioniste et anti palestinien, qui prône la haine et la violence...Qui sont responsable de nombreuses agression et violence. Je rappel aussi qu'un certain Grégory Chelli (Ulkan), était membre de la LDJ, un personnage ultra dangereux qui a été jusqu'à causé la mort du père d'un journaliste du site "Rue89" Ulkan est une sorte de Hakers pro-sioniste qui s'en prend à tout ceux qui se range derrière la cause palestinienne, en faisant des "canulars téléphoniques" Il arrive étrangement à toujours avoir la police dans sa poche. Il menace les gens de mort, les insulte copieusement. Un jour il a essayé avec Kemi Seba, mal lui en a prit^^ C'est plus difficile qu'avec des petits vieux ou des pauvre femmes sans défences, c'est un lâche ! Serte, voilà toute les raisons qui fait que cet événement n'avait pour but, que de faire plaisir aux sionistes et rien d'autre, aucun message d'apaisement et de solidarité, c'est ça que je déplore et rien d'autre. Texte Akasha pour le LNM 2015.
Tel Aviv sur Seine: Dispositif de haute sécurité mis en place…
Plusieurs centaines de policiers et de gendarmes pour cette « journée à la plage », à croire que cette journée en hommage à la ville israélienne est censé faire rêver l’ensemble des français, plus que les Maldives ou tout autre coin bien plus paradisiaque. Pour beaucoup, c’est plus un acte de provocation qu’autre chose, et un événement indécent. Car finalement, à l’honneur aujourd’hui, ce n’est pas une simple ville israélienne, ni-même les juifs en eux-même, mais comme on peut facilement le penser, le sionisme dans toute sa splendeur, il faut dire qu’ils sont si bien implantés dans le pays… Le mieux, pour éviter les amalgames, est de bien se renseigner et de voir ce qu’il en est réellement.
Ha oui, c’est ballot, la seule photo disponible pour l’instant a été proposée sur Twitter par celui qui a diffamé le blog dans le passé..On prend ce qu’on peut dès fois… La journée est suivie en direct par l'Agence info Livre, car elle s’annonce mouvementée avec une contre-manifestation vouée à la cause palestinienne, ce qui est très mal perçu et considéré comme étant provocateur par certains, rien de bien étonnant non plus dans ce pays.
À suivre de près donc, car il risque d’y avoir également pas mal de manipulation au niveau de certains médias, car dès qu’il s’agit de mettre en cause une communauté proche d’Israël, il n’y a plus grand monde, la preuve avec ce sujet, vous en aviez entendu parler à la télévision vous?
Voici l'interview d'un pro-sioniste présent à Tel Aviv sur Seine...C'est propos sont plus qu'éloquent et ne laisse peu place quand aux intentions de ces gens..
Et en plus il ment...Tout le monde a vu les"'invitations" Tweeter...
Prenons maintenant le lourd dossier de Chelli le grand protégé et "intouchable" malgré tout le mal qu'il fait, et de la façon dont il se sert des autorités pour son profit personnel, comme si ils s'agissait de ces "employés"
Pour terminer, une picure de rappel, voici une vidéo rare, qui montre que la détermination et la perfidie de Netanyahou, ne datte pas de hier :
La face cachée de Netanyahou
Nous retranscrivons ici les sous-titres français d’une vidéo intitulée « Netanyahou : voilà comment j’ai cassé les accords d’Oslo avec les palestiniens ». On y voit l’actuel premier ministre, Benjamin Netanyahou, en visite dans la colonie d’Ofra en 2001 (à l’époque, il n’était plus en fonction au gouvernement). Ses propos sont édifiants : il y explique tranquillement comment il a réussi à duper tout le monde : Yasser Arafat, les palestiniens, Bill Clinton, les USA, l’ONU… Faites-vous votre propre avis.
Un colon : « [...] et je te dis, Bibi, ça reste entre nous bien sûr, rien n’est censé filtrer. On a l’impression que vous dites une chose quand vous n’êtes pas au pouvoir. Mais dès que vous arrivez au pouvoir, il y a comme un chape de plomb qui vous empêche d’agir. Comment ça se fait ? »
Benjamin Netanyahou : « Éteignez votre caméra et on pourra peut-être… »
Quelques minutes plus tard, la caméra tourne à nouveau.
Benjamin Netanyahou : « Aujourd’hui, tout le monde comprend le slogan ‘les colonies sont là’. Ce slogan est partout. Quelle est la différence ? Qu’est-ce qu’il veut, Arafat ? Une immense colonie appelée Tel Aviv. Pour les palestiniens, les eaux territoriales, je suppose, sont à eux aussi. Qu’ils veuillent nous jeter à la mer, c’est une évidence, et beaucoup plus loin encore. Avant tout, il faut les frapper, non pas une fois, mais plusieurs, et si violemment, que le prix à payer soit très élevé. Jusque là, il a été supportable. Une attaque massive contre l’Autorité Palestinienne, qui leur fasse croire que tout va s’écrouler. C’est la peur qui les fait… »
Un colon : « Mais attends, on dira que nous les agressons… »
Benjamin Netanyahou : « Qu’ils disent ce qu’ils veulent ! »
Un colon : « Et tu n’as pas peur de ce qu’ils vont dire, Bibi ? »
Benjamin Netanyahou : « Non ! Surtout aujourd’hui, avec les USA… Je les connais bien. Tu peux les manipuler comme tu veux, et les faire aller dans la bonne direction. Et même s’ils disent quelque chose… Ils vont dire quelque chose, et alors ? 80% des américains nous soutiennent ! C’est idiot ! Nous avons un tel soutien là-bas et ici, on pense à ce qu’on devrait faire ‘si’… Tu vois, je n’ai pas eu peur de manipuler Clinton. Je n’ai pas eu peur de me confronter à lui, ni d’aller contre l’ONU. »
Un colon : « Que s’est-il passé avec les accords d’Oslo ? »
Benjamin Netanyahou : « Les accords, bon, ils ont été ratifiés par le Parlement. On m’a demandé avant les élections : les respecterez-vous ? J’ai dit oui mais sous réserve de réciprocité. Et en accordant les retraits au compte-goutte. Mais comment faire ? J’ai donné ma propre interprétation des accords pour éviter l’histoire des frontières de 67. »
Un colon : « Comment avons-nous réussi à faire ça ? »
Benjamin Netanyahou : « Personne n’a réussi à définir ce que sont les ‘Installations militaires’. Pour moi, ce sont des zones de sécurité. La Vallée du Jourdain dans sa totalité est une ‘Installation militaire’. Personne n’a… Oui, comme la Vallée Beit She’an. Va savoir. Mais après se posait la question de savoir qui définirait ces ‘Installations militaires’. J’ai reçu une lettre du Secrétaire d’État W. Christopher, adressée à moi et à Arafat, qui disait qu’Israël, et Israël seulement, aurait la légitimité à statuer sur leur existence, leurs emplacements, leurs tailles.
Ils n’ont pas voulu donner cette lettre. Donc j’ai refusé de ratifier les accords d’Hébron. J’ai interrompu la réunion et j’ai dit : ‘je ne signerai pas’. Et c’est seulement quand la lettre est arrivée pour moi et Arafat, que j’ai signé les accords d’Hébron. Ou plutôt ratifié puisqu’ils étaient déjà signés. Pourquoi est-ce que c’est important ? Parce qu’à cet instant, en fait, j’ai mis un terme à la réalisation des Accords d’Oslo. Il vaut mieux donner 2% que 100%. Et voilà le choix auquel nous sommes confrontés. Tu as donné 2% plutôt que 100%, et tu as empêché le retrait. La sagesse n’est pas d’être là et de tout casser, mais plutôt d’être là et de payer le minimum. » Raphaël Berland, pour le Cercle des Volontaires
P.S. : deux de mes contacts franco-israéliens m’ont confirmés que les sous-titres étaient fidèles.
Voilà, c'est un long poste, mais il était important de mettre en exergue certains points importants
Texte (couleur rose) Akasha
orné Modérateur
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Dim 16 Aoû - 10:28
Bonjour, Revenons un instant sur l'événement de l'été "Tel Aviv Sur Seine" Une chose est sûr c'eut été instructif. On aura pu assister à une reproduction grandeur nature de la situation en Israël, cet apartheid qui règne à Tel Aviv, l’exclusion des arabes, et de la façon d'on ils sont traiter. Avec check point et contrôle et fouille musclé. Franchement se fut instructif. La mairie de Paris et sa Idalgo, nous auront prouvé être en harmonie avec cette façon de faire, c'est beau (sourire). Sans compter la propagande et mensonge qui a eut autours de l'événement, et une sécurité de petit nazis, qui sois disant est interdite. Surtout qu'ici encore la mairie ment, en niant les évidence de leur présence sur le site, il est bien dificile au vue des évidences de venir affirmer qu'ils n'y étaient pas, et quel était leur rôle sur le site. La préfecture de Paris se rend donc complice d'agissement haineux, violent, et d'idée sectaire raciste et fasciste, tout en couvrant leurs actes délictueux. Se qui fut déjà le cas lors de l'incident de la rue de La Roquette, l'année dernière, comme le rappel Akasha si haut. Il y a une autre polémique qui tourne autours de cet événement, c'est d'avoir associé le non de la capitale israélienne au fleuve légendaire de la capitale française, qui est une insulte à son riche passé, et un manque certain de respect. Le tout pour faire plaisir à une minorité, malgré les nombreuse résistances et les problèmes d'ordre éthique au vue de la situation en Palestine. Encore une fois lors de l'événement on aura pu se rendre compte la haine qu'inspire les arabes et les personnes voulant vouloir faire leur boulot envers les pro-sionistes. Pour eut, ils leurs est insupportable que l'on puissent émettre la moindre critique. On ne peut jamais remettre en doute leurs positions et choix. Et je trouve cela vraiment dommage cette manie de vouloir se mettre sur un pied d'estale, au nom de qui ? au non de quoi ? franchement je me pose la question. Et se gouvernement qui courbe sans cesse l'échine, et se plie au moindre de leur caprice, allant jusqu'à insulter et contrarier leur propre peuple, et sali sans cesse l’identité et la culture française. Texte de Orné
Le cofondateur de la LDJ aide à assurer la sécurité à Tel-Aviv sur Seine, la préfecture dit ne pas être au courant
La LDJ a participé toute la journée à la sécurité à l'entrée de "Tel Aviv sur Seine" (Photo : Fanny Marlier)
Alors que des centaines de personnes faisaient la queue ce jeudi après-midi pour rejoindre “Tel-Aviv Plage”, le cofondateur français de la Ligue de Défense Juive a été vu en train d’aider à organiser la sécurité aux abords de la plage. La préfecture de Paris dément pourtant avoir eu recours à ses services pour sécuriser les lieux.
Devant l’entrée de l’escalier principal qui mène à “Tel-Aviv Plage”, un service de sécurité a été mis en place sous un chapiteau. Des officiers de sécurité (certains arborent des tee-shirts de l’entreprise Isopro) font avancer les visiteurs et vérifient qu’ils vident bien leurs poches pour en montrer le contenu, tandis que deux officiers de la police nationale fouillent les sacs et utilisent un détecteur de métaux.
Aux abords du chapiteau, un homme au ventre rebondi, petites lunettes et chemise bleue, surveille l’avancée de la file. C’est Jean-Claude Nataf – qui use de plusieurs pseudonymes –, un des fondateurs de la branche française de la Ligue de Défense Juive (LDJ). En 2014, Libération'affirmait que le gouvernement étudiait la possibilité de dissoudre ce groupuscule.
Jean-Claude Nataf de la LDJ présent pour “voir si tout va bien”
Ce jeudi 13 août, Jean-Claude Nataf scrute la foule, salue certains visiteurs, retourne discuter avec le service de sécurité, se balade d’un “point d’entrée” à un autre pour “voir si tout va bien”. Aux alentours de 13 h, deux connaissances s’approchent, il les fait passer devant la cinquantaine de visiteurs qui font la queue, et ils se soumettent à la fouille. Il réitèrera cette exception une dizaine de fois en quelques heures avec journalistes, visiteurs qui lui serrent la main ou encore avec Arno Klarsfeld, qui rentre vers 14h30 sans être contrôlé par les forces de l’ordre. À chaque fois, il suffit que Jean-Claude Nataf montre au personnel de sécurité que ces “privilégiés” sont avec lui pour qu’ils passent en premier devant les autres, sans qu’aucune question leur soit posée.
A ses côtés, un petit homme à la veste renforcée, une oreillette coincée dans l’oreille, ne le quitte pas des yeux. “Je suis juste là comme vous”, nous affirme-t-il. Pourtant quelques minutes plus tôt, il avait chargé un photographe indépendant qui se fait appeler “NnoMan”, venu sans accréditation ni carte de presse couvrir l’événement. “Des personnes n’ont pas supporté que je prenne des photos. Je me suis fait insulter et une personne de la sécurité s’est jetée sur moi au moment où je partais, pour me donner un coup de pied, nous explique-t-il. On m’a refusé l’accès à “Tel Aviv sur Seine”, j’ai seulement pu accéder à “Gaza Plage””. Quelques minutes plus tard, une jeune femme arborant un tee-shirt avec le drapeau palestinien se fera frapper par une femme qui attendait dans la file*.
“Qui est-ce qui s’occupe du checkpoint?”, lance un policier après que l’altercation s’est calmée. “Ah ben c’est plus nous ça, c’est la sécu”, lui répond un collègue. Pendant ce temps, Jean-Claude Nataf est toujours aux côtés des forces de sécurité au point d’entrée. Quel est son rôle dans cette “sécu”? Interrogé sur place par les Inrocks, Jean-Claude Nataf nous assure qu’il travaille “en coopération avec la préfecture et avec la mairie de Paris”. “Il y a des services de sécurité extérieur pour les grands rassemblements, c’est normal. On aide, pour que tout se passe bien.
Contactée par les Inrocks, la préfecture dément pourtant “formellement la participation de la LDJ au service de sécurité”, tandis que la mairie de Paris ne semble même pas au courant de la présence du groupuscule sur place. Sur son compte Twitter, la Ligue de Défense Juive (“LDJ Paris”) a quand à elle affirmé*, à la suite de la publication de notre papier, que tous “les membres de la LDJ sont en Israël en ce moment” et assure "ne pas connaître"* la personne qui a pris en photo le badge d’une journaliste des Inrockuptibles.
(*) Ce qui est un comble, car quel était l'intérêt d'organiser un tel événement si ce n'est de mettre en avant la solidarité entre juifs et palestiniens ? Or c'est carrément tout le contraire, on nous aura juste montré l'apartheid qui règne en Israël. Et le tout dans un pays qui nous dit "Vous êtes Charlie" à Crever (rires). Orné
À quand l’interdiction de la LDJ ?
Extrême Droite. La Ligue de défense juive, dont l’interdiction avait été évoquée par le gouvernement il y a un an, sévit de nouveau lors de « Tel-Aviv sur Seine ».
« Le pro-palestinien communiste Ian Brossat ne veut pas que l’on s’attaque à son grand-père espion » : la Ligue de défense juive consacre la une de son site Internet à un pamphlet nauséabond sur l’élu communiste parisien, dont le groupe s’est opposé à la tenue de l’initiative « Tel-Aviv sur Seine ». Coutumière des tentatives d’intimidations, l’organisation fasciste, qui multiplie les agressions violentes contre ceux qui ne partagent pas ses idées sectaires et racistes, y a vu l’occasion de s’en prendre à Ian Brossat, notamment au travers de son grand-père, Marcus Klingberg, ancien espion soviétique en Israël, avant de relayer la proposition du Front national parisien, qui en appelle à l’armée « pour assurer la sécurité de l’événement ». La LDJ, qui considère publiquement les Palestiniens comme des « rats », se frotte les mains de l’opération « Tel-Aviv sur Seine ». Laissé libre d’agir en France alors qu’il est interdit en Israël et aux États-Unis, le groupuscule a annoncé sa présence aujourd’hui sur les quais de Seine. Ses membres avaient violemment attaqué en juillet 2014 un groupe de militants rue de la Roquette, en marge d’une manifestation de soutien à Gaza. Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, s’était alors exprimé sur la « possibilité » d’une interdiction de la LDJ. Un an après, il n’en est rien.
Paris plage - Tel - Aviv 2015
Et pour conclure, tout se "ramdam" et problème pour deux pelé et un tondu "Tel-Aviv sur Seine" ? Non, Police sur Seine ! Beaucoup de bruit, de polémique et d'argent pour satisfaire les caprices de quelques un. Encore un gros point noir pour nos cher dirigeant qui décidément ne vivent pas dans la même dimension que nous. Orné
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Lun 17 Aoû - 2:50
Bonsoir mes frères & sœurs Déjà en 2013 Abby Martin c'était montrée efficace pour exposer les exactions des israéliens sur la bande de Gaza et dans toute la Palestine. Il est de plus en plus rare de voir du tel journalisme, et cela mérite d'être épinglé.
Le jour où Abby Martin a « clashé » le gouvernement israélien !
Novembre 2012, lors de l’opération Pilier de défense d’Israël, Abby Martin « a fait le boulot » lors de son entrevue avec Alex Selsky, le porte-parole de Benjamin Netanyahou.
Nous les feeeemmeeeu....Aprés Aby martin et bien d'autres...Voici notre cher consœurs Nathalie Maleux a remit à sa place ambassadeur israélien en Belgique
Une journaliste belge dégomme l’ambassadeur d’Israël
sraël s’est permis de détruire les constructions d’un projet financé par la Belgique en Cisjordanie, ce qui n’a pas plus à la communauté belge qui réclame des explications.
La journaliste Nathalie Maleux a eu l’occasion de remettre en place l’ambassadeur israélien en direct dans le JT de la RTBF hier… L’ambassadeur a dû regretter le déplacement…[/color]
Invité Invité
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Jeu 20 Aoû - 23:49
Le chemin de la Cour : les dirigeants israéliens devant la Cour Pénale Internationale. À partir de l’entrée en fonction de la Cour Pénale Internationale en 2002, Christophe Oberlin retrace les offensives sanglantes sur la bande de Gaza dont il est, depuis 2001, un témoin privilégié.
Il montre comment la Cour Pénale Internationale est demeurée, jusqu’à présent, une instance de riches pour juger les pauvres. Il dénonce ceux qui, y compris au niveau de l’Autorité Palestinienne, ont saboté les saisines de la Cour contre les dirigeants israéliens.
Il démontre que ce sont bien les forces combattantes palestiniennes qui demandent l’application du droit international, comme celle du droit interne palestinien.
***
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Lun 31 Aoû - 2:51
Gaza... en 2009
La Palestine ressemble de plus en plus à une métaphore au moment où Samir Abdallah et Khéridine Kabrouk pénètrent dans Gaza, le 20 Janvier 2009. Au lendemain de la dernière guerre israélienne contre Gaza, ils y découvrent l’étendue de la « gaza-strophe » aux côtés de leurs amis - délégués palestiniens des droits de l’homme. Les récits de dizaines de témoins font prendre la mesure du cauchemar palestinien. Mais au-delà de leurs souffrances, les gazaoui « portent toujours le fardeau de l’espoir » qu’ils font vivre à travers poèmes, chants et nokta (blagues ou histoires à raconter)...
« Nous avons visité les mêmes endroits. Le film confirme ce que nous avons trouvé plusieurs mois après. Il est important que les gens puissent voir ce film et se fassent leur propre idée sur ce qui s’est passé durant ces trois semaines, lorsque les forces armées israéliennes ont donné l’assaut. En effet, le rapport Goldstone fait près de cinq cents pages et décrit des faits dans un langage technique et juridique qui peut décourager certains de le lire. En regardant le film, j’ai été frappé par le fait que nous ne devons pas oublier que la situation à Gaza s’est dégradée depuis que ces images ont été tournées, il y a un an et demi. » Colonel Desmond Travers, membre de la Comission Goldstone
Plus d’informations sur le site officiel du film ici
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Dim 6 Sep - 11:38
Pourquoi Israël est un Etat raciste
La Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale remonte à 1965. Dans les faits cependant, le racisme est toujours vivant.
Aucun État, aucune institution publique ou privée, aucune force politique ne peut aujourd’hui s’affirmer raciste. Le temps de l’Afrique du Sud fondée sur l’apartheid est loin. La Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale remonte à 1965 (son entrée en vigueur date de 1969) et ne peut plus être violée ouvertement.
L’article 1 de cette Convention précise que « l’expression « discrimination raciale » vise toute distinction, exclusion, restriction ou préférence fondée sur la race, la couleur, l’ascendance ou l’origine nationale ou ethnique, qui a pour but ou pour effet de détruire ou de compromettre la reconnaissance, la jouissance ou l’exercice, dans des conditions d’égalité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales dans les domaines politique, économique, social et culturel ou dans tout autre domaine de la vie publique ». Tout est dit car toute manifestation de racisme est frappée d’illégalité par le droit international. Il est politiquement difficile de passer outre.
Dans les faits cependant, le racisme est toujours vivant. Il se renforce même dans de nombreux pays, y compris en Europe, sous des formes variées et selon des modalités différentes d’un pays à l’autre. Le terrorisme, fruit du caractère asymétrique de certains conflits qui ont pris une dimension religieuse, a favorisé, en France par exemple (qui par ailleurs n’a pas encore « oublié » la guerre d’Algérie) le développement d’une islamophobie qui dissimule un racisme anti-arabe : le rejet d’une religion (totalement méconnue par ailleurs) donne au racisme le plus ordinaire un caractère plus « décent ». La lutte contre l’antisémitisme est de plus en plus la seule politique antiraciste menée par les pouvoirs publics occidentaux car elle bénéficie d’un relatif consensus, jugé indispensable dans les combats électoraux en France par exemple. Même l’extrême droite française (comme le parti italien de Gianfranco Fini), tend à atténuer son antisémitisme traditionnel pour se consacrer à sa politique de rejet de l’immigration maghrébine et africaine1, politiquement plus « rentable ».
Le monde occidental, toutefois, récuse toutes les accusations de racisme : qu’il s’agisse de la police étasunienne vis-à-vis des citoyens noirs, des opérations anti-Roms en Europe, ou de l’hostilité discriminatoire que rencontrent les citoyens français d’origine maghrébine de 2° ou 3° génération, les condamnations en justice sont très rares et les médias restent discrets (ce fut le cas durant la période qui a suivi les attentats à Paris en janvier 2015 pour de très nombreux actes à l’encontre des mosquées et lieux de prière musulmans).
En Israël, la situation n’a cessé de se dégrader pour la forte minorité arabe de nationalité israélienne comme pour les Palestiniens victimes de l’occupation quasi-coloniale à Jérusalem et en Cisjordanie.
L’État israélien, mais aussi la société israélienne très fortement « droitisée » se comportent de plus en plus comme une puissance coloniale ordinaire dont la volonté politique est avant tout de « persévérer dans son être », c’est-à-dire de se maintenir, à tout prix, en position hégémonique sur les « arabes », comme cela s’est produit dans le passé pour les Français d’Algérie jusqu’à l’indépendance. Ce refus de tout compromis, en dépit d’un discours à destination des alliés occidentaux, et qui prétend être favorable à un « processus de paix » qui n’a pourtant pas d’existence réelle, engendre chez une majorité d’Israéliens un racisme de plus en plus virulent.
1. Les sources de la violence raciste israélienne
Les autorités israéliennes, préoccupées par la faiblesse démographique de la population juive en Israël par rapport aux Palestiniens et plus généralement au monde arabe, a favorisé la venue sur le territoire national de juifs, issus de toutes les parties du monde (2).
Afin de réaliser l’amalgame de populations venues de pays arabes, d’Europe de l’Est, d’Occident ou d’Afrique noire, l’État israélien a utilisé le ciment de la judaïté en évoluant vers un « État juif », c’est-à-dire un État à fondement ethnique et religieux.
Les conservateurs israéliens n’y ont vu que des avantages, la judaïsation gommant (pour partie) les réalités de classe et l’exploitation de certaines couches de la population, comme celle des juifs venus d’Afrique noire.
De plus, le poids de la religion a restreint celui des courants progressistes et socialistes importants à l’origine de l’État israélien. Par exemple, le mouvement « La Paix maintenant » a perdu l’essentiel de sa vitalité (3).
Le Parti Travailliste transformé (par alliance) en « Union sioniste » n’est plus une alternative au Likoud : son mot d’ordre réel est « pas d’arabes ! ».
L’implantation massive en Israël des « juifs orientaux » a renforcé les courants les plus ultras : animés d’un revanchisme décomplexé (en passant du statut de minorité juive en terre d’Islam à celui de majoritaire doté d’un État), ils ont fait du Likoud un parti champion de la colonisation.
La seule opposition véritable à la politique gouvernementale est celle de la liste commune judeo-arabe, associant les communistes israéliens et les partis réunissant les Palestiniens de 1948 qui a permis l’élection en mars 2025 de 14 députés à la Knesseth (3° force du pays). L’objectif premier est précisément la lutte contre les discriminations, les inégalités et le racisme. Ce début d’unité d’une petite minorité de juifs israéliens et de l’ensemble des partis arabes d’Israël risque cependant d’élever le niveau de racisme et de l’hostilité globale vis-à-vis des Palestiniens israéliens !
La hiérarchie sociale accentuée produit toujours du mépris à l’égard de plus démunis. La « richesse » des Israéliens (quelles que soient les fortes inégalités entre juifs) et la « pauvreté » de la minorité palestinienne et de l’environnement arabe sont à la source d’un sentiment de supériorité et de rejet chez les Israéliens, producteur d’un racisme ordinaire. Ce racisme est particulièrement virulent chez les juifs les plus modestes (4) en grave difficultés sociale, car ils sont en « concurrence » vitale pour la terre notamment avec les Palestiniens : c’est le cas, en particulier, dans les « colonies » installées en Cisjordanie. Le mépris raciste pour les plus défavorisés de l’échelle sociale s’est manifesté dans les colonies traditionnelles de population comme en Europe à l’égard des travailleurs immigrés (y compris de la part des ouvriers « blancs ») et comme aux États-Unis à l’encontre des travailleurs noirs (5).
Les questions sociales et le coût de la vie, plus élevé que dans les pays occidentaux, constituent dans l’opinion israélienne des priorités, sources de protestations multiples et de manifestations de masse (comme en 2011).
Mais, comme en Europe, tout est entrepris pour faire du « sécuritaire » une diversion majeure. Les autorités israéliennes insistent donc fortement sur le terrorisme dont seraient responsables les Palestiniens et les Arabes, assimilés à des « barbares » avec lesquels seuls les rapports de force sont concevables. Avigdor Lieberman, Ministre des Affaires Étrangères, n’hésite pas à déclarer vouloir « couper à la hache » la tête des arabes d’Israël qui s’opposent au gouvernement !
Le racisme est ainsi devenu une réponse fictive aux problèmes sociaux non résolus : il est l’outil justifiant la priorité accordée aux mesures sécuritaires et à la militarisation de la société.
Les affrontements directs avec les Palestiniens (les deux Intifadas, notamment) et certains États arabes (Irak en 1981, Liban en 2006, Syrie en 2007, Soudan en 2009) provoquent aussi évidemment, par a-coups successifs, une montée du racisme vis-à-vis des « Arabes » en général. A chaque crise ouverte, la politique de répression brutale et disproportionnées aux quelques attentats et tirs de roquettes subis, s’aggrave.
Les opérations militaires menées contre Gaza en sont l’illustration la plus flagrante. L’arabe est assimilé à un fanatique religieux dépourvu de tout esprit démocratique.
La culture dominante est celle de la « citadelle assiégée », mais d’une qualité « supérieure » permettant de s’imposer, à condition d’user sans complexe de la force contre les « arabes d’Eretz-Israël » (comme on le disait jusqu’en 1993, sans prononcer le mot Palestinien) et le monde arabe et musulman dans son ensemble (à l’exception des Égyptiens et des Jordaniens).
Ce racisme n’est pas le résultat de ces affrontements inévitables aussi longtemps qu’il n’y aura pas d’État palestinien viable et reconnu par tous. Il est au contraire la légitimation des violences pratiquées contre les Palestiniens : le recours à la force est admis par la grande majorité des Israéliens parce que les arabes sont, par nature, inaptes à comprendre autre chose que la force !
Un ouvrage comme celui de Benny Morris, publié en 2004 (The Birth of the Palestinian Refugee Problem) est révélateur. Son auteur qualifie explicitement les Palestiniens de « barbares » qui « en veulent à la vie » des Israéliens, et qu’il faut « détruire ». « La société palestinienne, déclare-t-il à Haaretz (9.1.2004) est une société malade qui doit être traitée comme le sont les tueurs en série ». Il faut les emmurer », ajoute-t-il car « il y a là une bête sauvage qui doit être mise en cage » !
Enfin, dernier facteur du développement du racisme en Israël, l’extrême complaisance dont bénéficie la politique israélienne aux États-Unis et en Europe occidentale (qu’il s’agisse des politiciens ou des grands médias). L’idée qu’il y a une « sorte de négociation permanente » dans le cadre d’un « processus de paix », « arbitrée » par les États-Unis est soigneusement cultivée. Les Accords d’Oslo ont été quasi-unanimement présentés comme la fin du conflit, alors qu’il s’agissait d’organiser un régime intérimaire de cinq ans (jusqu’en 1999), dans le cadre d’une sorte de protectorat israélien sur l’Autorité Palestinienne.
Le discours d’Israël à destination du monde occidental a besoin d’être favorable aux négociations. « La diplomatie est nécessaire pour rassurer l’Occident et notre propre conscience, mais seule notre force persuadera les Arabes de reconnaître qu’ils ne peuvent nous vaincre » (6).
Les multiples violations flagrantes de la légalité internationale ne suscitent pratiquement pas de réactions, à l’exception de quelques déclarations sans portée pratique. Les résolutions des Nations Unies n’ont aucune efficacité elles sont bloquées par les États-Unis. Les rapports présentés au Conseil des Droits de l’Homme s’enlisent dans les procédures.
Les prises de position du Parlement Européen ne sont pas suivies d’effets. Les États occidentaux restent les alliés sans faille de l’État israélien. Cette alliance est consolidée par la prise en charge de la lutte contre l’antisémitisme, le seul antiracisme qui demeure en Occident devant l’expansion (facilitée) du racisme anti-arabe.
Un exemple, parmi d’autres, mais peu connu, est celui de la violation du Code de Conduite en matière d’exportation d’armements, adopté par l’Union Européenne le 9.12.1998. Aucun État européen n’est fondé en droit à exporter des armes dans un pays « non respectueux des droits de l’homme » et lorsque cela menace « la paix, la sécurité et la stabilité régionale ». Ce code n’a aucune effectivité vis-à-vis d’Israël.
2. Les différentes formes de discrimination raciale en Israël
L’État israélien, qui se déclare désormais « juif » malgré ses 20% de ressortissants palestiniens (en forte croissance démographique) et qui étend en permanence ses « implantations » de type colonial au nom de la récupération de « terres sacrées » en Cisjordanie (par une croissance de 38% du nombre de colons entre 2000 et 2007), s’autoproclame unique « démocratie » du Moyen Orient.
La réalité est radicalement différente.
Pour la « démocratie » israélienne, les Palestiniens n’ont eu aucune existence légale aussi longtemps qu’ils n’ont pas eu recours à la violence. Mais après plus d’un demi-siècle, ni les Palestiniens des Territoires Occupés ni les Palestiniens de 1948 ne sont traités par Israël comme des citoyens, sans que ceux-ci ne bénéficient d’aucune façon de ce « droit » d’ingérence que l’Occident utilise ailleurs.
Dans l’ordre international, Israël n’a pas le moindre respect pour le droit international et pour le droit humanitaire:il a même « inventé » avec les États-Unis, la notion de « légitime défense préventive » lui permettant de procéder à des agressions au nom de son droit à l’existence.
Toutefois, à la différence des puissances coloniales du passé et des dictatures ouvertes, l’État d’Israël a pour politique spécifique d’utiliser le droit et non de le rejeter. Fortement occidentalisé, dans la nécessité absolue de conserver des liens avec les États-Unis et l’Europe, il cherche à conserver sa légitimité en se présentant comme un « oasis de justice » au cœur du « désert » proche oriental. Le droit est une composante, avec la religion, de la puissance israélienne. Les deux se nourrissent réciproquement : cette prise en compte favorise un regard stimulant sur Israël de la part des États occidentaux mais aussi du « soi sur soi ».
L’antiterrorisme sert de justification de tous les accrocs au droit, mais la Cour Suprême est censée contrôler l’exigence d’un « équilibre » entre le respect des droits de l’homme » et les considérations de sécurité. Le « transit juridictionnel » est essentiel pour déculpabiliser les Israéliens. La possibilité effective pour les Palestiniens de recours en annulation contre les actes de l’administration israélienne permet de les associer à leur propre asservissement : en pratique, les discriminations ne sont pas atténuées, elles sont légitimées ! Les droits de la défense sont garantis, mais la défense ne gagne jamais, sauf exception.
Sous des formes juridiques anodines, avec des résultats équivalents à ceux qui seraient en vigueur dans un système d’apartheid, les Palestiniens sont traités en « sous-citoyens ». Par exemple, dans le secteur économique, la technique des « permis », d’apparence purement administrative, dissimule en fait, par le biais d’une pratique arbitraire de leur délivrance, des inégalités flagrantes. Dans le domaine agricole, certaines cultures sont réservées aux seuls exploitants juifs : l’exploitation des fruits, légumes et tabac est un monopole juif. Les activités les plus rentables sont ainsi hors de portée des « arabes » et le sous-développement palestinien est institutionnalisé. Le fait que quelques Palestiniens puissent surmonter les discriminations sectorielles ne change rien à ce phénomène inégalitaire de la société israélienne, mais rend crédible un avenir (illusoire) de société intégrée.
Les procédures d’expropriation des terres sont aussi significatives : l’expropriation est prononcée au nom des exigences de sécurité, mais les terres sont ensuite transférées aux juifs !
En matière de prêt bancaire, les entreprises palestiniennes se voient refuser les délais de paiement et les crédits nécessaires, selon une appréciation d’opportunité commune aux banques du monde entier : néanmoins, on constate que sont discriminées les entreprises palestiniennes concurrentes des entreprises juives !
On pourrait faire les mêmes observations dans le domaine des baux de location : le refus d’un propriétaire juif à un arabe est la règle !
Plus généralement, le droit est égal pour tous ceux qui par l’exercice du service militaire fournissent une contribution à la sécurité de l’État... Toutefois, les Palestiniens (à la différence des Druzes) ne sont pas autorisés à servir dans l’armée, d’où une série de prestations sociales auxquelles ils n’ont pas droit. Dans les faits, les Palestiniens sont pour Israël « de dangereux étrangers » et sont traités comme tels.
Le résultat est un cantonnement des Palestiniens israéliens dans certains villages et quartiers constituant une sous-communauté ghettoïsée. Plus des deux-tiers des Palestiniens israéliens sont des ouvriers ; plus de la moitié vit au dessus du seuil de pauvreté ; la mortalité infantile est le double de celle des juifs israéliens.
La « démocratie » israélienne est réservée aux juifs et à quelques collaborateurs arabes et le racisme ambiant justifie toutes les discriminations « légales ».
Dans l’ordre international, l’État procède comme le font aussi les États-Unis à une sorte « d’israélisation » du droit international qu’il aligne sur ses propres pratiques. Chaque norme est revue et corrigée afin que coïncident politique israélienne et « légalité ». Cette « novation » du droit international prétend fonder les raids aériens, les actes de représailles, les opérations armées menées dans les espaces aériens, maritimes, et territoriaux des autres États, les actions armées contre des organismes des Nations Unies (notamment l’UNRWA)....
Israël procède à une véritable perversion des concepts juridiques s’attribuant même une fonction policière dans toute la région, et même en Afrique noire (lorsqu’il s’agit de soutenir ses alliés). Ces ingérences sont néanmoins présentées comme facteur de maintien de la paix et de la sécurité !
On conçoit donc que pour l’opinion israélienne, le fait d’avoir de « l’arabe » une vision « d’inférieur » et de « barbare » décivilisé est une nécessité politique.
Ce racisme ambiant qui ne cesse de se renforcer, comme c’était le cas en Algérie au fur et à mesure de l’évolution de la guerre de libération nationale, garantit la cohésion de la société autour de « l’État juif » et plus en plus sécuritaire (7). Il est devenu un outil de défense nationale. Il ne pourra régresser qu’avec une solution « déconfessionalisée » du conflit israélo-palestinien qui se prolonge et qui demeure sans solution à court terme. En effet la dimension religieuse, prétendument judeo-islamiste, que les instances conservatrices israéliennes ont donné à ce conflit le rend parfaitement insoluble.
Comme l’écrit Akram Mussalam (, qui vit à Ramallah, « ceux qui fabriquent les barbelés qui m’encerclent de toutes parts continuent à ronger et à dévaster le lieu et le rêve ».... Mais le cauchemar ne peut durer toujours.
Mohammed Bentoumi est Maître de Conférences à la Faculté de Droit d’Alger.
Notes :
1. Le Front National, en France, s’est rapproché des Israéliens (Louis Aliot, vice-président, a établi des contacts en Israël même) ; il a exclu des membres de « L’Oeuvre Française » jugés trop antisémites, etc. La « mode », en France, va jusqu’à oser accuser « l’extrême-gauche » (englobant Front de Gauche, communistes, etc.) de développer « un nouvel antisémitisme » sous prétexte des campagnes menées par ces forces contre la politique israélienne. Un sondage du 8.11.2013 sur les responsables de l’antisémitisme n’indique que 27% pour l’extrême droite (contre 67% à l’extrême gauche !).
2. Le Premier Ministre Netanyaou poursuit aujourd’hui encore dans un pays comme la France une campagne qui rencontre un certain succès en faveur de « l’alya », c’est-à-dire de l’installation en Israël de juifs français.
3. Ari Shavit, par exemple, l’un des fondateurs du mouvement, a radicalement changé ses positions en faveur du militarisme et du sionisme. Voir son interview dans Haaretz du 11 août 2006.
4. On se souvient du racisme exacerbé des « petits blancs » français en Algérie malgré leur statut très défavorisé au regard des grands colons.
5. Cf. Ilan Pappe. « Une société intoxiquée par la haine ? » In M. Collon et autres. Israël, Parlons-en ! Investig’Action. Bruxelles. 2011. Voir aussi M. Warshawski. A tombeau ouvert : la crise de la société israélienne. La Fabrique. Paris. 2003.
6. Cf. Benny Morris, cité dans P. Bouveret et autres. Qui arme Israël et le Hamas ? Éditions Amnesty International et autres. 2009, p. 104.
7. Les jeunes israéliens, cependant, ne se sentent pas tous intégrés à leur pays, notamment en raison des lourdes obligations militaires. 40% d’entre eux souhaitent le quitter et certains animés d’un esprit pacifiste le font pour des raisons politiques. Voir L’Humanité. 16 mars 2015.
8. Akram Mussalam. La cigogne. Sindbad – Actes Sud. 2015.
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Mar 8 Sep - 8:50
La photo qui fait le « buzz » : deux Palestiniens protègent une policière israélienne contre… des colons israéliens !
Une photo fait le buzz depuis quelques jours sur Internet : deux Palestiniens qui protègent une policière israélienne contre des jets de pierres… lancées par des colons israéliens !
[color=#ffffcc]La photo, prise par Shaul Golan, photographe pour le journal Yedioth Ahronoth, montre les trois protagonistes debout à Esh Kodesh, un avant-poste situé en Cisjordanie et considéré comme un territoire occupé illégalement par Israël selon les Nations-Unies.
La policière y figure sans matériel de protection et semble apeurée, alors qu’elle se tient entre deux hommes non armés qui lèvent les bras.
Les deux Palestiniens ont pris le risque de protéger cette policière effrayée après des affrontements entre des militants contre l’occupation et des colons israéliens (généralement d’extrême droite). L’incident (au cours duquel les militants des deux côtés ont lancé des pierres) s’est produit dans la colonie d’Aish Kodesh, à proximité du village palestinien de Kusra.
« Au milieu de cette cohue, j’ai aperçu une policière. Elle était tétanisée et avait été abandonnée par son unité au milieu de ses soi-disant ennemis, qui l’ont au contraire protégée. J’ai su tout de suite qu’il s’agissait d’un moment important », explique le photographe Golan au journal Times of Israël.
L’un des deux hommes qui ont protégé la policière israélienne se nomme Zakaria Sadah. Il s’agit d’un militant palestinien qui travaille pour l’organisation Rabbis for Human Rights (RHR, les Rabbins pour les droits de l’Homme), une organisation humanitaire israélienne qui milite sur le terrain en faveur des droits de l’Homme.
« Lorsque je l’ai vue, je n’ai pas vu un uniforme ou un symbole de l’occupation. J’ai vu une personne qui était effondrée et qui ne savait plus quoi faire. Je me devais de l’aider », explique Zakaria.
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Dim 20 Sep - 5:06
Pourquoi et comment pratiquer la méditation ?
Soixante ans après la création de l’État d’Israël, proclamée le 14 mai 1948 par David Ben Gourion, retour sur les événements majeurs qui y sont liés.
Au sommaire : Le jour où Israël est né
Comment est né le projet d’un État juif ?
Exodus : les dessous de l’odyssée
Retour sur le rôle de l’Exodus, le bateau des rescapés de la Shoah, violemment refoulés de Palestine par les militaires anglais.
L’épopée des kibboutz
Les pionniers des kibboutz, villageois agricoles collectivistes, ont formé le socle du pays.
1967 : France / Israël, le divorce
L’occupation des territoires a brouillé l’image de l’État d’Israël.
Quand le Mossad frappe en France
Les agents du Mossad, les services secrets israéliens, mènent une perpétuelle guerre de l’ombre contre leurs ennemis, y compris en France.
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Mer 30 Sep - 1:59
Une enfant d’Hébron dit leurs quatre vérités aux soldats de l’occupation
Elle n’a pas froid aux yeux cette fillette qui vient dire aux soldats israéliens qui occupent sa ville : « Vous terroriser le monde entier, mais vous n’arrivez pas à nous effrayer. Les gens sont de notre côté pas du vôtre ! Vous êtes des terroristes, mais vous ne nous faites pas peur ! C’est vous qui avez peur de nous ! ». Extraordinaire symbole de la résistance palestinienne.
]
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Mer 21 Oct - 3:34
Israël vs Palestine : la guerre de l'information fait rage
Les enfants palestiniens auraient appris à l'école comment poignarder les juifs, dénonce l'ambassadeur d'Israël auprès de l'ONU La Cisjordanie. Jérusalem et Israël sont actuellement en proie à des violences quotidiennes depuis début octobre, un conflit alimenté par des spéculations médiatiques.
Vendredi, avant le début de la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU à New York, Danny Danon, nouvel ambassadeur d'Israël auprès de l'ONU, a montré un diagramme du corps humain intitulé "Comment poignarder un Juif". Il a prétendu que cette image était montrée à des jeunes palestiniens qui avaient appris "comment détester".
Ces affirmations qui n'ont pas été vérifiées par des sources indépendantes surviennent au moment de grandes tensions à Jérusalem et en Cisjordanie, où au moins 41 Palestiniens et sept Israéliens ont été tués suite à des violences dans les rues. L'histoire la plus médiatisée est sans doute celle d’Ahmad Manasrah, un jeune Palestinien de 13 ans, qui a attaqué à Jérusalem un jeune juif de son âge au couteau lundi avant d'être violemment vengé par des adultes armés. Après avoir blessé un adolescent de son âge alors qu'il montait sur son vélo pour s'échapper, très vite, Ahmad a été poursuivi par des adultes, prêts à l'achever et qui l'ont rabattu vers les garde-frontières. Ceux-ci ont ouvert le feu et l'ont blessé par des tirs. Son cousin est mort, renversé intentionnellement par une voiture alors qu’il tentait de fuir. Curieusement, les médias israéliens et palestiniens racontent deux versions différentes.
Le côté palestinien voit en Ahmad un martyr souvent comparé à Mohamed al-Dura, jeune Gazaoui tué devant la caméra de France 2 en 2000, au début de la Deuxième Intifada. Mahmoud Abbas, Chef de l'Autorité palestinienne, a déclaré à plusieurs reprises qu’Ahmad "a été fusillé de sang-froid par les Israéliens". Pour apporter des preuves, le ministère palestinien de l’Information a diffusé sur YouTube une vidéo intitulée "La violence israélienne révélée", montrant Ahmad allongé par terre et criant des mots incompréhensibles, insulté violemment. Le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, quant à lui, est plus qu'inquiet. Ce conflit sanglant peut fortement influencer l’opinion palestinienne et arabe israélienne comme cela avait été le cas lors de la mort d’Al-Dura. Alors, pour influencer l'opinion publique, Benyamin Nétanyahou a encouragé la diffusion par la police de la séquence des événements, toujours incomplète. Cette séquence montre que les deux cousins étaient armés et agressaient des passants. Pourtant, cette version des évènements ne fait pas mention de la scène finale, la plus violente, durant laquelle l'adolescent ensanglanté et en pleurs, allongé par terre, jambes repliées, se fait insulter par des gens furieux.
L'incitation à la haine se répand sur les réseaux palestiniens et israéliens. Les appels à porter plus des fusils et des couteaux, et à boycotter les entreprises arabes ont également se multiplient sur le Net. Les photos de terroristes arabes tués circulent de plus en plus.
L'un des messages les plus populaires sur Internet a été celui d'Eden Levy, soldate israélienne, ayant posté une photo avec un commentaire: "Haïr les Arabes n’est pas du racisme, c'est une valeur." La page a finalement été bloquée après avoir reçu plusieurs messages de soutien. En réponse à cette vague d'agressions, un nouveau réseau international constitué de groupes israéliens et de particuliers "engagés à lutter pour la justice en Palestine" a lancé une pétition qui fait appel à la fin des tueries et de l'occupation. Actuellement, les représentants de 16 pays dont le Brésil, l'Australie et l'Afrique du sud et de 15 organisations ont déjà rejoint ce réseau.
Dans son introduction à la déclaration, le groupe souligne qu'il "considère l'identité juive non pas comme une identité nationaliste mais comme celle qui célèbre nos racines diverses, nos traditions et nos communautés, où que l'on soit dans le monde. Nous croyons qu'il est essentiel d'être le porte-parole mondial qui défie les politiques destructrices d'Israël, en solidarité avec la lutte palestinienne".
Depuis début octobre, 41 Palestiniens ont été tués, et des centaines ont été blessés. Sept Israéliens ont également péri et des dizaines ont été blessés.
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Jeu 22 Oct - 3:45
Dictionnaire utilisé par les médias pour décrire la situation en Palestine
Dans la plupart des médias occidentaux, certains termes semblent s'appliquer uniquement à ce conflit : "regain de violence sur l'esplanade des mosquées", "Israël entame un nouveau cycle de négociations", "le processus de paix au Proche-Orient"... Loin d'être anodins, ces termes recouvrent un sens caché au service d'une rhétorique trompeuse. Démonstration (IGA)
Escalade :
a lieu chaque fois qu’un Israélien est tué. Il faut que plusieurs centaines de Palestiniens soient tués avant d’évoquer une escalade
Civil :
mot non utilisé pour les Palestiniens, y compris les enfants. S’utilise par contre pour des colons armés et des soldats de réserve, et la possibilité d’étendre l’usage de ce terme aux soldats d’occupation en activité est actuellement en cours d’examen.
Sécurité :
droit exclusivement réservé aux Israéliens, et qui permet de justifier à peu près tout, y compris des bombardements aveugles, des massacres, un mur dans le territoire palestinien occupé, des arrestations arbitraires massives, des incursions, des assassinats extrajudiciaires, des démolitions de maisons, et d’autres punitions collectives, y compris une siège de plus de 1,8 million de Palestiniens dans la bande de Gaza depuis plus de 7 ans
Regain de violence :
terme permettant de mettre dans le même sac l’occupant et le peuple occupé, en négligeant les causes pour se concentrer uniquement sur les conséquences, ce qui permet de dédouaner la puissance occupante de sa responsabilité en tant que source principale et instigateur de la violence
[Territoire palestinien occupé $
là où presque tout se déroule sans qu’on l’explique clairement. Si vous souhaitez évoquer un colon vivant illégalement dans le territoire palestinien occupé, il est préférable de parler d’un civil sans localisation géographique
Occupation :
comment, je ne comprends pas ! Mot trop complexe, l’éviter afin de ne pas créer de confusion à propos de la situation actuelle. Evoquer seulement "les deux parties" ou "les Palestiniens et les Israéliens". De même, les termes "oppression" et "déni de droits" s’appliquent à tous les autres contextes, mais pas au Moyen-Orient
Résistance :
apparemment interdite sous toutes ses formes par le droit international quand elle vient des Palestiniens et considérée comme un droit pour tous les autres peuples du monde. Les Palestiniens ont seulement le droit de recourir à des négociations
Négociations :
Dialogue au moyen duquel Israël explique, les armes à la main, toutes les raisons pour lesquelles il ne peut pas arrêter les activités de colonisation, ni mettre fin à l’occupation, ni évoquer le retour des réfugiés de Palestine, ni permettre aux Palestiniens de contrôler leurs propres frontières, ni discuter du sort de Jérusalem qui doit rester occupée, tout en dénonçant l’intransigeance palestinienne
BDS : Boycott, Désinvestissement, Sanctions, une campagne qui a largement contribué à mettre fin à l’apartheid, et considérée comme héroïque lorsqu’elle était lancée contre l’apartheid en Afrique du Sud, mais c’est de l’antisémitisme pur et simple d’appeler à BDS contre l’apartheid israélien
Paix :
cela signifie que les Palestiniens doivent rester calmes alors que l’occupation s’intensifie, que leurs droits sont violés et leurs terres volées. Toute révolte contre l’occupation menace les efforts de paix tandis que l’occupation et la colonisation sont entièrement compatibles avec les efforts de paix
Couverture médiatique :
Pour les Palestiniens, c’est comme à la loterie, ils ont une chance sur un million de gagner...
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Ven 23 Oct - 23:24
Marc-Édouard Nabe lucide et véridique sur la dernière sortie de Benjamin Netanyahu:
« Netanyahu vient d’ouvrir un boulevard Faurisson à Tel-Aviv »
La déclaration du dirigeant israélien comme quoi ce serait le Mufti de Jérusalem qui aurait inspiré Hitler a fait couler beaucoup d’encres jusqu’aux pieds de celles de Marc-Edouard.
------
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Sam 24 Oct - 4:00
Bonsoir mes frères & sœurs la LDJ qui normalement devrait être démantelée continue de faire sa loi, et agresser les gens qui les dérange...Cela devient récurent en France contre une certaine partie de la presse ou de penseurs, et se, en toute impunité. Akasha.
Manifestation anti-AFP de la Ligue de défense juive : un journaliste pris à partie
DÉBORDEMENTS - La Ligue de Défense Juive (LDJ), a organisé un rassemblement devant les locaux de l’Agence France Presse, ce jeudi à 18 heures à Paris, pour protester contre "la désinformation des médias sur Israël", indique le compte Twitter de l’organisation. Un journaliste de "Buzzfeed" a été pris pour cible.
La Ligue de défense juive (LDJ) avait donné rendez-vous à ses militants à 18 heures devant les locaux de l’Agence France Presse (AFP), situés dans le 2e arrondissement de Paris. Jeudi soir, une centaine de personnes s'étaient alors retrouvées sur place afin de protester contre le traitement médiatique fait par l’AFP sur les événements en Israël. "AFP collabo", "vous ne méritez pas votre carte de presse", criaient des manifestants, dont certains portaient le drapeau de la LDJ, groupuscule se définissant comme sioniste et connu pour ses actions violentes.
Une dizaine de personnes cagoulées
Insultes, pétards et jets de projectiles ont notamment été relevés par le journaliste David Perrotin, présent sur les lieux. Peu après avoir posté des images du rassemblement sur Twitter, et reprises par la LDJ, le journaliste de Buzzfeed a publié ce message : "Une manifestante me dit : 'Je préviens la LDJ que vous êtes là Monsieur Perrotin'".
Selon nos informations, une dizaine de personnes cagoulées et pour certaines, armées de bâtons, se sont alors dirigées vers le journaliste, qui a été pris à partie et violenté, avant l’intervention des forces de l’ordre. Le reporter agressé a ensuite été mis à l'abri dans les locaux de l'AFP avant d'être exfiltré par la police, des individus suspects l'attendant dehors. Il "a été mis en sécurité", a précisé sa rédactrice en chef un peu plus tard sur Twitter. Dans la soirée, le calme était revenu aux abords de l'AFP.
Une manifestante me dit: "je préviens la LDJ que vous êtes là Monsieur Perrotin"
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Dim 25 Oct - 16:55
Des soldats israéliens filmés alors qu’ils battent violemment un Palestinien accusé à tort
Ansar Aasi est resté détenu pendant six jours avant que la vidéo de surveillance établisse son innocence.
Un Palestinien de 25 ans a été violemment arrêté et frappé par des soldats israéliens après qu’il ait été, à tort, accusé de jeter des pierres au cours d’affrontements entre l’armée d’occupation et la population en Cisjordanie occupée, à al-Bireh. Ansar Asi a été libéré après six jours de détention arbitraire, lavé de tout soupçon. Une vidéo, publiée vendredi par l’organisation de défense des droits humainsB’Tselem montre Ansar Aasi sur son lieu de travail,un entrepôt, lorsqu’un soldat israélien – rapidement rejoint par plusieurs autres – fait irruption dans l’entrepôt, commence immédiatement à le brutaliser et procède avec violence à son arrestation. Ce sont pas moins de six de ces vaillants guerriers de « l’armée la plus morale du monde», armés jusqu’aux dents, que l’on voit s’acharner sur le jeune homme. L’enregistrement provenant d’une caméra de surveillance dure 5 minutes, et la caméra est orientée de manière telle qu’on ne discerne pas exactement tous les mauvais traitements infligés au jeune Palestinien.
On voit cependant qu’il prend de nombreux coups violents, coups de pied notamment, et qu’il y a en permanence plusieurs de ces ordures en uniforme qui s’acharnent sur lui pendant qu’il git au sol, tandis que les autres surveillent ce qui se passe à l’extérieur. Le quotidien Haaretz, qui a diffusé l’information et la vidéo, précise qu’il a dû recevoir des soins médicaux après être sorti des griffes de ses tortionnaires qui sont, comme on sait, fièrement dressés aux avant-postes de la civilisation occidentale pour barrer la route à la barbarie…
Selon B’Tselem, après son arrestation, Aasi a été jeté en prison, et ce n’est qu’après deux jours qu’il a été interrogé par des policiers, qui ont prétendu que les soldats l’avaient vu jeter des pierres au cours des affrontements qui ont eu lieu à al-Bireh, depuis le début de ce mois. Ansar Aasi a nié vigoureusement et aurait fourni un alibi, dont B’Tselem affirme que la police ne s’est pas donné la peine de le vérifier. Ce n’est que lorsqu’il a été traîné devant le tribunal militaire qui siège dans le pénitencier de Ofer, où sont enfermés la plupart des Palestiniens après leur arrestation, que la vidéo ci-dessus a été produite devant les juges. Ansar Asi a alors été remis en liberté, il y a une dizaine de jours.
Au cours d’un entretien avec un journaliste de Haaretz, Ansar Asi a expliqué qu’il a tenté de dire aux soldats qu’il n’était pas impliqué dans les heurts récent, mais ils étaient trop occupés à lui taper dessus pour l’écouter. « Dès le début j’ai dit aux enquêteurs que je n’avais pas lancé de pierre et que je pouvais le prouver, mais ils n’étaient pas pressés de vérifier et je suis resté en détention pendant six jours sans aucune raison. C’était un cauchemar», explique-t-il. « Je n’avais aucune idée de l’endroit où ils m’avaient emmené. Il faisait très froid et j’étais en t-shirt. Je n’ai pas dormi pendant plusieurs jours à cause de mes blessures», dit-il encore.
L’armée a répondu qu’ « une enquête préliminaire sur ce qui s’est passé montre que le comportement des soldats n’a pas été conforme à ce qui est attendu des soldats des FDI (Forces de défense d’Israël = le nom publicitaire officiel de l’armée d’occupation). L’incident est examiné par le commandement et les mesures disciplinaires seront prises en fonction des résultats« . On notera que pour cette fois les soldats ne peuvent être accusés de pillage, l’entrepôt où ils ont agressé Ansar Aasi ne contenant manifestement rien de très précieux (on aperçoit des rouleaux de papier hygiénique ou « essuie tout »).
Quant aux sanctions à venir, il faut se souvenir que les peines prononcées par les tribunaux militaires (quand il est difficile de fermer tout simplement les yeux) sont généralement ridicules, comme par exemple 3 mois de prison avec sursis pour avoir pris des civils comme « bouclier humain » à Gaza. En revanche, voler des ordinateurs à bord du Mavi Marmara, navire turc de la « flottille de la paix pour Gaza » arraisonné en haute mer par des commandos de marine israélien en mai 2010, a valu 5 mois de prison à l’auteur de ce vol. Les ordinateurs sont plus précieux que les Palestiniens de Gaza. Celui qui, à Rafah, avait sans aucune raison abattu une fillette de 13 ans, qui se trouvait à 100 mètres, de 17 balles, s’en est pour sa part tiré avec les félicitations de ses supérieurs : c’était normal. Il y en a un, un caporal, qui a pris dix ans de prison en 2010. C’était pour avoir volé une arme de poing et des données de carte bancaire dans le bureau de l’ancien chef d’Etat-major israélien, Gabi Ashkenazi, à qui il servait occasionnellement de garde du corps. Mais tant qu’il ne s’agit que de mauvais traitements contre un Palestinien,… Luc Delval | 25 octobre 2015
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Dim 25 Oct - 18:15
Youtube censure une vidéo attribuée à Daech , qui menace Israël. Info vue sur le site Web E&R (escroquerie et racialisme) , site conspi anti-sémite (comprendre anti-arabe et anti-juif) et contre-révolutionnaire :
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Dim 25 Oct - 18:20
yous_f a écrit:
Youtube censure une vidéo attribuée à Daech , qui menace Israël. Info vue sur le site Web E&R (escroquerie et racialisme) , site conspi anti-sémite (comprendre anti-arabe et anti-juif) et contre-révolutionnaire :
La blague du jour en effet...Mais pas dans le même sens que l'article. Mais comme de quoi Daech, n'est plus en mesure de menacer qui que se soit..Ils vont conquérir quoi ? Ils sont fini. De plus Bagdad vient de donner son aval à Moscou pour bombarder les positions de Daech et les fuyards de Syrie, ils sont fini...(article à venir dans le sujet qui lui est consacré).
Invité Invité
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Dim 25 Oct - 18:25
Israël est sauvé, akasha jubile:
akasha La blague du jour en effet...Mais pas dans le même sens que l'article. Mais comme de quoi Daech, n'est plus en mesure de menacer qui que se soit..Ils vont conquérir quoi ? Ils sont fini. De plus Bagdad vient de donner son aval à Moscou pour bombarder les positions de Daech et les fuyards de Syrie, ils sont fini...(article à venir dans le sujet qui lui est consacré).
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Dim 25 Oct - 18:57
yous_f a écrit:
Israël est sauvé, akasha jubile:
akasha La blague du jour en effet...Mais pas dans le même sens que l'article. Mais comme de quoi Daech, n'est plus en mesure de menacer qui que se soit..Ils vont conquérir quoi ? Ils sont fini. De plus Bagdad vient de donner son aval à Moscou pour bombarder les positions de Daech et les fuyards de Syrie, ils sont fini...(article à venir dans le sujet qui lui est consacré).
Les peuples du moyens orient, vont être libéré du joug de la violance et des massacres Natacha jubile..Le peuple d’Israël est un peuple comme les autres ...Contrairement à toi, je sais apprécié tout les peuples au même niveau, et je sais faire la différence entre le pouvoir, et le peuple. De plus je suis contre le pouvoir juif, tu as quand même vu le sujet non ? Je suis à fond pour le peuple de Palestine victime des sionistes et talmudistes.
Invité Invité
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Dim 25 Oct - 21:34
Tsvp
Dernière édition par yous_f le Dim 25 Oct - 21:38, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Dim 25 Oct - 21:37
Citation :
De plus je suis contre le pouvoir juif
Comment interpréter cela?
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine) Lun 26 Oct - 1:59
yous_f a écrit:
Citation :
De plus je suis contre le pouvoir juif
Comment interpréter cela?
Je devais écrire israélien, j'ai été trop vite..Autant pour moi.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine)
Isra-Hel le pays qui ne voulait pas la paix (sujet global info sur le conflit Israël Palestine)