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Opération Beluga: Un complot anglo-américain pour discréditer Poutine et déstabiliser la Fédération de Russie
2 participants
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akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Opération Beluga: Un complot anglo-américain pour discréditer Poutine et déstabiliser la Fédération de Russie Jeu 15 Mar - 3:15
Opération Beluga: Un complot anglo-américain pour discréditer Poutine et déstabiliser la Fédération de Russie
MAJ 14/03/17: On apprend que le Conseil de sécurité de l'ONU se réunira en urgence à 20 heures à la demande du Royaume Uni pour évoquer l'empoisonnement de l'ancien colonel du GRU Sergueï Skripal sur son territoire. Theresa May n'a rien trouvé de mieux à faire que d'accuser encore une fois Poutine de cette tentative d'assassinat avec zéro preuve bien entendu. Elle a également demandé l'expulsion de 23 diplomates russes et suspendu tous les contacts bilatéraux de haut niveau avec la Russie Cette affaire qui arrive à point nommée pendant les éléctions rappelle en tout point l'Opération Beluga dévoilée en 2016 par l'expert en sécurité français Paul Barril, ex commandant du GIGN ayant participé à la la création de la cellule antiterroriste de l'Élysée sous le gouvernement de Mitterand. Retour sur cette entrevue totalement passée sous silence par nos médias. La tentative d'assassinat très médiatisée de Skripal pourrait bien faire partie de la même opération de destabilisation.
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Le 21 janvier 2016, le quotidien Le Monde indiquait : "La justice britannique n’a pas hésité, jeudi 21 janvier, à désigner le président russe Vladimir Poutine en personne comme le « probable » commanditaire de l’assassinat par empoisonnement, à Londres en 2006, de l’opposant Alexandre Litvinenko. « L’opération du FSB [ex-KGB] destinée à tuer M. Litvinenko a probablement été approuvée par M. Patrouchev [Nikolaï Patrouchev, ex-patron du FSB, aujourd’hui secrétaire général du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie] et aussi par le président Poutine »". ça c'est de l'enquête...il a probablement été approuvé par le FSB et Poutine tant qu'à faire. Et hop, tous les médias relayent cette "théorie du complot acceptable" comme par exemple L'Express qui titre "Moscou, Poutine, FSB... Comment Litvinenko a remonté la piste de ses assassins" et qui n'hésite pas à affirmer que "Alexandre Litvinenko a collaboré jusqu'à sa mort avec les enquêteurs de Scotland Yard. Il a même réussi à résoudre son propre meurtre qui pointe ce jeudi en direction du Kremlin et de Vladimir Poutine." Voyons maintenant la face B de cette affaire et méfions nous des coupables tout trouvés. Fawkes -------
Un ancien fonctionnaire français qui a occupé des postes importants dans la sécurité intérieure et le contre-terrorisme vient de faire une déclaration spectaculaire en annonçant qu’il détient des documents prouvant qu’Alexandre Litvinenko, l’espion russe qui est mort d’un empoisonnement au polonium, a été tué par les services spéciaux américains et britanniques.
Dans une longue interview qui sera publiée bientôt, il va plus loin, en disant que l’assassinat de Litvinenko était une opération des services spéciaux conçue pour diffamer la Russie et Vladimir Poutine, à laquelle le fameux oligarque russe Boris Berezovsky a participé, et a été tué lui-même par le MI6 quand il est devenu gênant. Il dit même qu’il connaît le nom de code de l’opération: « Beluga ».
Opération Beluga: Un complot anglo-américain pour discréditer Poutine et déstabiliser la Fédération de Russie
Le célèbre expert en sécurité français Paul Barril vient de lâcher une bombe : l’existence de l’Opération Beluga, une opération secrète du système de renseignement occidental destinée à saper la Russie et ses dirigeants.
Est-ce la cause d’une grande partie de la rhétorique de menaces, devenue maintenant réciproque, entre les Etats-Unis et la Russie?
Barril a révélé l’Opération Beluga dans une récente interview avec l’homme d’affaires suisse Pascal Najadi au sujet de la mort d’Alexander Litvinenko en 2006. Litvinenko était connu comme un ancien espion dont beaucoup (en Occident : NDT) croient qu’il a été assassiné avec du polonium radioactif sur les ordres de Vladimir Poutine.
Najadi dit que l’entrevue parle de la révélation selon laquelle Litvinenko aurait été effectivement tué par « un Italien qui aurait administré le mortel polonium 210 « . Encore plus étonnant, il affirme que l’opération a été réalisée sous les auspices des États-Unis et au Royaume-Uni.
Dans mes livres, The Phony Litvinenko Murder et Litvinenko Murder Case Solved, j’ai écrit au sujet d’une connexion italienne. Mais je ne peux pas confirmer que Barril parle de la même personne.
Les allégations de Barril devraient être prises au sérieux. C’est un personnage de renom du renseignement français, connu en France comme le « Superflic ». Aux yeux du public français, il est une sorte de combinaison d’Eliot Ness, James Bond, et William Bratton. Pendant de nombreuses années, il a été le commandant en second du GIGN, la légendaire unité d’élite française des forces spéciales, placé en tête du classement » de badass » des forces spéciales dans le monde, et a occupé d’autres postes de haut rang dans la sécurité intérieure en France.
Depuis qu’il a quitté les services gouvernementaux, il s’est occupé de questions de sécurité comme entrepreneur privé pour les chefs d’Etat du Moyen-Orient, en Amérique latine et en Afrique. Il a été au centre de plusieurs controverses au fil des ans, et est un auteur très connu. Il ne fait aucun doute qu’il a accès à des renseignements au niveau de l’Etat qui lui donnerait une certaine perspective de cette affaire.
Dans l’interview, Barril affirme que Berezovsky a travaillé en étroite collaboration avec le MI6 et la CIA pour discréditer la Russie et Poutine, et que des sommes importantes de ces organismes sont passées par les mains de Berezovsky à destination de personnes participant à ces efforts. Barril dit Litvinenko a été l’un des porteurs de valises de Berezovsky, pour porter les fonds aux destinataire.
Extrait de l’interview:
«La Russie n’a rien à voir avec (l’assassinat de Litvinenko). L’affaire a été fabriquée depuis le début. Le Polonium a été choisi comme poison parce que, en raison de sa production en Russie, il impliquerait la Russie. L’objectif de l’ensemble de l’opération était de discréditer le président Poutine et le FSB. Cela a été fait parce que la Russie bloque les intérêts américains dans le monde entier, en particulier en Syrie. Ce fut une tentative d’affaiblir l’emprise de Poutine sur le pouvoir, de déstabiliser la Russie « .
Dans l’interview, Barril mentionne celui qui s’affiche ouvertement comme l’ennemi de Poutine, le financier William Browder, comme étant en étroite collaboration avec Berezovsky dans les efforts de discréditation. Il affirme aussi qu’il est sûr que Berezovsky a été assassiné par ses commanditaires des services secrets après que ceux-ci aient réalisé qu’il se comportait de façon erratique et qu’il fallait le réduire au silence avant qu’il n’aille tout balancer.
Enfin, il dit qu’il mettra ses preuves à la disposition d’une enquête publique sur l’affaire si elle est menée par une personne crédible. Il suggère Carla del Ponte comme un bon choix pour le faire, parce qu’il est convaincu qu’elle n’est pas sous le contrôle de la CIA.
Les allégations de Barril ne manqueront pas de soulever d’autres questions autour de l’assassinat de Litvinenko en 2006, qui a à nouveau fait la une des journaux en Janvier 2016, quand une enquête publique menée au Royaume-Uni dans cette affaire n’a pas réussi à rendre un verdict concluant.
Le cas date d’il y a 10 ans, mais suscite toujours un très large intérêt du public en raison des ingrédients de mort mystérieuse sur fond d’espionnage : barbouzerie d’espions – contre-espions, empoisonnements radioactifs, accusations (qui ont été définitivement démystifiées) selon lesquelles Poutine lui-même aurait «probablement» ordonné l’assassinat, discothèques minables, un oligarque en disgrâce qui finit mort mystérieusement dans sa salle de bains, veuves éplorées mises en vedette, d’absurdes « show » de procès politisés, grandes postures de politiciens, et bien plus encore.
Un auteur accompli dans le domaine des assassinats mystérieux aurait du mal à écrire quelque chose d’aussi surréaliste.
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: Opération Beluga: Un complot anglo-américain pour discréditer Poutine et déstabiliser la Fédération de Russie Dim 8 Avr - 16:20
Bonjour, comme prévu l'affaire Skripal se dégonfle comme une baudruche. On attend toujours les fameuse preuves qui aux dires de certains existeraient, mais on ne sait trop où ? Pire, le demi débile Boris Johnson a menti. Ce qui est certains, c'est que malgré l'absence de véritables preuves, on se retrouve en situation de guerre froide, il est difficile à l'heure actuelle de savoir jusqu'où cela peut mener, est ce que les pays de l'UE vont continuer dans cette direction en absence de faits concrets ? Là est toute la question. Orné
Questions de la Russie adressées au Royaume-Uni et à la France concernant l’affaire Skripal Questions de la Russie adressées au Royaume-Uni concernant l’affaire Skripal montée de toutes pièces par le Royaume-Uni contre la Russie
Source : Ministère des affaires étrangères de la Fédération de Russie, 31-03-2018 Samedi 31 mars, l’Ambassade russe à Londres a envoyé au Ministère britannique des Affaires étrangères une note contenant une liste des questions adressées au Royaume-Uni concernant l’affaire Skripal montée de toutes pièces contre la Russie :
1. Pourquoi a-t-on privé la Russie du droit à l’accès consulaire aux deux citoyens russes, victimes d’une attaque sur le territoire britannique ? 2. Quels antidotes et sous quelle forme concrète ont été administrés aux victimes? Pourquoi les médecins britanniques possédaient-ils ces antidotes sur les lieux de l’incident ? 3. Pour quelle raison la France a été impliquée dans la coopération technique dans le cadre de l’enquête sur l’incident touchant aux citoyens russes ? 4. Est-ce que le Royaume-Uni a informé l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques de l’implication de la France dans l’enquête sur l’incident de Salisbury ? 5. Qu’est-ce que la France a à voir avec l’incident touchant à deux citoyens russes sur le territoire britannique ? 6. Quelles normes du code de procédure britannique permettent d’impliquer un État étranger dans une enquête intérieure ? 7. Quelles preuves ont été transmises à la France pour l’analyse et l’organisation de sa propre enquête ? 8. Les experts français ont-ils assisté au prélèvement des échantillons biologiques de Sergueï et Ioulia Skripal ? 9. Les experts français ont-ils analysé les échantillons biologiques de Sergueï et Ioulia Skripal et dans quels laboratoires ? 10. Est-ce que le Royaume-Uni possède déjà des documents relatifs à l’enquête menée par la France ? 11. A-t-on transmis les résultats de l’enquête française au Secrétariat technique de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques ? 12. Sur la base de quels indices (marqueurs) a été établie “l’origine russe” de la substance utilisée à Salisbury ? 13. Le Royaume-Uni a-t-il des échantillons de contrôle de la substance toxique de combat que les responsables britanniques appellent “Novitchok” ? 14. A-t-on élaboré au Royaume-Uni des échantillons de la substance toxique de combat du type “Novitchok” (selon les termes britanniques) ou ses équivalents ?
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Opération Beluga: Un complot anglo-américain pour discréditer Poutine et déstabiliser la Fédération de Russie Mer 23 Mai - 1:20
Le mythe du novitchok "forcément russe" s'effondre
Les services secrets allemands se sont procuré dans les années '90 via un transfuge russe un échantillon de l'agent neurotoxique Novitchok, récemment utilisé pour empoisonner un ex-espion russe en Grande-Bretagne, affirment jeudi plusieurs médias allemands.
Les renseignements extérieurs allemands, le BND, ont ainsi eu accès "dans la première moitié des années '90", soit après la chute de l'URSS, à un échantillon de cet agent qui a servi à empoisonner début mars l'ancien agent double Sergueï Skripal et sa fille.
Tempête diplomatique
Tous les deux ont survécu mais l'affaire a déclenché une tempête diplomatique, Londres accusant Moscou d'avoir tenté de l'empoisonner. La Russie dément formellement, affirmant même n'avoir jamais eu de programme Novitchok.
Contact russe
Le transfuge russe, dont l'identité n'a pas été précisée, a proposé aux renseignements allemands de leur fournir un échantillon en échange d'une protection pour lui et sa famille, relatent les journaux Süddeutsche Zeitung, Die Zeit ainsi que les chaînes WDR et NDR, qui citent des sources ayant "participé à la décision" de se procurer le poison.
Laboratoire suédois
Une fois obtenu, l'échantillon a été analysé dans un laboratoire suédois, l'Allemagne ne voulant pas être accusée de travailler sur des armes chimiques. Le BND et le ministère de la Défense ont récupéré la formule chimique du Novitchok. Berlin a également informé les renseignements américains et britanniques de l'existence de cet échantillon, selon ces médias allemands.
Membres de l'Otan
De petites quantités de l'agent neurotoxique ont ensuite été produites dans certains pays de l'OTAN à des fins de test, notamment pour déterminer si les équipements de protection étaient capables de résister, et de trouver des antidotes contre le poison.
L'existence du Novitchok n'a pas été rendue publique afin de ne pas nuire à la relation avec le président russe de l'époque, Boris Eltsine, affirme encore l'enquête des journalistes allemands.