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A l'époque, on parlait aussi d'un "retrait temporaire". Cette fois c'est une situation de pénurie temporaire...mais dont "Il est difficile de prévoir avec certitude une date de retour à une situation normale". En gros, on peut toujours courir. Voyant que les français se mobilisent massivement contre cette arnaque manifeste, non seulement la ministre de la santé est montée au créneau au JT mais les médias se relayent les uns après les autres pour ternir la réputation du professeur Joyeux voir tenter carrément de démonter point par point son argumentaire (avec des mensonges grossiers).
Un échantillon des quelques articles qui ont fleuri ces trois derniers jours:
La réaction de Marisol Touraine à cette polémique:
A noter que ce battage médiatique a été orchestré exactement de la même manière lorsqu'il s'agissait de la théorie du genre. Gouvernement et médias s'étaient liés pour tenter de décrédibiliser les informations factuelles apportées. Preuve une fois encore que les médias ne sont plus un contre-pouvoir depuis bien longtemps mais bien le relais de la propagande d'Etat.
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: La pétition du professeur Joyeux contre la vaccination forcée fait grincer des dents les médias et la ministre de la santé Mar 2 Juin - 2:08
Réponse du Professeur Joyeux aux attaques infondées visant la pétition sur le vaccin DT-Polio
« Cela faisait longtemps que les antivaccins ne s'étaient pas manifestés. C'est chose faite. Depuis quelques jours, une vidéo du Pr Henri Joyeux fait un tabac sur le Net. [1] » Ce sont les premières lignes de l'article que le journal Libération a consacré le 25 mai 2015 à la pétition que nous avons organisée, avec l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, pour le retour du classique vaccin DT-Polio dans les pharmacies.
Qu'une pétition demandant que soit respecté le droit des patients à avoir accès au vaccin obligatoire DT-Polio soit décrite comme « antivaccin » en dit long sur le caractère passionnel du débat.
Avons-nous encore le droit de soulever un sujet de santé délicat sans risquer aussitôt de se voir coller des étiquettes infamantes, par des personnes qui semblent plus chercher à caricaturer, ce qui est une manière d'empêcher le débat et la réflexion, qu'à contribuer à éclairer le public sur les questions qui le concernent ?
Reprenons notre calme et discutons ensemble posément. Le DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008 Comme chacun le sait désormais, le vaccin DT-Polio obligatoire n'est plus commercialisé en France depuis 2008 par les laboratoires pharmaceutiques. C'est un fait. Personne ne peut affirmer, sans mentir, le contraire.
Depuis septembre 2014, la situation s’est aggravée avec une pénurie généralisée de vaccins tétravalents (DT-polio-coqueluche) et pentavalents (DT-polio-Haemophilus Influenzae B-coqueluche).
Le seul vaccin contenant le DT-Polio qui ne souffre d’aucune pénurie est le vaccin hexavalent DT-polio-Hib-coqueluche-hépatite B, Infanrix Hexa des laboratoires Glaxosmithkline.
Sur ces points, « le Pr Joyeux a raison », a reconnu le journaliste de Libération. Merci à lui pour cela, au moins.
Les parents sont donc actuellement obligés de recourir à l'Infanrix Hexa s'ils veulent protéger leurs enfants contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, éviter les poursuites pénales prévues par la loi en cas de non-respect de l'obligation vaccinale, et garantir l'accès de leurs enfants aux collectivités (crèches, garderies, écoles, cantines… dont les enfants n'ayant pas reçu les vaccins obligatoires sont en général exclus).
Logiquement, nous demandons que, puisque le vaccin DT-Polio est obligatoire, il y ait une obligation pour les laboratoires pharmaceutiques de le fournir aux parents.
En cas de défaillance, il serait logique que les autorités de santé interviennent pour empêcher les laboratoires de jouer sur l'obligation vaccinale pour vendre du même coup d'autres vaccins facultatifs, éventuellement inutiles pour certains, car un vaccin n'est jamais anodin. Il existe toujours un risque, même s'il est faible, et il peut ne pas être raisonnable de vacciner si le patient n'a pas, ou peu de risques d'être en contact avec la maladie. C'est en particulier le cas de la valence hépatite B, présente dans l'Infanrix Hexa.
Le seul vaccin disponible est 7 fois plus cher
À ce problème purement médical s'en ajoute un autre, d'ordre financier.
Il se trouve que l'Infanrix Hexa coûte 39,04 euros contre 6,10 euros pour le simple DT-Polio, qui n'est plus disponible, soit près de 7 fois plus cher.
Multipliez cette différence par 700 000 naissances en France chaque année. La plus-value réalisée grâce à cette opportune pénurie se chiffre en dizaines de millions d'euros pour les laboratoires pharmaceutiques.
Cela ne veut pas dire que cette pénurie soit organisée. Nous ne l'avons jamais dit. Mais il n'en reste pas moins qu'il est permis de s'interroger sur le peu d'empressement des laboratoires pour y remédier.
Est-ce une hypothèse vraiment invraisemblable que d’imaginer qu’ils ne soient, au fond, pas si gênés que cela d'être « obligés » de vendre massivement ce vaccin si sophistiqué… et si cher ?
En lançant cet appel public aux autorités à enfin réagir (je rappelle que cela fait maintenant 7 ans que le traditionnel vaccin DT-Polio n'est plus vendu en France), nous savions que nous allions heurter des sensibilités, autant que des intérêts financiers majeurs. C'est le lot inévitable du « lanceur d'alerte ».
Désinformation et sape systématique par tous les médias
Ce à quoi nous n'étions pas préparés, en revanche, c'est que tous les aspects de notre pétition allaient être contestés, y compris en y opposant de pures inventions (je vais y revenir), comme s'il existait une sorte d'urgence de convaincre le public que nous n'aurions écrit que des âneries voire des mensonges.
Ces accusations, initialement formulées sur un simple blog anonyme, ont été reprises telles quelles par nombre de grands sites d'information, de Rue89 jusqu'au site du journal Le Monde, en passant par BFMTV, L’Obs ou encore France TV Info et le Journal de la santé sur France5.
L'écho qui leur a été donné, à notre grande surprise vu leur absence de sérieux, fut si grand, et l'objectivité scientifique tellement absente du propos, que je suis obligé d'y répondre de façon systématique.
Je commencerai par les arguments les plus ahurissants.
1/ Un kit DT-Polio gratuit mais réservé à des cas très rares
Le premier argument le plus utilisé pour discréditer notre initiative est que les laboratoires mettraient un kit DT-Polio gratuitement à disposition des personnes qui souhaitent éviter l'Infanrix Hexa. Cela écarterait donc toute possibilité que les laboratoires aient un intérêt quelconque à l'actuelle pénurie. Mieux, cela démontrerait que ces entreprises sont engagées dans une démarche purement désintéressée et philanthropique.
C'est une invention. Ce kit gratuit existe. Mais il est réservé aux rares cas de nourrissons présentant une contre-indication au vaccin anticoquelucheux, présent dans l'Infanrix Hexa, ainsi que l'indique le communiqué de Sanofi-Pasteur MSD indiqué en note [2].
Les contre-indications au vaccin anticoquelucheux sont les antécédents d'allergie, rares chez les bébés nourris au sein, les réactions intenses à d'autres vaccins, impossibles chez les nourrissons n'ayant jamais été vaccinés, l'encéphalopathie évolutive, la fièvre (égale ou supérieur à 40°C), une affection chronique et les affections graves de l'appareil pulmonaire.
En outre, la première partie du kit gratuit, celle qui contient les valences diphtérie et tétanos, a été en rupture de stock depuis le 1er janvier 2015, rupture à laquelle il n'a été remédié qu'au mois de mai, ainsi que l'indique l'Agence du médicament sur son site Internet consultable ici [3].
Prétendre que ce vaccin gratuit ait été librement et largement accessible aux parents ayant une méfiance à l'égard de l'Infanrix Hexa est donc absolument faux.
2/ Oui le vaccin hexavalent peut être dangereux
Le second argument le plus repris contre notre initiative pour le retour du vaccin DT-Polio est que les autorités sanitaires affirment que le vaccin hexavalent est sûr, et qu'il n'y a donc aucun danger particulier à le recevoir. Au contraire, les familles et les patients devraient être reconnaissants, puisqu'ils seraient ainsi protégés contre six maladies d’un coup, en une seule piqûre. Et six précautions valent mieux que trois !
Là encore, il s'agit d'une vision simpliste et trompeuse du choix qui s'offre aux patients. Sait-on ce que recouvre, dans le domaine médical, la notion de « sûreté » d'un médicament ou d'un traitement ?
Toute intervention sur le corps humain, et a fortiori toute injection de corps étrangers, comporte un risque. En tant que médecin, c'est la première chose que nous apprenons. Notre serment d'Hippocrate commence par ces mots : « D'abord ne pas nuire » (« Primum non nocere »). Les vaccins sont des médicaments actifs comme les autres. Affirmer qu'ils sont sûrs signifie seulement que, globalement, les risques qu'ils font courir aux patients sont inférieurs aux bienfaits qu'ils peuvent en attendre. Cela ne signifie absolument pas qu'il n'y ait aucun risque.
Les autorités, et c'est leur rôle, se bornent à estimer que, collectivement, la balance bénéfice/risque est en faveur de la vaccination.
Mais on ne peut en déduire qu'en toutes circonstances il soit sûr, d'un point de vue individuel, de se faire vacciner. Chez un individu donné qui n'est pas exposé à une infection et chez qui la vaccination présente un risque, la gestion individuelle du risque doit recommander de ne pas vacciner. C'est pourquoi il peut être logique de vacciner tout le personnel soignant contre l'hépatite B, une maladie qui se transmet par le sang et les fluides corporels – et je le suis moi-même bien sûr, en tant que chirurgien.
En revanche, pour un bébé de deux mois, qui ne pratique pas d'interventions médicales, qui n'est pas toxicomane et qui n'a pas de rapports sexuels ni de contact étroit avec des malades potentiels de l'hépatite B, il n'est pas du tout sûr que les bénéfices de la protection contre une maladie très peu probable justifie de courir les risques du vaccin.
Discuter le risque d’un vaccin, ce n’est pas être anti-vaccin, c’est dire la vérité
Affirmer qu'un vaccin est risqué, informer les patients que tout vaccin comporte un risque, ce n'est pas être « antivaccin ». C'est dire la vérité, et les familles et patients ont droit de savoir la vérité sur les médicaments qu'on leur administre.
Vouloir la leur cacher, même partiellement, au nom d'objectifs généraux de santé publique, comme la maximisation de la couverture vaccinale, n'est pas respectueux des Droits de l'Homme, et c'est pourquoi nous nous y opposons.
3/ Les vaccins multivalent sont plus dangereux que les autres
Vient le troisième argument, selon lequel les vaccins multivalents, c'est-à-dire qui vaccinent contre plusieurs maladies en une seule injection, ne posent pas plus de problèmes que les autres.
En réalité, le principe de la vaccination consiste à solliciter le système immunitaire avec un agent infectieux affaibli pour provoquer une réponse, afin d'accélérer cette réponse la prochaine fois qu'il sera confronté avec cet agent infectieux. Notre système immunitaire est configuré pour faire face à plusieurs infections mineures, et une ou deux attaques majeures.
Le vaccin hexavalent consiste à demander à l’organisme d’un bébé de 2 mois de faire face à 6 infections majeures simultanées, et donc chez un nourrisson dont le système immunitaire est encore immature (il dépend fortement de celui de la mère, via l'allaitement qui reste idéal pour l’enfant).
Le système immunitaire est une mécanique très délicate. Son emballement est au moins aussi dangereux que son insuffisance. La surréaction du système immunitaire peut produire une « tempête de cytokines » créant des maladies auto-immunes graves.
Que sait-on de la réponse immune lorsqu'il y a 6 valences d'antigènes dans un vaccin ? Pas grand chose à long terme, tout simplement parce que cette pratique de multiplier les valences n'est pas assez ancienne pour que l'on ait aujourd'hui le recul suffisant. Et dans la mesure où l’on ne prend pas en compte le groupe HLA des personnes avant de les vacciner, il est impossible de prédire les risques sanitaires à long terme.
De la même façon, il a été dit et répété dans les attaques contre notre pétition que les adjuvants présents dans le vaccin hexavalent ne sont pas dangereux. Pourtant, pour mémoire, les adjuvants servent à créer une réponse inflammatoire, afin de mieux « marquer » le système immunitaire. Ils fonctionnent forcément en agressant le corps, sans quoi celui-ci ne chercherait pas à se défendre. Ce sont par définition des produits agressifs.
On nous dit, pour nous tranquilliser, que les adjuvants à base de mercure et d'aluminium, des neurotoxiques, ou de formaldéhyde, un cancérogène certain, ne sont pas dangereux parce que les doses sont trop faibles, jusqu'à 10 000 fois inférieures à la dose létale pour l'adulte.
Des poisons injectés, non pas à des adultes, mais à des nourrissons, directement dans le sang
Mais il faut considérer le fait que les adjuvants sont administrés non à des adultes mais à des nourrissons. Qu'ils ne passent pas par le système digestif, et donc pas par le filtre du foie, mais qu'ils sont injectés directement dans le sang. Que ce que l'on redoute n'est pas l'empoisonnement immédiat du bébé, mais les conséquences à long terme, la myofasciite à macrophages ou, nettement plus tard, telle ou telle maladie neurodégénérative, telle la sclérose en plaque (SEC), comme cela a été prouvé après la campagne de vaccination contre l’hépatite B au collège à la fin des années 90.
Pour toutes ces raisons, nous réfutons toute accusation d'approximation, de « dérapage verbal », et plus encore de « complotisme » et de « charlatanisme ». Notre appel à pétition est justifié, pour ne pas dire urgent, par un impératif de santé publique. L'opposition bête et méchante, parfois même de mauvaise foi, que nous rencontrons nous conforte dans l'impression que, si nous ne bougions pas, personne ne le ferait. Continuons notre mobilisation
C'est chose faite aujourd'hui. Le débat est enfin lancé. Puissent les autorités de santé entendre la voix des 500 000 citoyens et professionnels de santé qui ont déjà signé notre pétition, et de tous ceux qui se joindront à eux prochainement.
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: La pétition du professeur Joyeux contre la vaccination forcée fait grincer des dents les médias et la ministre de la santé Ven 5 Juin - 2:18
La preuve que l'hypocrisie de la ministre de la santé concernant la vaccination doit valoir sa démission
Dans un pays "normal", dans un Etat normal, la preuve qui suit et signée de la main de Marisol Touraine elle-même devrait lui valoir une démission immédiate.
Car l'hypocrisie sans nom de Mme Touraine est responsable de handicaps et d'effets post-vaccinaux graves irréversibles au quotidien. Elle qui critiquait Roselyne Bachelot lors du H1N1 pour se profiler en futur ministrable ne vaut finalement pas mieux du tout qu'elle et elle apparaît ainsi comme une électoraliste vraiment peu soucieuse du bien commun et qui n'a aucune parole ni aucune fidélité à ses engagements. C'est donc une Ministre en qui personne ne peut avoir confiance.
Marisol Touraine a tenté de descendre en flamme la pétition du Pr Joyeux sur le vaccin DTP en disant que "la vaccination, ça ne se discute pas!"*. Sans argument, elle a fait une attaque personnelle sur la personne contre le Pr Joyeux. Mais voici maintenant venu le temps où la honte publique lui revient de droit car voyez plutôt les propos exacts qu'elle a tenus sur l'aluminium et sur les vaccins dans un courrier du 20 avril 2012 dans le cadre de la campagne présidentielle de François Hollande et qu'elle avait alors envoyé à l'association E3M..
(*)
"De nombreuses études ont ainsi alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d'aluminium.
[…] "La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l'objet d'une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu'elles soient pleinement informées. Elles doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d'aluminium, d'autant plus que cela était le cas jusqu'en 2008."
Que toutes les victimes (vaccinées depuis le 16 mai 2012, date d'entrée en fonction de M. Touraine) n'hésitent plus à poursuivre pénalement Marisol Touraine qui a une responsabilité écrasante depuis qu'elle est Ministre et que cette dame explique donc à la justice pourquoi elle a fait volte-face sur ses anciennes déclarations de sorte que l'on puisse examiner la propreté de son entourage expertal..
Note Fawkes:
Autre info intéressante. En 2009, la ministre de la santé faisait partie du Club Avenir de la santé, un groupe de pression financé par GSK (le labo qui commercialise le seul vaccin qui reste actuellement pour le DTP à la sauce hexavalente).
Jusqu'à mars 2014, son nom figurait toujours sur le site de GSK alors qu'elle était déjà ministre de la santé depuis 2 ans:
La page a sauté en avril 2014. On ne sait même pas si elle a quitté ce lobby entre temps. Alors quand elle dit que la vaccination ça ne se discute pas, on sait pourquoi.
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: La pétition du professeur Joyeux contre la vaccination forcée fait grincer des dents les médias et la ministre de la santé Lun 8 Juin - 1:54
Professeur Joyeux : « Marisol Touraine ne connait rien à la santé »
Alors qu’une épidémie de rougeole se répand en Alsace, certaines voix s’élèvent justement contre les éventuels dangers des vaccins. Parmi elles, le chirurgien-cancérologue Henri Joyeux.
Près de 200 cas de rougeole ont été déclarés depuis le début de l’année en France, dont 150 en Alsace. D’où le rappel de l’Institut de veille sanitaire (InVS) sur l’importance de la vaccination.
Mais un autre son de cloche résonne chez les professionnels de santé. C’est le cas du cancérologue Henri Joyeux, à l’origine d’une pétition controversée sur les dangers de la vaccination.
« La ministre de la Santé a dit que j’étais contre la vaccination. Ce n’est pas vrai, je suis contre les excès de la vaccination, ce qui n’est pas du tout la même chose« , tient à préciser le médecin. Il dénonce la pénurie actuelle des vaccins obligatoires (DTP, diphtérie-tétanos-poliomyélite) qui contraint les parents à faire vacciner leurs enfants avec le seul produit qui serait actuellement disponible.
Vous avez des experts qui sont dépendants de tous les groupes qui sont au niveau de la fabrication
« On veut vacciner les gosses à deux mois. Or le système immunitaire de l’enfant n’est pas fini avant 1000 jours« , prévient-il, mettant en garde contre des « réactions importantes au niveau de l’allergie« .
Sujet: Re: La pétition du professeur Joyeux contre la vaccination forcée fait grincer des dents les médias et la ministre de la santé Lun 8 Juin - 18:53
A noter que les seringues ( = 153 ) font aussi penser à l' implantation de la puce RFID sous la peau !
" Seringues " = 666 en calculant selon le principe des langues alphanumériques grecque et hébraïque.
La synagogue de Satan est aussi derrière cette dangereuse mascarade:
" La vacciNATION rappelle les nombres trois cent cinquante neuf et six cent soixante six de Satan et de l' Antéchrist " = 1109
" La vacciNATION est liée aux nombres trois cent cinquante neuf et six cent soixante six de Satan et de l' Antéchrist " = 1109
Etc.
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Sujet: Re: La pétition du professeur Joyeux contre la vaccination forcée fait grincer des dents les médias et la ministre de la santé
La pétition du professeur Joyeux contre la vaccination forcée fait grincer des dents les médias et la ministre de la santé