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37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada
3 participants
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orné Modérateur
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: 37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada Sam 8 Nov - 19:35
37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada
37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada, après la plantation d’un grand champ de maïs OGM.
Des millions d’abeilles sont tombées raides mortes, quelques semaines après la plantation d’un champ de maïs OGM en Ontario, Canada. L’apiculteur local, David Schuit qui produit du miel à Elmwood a perdu environ 37 millions d’abeilles qui représentent au total à peu près 600 ruches.
« Une fois qu’ils ont commencé à planter le maïs, elles sont mortes par millions », a déclaré Schuit. Bien que de nombreux apiculteurs accusent les néonicotinoïdes d’être la cause de l’effondrement des colonies d’abeilles et que de nombreux pays de l’UE ont interdit les néonicotinoïdes qui sont une classe d’insecticides qui agissent sur le système nerveux des insectes, le ministère américain de l’agriculture ne parvient pas à interdire les insecticides néonicotinoïdes, fabriqués par Bayer CropScience Inc. Deux des insecticides de Bayer les plus vendus, l’Imidaclopride et la Clothianidine, sont connus pour entrer dans le pollen et le nectar, et peuvent endommager les insectes utiles comme les abeilles. La commercialisation de ces pesticides a également coïncidé avec l’effondrement des colonies à grande échelle dans de nombreux pays européens et aux États-Unis.
Nathan Carey, un autre paysan, dit que le printemps dernier il a remarqué qu’il n’y avait pas assez d’abeilles sur son exploitation agricole et il croit qu’il y a une forte corrélation entre la disparition des insectes et l’utilisation d’insecticides.
Dans le passé, de nombreux scientifiques ont eu du mal à déterminer la cause de ces effondrements massifs, un phénomène qu’ils appellent « syndrome d’effondrement ». Aux États-Unis, les abeilles sont en déclin terminal depuis 7 années consécutives.
Des scientifiques américains ont trouvé 121 pesticides différents dans des échantillons de ces insectes, de cire et de pollen, rendant crédible l’idée que les pesticides sont un problème majeur. «Nous croyons que certaines interactions subtiles entre la nutrition, l’exposition aux pesticides et autres facteurs de stress convergent pour tuer des colonies », a déclaré Jeffery Pettis, de l’ARS le laboratoire de recherche sur les abeilles.
L’effondrement de la population mondiale est une menace majeure pour les cultures. On estime qu’un tiers de tout ce que nous mangeons dépend de pollinisation des ces travailleuses, ce qui signifie que les abeilles contribuent à plus de 30 milliards à l’économie mondiale.
Une nouvelle étude publiée dans le Journal Proceedings of the National Academy of Sciences a révélé que les pesticides néonicotinoïdes tuent les abeilles en endommageant leur système immunitaire ce qui les rend incapables de lutter contre les maladies et les bactéries. Après la signalisation des pertes importantes ces insectes à cause de l’exposition à l’imidaclopride, on a interdit son utilisation pour le maïs et le tournesol, malgré les protestations de Bayer. La France a également rejeté la demande de Bayer pour la clothianidine, et d’autres pays, comme l’Italie, ont également interdit certains néonicotinoïdes.
Après un nombre record de décès de ces insectes au Royaume-Unis, l’Union Européenne a interdit plusieurs pesticides, dont les pesticides néonicotinoïdes.
Mais où les abeilles vont-elles bien pouvoir se réfugier ? Même la nature sauvage des montagnes leur est devenue fatale. Cette mauvaise nouvelle – la dernière en date dans la longue liste des calamités qui frappent les insectes butineurs – arrive des Pyrénées-Orientales avec une enquête dont les résultats viennent d’être transmis aux apiculteurs. Leurs taux de perte atteignent des records, jusqu’à 100 % de mortalité, en particulier chez ceux qui pratiquent la transhumance avec leurs ruches vers les hauts pâturages.
Cette année se solde par une hécatombe dans le département : 48 millions d’abeilles ramassées mortes, 1 300 ruches touchées, soit une sur dix. Et la situation est au moins aussi alarmante chez les voisins, en Ariège (5 000 colonies décimées), dans l’Hérault, l’Ardèche. « Après la saison estivale 2013, nous avons constaté que les colonies ne souffraient ni de fortes attaques de la part de parasites, ni de maladie manifeste, rapporte Marc-Edouard Colin, vétérinaire expert en pathologie de l’abeille. En revanche, elles présentaient des symptômes caractéristiques d’intoxication : troubles nerveux, faible reproduction… »
Les apiculteurs, réunis en collectif, ont décidé de financer des études pour en avoir le cœur net. Durant l’hiver 2013-2014, 26 échantillons d’abeilles mortes, de pollen et de miel recueillis au sein de leurs colonies aux trois quarts moribondes ont été expédiés dans un laboratoire du CNRS à Solaize (Rhône). Ces analyses physiques et chimiques ont mis au jour des traces de pesticides dans 81 % des cas, en cocktail ou non.
« 10 000 EUROS DE NOTRE POCHE POUR LES ANALYSES »
La plupart des douze molécules détectées sont des insecticides. Trois appartiennent à la famille des néonicotinoïdes – partiellement interdite dans l’Union européenne pour deux ans. Mais, plus inquiétant, quatre autres sont totalement proscrits en France, notamment le triphenylphosphate et le coumaphos que l’on trouve dans des préparations antiparasitaires, des produits importés illégalement d’Espagne.
On peut en être surpris : on associe davantage les pesticides aux vastes plaines vouées aux monocultures céréalières plutôt qu’aux hauts pâturages. En fait, qu’il s’agisse de lutter contre les acariens, les pucerons et autres larves d’insectes, les préparations phytosanitaires ont recours aux mêmes familles de molécules chimiques. On les retrouve donc dans des régions d’arboriculture intensive comme dans les zones maraîchères, voire dans des forêts exploitées. Dans les Pyrénées-Orientales, ces produits sont utilisés pour débarrasser les troupeaux de vaches laitières et de brebis de leurs parasites.
« Il y a encore cinq ou six ans, nous pouvions aller partout dans la région avec nos ruches, témoigne Jean Adestro, président du Groupement de défense sanitaire apicole départemental. Puis nous avons dû cesser de fréquenter les grandes zones de vergers et les vignes. Et en 2009 nous avons connu une première vague de mortalité anormale. Après une épizootie de fièvre catarrhale ovine, les bergeries avaient été traitées à fortes doses. On voyait nos abeilles complètement désorientées essayer d’entrer dans la ruche par l’arrière ! Cette fois-ci, on s’est dit qu’on ne tournerait pas le dos à nos cheptels morts. On s’est organisé et on a sorti 10 000 euros de nos poches pour les analyses.
Le pire c’est que on connait la cause, et ce sont les pesticides … : qu’attend on pour interdire les pesticides ?
Hé bien ça avait commencé, l’idée avait germé , puis ça avait été limité aux espaces verts et de promenades
Royal veut interdire les pesticides dans les espaces verts dès 2016 Cette anticipation de l’interdiction «est techniquement réalisable car elle ne porte que sur les espaces verts et les promenades ouvertes au public, surfaces pour lesquelles il existe des solutions alternatives à l’emploi des pesticides chimiques», souligne le gouvernement dans l’exposé des motifs de son amendement.
De plus, l’interdiction n’est pas totale puisque «les produits autorisés en agriculture biologique, les produits de bio-contrôle et les produits à faible risque continuent d’être autorisés», précise le gouvernement.
» La ministre de l’Ecologie Ségolène Royal a fait adopter le 25 juin un amendement pour avancer de 2020 à 2016 l’interdiction des produits phytosanitaires dans les espaces verts gérés par les collectivités. »
Mais il y a urgence ! Et surtout un lobbying énorme de l’industrie agricole, car les enjeux sont énormes
Résultat, hécatombe « exceptionnelle » d’abeilles, et Appel inédit aux dons d’essaim après l’hécatombe dans les Pyrénées ! Comme le rapporte LE MONDE :
Face à l’hécatombe exceptionnelle d’abeilles l’hiver dernier, deux organisations apicoles ont lancé, mercredi 12 novembre, un appel inédit aux dons d’essaim pour aider les apiculteurs de l’Ariège et des Pyrénées-Orientales.
« Puisque l’Etat est déficient sur le sujet, on lance une opération de solidarité pour que nos collègues puissent reconstituer leurs colonies », a annoncé Alain David, coordinateur de la Fédération française des apiculteurs professionnels (FFAP).
Cette opération sera menée conjointement par la FFAP, qui représente cent cinquante à deux cents apiculteurs professionnels, et la section apicole de la Confédération paysanne, syndicat agricole minoritaire, très investi dans les sujets environnementaux. « Dans l’urgence, il faut au moins qu’on puisse apporter un soutien, et un effort, de un à cinq essaims, seront demandés à nos apiculteurs », a poursuivi Thierry Dolivet, de la Confédération paysanne, apiculteur dans la Creuse.
Quelque cent cinquante essaims ont déjà été promis et seront livrés au début du printemps prochain, selon la FFAP. Les services vétérinaires de l’Ariège ont lancé en février une mission pour évaluer l’éventualité d’un lien entre ces pertes et la désinsectisation du bétail dans le cadre de la lutte contre la fièvre catarrhale ovine (FCO). Selon Alain David, les services de l’Etat « sont venus constater mais rien n’a été fait ».
« Les bêtes qui vont dans les estives (veaux, moutons, vaches…) sont traitées avec des produits antiparasitaires que l’on retrouve dans les déjections et qui polluent l’environnement. Et c’est cela qui pourrait être la cause de cette surmortalité importante », explique-t-il.
De son côté, le ministère de l’agriculture n’a pas réagi dans l’immédiat.
DÉFICIT D’ABEILLES EN FRANCE ET EN EUROPE
La France et l’Europe sont en déficit d’abeilles en raison d’une surmortalité multifactorielle des colonies, liée à une dégradation de leur environnement et aux pesticides, jugés par les apiculteurs comme l’une des causes majeures de la disparition de ces hyménoptères.
Bruxelles a interdit en 2013 et pour deux ans l’usage des trois pesticides néonicotinoïdes jugés responsables en partie de cette situation. Insuffisant pour les apiculteurs, qui réclament un moratoire étendu à toutes les autres molécules, alors qu’en 2013 la production de miel en France a été inférieure à 15 000 tonnes, soit moitié moins qu’en 1995, pour un nombre de ruches presque équivalent.
Voir de nombreux autres liens en libélés dans le texte d'origine : ICI
orné Modérateur
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada Lun 17 Nov - 8:02
Bonjour, Quand on vous expliquais que la mort des abeilles est dû aux insecticides et de surcroit à Monsanto et autres Syngenta et Pionner-HI-Bred,... Certains on eut le toupet de les protéger en invoquent n'importe quoi. notamment ICI. Mais les laboratoires tenu par des gens qui savent de quoi ils parlent (car c'est leur métiers) On une tout autre explication et vont dans le même sens que nous. Ici il s'agirait plutôt d'un emploie illicite d'un produit appartenant au groupe Sanofi-Aventis, qui ne vaut pas mieux que les autres pré cités plus haut. Voyez plutôt.
Suisse : Deux laboratoires expliquent l’hécatombe d’abeilles
Plus d’un million d’abeilles sont mortes à la fin d’avril dans le canton de Berne. Des laboratoires donnent une explication.
Les causes de la mort mystérieuse de plus d’un million d’abeilles à la fin d’avril dans la région de Zäziwil, dans le canton de Berne, sont désormais élucidées. Un insecticide, le fipronil, a été par erreur mélangé avec un fongicide chez un fabricant de produits phytosanitaires.
Du fipronil, une substance qui présente un effet insecticide, a été découvert sur les feuilles d’arbres fruitiers. Mais la façon dont ce produit s’est déposé sur les végétaux demeure un mystère. Son utilisation en Suisse pour la protection des plantes est interdite.
Ce sont deux laboratoires indépendants qui ont fait le rapprochement avec le fipronil, a annoncé lundi 10 novembre le service apicole apiservice. Une table ronde sera mise en place entre les différents acteurs pour prévenir un nouvel incident de ce type.
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada Dim 28 Déc - 8:49
Messieurs, dames, bonjours, Comme vous le savez, malheureusement le sort peu enviable des abeilles n'est pas près de changer, la faute aux insecticides du type néonicotinoïdes . Et qui bien évidemment se retrouve, je vous le donnes en milles ? Eh oui dans le fameux Roundup, des démons de Monsanto. Le pire c'est que l'utilisation de ces pesticides agressifs ont une double impact sur les abeilles, premièrement elles attaques leur systèmes nerveux, et finissent par perdre tout repère et meurt. Deuxièmement, le pesticide détruit leur habitat naturel, leur nourritures, par exemple la disparition des trèfles de notre enfance à conduit à la disparition du bourdon (Bombus Cullumanus) aussi de notre enfance (soupir). Mais attendez, cela ne s'arrête pas-là. Pour palier à la vague de famine que cela engrange sur les colonies d'abeilles des ruches des apiculteurs, ils les nourrissent avec un produit très bon marché, le sucre d'orges (bee candy), mais qui à terme les faits mourir aussi. Et pour ce qu'il en est des abeilles qui survivent (et moins longtemps qu'avant), elles sont devenue de véritables esclaves (eh oui eu aussi). Pour la pollinisation de nos champs et cultures. En Chine par-exemple, ils ont eu tellement la main lourde question insecticides, que maintenant ce sont les hommes qui pollinisent à la main !
Alors pour l’extinction prématuré, à qui le tours ?
Sans les abeilles et les autres insectes pollinisateurs, nous pourrions tirer un trait sur une grande partie de notre nourriture. Si elles n'étaient plus là pour butiner, les plantes ne pourraient pas se reproduire. Mais à force de vouloir rentabiliser notre production agricole - à grand renfort de pesticides notamment - nous devenons le premier ennemi de cet allié pourtant essentiel dans l'écosystème qui nous entoure.
"En Croatie, des chercheurs ont réellement entrainés des abeilles à reconnaître l'odeur de la TNT" : http://is.gd/wcDu5P
"d'autres scientifiques ont inventé un détecteur de drogues, avec abeilles incorporées" : http://is.gd/YMFkMI
"35% de ce que l'on mange dépend directement des abeilles" : http://is.gd/BSL33h
"En Europe, elles permettent la reproduction de 84% des plantes que nous cultivons" : http://is.gd/m1z8X1
"Aux États-Unis, 35% des ruches disparaissent chaque année" : http://is.gd/53Th4n
"En Europe, 24% des différentes espèces d'abeilles domestiques sont menacées d'extinction" : http://is.gd/0lblna
"En France, depuis 1995, 300.000 ruches périssent chaque année" : http://is.gd/kuobT7
"La production de miel nationale est passée de 33.000 tonnes à 10.000 tonnes, moins 70%" : http://is.gd/I9ewET
"Coïncidence : cette même année, 1995, de nouveaux insecticides font leur apparition dans les champs français : les néonicotinoïdes" : http://is.gd/kuobT7
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada Mer 4 Fév - 7:44
L’UNAF vole au secours des apiculteurs sinistrés
Depuis notre article « Récolte de miel 2014 en baisse de 50 à 80%« , aucune aide spécifique n’a été apportée aux apiculteurs les plus touchés. Dans une lettre ouverte adressée le 25 novembre 2014 à Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, l’UNAF demande des aides pour les apiculteurs des Pyrénées-Orientales et de l’Ariège ayant connu les plus lourdes pertes durant l’hiver 2013-2014. Cette lettre demeure sans réponse jusqu’ici.
L’histoire date, mais le ministère de l’environnement n’a pas encore pris de mesures à la hauteur des enjeux selon l’Union Nationale de l’Apiculture Française (UNAF). « De nombreux apiculteurs pyrénéens et ariégeois ont subi de très lourdes pertes sur leurs ruchers avec des mortalités massives de 80 à 100% sur plus de 5 000 ruches et des affaiblissements importants de leurs ruchers en zone de montagne », fait savoir l’UNAF dans un communiqué.Le 17 novembre dernier, les experts du Ministère de l’Agriculture rencontraient les apiculteurs sinistrés des Pyrénées Orientales et de l’Ariège afin de présenter les résultats d’analyses de l’enquête officielle réalisée par la Direction générale de l’alimentation (DGAL).
Celle-ci visait à déterminer les causes de cette hécatombe. Les résultats annoncés corroborent ceux déjà obtenus par des experts mandatés par les apiculteurs. « Ce n’est pas moins de 18 molécules pesticides différentes qui ont été identifiées parmi des prélèvements provenant de 52 apiculteurs sur les 58 ayant déclaré des pertes de cheptel », déplore l’UNAF.
L’UNAF demande des aides pour assurer la survie des apiculteurs
Le représentant des apiculteurs exhorte le ministère de l’agriculture à agir vite. S’il existe plusieurs causes de surmortalités d’abeilles, l’UNAF estime que le facteur déclencheur d’une telle hécatombe sur un territoire donné « réside bien dans l’emploi de certains pesticides à usage vétérinaire employés par les éleveurs ».
Les revendications de l’UNAF sont claires : reconnaître officiellement la responsabilité des pesticides comme cause première de ces mortalités en Ariège et apporter une aide exceptionnelle d’urgence pour les apiculteurs sinistrés.
Messages : 11 Date d'inscription : 31/01/2015 Age : 44
Sujet: Re: 37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada Mer 4 Fév - 20:19
Bonsoir
je suis pas très loin de tout ce carnage et c'est vraiment déplorable, que faire??
Pour ma part avec les données que j'ai pu voir, il faut peux être commencer par employer le terme adéquat:
C'est un crime contre l'humanité qui est en train de se passer car continuer à vacciner en connaissance de cause est un génocide!
Informons les gens, boycottons la viande, au moins celle qui viens de ces éleveurs, au mieux toutes les viandes, car celui qui achète en connaissance de cause est complice de crime contre l'humanité ni plus ni moins!
C'est un bon argument pour motiver et faire prendre conscience au gens qu'il faut arrêter de consommer de la viande.
Misons sur le bouche à oreille, sur de l'affichage, sur nous quoi!
Il y a aussi un autre chose pour en rajouter , c'est les frelons asiatiques, dans l’indépendant du 27 janvier de cette année, nous n'avons plus le budget pour lutter contre cette menace et c'est au sonneur d'alerte, propriétaire du terrain sur lesquels le ou les nids se trouve qui dois payer la somme de 110 € par nid pour les faire éradiquer.....
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada Ven 13 Fév - 7:30
Des abeilles imatures contraintes à butiner par pénurie d’ouvrières..
Franchement on sait que les pesticides sont en cause, et ils continuent d’être autorisés par Bruxelles. (Il s’agit de l’acétamipride, matière active du Suprême 20 SG produit par Certis Europe utilisée pour traiter les fruitiers, et du thiaclopride, matière active du Protéus produit par Bayer utilisée sur les céréales (blé, avoine, colza, pomme de terre) Voir ICI. On peut se demander si la disparition des abeilles, ne fera pas la fortune des empoisonneurs and Co et de leurs chimères hybrides ou OGM. On marche à côté de nos pompes avec la tête sous le bras…
Des abeilles imatures contraintes à butiner par pénurie d’ouvrières
Face à la disparition des abeilles qui frappe depuis le début des années 2000 de nombreuses ruches en Europe et aux Etats-Unis surtout, avec des effondrements de populations de 30 % à 90 % en raison des insecticides ou des parasites, une étude met au jour qu’un des facteurs majeurs de cette hécatombe : les abeilles les plus jeunes se trouvent contraintes de butiner trop précocement pour pallier l’insuffisance en nombre d’insectes adultes, ce qui provoque leur mort. L’organisation sociale des ruches s’en trouverait bouleversée.
De précédentes recherches avaient déjà montré que de telles situations, avec des insectes adultes victimes d’insecticides ou de parasites, contraignaient les jeunes abeilles à aller butiner plus tôt que la normale. Cette nouvelle étude, parue lundi dans les comptes rendus de l’Académie américaine des sciences (NAS), vise à en déterminer les effets physiologiques sur ces insectes et les conséquences sur les colonies. Normalement, les abeilles commencent à butiner à deux ou trois semaines. Mais quand les ruches sont affaiblies par des maladies, un manque de nourriture ou d’autres facteurs qui tuent les abeilles adultes, les jeunes doivent prendre le relais plus tôt.
« ÉQUILIBRE COMPROMIS »
Les chercheurs ont attaché des émetteurs radio qui ont permis de suivre les mouvements de milliers d’abeilles durant toute leur vie. Ils ont constaté que celles qui commençant à butiner très jeunes mouraient plus souvent que les autres lors de leurs premiers vols hors de la ruche. « Le fait que les jeunes abeilles quittent la ruche plus tôt pour aller chercher du nectar et du pollen est probablement une adaptation à la réduction du nombre d’abeilles butineuses plus vieilles. Et si le taux de mortalité accru persiste trop longtemps, l’équilibre de la population de la ruche peut être compromis avec une accélération du nombre d’abeilles qui périssent et ce avec des conséquences catastrophiques », explique Clint Perry, de la faculté de biologie et de chimie de l’université Queen-Mary à Londres, l’un des principaux coauteurs de cette étude.
« Nos résultats, qui s’appuient sur un modèle mathématique, suggèrent que de traquer l’âge des abeilles quand elles commencent à butiner pourrait être un bon indicateur de la santé de toute la ruche », ajoute-t-il. Selon ce scientifique, « ces travaux apportent un éclairage sur les raisons de l’effondrement soudain de certaines colonies d’abeilles, ce qui pourrait aider dans la recherche de moyens pour empêcher ce phénomène », ajoute-t-il.
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada Sam 21 Fév - 7:50
Bonjour, le pire c'est qu'en vivant à un rythme normal, sans penser sans cesse à productivité, il y a bien des domaines où on peu exploiter ou récolter dans le respect et en accord avec la nature et ces exigences. Et c'est à nous à se plier au rythme de la nature, et non l'inverse. pour le cas des abeilles, et comme il est démontré sur mon sujet, ces bien l'homme qui est responsable de son mal et de leur perde catastrophique. Pourtant des solutions existent, au niveau des apiculteurs particulier, beaucoup feront le pas, mais ces dans la grande production que la problème se pose et aussi dans l'industrie agro-alimentaires et leur pesticides. je vous proposes de découvrir cette nouvelle génération de ruche. Orné.
Tout simplement génial: une ruche qui permet de récolter automatiquement du miel sans gêner les abeilles
Pour ceux qui malgré tout craignent les abeilles et surtout leurs piqûres, mais également pour ceux qui veulent tenter l’expérience de l’apiculture, le concept est assez génial: une ruche qui ne nécessite plus de déranger les abeilles en ouvrant la ruche.
Flow Hive, la ruche qui permet une apiculture sereine pour les abeilles
Grâce à cette invention géniale de Stuart et Cedar Anderson, deux apiculteurs père et fils d’Australie, les abeilles du monde entier vont pouvoir pousser un soupir de soulagement collectif. Leur invention Flow Hive est une ruche révolutionnaire : elle permet aux apiculteurs de récolter le miel de leurs ruches sans perturber les abeilles à l’intérieur.
L’ingénieuse invention fonctionne en fournissant aux abeilles des cadres partiellement alvéolés spécialement conçus qu’elles n’auront plus qu’à compléter avec leur propre cire. Après que les abeilles aient rempli ces cellules avec du miel et les aient recouvertes avec de la cire, l’apiculteur peut ouvrir l’autre extrémité, permettant alors au miel de s’écouler dans un robinet sans jamais déranger les abeilles. Les abeilles auront simplement a rouvrir les cellules et les remplir à nouveau.
Les abeilles du monde entier sont frappées par un problème nommé « syndrome d’effondrement ». C’est un phénomène de mortalité anormale et récurrente des colonies d’abeilles domestiques depuis 1998 en France, qui prend la forme de ruches subitement vidées de presque toutes leurs abeilles, généralement à la sortie de l’hiver. Ceci est très préoccupant en raison du miel qu’elles produisent et des plantes agricoles qu’elles pollinisent. Espérons que cette ruche conférera aux ruches affaiblies une pause bien méritée des visites intrusives de l’apiculteur.
Voici commence fonctionne cette ruche inventive : lorsque vous tourner le robinet, les cellules s’ouvre verticalement à l’intérieur, formant des canaux qui permettent au miel de s’écouler vers la base du cadre et hors de la ruche. Lorsque le miel est collecté, il suffit de fermer le robinet et le tout reprend sa position initiale et permet aux abeilles d’enlever l’opercule de cire et de le remplir à nouveau de miel. Ce système supprime donc le processus traditionnel d’extraction du miel où les cadres sont retirés des ruches, ouvertes avec des couteaux chauds, et chargés dans une machine qui utilise la force centrifuge pour obtenir le miel.
Présentation complète + photos supplémentaires sur Toolito.com
orné Modérateur
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada Lun 2 Mar - 8:52
BONJOUR, Le miel est un vrai délice, avec des vertus thérapeutique et diététique (voir le dernier article de Akasha). Mais l'ennui, c'est que de trouver du miel de qualité est un vrai parcourt de combattant (voir l'article 2 de ce post). Dès lors si vous avez de la place opter pour cette ruche facile d’emploi, soit vous l'acheter chez un apiculteur. Orné
Australie : 2 apiculteurs inventent la ruche à robinet (Màj vidéo)
(Merci à Johny Walker)
Deux australiens vont probablement révolutionner le domaine de l’apiculture. Leur procédé permet d’extraire le miel d’une ruche sans interférence avec leurs occupantes, avec un simple robinet. Pour les professionnels du domaine, c’est une véritable révolution. De quoi faire de la production de miel une « happy-culture » ?
L’annonce est enthousiaste et fait en ce moment le buzz dans le monde entier. Cedar Anderson et son fils Stuart viennent de mettre au point, après 10 ans de travaux, une solution d’extraction du miel pratiquement invisible pour les abeilles. Les apiculteurs savent de quoi on parle, le procédé traditionnel d’extraction est périlleux, long et fatiguant pour les abeilles.
Adieu les méthodes archaïques
Habituellement, il faut étourdir les abeilles, retirer les couches d’alvéoles, ouvrir ces dernières avec un couteaux chaud et charger le tout dans une centrifugeuse pour obtenir le miel. Certaines abeilles sont écrasées par la manipulation. Dans le meilleur des cas, celles-ci sont stressées par l’intrusion de l’homme dans leur habitat.
Embêtés par cette problématique, les deux amoureux de la nature vont mettre leur intelligence en commun pour concevoir une étrange ruche. Leur solution : « l’auto-harvesting » entendez là un nouveau genre de récolte automatique. Ils prétendent que les abeilles n’y voient que du feu et gardent pour elles le miel nécessaire au fonctionnement de leur communauté.
Les bénéfices sont conséquents, aussi bien pour l’Homme que pour l’Abeille : diminution de la mortalité, suppression du stress lié à la récolte, facilité déconcertante de la récolte (robinet), moins de danger et d’organisation pour le producteur.
Au final, dans une situation où le nombre d’abeilles décline, il serait bien plus facile, avec ce type de ruche, d’offrir un toit à ces créatures qui partagent généreusement une partie de leur production.
Comment ça marche ?
L’invention qui porte le nom de Flow Hive est à la fois brillante d’ingéniosité et d’une grande simplicité. Des alvéoles artificielles partiellement construites sont placées dans la ruche. Les abeilles terminent la construction entamée de leur cire naturelle, remplissent les alvéoles de miel et les referment.
Les cellules peuvent être séparées verticalement de l’intérieur par effet mécanique (robinet) afin que le miel se déverse par effet de gravité jusqu’à la base de la ruche. Un simple tour de robinet suffit à réaliser l’opération.
Un autre tour permet de tout remettre en place. Les abeilles, voyant une partie des alvéoles se vider, viennent les remplir à nouveau en ré-ouvrant l’opercule qui n’a pas été touchée par l’opération. A aucun moment la cire n’est détruite. Le miel frais et naturel coule à la demande !
Selon les concepteurs, les abeilles ne réalisent probablement pas qu’une partie de leur miel s’est échappé. Elles continuent naturellement leur travail de stockage, mais surtout, d’insémination des fleurs dans la nature.
Lutter contre le syndrome d’effondrement
Car c’est ici que l’invention prend un sens écologique important. Ce principe fonctionne avec le type d’abeille européenne (et étrangement pas leurs cousines australiennes). Ce sont ces mêmes abeilles qui subissent aujourd’hui une mortalité surélevée nommée syndrome d’effondrement.
En effet, il est désormais notoire que les abeilles disparaissent à un rythme inquiétant en Europe mais aussi en Asie et ailleurs dans le monde. Sans les abeilles, c’est une large part de la production alimentaire qui pourrait également s’effondrer. La « Flow Hive » pourrait alors répondre à cette problématique en offrant des ruches simples d’utilisation pour les non-professionnels.
« Hallucinant… Ce n’est pas souvent qu’une chose si révolutionnaire peut heurter à ce point mon esprit. S’épargner 20% du travail n’est pas facile, 40% serait incroyable, 60% révolutionnaire… Mais 95%, c’est ahurissant ! » a déclaré Michael Bush, l’un des plus importants apiculteurs des États-Unis.
Des centaines de chercheurs, apiculteurs et spécialistes ont déjà réagi positivement à ce projet. L’idée ravira également ceux qui cherchent l’autonomie locale tout en contribuant à la biodiversité de leur région.
Ce qu’attendent désormais les inventeurs, c’est la possibilité de rendre cette invention accessible pour tous. Ils en appellent à l’aide des citoyens au niveau international pour soutenir leur projet. Le 23 février, ils lanceront une campagne de crowdfunding pour faire de cette invention une réalité à la portée de tous. Vous pouvez les encourager/soutenir sur leur site officiel.
2 millions de dollars en 48H. La « ruche robinet » est un succès
Le 22 février, les deux apiculteurs australiens lançaient un financement participatif sur Indiegogo. Les jours suivant, pas moins de 2 millions d’euros étaient récoltés pour lancer leur projet.
Perçue comme une véritable révolution par de nombreux apiculteurs du monde, l’invention de deux amoureux de l’abeille vient de faire un buzz international rarement observé dans l’histoire du financement participatif. Leur projet, fruit de 10 ans de travaux, de tests et de prototypages va donner naissance à une ruche d’un nouveau genre. Cedar et Stuart Anderson mettent ainsi au point la première ruche à robinet, facile d’utilisation et qui laisserait les abeilles en paix lors de la récolte.
Soutenus par plusieurs apiculteurs américains importants, ils décident d’en parler au monde en vue d’en faire un crowdfunding. Visiblement, leur projet de « ruche facile » a touché le cœur d’un très large public. L’objectif était d’atteindre 70.000$ pour lancer la ruche sur le marché.
À l’étonnement général, ce sont plus de 2,3 millions de dollars qui finiront dans leur cagnotte après quelques heures, alors qu’il reste encore 41 jours pour financer le projet. C’est près de 3000 pour-cent de l’objectif initial.
À quoi est du cet enthousiasme ? Selon la manière dont les auteurs présentent le concept, l’extraction du miel serait désormais invisible pour les abeilles. Les bénéfices seraient conséquents, aussi bien pour l’Homme que pour l’Abeille : diminution de la mortalité, suppression du stress lié à la récolte, facilité déconcertante de la récolte, moins de danger et d’organisation pour le producteur.
Dans une situation où le nombre d’abeilles décline de manière inquiétante, il serait bien plus facile, avec ce type de ruche, d’offrir un toit à des créatures qui partagent généreusement une partie de leur production.
L’ingéniosité de l’invention résiderait dans un système d’alvéoles partiellement préfabriquées. Une fois operculées par les abeilles, à la demande, le mécanisme crée un espace au centre des alvéoles afin de libérer le miel par le bas, vers un robinet. Pour garantir la bonne santé des abeilles, il suffit de prélever du miel en quantité raisonnable.
Notons cependant qu’un certain nombre d’individus s’opposent à l’idée « d’exploiter » les abeilles pour leur miel. D’autres voient la chose comme une collaboration qui protège l’abeille des risques extérieurs. Libre à chacun d’en tirer ses propres conclusions.
Quel dommage qu'un produit aussi bon et utile à la santé soit soit ainsi dénaturé pour augmenter les profits. Mieux vaut encore acheter son miel chez des producteurs locaux (bio de préférence) que d'acheter ces produits sans intérêts qui trompent les consommateurs.
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: 37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada Sam 18 Avr - 2:46
Entre miel et terre
Ils avaient vingt ans. Ils voulaient “vivre autrement”, vivre loin de la folie des hommes, vivre en harmonie avec la nature. Pour cela, Sam, Manu, Florent et Thimothée avaient choisi l’apiculture. Dix ans plus tard, ils sont apiculteurs. Dix ans plus tard, ils composent avec les contraintes économiques, familiales, font face à la mortalité toujours plus grande des abeilles, et, déjà, sans le savoir, inventent une nouvelle ruralité…
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: 37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada Jeu 23 Avr - 1:47
Bonsoir les amis de la nuit :♡: Comme vus le savez, malheureusement le monde des abeilles est devenu bien précaire à cause de la pollution et surtout des pesticides utilisé en outrance qui a fragilisé tout l'écosystème...Et cela se répercute à bien des niveaux car justement l'abeille joue un rôle primordiale à l'équilibre de l'écosystèmes favorisant la pollinisation et donc de la biodiversité et la procréation de divers réitérés de fleurs et plantes..Et ce n'est pas tout, dans sa grande générosité, l'abeille nous donne un nectar, un produit incroyable que l'homme peut consommer, le miel ! C'est un produit aux vertus indéniables quand le produit est noble et non dénaturé industriellement...Tout comme certains de ces dérivés telle la gelée royale..L'ennuis c'est que le miel actuellement est sur-exploité et il devient compliqué de trouver du bon miel, de plus son prix est devenu prohibitif, se qui fait que ce n'est pas tout le monde qui peut s'en offrir... pour aller plus loin, et voir à qui proffite cette exploitation en outrance, je vous proposes une vidéo de l'excellente série "DATAGUEULE" Akasha
À qui profite le miel ?
Sans les abeilles et les autres insectes pollinisateurs, nous pourrions tirer un trait sur une grande partie de notre nourriture. Si elles n'étaient plus là pour butiner, les plantes ne pourraient pas se reproduire. Mais à force de vouloir rentabiliser notre production agricole - à grand renfort de pesticides notamment - nous devenons le premier ennemi de cet allié pourtant essentiel dans l'écosystème qui nous entoure.
"En Croatie, des chercheurs ont réellement entrainés des abeilles à reconnaître l'odeur de la TNT" : http://is.gd/wcDu5P
"d'autres scientifiques ont inventé un détecteur de drogues, avec abeilles incorporées" : http://is.gd/YMFkMI
"35% de ce que l'on mange dépend directement des abeilles" : http://is.gd/BSL33h
"En Europe, elles permettent la reproduction de 84% des plantes que nous cultivons" : http://is.gd/m1z8X1
"Aux États-Unis, 35% des ruches disparaissent chaque année" : http://is.gd/53Th4n
"En Europe, 24% des différentes espèces d'abeilles domestiques sont menacées d'extinction" : http://is.gd/0lblna
"En France, depuis 1995, 300.000 ruches périssent chaque année" : http://is.gd/kuobT7
"La production de miel nationale est passée de 33.000 tonnes à 10.000 tonnes, moins 70%" : http://is.gd/I9ewET
"Coïncidence : cette même année, 1995, de nouveaux insecticides font leur apparition dans les champs français : les néonicotinoïdes" : http://is.gd/kuobT7