Supposons un seul instant que d’ici le 19 décembre, se produise un incident fatal pour Donald Trump,
le rendant inapte pour assumer la présidence des États-Unis. À ce moment, les grands électeurs seraient
placés devant le choix d’un vice-président, non élu par le vote des citoyens, et Hillary Clinton, la candidate,
ayant obtenu le plus de voix lors du scrutin universel. Il suffirait de convaincre par des moyens très gratifiants
le nombre d’électeurs nécessaires pour qu’Hillary Clinton reprenne le devant de la scène et soit ovationnée
pour son courage et sa persévérance à servir le peuple de ce grand pays.
Y AURAIT-IL ANGUILLE SOUS ROCHE ?
Comment comprendre qu’après une campagne électorale où les coups bas ont été,
de part et d’autre, des plus virulents, que Hillary Clinton adopte un ton aussi élevé
et noble en reconnaissant respectueusement la victoire de Donald Trump
tout en assumant avec dignité sa douloureuse défaite ?
Cette affabilité s’est également retrouvée dans les propos de Barack Obama
qui a félicité courtoisement Donald Trump pour sa victoire
et qui l’a assuré de la pleine collaboration des services de la Maison-Blanche
pour assurer une transition harmonieuse et sans heurt.
SOURCE: réseauinternationnal.net