akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
| Sujet: Les missionnaires de la démocratie se révèlent comme des anges de mort Lun 12 Sep - 17:12 | |
| Les missionnaires de la démocratie se révèlent comme des anges de mort
Lors des renversements de gouvernements les plus récents dans le monde, les ONG occidentales, de pair avec divers services secrets, ont joué un rôle central. De la Serbie en passant par l’Irak et la Géorgie, par les pays du « Printemps Arabe », et finalement jusqu’en Ukraine, elles ont déstabilisé des pays bien ciblés sous le prétexte d’une « œuvre missionnaire pour la démocratie ».
http://www.nytimes.com/library/magazine/home/20001126mag-serbia.html www.voltairenet.org/article15885.html http://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=147:les-etats-unis-et-le-l-printemps-arabe-r&catid=46:qprintemps-arabeq&Itemid=119
Les organisations non gouvernementales, ou ONG sont des organisations privées qui n’agissent pas sous le mandat d’un gouvernement. Au cours de ces dernières années, de nombreuses « œuvres missionnaires » occidentales « pour la démocratie » ont revêtu un habit d’ONG et dans des pays qui leur déplaisent elles ont entraîné des opposants au gouvernement, elles ont financé des révolutionnaires dans de prétendues dictatures, elles ont provoqué des soulèvements de masses et ont ainsi préparé le chemin pour des guerres, pour la destruction et la mort. L’Europe ressent actuellement cette souffrance sous la forme dramatique d’une vague de réfugiés.
Ce n’est pas parce qu’aucun gouvernement officiel ne se trouve derrière elles que les organisations non gouvernementales (nous ne les appellerons plus dorénavant que « ONG ») ne sont pas moins dangereuses. Tout à contraire : les ONG les plus puissantes au monde agissent dans la hiérarchie du pouvoir et même nettement au-dessus de certains gouvernements. Elles sont ensuite entremêlées avec d’autres réseaux d’ONG influentes. Celles-ci aiment se vanter d’agir de manière privée et indépendante du gouvernement ; par exemple des œuvres d’entraide nobles leur permettent d’avoir des prétendues « civilisations ouvertes » dans des pays sous-développés. Mais c’est précisément le problème : les bellicistes les plus puissants de la terre ne sont depuis longtemps plus des Etats et des gouvernements, mais des groupes privés, qui tiennent ces Etats et ces gouvernements en laisse.
Mais peut-être pensez-vous : « Dans une démocratie, le souverain, c’est toujours le peuple et il n’y a aucune instance au-dessus des gouvernements élus ». Mais c’est faux. Le pouvoir sur terre est en réalité privatisé depuis longtemps. C’est du moins ainsi que l’expriment les professeurs en sociologie renommés Hans-Jürgen Krysmanski et George William Domhoff. Ils ont prouvé à l’aide d’études détaillées qu’une élite de la haute finance existe réellement aux Etats-Unis, qui en vérité agit au-dessus du gouvernement démocratique élu.
Krysmanski écrit que « la mise en pratique de décisions politiques et stratégiques cruciales » ne serait pas, « comme le propage la mythologie publique », le « résultat d’un processus parlementaire démocratique qui partirait en fait de l’électeur, du peuple souverain ». En réalité, c’est un autre souverain qui décide, ce sont les groupes qui possèdent le plus grand pouvoir financier.
http://www.rosalux.de/fileadmin/rls_uploads/pdfs/Utopie_kreativ/167/167krysmanski.pdf
Amenons un peu de lumière dans les ténèbres et divisons ces groupes privés en 5 catégories et classons proprement les ONG de démocratisation :
- première catégorie : « antichambre » ; Think Tanks globalistes - deuxième catégorie : « financement et entraînement » ; les ONG de démocratisation en font partie - troisième catégorie : « support rhétorique » ; les fondations occidentales pour les droits de l’homme en font partie - quatrième catégorie : « organisations internationales » - cinquième catégorie : « front local dans la rue », ce sont les hommes de main locaux des ONG
Catégorie 1 : Commençons tout en haut dans la hiérarchie du pouvoir, dans la catégorie « antichambre ». Là opèrent des soi-disant Think Tanks, des fabriques de pensées, ou mieux, appelons-les communauté de croyances. Pour avoir une vue plus en profondeur, nous allons maintenant prendre notre représentation plus détaillée : C’est un schéma qui nous montre que ces Think Tanks sont des clubs privés, dans lesquels les plus puissants du monde, la pointe des plus grandes multinationales de la planète et les personnes les plus fortunées de tous les temps se sont associées en excluant tout public. Dans ces temples globalistes de l’ombre, des accords importants sont conclus sans qu’il y ait le moindre contrôle démocratique ni la moindre légitimation. Il est avéré que ces accords décident des grandes – et soi-disant démocratiques – orientations à suivre dans le monde dominé par l’Occident. Selon Krysmanski, les Think Tank les plus puissants du monde agissent largement au-delà de différents gouvernements et dirigent même le président des Etats-Unis. Regardons un peu qui se trouve dans ces clubs et retenons leurs noms. (Toutes ces informations sont publiques et peuvent par exemple être vérifiées sur Wikipédia – situation en 2015) :
L’institut Brookings : L’institut Brookings est considéré comme l’un des plus puissants Think Tanks du monde. Pour mémoire : Plus nous verrons fréquemment des personnes, des entreprises et des organisations dans ce documentaire, plus grand sera le triangle de signalisation jaune en bas à droite dans l’image correspondante. Le chiffre dans le triangle jaune indique le nombre de fois que la personne, l’institution ou l’entreprise est représentée dans notre schéma. Les banques, assurances et financiers engagés chez Brookings Pour une étude plus attentive, le documentaire peut être mis sur pause Groupes pétroliers Fondations
Armement et industrie Exemples pour d’autres multinationales
http://www.robert-schuman.eu/fr/syntheses/0014-penser-et-orienter-la-societe-les-think-tanks-dans-le-debat-public-aux-etats-unis http://www.voltairenet.org/article14391.html https://fr.wikipedia.org/wiki/Brookings_Institution http://landdestroyer.blogspot.ch/2011/03/naming-names-your-real-government.html
Poursuivons avec l’International Crisis Group : Quand il s’agit de questions sur la guerre, l’ICG est l’interlocuteur principal des gouvernements occidentaux et organisations internationales comme les Nations Unies, l’UE et la banque mondiale. Conseils d’administration remarquables – veuillez prendre note des triangles jaunes Supporters remarquables Conseillers importants
http://www.crisisgroup.org http://landdestroyer.blogspot.ch/2011/03/naming-names-your-real-government.html
Ensuite le Council on Foreign Relations : Un groupe d’élite avec 4 500 membres. Fondé en 1921 à New York par les banquiers Paul Warburg et Otto Hermann Kahn et leurs amis. Publie le journal « Foreign Affairs », qui est décrit par le Washington Post comme « la bible de la pensée en politique extérieure ». Big Money, représenté dans le Council on Foreign Relations Big Oil Géants de la communication Multinationales pharmaceutiques Grands groupes dans l’armement et l’industrie Conglomérats médiatiques Lobbyistes et géants des Relations Publiques Industrie de la consommation Une petite sélection de membres importants : David Rockefeller, George Soros, Mitt Romney, John McCain, George Herbert Walker Bush, (Bill Clinton, Hillary Clinton, Jimmy Carter, Al Gore, Henry Kissinger, Zbigniew Brzezinski, John Negroponte chef de l’ensemble des 17 services secrets américains ; Janet Yellen, présidente de la FED ; Lloyd C. Blankfein, directeur en chef de Goldman-Sachs ; Benjamin Sherwood, président de ABC ; Rupert Murdoch, fondateur et PDG de News Corp et Fox News ; Ronald Lauder, président du Parlement mondial juif ; Robert Zoellick, 11ème président de la banque mondiale ; Jeffrey Bewkes président de Time Warner ; il y a aussi des juges suprêmes américains comme John Roberts, Ruth Bader Ginsburg, Stephen Breyer, des généraux et chefs de services secrets des USA comme Stanley A. McChrystal, David Petraeus, John R. Allen, le cinéaste Lawrence Bender, les stars de cinéma Angelina Jolie et George Clooney.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Council_on_Foreign_Relations https://en.wikipedia.org/wiki/Members_of_the_Council_on_Foreign_Relations#Notable_current_council_members http://landdestroyer.blogspot.ch/2011/03/naming-names-your-real-government.html
Souvent les deux candidats à la présidence américaine, qui se présentent comme rivaux pendant la campagne électorale, ont tous les deux un lien avec le CFR, comme Barack Obama et Mitt Romney.
http://www.alterinfo.net/L-equipe-d-Obama-du-CFR_a25810.html
Pour comprendre le pouvoir énorme du CFR, on doit savoir qu’aussi bien les idées que les plans pour les projets de l’ONU, de l’OTAN, de la banque mondiale, du FMI et le Plan Marshall ont été créés directement dans les antichambres de ces communautés de croyance. Cela est vérifiable dans n’importe quel bon dictionnaire. Quel que soit le désir de ces organisations internationales de se présenter comme neutres et globales, elles ne sont en réalité rien d’autre que les fruits des puissants de la catégorie 1.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Council_on_Foreign_Relations
Conclusion : Avec une telle concentration du pouvoir dans un seul club d’élite privé, le souverain, c’est-à-dire le peuple, devrait en avoir le tournis. Le professeur en sociologie George William Domhoff de la University of California a dit qu’« on ne peut pas estimer assez haut l’importance de cette union (du CFR) pour la compréhension des motifs principaux et des axes de base de la politique mondiale américaine ». Il dit par ailleurs que « la plupart des citoyens… ne soupçonnent même pas l’existence d’une telle instance ».
http://www.spiegel.de/spiegel/print/d-41389590.html
Venons-en à la Chatham House : La Chatham House est la secte britannique partenaire du CFR américain et compte 75 multinationales et 2 770 membres. Elle se trouve sous le parrainage de la reine Elizabeth II.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Royal_Institute_of_International_Affairs
Ses projets clés les plus importants sont financés et sponsorisés par la Fondation Rockefeller, la fondation Bill & Melinda Gates, la fondation Konrad Adenauer, l’OTAN et l’UE. Les journaux publiés par la Chatham House International Affairs et The World Today comptent parmi les principaux organes spécialisés de la politique internationale.
Big Money et Big Oil Médias Industrie de la consommation Fondations Géants de la communication Autres branches industrielles Multinationales pharmaceutiques
https://www.chathamhouse.org/ http://landdestroyer.blogspot.ch/2011/03/naming-names-your-real-government.html http://gotothinktank.com/dev1/wp-content/uploads/2013/07/2012_Global_Go_To_Think_Tank_Report_-_FINAL-1.28.13.pdf
La Chatham House ne brille pas par sa transparence. La « Règle de Chatham House » est une clause de confidentialité, qui est aussi valable lors des conférences Bilderberger et dans le Council on Foreign Relations mentionné tout à l’heure ; elle stipule que les participants à des réunions internes n’ont pas le droit de révéler de noms ni d’identités.
https://www.chathamhouse.org/about/chatham-house-rule/translations
Pour résumer la catégorie 1, donnons encore une fois la parole au professeur émérite en sociologie à l’Université de Münster, Hans-Jürgen Krysmanski : « Ces groupes de discussion politique (Think Tanks) constituent le noyau du pouvoir politique du système d’influence des élites de l’argent et du pouvoir ». Au final on garantirait ainsi que « seules les règles et les lois de « l’entité commanditaire » sont appliquées ».
http://www.rosalux.de/fileadmin/rls_uploads/pdfs/Utopie_kreativ/167/167krysmanski.pdf
Ce sont donc des Think Tanks puissants qui décident de la politique occidentale et de ses filiales en Allemagne, comme par exemple en Allemagne la Atlantik-Brücke (qui compte des personnes comme Angela Merkel, Joachim Gauck, le présentateur de ZDF Claus Kleber, etc.) ou bien la société allemande pour la politique extérieure ; ces deux filiales exécutent ensuite volontiers et avec empressement ces instructions venant d’en haut.
Mais il y a des pays qui ne participent pas à ce jeu avec autant de zèle que le fait l’Allemagne de manière aussi exemplaire. Alors on donne à ces pays quelques cours de rattrapage en matière de démocratie. Et ce sont les ONG soi-disant bienfaisantes de la catégorie 2 « financement et entraînement » qui les mettent en œuvre.
https://de.wikipedia.org/wiki/Deutsche_Gesellschaft_f%C3%BCr_Ausw%C3%A4rtige_Politik https://de.wikipedia.org/wiki/Atlantik-Br%C3%BCcke
Catégorie 2 : Nous commençons avec l’exemple de l’Open Society Foundations. Il s’agit de toute une union d’ONG sous le patronat de George Soros (nom de naissance György Schwartz selon Wikipédia). • Déjà en 2003 ses ONG ont organisé et surveillé la « révolution des roses » géorgienne, qui a mené à la passation de pouvoir au favori américain Micheil Saakaschwili. • La « révolution orange » de 2004 en Ukraine a également été financée par les fondations de Soros. • Déjà en 2011 la chaîne de télévision russe RT mettait en garde contre le fait que Soros, selon le modèle du « scénario libyen », finançait un putsch imminent en Ukraine, ce qui a eu lieu en 2014 avec l’Euromaïdan. • Ses fondations préparent le terrain de toutes les manières imaginables pour les agitations futures dans différents pays. Un exemple : il a récemment été dévoilé qu’elles payaient 1 500 $ à des étudiants macédoniens pour des propositions de renversement du gouvernement. • Soros finance aussi le NED, ce qui nous amène justement à la prochaine fondation de la catégorie 2 « financement et entraînement ». • https://fr.sputniknews.com/international/201506011016356566/
Le National Endowment for Democracy (NED) : Dans plus de 90 pays le NED soutient plus de 1 000 projets avec de prétendus « buts démocratiques ». On trouve sa signature dans presque toutes les chutes de gouvernement récentes. Les élites du NED sont truffées de membres du CFR et de représentants de très grandes multinationales, qui sont aussi présents dans les autres grands Think Tanks. Le fondateur du NED, Allen Weinstein le dit clairement : « Une bonne partie de ce que nous faisons aujourd’hui était fait en secret par la CIA il y a 25 ans. » Même le New York Times reconnaît dans un petit article que le NED avait orchestré le Printemps Arabe de manière déterminante.
http://www.investigaction.net/ukraine-autopsie-d-un-coup-d-etat/ http://www.nytimes.com/library/magazine/home/20001126mag-serbia.html http://www.nytimes.com/2011/04/15/world/15aid.html?pagewanted=1&_r=2&emc=eta1 http://www.voltairenet.org/article166549.html
Movements.org
C’est une ONG de démocratisation spécialisée dans les émeutes de jeunes, qui a par exemple construit le « Mouvement de la Jeunesse du 6 avril » égyptien en faisant d’un petit groupe Facebook insignifiant le mouvement dirigeant de la révolution égyptienne en 2011. Elle est financée par le même conglomérat de multinationales, qui est aussi représenté dans les Think Tanks les plus élevés, comme par exemple Google, Facebook, CBC News, MSNBC, Pepsi, etc. De plus, movements.org est aussi relié directement au ministère des Affaires étrangères américain. http://landdestroyer.blogspot.ch/2011/02/googles-revolution-factory.html
D’autres exemples d’ONG de la catégorie 2 « financement et entraînement » : Fondation Ford Fondation OAK Trust Sigrid Rausing Fondation Rockefeller
Ensuite, les ONG de la catégorie 2 financent et entraînent le front local dans la rue, donc la catégorie 5. Cette dernière se compose, dans des pays au gouvernement déplaisant, de petits groupes contestataires qui, selon le besoin, sont érigés comme héros médiatiques de la liberté et de la démocratie. Quelques groupes comme exemple :
http://hinter-der-fichte.blogspot.ch/2015/05/zdf-unterstutzung-heit-judaslohn-heute.html http://hinter-der-fichte.blogspot.ch/2015/05/zdf-krokodilstranen-alligatoren-tarnen.html
Nous en venons à la catégorie 5 :
OTPOR! / CANVAS en Serbie A mis en scène la chute du gouvernement serbe en 2000. CANVAS, l’organisation qui remplace OTPOR!, financée par les Etats-Unis, soutient jusqu’à aujourd’hui ce qu’on appelle les révolutions de couleur dans le monde entier. http://landdestroyer.blogspot.ch/2011/02/cia-coup-college.html Open Ukraine, l’exemple en Ukraine : L’ONG ukrainienne autrefois insignifiante de l’ex-premier ministre Arseni Yatseniouk a participé de manière déterminante à la chute du gouvernement ukrainien. Elle a été financée directement par le NED et la Chatham House, comme on a pu le consulter sur leur site web officiel.
https://www.les-crises.fr/reprise-ukraine-arseni-yatseniouk-un-homme-tres-bien-connecte/
Le Mouvement de Jeunesse du 6 avril cité plus haut, l’exemple pour l’Egypte : Faisait partie des héros de la révolution égyptienne de 2011, qui ont été fêtés. D’autres exemples d’ONG exécutantes locales : Free Malaysia Today Prachatai Pussy Riot Open Russia Demokratische Alternative DA! Arab Commission for Human Rights Bahrain Centre for Human Rights Die junge Revolutionsführerin Entsar Qadhi, comme exemple pour le Yémen Le front national pour le sauvetage de la Libye, etc.
http://hinter-der-fichte.blogspot.ch/2015/05/zdf-unterstutzung-heit-judaslohn-heute.html http://hinter-der-fichte.blogspot.ch/2015/05/zdf-krokodilstranen-alligatoren-tarnen.html
Presque tous les pays du monde hébergent de telles stations de missions locales. Une remarque au passage : ces dernières années la Russie a commencé à soumettre les ONG d’infiltration financées par les globalistes à une obligation d’autorisation. Les médias occidentaux essaient maintenant de faire croire que c’est la plus grande preuve de l’évolution de plus en plus totalitaire de la Russie de Vladimir Poutine. Pourtant la même obligation d’autorisation pour les ONG financées par l’étranger s’applique aux Etats-Unis et en Israël depuis des décennies.
http://hinter-der-fichte.blogspot.ch/2015/05/zdf-unterstutzung-heit-judaslohn-heute.html http://hinter-der-fichte.blogspot.ch/2015/05/zdf-krokodilstranen-alligatoren-tarnen.html
Et nous voici arrivés à la section pour la rhétorique. Car les fronts locaux dans la rue sont vigoureusement soutenus dans leurs agissements par la section pour la rhétorique, qui au choix les canonise, leur confère les décorations nécessaires, ou dirige l’hystérie médiatique dans la direction souhaitée. Dans la catégorie « soutien rhétorique » on trouve des ONG telles que :
Catégorie 3 : http://domiholblog.tumblr.com/post/114311729044/dochregierungsorganisationen-gegen-syrien
Human Rights Watch ONG également financée par George Soros... En mai 2014 plus de cent universitaires du monde entier ont critiqué dans une lettre ouverte la collusion de Human Rights Watch avec la CIA et de hauts cercles du gouvernement américain et de leurs hommes de main.
Médecins sans frontière (MSF) Un exemple : La crise humanitaire exagérée par MSF, qui a été le motif des bombardements de l’OTAN sur Belgrade dans le conflit au Kosovo, n’a jamais pu être authentifiée lors d’enquêtes ultérieures. Mais depuis, les USA ont construit une énorme base militaire au Kosovo.
Un autre exemple, Amnesty International : Voici par exemple le lien entre Amnesty et la Chatham House. Un ancien membre du conseil d’administration d’Amnesty-USA, le professeur Francis Boyle a mis en garde contre le fait qu’Amnesty International et Amnesty-USA sont des « outils impérialistes ». En décembre 1990 par exemple, Amnesty International a publié ce qu’on appelle le mensonge des couveuses, qui a légitimité la 1ère guerre d’Irak.
Ensuite Reporters sans frontières : ONG également financée par le NED, Soros, etc. La sélection des pays à dénoncer en matière de liberté de la presse s’oriente en fait parfaitement selon la liste noire du ministère des Affaires étrangères américain. Les Etats-Unis eux-mêmes et leurs alliés ne doivent pas craindre de critique fondamentale. Ainsi par exemple l’assassinat en avril 1999 de 16 membres du personnel de la station de télévision yougoslave RTS par une attaque aérienne de l’OTAN n’a même pas été mentionné dans le rapport annuel de « Reporters sans frontières ».
Ensuite un exemple d’une organisation, qui donne à ses fondateurs les décorations nécessaires, la IWMF. C’est la Fondation Internationale des Médias Féminins, un club qui, sous le prétexte de distinguer des journalistes courageuses, finance et soutient la haine parmi le peuple dans des pays déplaisants. Nous allons nous permettre ici de jeter un coup d’œil plus en détail sur les entreprises et organisations impliquées, car nous les connaissons déjà.
http://landdestroyer.blogspot.ch/2011/05/globalists-self-aggrandizing.html
Conclusion : A quel point un gouvernement se trouve derrière une ONG ? Cette question semble devenir presque insignifiante au vu de tous ces noms de personnes privées, toujours les mêmes. En fait la question qui est devenue centrale aujourd’hui est : Combien de pouvoir privé se trouve derrière un gouvernement ? Comme nous l’avons montré, il existe des communautés de croyances totalement privées, dans lesquelles s’ébattent les personnes les plus riches et les plus puissantes de la planète, et qui disposent du destin de nations entières, de la guerre et la paix sur notre terre, comme si c’était un jeu. Alors qu’elles ne sont elles-mêmes aucunement légitimées démocratiquement, leur doctrine du salut par la démocratie laisse derrière elles des pays entiers en ruine.
Nous ne prétendons aucunement que notre énumération soit complète et elle peut volontiers être complétée. Aidez-nous à faire cela ! Souvenez-vous aussi des noms et entreprises cités dans cette émission, vous verrez ainsi les informations quotidiennes sous un autre angle.
Pour finir, il reste encore une question : Dans ces Think Tanks d’antichambre suspects comme la Brookings Institution, l’International Crisis Group, le Council on Foreign Relations ou la Chatham House, quelles sont les personnes qui en interne donnent vraiment le ton ? Car chaque église a son chef et chaque secte a son gourou. Le monde a le droit de connaître leurs noms exacts, prouvés par des sources solides. Des rapports sur ce sujet, venant d’insiders et de démissionnaires, seront les bienvenus. Contactez-nous !
de Simon Sasek Sources / Liens : http://www.kla.tv/8865&autoplay=true | |
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