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site d'information sur la géopolitique, la nature, la science, la spiritualité, l'ésotérisme et les Ovnis.
Kâlî, "La noire" "La Terrible" "La Puissance du Temps", manifestation de Devî la déesse Mère, épouse de Shiva, incarne comme ce dernier les énergies de la création et de la dissolution. Liée au pouvoir actif du temps, elle est la personnification de "l'énergie primordiale du drame cosmique".
Après avoir tué les démons Chanda et Munda, Kâlî se rua sur le démon Raktapa.
De fait, les dieux firent appel à Kali parce qu’ils ne parvenaient pas à vaincre le démon Raktapa dont chaque goutte de sang -issue des blessures provoquées par les Matrika- qui tombait sur le sol, donnait naissance à un nouveau démon.
Lors du combat que Kâlî mena contre Raktapa, la déesse parvînt, en utilisant sa langue, à empêcher le sang du démon de couler sur le sol, et elle dévora les petits démons déjà apparus.
Ensuite, elle suça le sang de Raktapa jusqu’à le transformer en une lamentable dépouille parcheminée.
Mais le sang démoniaque empoisonna la déesse, à tel que point que Kâlî en devint folle.
Elle dansa frénétiquement, comme en transe, excitée par la chair des cadavres sous ses pieds et elle mit ainsi en péril l’Ordre cosmique.
Pour l’apaiser, Shiva Mahakala se coucha sous ses pieds, ce qui eut pour effet d’arrêter la danse destructrice de Kâlî.
Devî, la Déesse-Mère
Devî, la Déesse-Mère « Tout est dans la Devî, et la Devî est dans tout ».
C’est ce que Shankaracharya (fondateur de l’Advaita Vedanta, philosophie de la non-dualité) résume dans les vers d’introduction d’une de ses compositions (Saundarya Laharî) dédiée à la Déesse-Mère : « Seulement si Shiva est uni à la Shakti, devient-il capable de créer le monde, sinon il n’aurait même pas la faculté de vibrer ».
Des formes combattantes, symbolisées par la très vénérée Déesse Durgâ : "Elle est la conscience transcendante dans toute la connaissance. Elle est le vide dans tous les vides. Elle, au-delà de qui il n'est point d'au-delà, est appelée l'Inaccessible." (Devi Upanishad) Des formes terribles et destructrices, symbolisées par l'effrayante et sanguinaire Déesse Kâlî (mais on verra qu'elle est aussi aimée comme une Mère...).
Kâlî, "la Noire" est la Déesse Mère destructrice et créatrice de l'hindouisme. C'est l'aspect féroce de la Devî la Déesse Suprême, fondamentale pour toutes les autres déités hindoues. Kâlî est connue des Veda. Elle est censée être la septième langue d'Agni le dieu du feu .
Kâlî est une forme féminine dont le nom dérive du mot Kâla, le Temps en sanscrit, Celui qui détruit toute chose. Kâla, c'est aussi "le Noir". Kâlî a donc été comprise comme "Celle qui est le Temps", "Celle qui dévore le Temps", "la Mère du Temps", "la Noire" ou encore "Celle qui est le Temps Noir". L'association de Kâlî avec la noirceur contraste avec son pendant masculin, Shiva, dont le corps sombre est couvert des cendres blanches des champs de crémation où il a coutume de méditer.
Celui qui vénère Kâlî est libéré de la peur de la destruction.
Kâlî, la Noire
Kâlî, la Noire est l'aspect terrible de la déesse-mère Devi. Parèdre de Shiva, ses origines remontent au Rig Veda. Kâlî vient du terme "kâla", le temps en sanskrit. Kâlî est donc la puissance de destruction, le temps qui anéantit tout ce qui existe.
Son aspect terrible est perçu par les hindous comme une forme de protection. Les dévots voient en elle l'image de la Mère aimante. Kâli Mâdétruisit tous les démons et elle dut boire tout leur sang pour nous sauver car si une seule goutte en était tombée au sol, les Démons se seraient multipliés. Mais sa Puissance était si grande que, simplement en posant son pied à terre, elle provoqua un tremblement de terre capable de ravager la Terre. C'est pourquoi Shiva se coucha sur le sol et qu'en voyant son visage divin, la Déesse se calma.
Kali est décrite comme une émanation de la déesse Durga, dans la section Chandi ou Devi Mahatmya du Markandeya Purana.
Lorsqu’Ambika (le nom de Durga en tant que « Mère Divine ») se met en colère contre ses ennemis, son visage devient noir comme de l’encre et Kali émerge de son front.
Elle est armée d’une épée et d’un nœud coulant, elle brandit un crâne planté au bout d’un bâton, porte une guirlande de crânes et est vêtue d’une peau de tigre. Elle est terrifiante, avec sa langue sortie et ses yeux rouges enfoncés. Elle remplit l’espace de ses rugissements. Elle dévore l’armée des asuras ou des démons, les ennemis des dieux. Beaucoup d’histoires portant sur l’origine de Kali sont des variantes de la façon dont elle nait de la colère de la déesse guerrière Durga
Le nom de "Dourga" en sanskrit signifie «invincible». La syllabe «dou» est synonyme des 4 démons : la pauvreté, les souffrances, la famine et des mauvaises habitudes. Le «R» désigne les maladies et les ga "est le destructeur des péchés, l'injustice, l'irréligion, la cruauté et la paresse
Nom de Parvati épouse de Shiva sous son aspect mystérieux et inaccessible.
On lui attribue le role de Shakti de l'absolu impersonnel. La déesse Dourga est très puissante, elle est protectrice toujours prête au combat, elle déploie sa force destructrice dès que la terre est menacée par les démons. Dourga a généralement huit bras, elle est assise sur un tigre, ou un lion. Ses attributs sont le trident, l'épée, le serpent,la sonnette, le tambour, le bouclier,le récipient en forme de crâne,, l'arc et la flèche, la roue, la massue, le pot à eau et la conque. Lors de la fête de Dourga, le but est de vénérer la Shakti, la déesse comme énergie pure, la protectrice du droit, destrurrice du mal, et gardienne du Dharma, la loi divine.
On dit aussi que Durgâ est l'"Inaccessible" et qu'elle est une forme combattante de Pârvatî. Elle est simultanément épouse de Shiva et de Kalkî (dernière des incarnations - à venir - de Vishnu).
Durga est l'un des aspects de la Shakti, l'épouse de Shiva. "Elle est la conscience transcendante dans toute la connaissance. Elle est le vide dans tous les vides. Elle, au-delà de qui il n'est point d'au-delà, est appelée l'Inaccessible." ([i]Devi Upanishad)
Maa Durgâ
MANTRA qui protège du crime , des dangers et qui octroie le succès
MANTRA PROTEGE DEL CRIMEN,PELIGROS Y OTORGA EXITO
Kali Durge, namoh namah, jay mata kali, Jay mata Durge.
L’un des dévots les plus célèbres de Kali était Ramakrishna Paramahamsa de Dakshineshwar. Ramakrishna était un prêtre de la déesse Kali qui voyait en elle la Mère Cosmique. Il est né dans le village de Kamarpukur, dans le Bengale-Occidental, en 1836 . Il est devenu un prêtre, priant et effectuant ses dévotions dans un bosquet de cinq arbres sacrés derrière un temple de Kali, et il connut d’intenses expériences religieuses incluant des paralysies, des sensations de brûlure, et l’expérience de sortir et entrer dans son corps.
Il a dit que des visions lui venaient constamment et que, pendant six ans, il fut incapable de fermer les yeux ou de dormir.
Selon certains de ses biographes, à un moment, alors qu’il était décidé à se suicider, il eut une vision de Kali qui devint célèbre. Ramakrishna avait ramassé une épée pour se tuer, car la déesse refusait de lui apparaître. Cette menace de suicide la motiva à lui apparaître et il la vit sous la forme d’un grand océan de conscience, avec des vagues brillantes se jetant sur lui de tous les côtés. Il connut alors un pur état de grâce durant lequel il sentait la présence de la déesse.
Ramakrishna continua à avoir des visions de Kali.
Comme prêtre , il vit sa statue comme si elle était vivante, et il riait et dansait avec elle, plaisantant avec la statue et tenant ses mains, se couchant à côté durant la nuit. Parfois il s’identifiait lui-même avec Kali et s’ornait de fleurs et de pâte de santal.
Mâ Ananda Moyî résume toute sa personne et son enseignement. Cette femme extraordinaire, disparue en 1982, considérée dans toute l'Inde comme une sainte et même comme une manifestation de la déesse Kâlî, n'avait d'autre chose à apporter au monde que la Joie – ananda – divine des grands mystiques.
Mâ Ananda Moyî : Vous avez invoqué ce corps pour vos propres objectifs. (Swami Vijayânanda explique que c’est un groupe de brahmines pieux du Bengale voulant restaurer l’antique tradition de l’Inde qui a prié pour une descente de la Mère divine et qui a ainsi fait venir Mâ Anandamayî).
En 1926, les fidèles prièrent Mâ de célébrer à nouveau la Pûjâ. Elle ne dit rien. Plus tard, alors qu'on la menait chez un de ses fidèles, elle leva la main gauche. sourit et resta silencieuse.
Quand Pitâjî lui demanda la signification de son geste, elle ne répondit pas. De nouveau, quand elle prit son repas dans cette maison. elle refit le même geste de la main gauche.
Quelques jours plus tard.
Mâ expliqua qu'en allant chez le fidèle elle avait vu la déesse Kâlî, tout à fait vivante à cent cinquante mètres de là; elle flottait à une dizaine de mètres au dessus du sol, tendant les bras vers Mâ comme si elle désirait s'asseoir sur ses genoux.
En prenant Ie repas ce jour-là, la même représentation s'était retrouvée en face d'elle comme une petite fille. C'était pourquoi elle avait levé samain gauche.
Le second incident se passa lorsque Shrî Mâ était au bord de la mer à Cox's Bazar. Elle se promenait sur la plage, quand elle dit tout avec un sourire: " Regardez mon poignet, n'est-il n est pas cassé? Examinez-le de près, peut-être y a-t-il une fracture. " La nuit même, un voleur s'était introduit dans le temple de Kâli à Ramna, et avait dérobé ses ornements, en brisant aussi le poignet de la statue.
Une fois, pour la célébration de Vasanti-Pûjâ a l'ashram de Siddeshwari, Shri Mâ était présente lors du rituel où l'on donne vie à la statue. Pendant qu'elle la regardait, les yeux de celle-ci se mirent à briller comme ceux d'un être vivant. Shri Ma dit::"Les formes des dieux et des déesses sont aussi réelles que votre corps et le mien. On peut les percevoir en s'ouvrant à la vision intérieure par la pureté, Ia vénération et l'amour."
Paroles de Mâ
Le Nom de Dieu efface les karma aussi bien que les péchés et les désirs accumulés au cours de plusieursyuga (cycles de la création). De même qu’une lampe qu’on allume illumine une pièce restée dans l’obscurité durant des milliers d’années, le Nom de Dieu dissipe les ténèbres d’une multitude de naissances.
Aucun mal ne pourra jamais triompher de celui qui s’attache fidèlement à la répétition du Nom Divin.
Il n’y a qu’en cherchant refuge auprès de Dieu et de Lui seul, que vous serez protégés de tous les maux et de toutes les souffrances.
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Dernière édition par Yunlunga le Jeu 24 Mar - 1:51, édité 3 fois
Yunlunga Membre Actif
Messages : 320 Date d'inscription : 30/01/2015
Sujet: Re: Kâlî " La Noire " La Terrible " Mer 23 Mar - 0:30
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anandamayi maa & durga
Temple à Kali près de la ghat principale à Bénares
Kâlî, "La noire" "La Terrible"
Celui qui vénère Kâlî est libéré de la peur de la destruction.
Paroles de Mâ
Mâ disait qu'elle était venue à cause des prières des gens.
Il y a eu des gens parmi ces brahmanes qui ont donc demandé à la Mère divine de venir à leur secours, et ils ont reconnu en Mâ Anandamayî cette aide qui arrivait.
Mâ expliqua qu'en allant chez le fidèle elle avait vu la déesse Kâlî, tout à fait vivante à cent cinquante mètres de là; elle flottait à une dizaine de mètres au dessus du sol, tendant les bras vers Mâ comme si elle désirait s'asseoir sur ses genoux.
Mâ Ananda Moyî
Le Nom de Dieu efface les karma aussi bien que les péchés et les désirs accumulés au cours de plusieursyuga (cycles de la création). De même qu’une lampe qu’on allume illumine une pièce restée dans l’obscurité durant des milliers d’années, le Nom de Dieu dissipe les ténèbres d’une multitude de naissances.
Aucun mal ne pourra jamais triompher de celui qui s’attache fidèlement à la répétition du Nom Divin.
Sujet: Re: Kâlî " La Noire " La Terrible " Dim 6 Nov - 0:46
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Kâlî, "La noire" "La Terrible" Celui qui vénère Kâlî est libéré de la peur de la destruction.
kali devi
kali devi
Shri Râmakrishna
Râmakrishna fut un adorateur de Kâlî jusqu’à la fin de sa vie. Il reconnaissait derrière l’apparence terrible de la Mère Divine, son aspect bénéfique.
Lorsque l’on arrive à croire en la puissance du saint Nom de Dieu, et qu’on se sent disposé à le répéter constamment, ni discernement, ni exercices de piété d’aucune sorte ne sont plus nécessaires. Tous les doutes sont apaisés, l’esprit devient pur, Dieu Lui-même est réalisé par la puissance de Son saint Nom.
Shri Râmakrishna
A la question de Sarada Devi : lequel des Noms de la Divinité doit-elle employer dans le japa : "Prends n'importe quel Nom, celui que tu voudras. Mais crois fermement que le Nom que tu auras choisi a tout pouvoir, et il te libèrera certainement."
Shri Râmakrishna
« S’il faut que vous soyez fous, soyez-le d’amour pour le Seigneur et non d’amour pour les choses d’ici-bas ». « Les hommes pleurent abondamment pour leurs enfants, leur femme, leur argent, mais qui pleure parce qu’il n’a pas vu Dieu ? ».
Shri Râmakrishna
« Il est né en vain celui qui, ayant la rare chance d’être né humain, ne réalise pas Dieu dans cette vie. »
- Sri Ramakrishna
Le sot qui répète sans cesse : " Je suis asservi " finira bien par l'être un jour.