Bienvenue sur le Nouveau Monde,
Visitez le forum à votre envie, connectez-vous ou inscrivez-vous en cliquant sur l’icône ci-dessous !
En vous souhaitant une bonne navigation, l'Administration.
Novi Orbis - Le Nouveau Monde
Bienvenue sur le Nouveau Monde,
Visitez le forum à votre envie, connectez-vous ou inscrivez-vous en cliquant sur l’icône ci-dessous !
En vous souhaitant une bonne navigation, l'Administration.
Novi Orbis - Le Nouveau Monde
site d'information sur la géopolitique, la nature, la science, la spiritualité, l'ésotérisme et les Ovnis.
30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour
3 participants
Auteur
Message
orné Modérateur
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Mar 16 Sep - 21:30
30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour
Des documents britanniques mettent à jour 30 années de camouflage
Le « Freedom of Information Act » (Acte donnant libre accès à des documents secrets) au Royaume-Uni auquel a eu recours un médecin, a permis de révéler le contenu de 30 années de documents officiels secrets montrant que les experts gouvernementaux :
1. savaient que les vaccins ne fonctionnaient pas 2. savaient que les vaccins pouvaient provoquer les maladies qu’ils étaient sensés prévenir. 3. savaient que les vaccins présentaient des dangers pour les enfants 4. se sont entendus pour mentir au public 5. se sont attelés à empêcher les études de sécurité.
Ce sont ces mêmes vaccins qui sont rendus obligatoires pour les enfants américains.
Les parents peuvent soit épargner tout ce mal à leurs enfants, soit continuer à s’incliner devant l’un des plus affreux mensonges de l’histoire, ce mensonge qui veut faire croire que des vaccins – remplis de métaux lourds, de maladies virales, de mycoplasme , de matières fécales, de fragments d’ADN d’autres espèces, de formaldéhyde, de polysorbate 80 (Agent stérilisant) – sont un miracle de la médecine moderne.
Un médecin américain dont le fils est autiste a eu recours au « Freedom of Information Act » pour obtenir des documents du CDC (Centres Américains de Contrôle des Maladies). Il voulait avoir accès à l’information que possédait le CDC au sujet des dangers que présentent les vaccinations. Selon la loi, il devait recevoir réponse dans les 20 jours. Pratiquement 7 ans plus tard, le médecin s’adressa finalement à la justice, et c’est là que le CDC a fait valoir qu’il n’était pas obligé de remettre ces documents. Finalement, un juge a ordonné au CDC de remettre ces documents au médecin pour le 30 septembre 2011.
Le 26 octobre 2011, l’éditorialiste du « Denver Post » s’est dit choqué que l’administration Obama, après avoir promis d’être particulièrement transparente, proposait des modifications au Freedom of Information Act , permettant d’entraver la révélation de documents secrets en autorisant les agences gouvernementales (comme le CDC) à déclarer certains documents « inexistants ». [...]
Le CDC agit manifestement à l’encontre de la santé de la population américaine. Mais la menace que présente le comportement du CDC sur la vie des Américains ne s’arrête malheureusement pas là. Il a participé à l’élaboration des lois concernant les pandémies qui permettent au gouvernement d’utiliser l’armée, en cas d’urgence pandémique déclarée, pour contraindre toutes les personnes du pays à subir des vaccins non testés, des médicaments, des produits chimiques et d’autres traitements « médicaux ».
En se basant sur le Freedom of Information Act, on peut dire que le CDC perdrait toute crédibilité s’il devait déclarer pareille urgence pandémique. Après avoir déclaré la pandémie du H1N1 en 2009, le CDC a refusé de répondre à la requête d’information de CBS qui s’en référait au « Freedom of Information Act ». A cette époque, le CDC a tenté de bloquer toute leur enquête. Ce que voulait cacher le CDC, c’était son propre rôle dans un des plus grands scandales médicaux de l’histoire, en s’en référant à des données follement exagérées sur les cas de grippe H1N1 en vue de créer une fausse impression de « pandémie » aux Etats-Unis.
Le CDC a aussi dissimulé un scandale financier concernant la fausse pandémie qui a coûté des milliards de dollars. Il y a pire, le CDC n’a pas hésité à mettre les femmes enceintes en première ligne pour un vaccin non testé qui comprenait un agent stérilisant, le polysorbate 80. Grâce au CDC, le nombre de rapports de morts fœtales a augmenté de 2.440% en 2009 comparativement aux années précédentes ; situation qui est encore plus choquante que les statistiques de fausses couches qui avaient augmenté de 700%. [...]
En tentant de sauver les derniers vestiges du secret qui concerne les vaccins et en déclarant que les documents de l’Agence sont inexistants, l’Administration Obama a réduit à néant toutes ses prétentions à la transparence. Mais les lois prévues pour rendre obligatoires des vaccins pandémiques peu connus sont toujours en place et toute responsabilité a été dissoute. Il n’empêche qu’une étude canadienne vient de montrer que le vaccin contre la grippe qui contient le H1N1 et qui a tué des bébés in utero, contribue en fait à augmenter le risque de pandémie.
Les américains qui ont été dupés en soumettant leurs enfants aux vaccins meurtriers du CDC possèdent aujourd’hui des moyens de riposte. Les personnes de tous horizons, de chaque organisation doivent :
1. Prendre connaissance des textes révélés grâce au Freedom of Information Act du Royaume Uni et qui ont trait aux mensonges sur les vaccins. Ces personnes doivent prendre connaissance du refus du CDC de fournir quelque information que ce soit sur ce qu’ils savent au sujet de ces mensonges ; elles doivent aussi prendre connaissance des efforts déployés par l’administration Obama pour camoufler ce que sait le CDC au sujet de ces mensonges. Ces personnes doivent contacter leurs représentants et exiger l’annulation immédiate du calendrier vaccinal du CDC et des lois concernant les pandémies.
2. Informer chaque vétérinaire, personnel militaire, policiers, agents du DHS, ainsi que le personnel médical de toute la mystification vaccinale. Expliquer à ces personnes que leurs familles sont aussi gravement menacées. Ces personnes ne pouvaient probablement pas savoir qu’elles avaient été manipulées à l’intérieur même de leurs structures par l’industrie pharmaceutique qui les ont transformées en agents meurtriers grâce à la déclaration de « pandémie » ou « d’attaque bioterroriste ». Il est tout à fait clair aujourd’hui que les structures terroristes/bioterroristes ne sont que des escroqueries. Ainsi tous les projets qui sont envisagés pour « protéger » le pays sur la base de ces mêmes lois ne feraient que menacer l’existence et la liberté des américains.
Grâce au Freedom of Information Act (FOIA), nous savons que le calendrier des vaccinations relève du canular. Ce sont les vaccins qui constituent un danger pour la santé des enfants et des adultes Américains.
Ce sont aujourd’hui des vaccins obligatoires, mal testés avec des adjuvants dangereux qui menacent le pays et qui pourraient provoquer quantité de morts. A l’extérieur d’Atlanta, le CDC a stocké quelque 500.000 cercueils géants, construits pour être incinérés. Il commence à devenir clair que le CDC ne devrait en aucune façon être mêlé de quelque manière que ce soit aux problèmes de santé publique.
Grâce au Freedom of Information Act, nous savons aujourd’hui que les vaccins ne constituent nullement le miracle de la médecine moderne que l’on a voulu nous faire croire. Toute autorité médicale ou gouvernementale qui prétendrait que les vaccins préviennent les maladies, ignore les documents gouvernementaux comme les innombrables études qui révèlent l’exact opposé, mais ignore également les tentatives du CDC de cacher au public la vérité sur les vaccins.
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Mer 17 Sep - 17:04
L’ennui, c'est que de ton côté, mis à part dénigré et demander des preuves, tu n'apportes rien. Celui qui a rédiger l'article, lui a fait son enquête en toute intégrité, et est un professionnel, nous pas. Qui sommes nous pour remettre en cause son travaille ? De plus, le problème, c'est les métaux lourds, et plusieurs enquêtes déjà posté sur le forum, et dont on en trouve à foison, démontre clairement la nocivité des adjuvants utilisé dans les vaccins, dont les lobbys pharmaceutiques dégages des profits colossaux au détriment de la santé des patients.
Questions à la une - Pour ou contre les vaccins - Serons-nous bientôt tous allergiques - RTBF
Bonjour, Je vous proposes une excellente émission de la RTBF sur les vaccins, pesant le pour et le contre de façon factuelle. Dénonçant les adjuvants utilisé par les lobbys pharmaceutiques et très toxique pour notre santé. Bon visionnage :
Ensuite : Vous pouvez lire sur cette page du forum : Nouvelle étude : 42,5% des effets secondaires médicamenteux rapportés chez les enfants sont causés par les vaccins (sur la même page que le lien si dessous)
Voilà ainsi, au moins on apporte de quoi étayer se que nous défendons, et non juste de basses accusation sans argument.
Invité Invité
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Mer 17 Sep - 17:44
Questions autour du phénomène anti-vaccin
Jusqu’au 2 mai, c’est la semaine européenne de la vaccination. Une nouvelle fois, c’est sur le vaccin contre la rougeole (auquel sont associés les vaccins contre les oreillons et la rubéole, d’où l’acronyme ROR) que l’accent sera mis car la France n’arrive pas à se dépêtrer d’une épidémie qui a commencé en 2008 et ne cesse de prendre de l’ampleur, comme le montre le graphique ci-dessous, tiré d’un bilan effectué par l’Institut de veille sanitaire (InVS) :
Ce bilan indique que 14 500 cas ont été déclarés. Le nombre réel de cas est probablement bien supérieur. La principale raison expliquant pourquoi le virus court, au point que la France est accusée de contaminer ses voisins européens, tient à une vaccination trop parcellaire, que déplore l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pourtant, la vaccination n’est pas du luxe car la rougeole n’est pas bénigne : comme l’explique l’OMS, “les complications les plus graves dues à la maladie sont notamment la cécité, l’encéphalite, des diarrhées graves et la déshydratation qui s’ensuit, des infections auriculaires et des infections respiratoires graves comme la pneumonie. Jusqu’à 10% des cas de rougeole s’avèrent mortels chez les populations atteintes de niveaux élevés de malnutrition et ne pouvant recevoir des soins de santé adéquats.”
En 2010, sur les quelque 5 000 personnes touchées par la maladie en France, 30% se sont retrouvées à l’hôpital. Selon L’Express, la très grande majorité d’entre elles (95%) n’étaient pas vaccinées ou n’avaient subi qu’une seule injection alors que deux sont nécessaires pour être protégé. Depuis le début de l’épidémie, on compte également quatre décès. On sait par ailleurs qu’une vaccination de 95% de la population peut à terme permettre la disparition de la maladie comme c’est le cas en Amérique du Nord et du Sud. On est, en France, bien loin de ce chiffre puisque, selon les chiffres de l’InVS de 2005-2006, seulement 44% des enfants de 6 ans avaient été soumis à la double injection.
La question qui se pose donc est la suivante : si des pays moins riches et moins bien équipés sur le plan sanitaire que la France sont parvenus à se débarrasser de la rougeole, pourquoi n’y arrivons-nous pas ? Pourquoi la couverture vaccinale est-elle mauvaise ? Il y a bien sûr toujours une part de négligence, notamment dans le fait que beaucoup de parents se contentent parfois d’une seule injection alors que le calendrier vaccinal en prévoit deux, la première entre 9 et 12 mois, la seconde entre 12 et 24 mois. Mais cela ne suffit pas à expliquer le phénomène.
Etant donné que le ROR n’est pas obligatoire, mais simplement recommandé (ce qui en réalité devrait signifier “indispensable”), chacun est libre de vacciner ou pas ses enfants. Certains ne le font pas car ils pensent, à tort, que la rougeole est une maladie bénigne. D’autres parce qu’ils craignent les effets secondaires, alors que le rapport risque-bénéfice est clairement en faveur du vacciné. Autre raison que décrit Catherine Ducruet dans Les Echos, l’individualisme bien français qui aboutit au raisonnement suivant : « Je n’ai pas besoin de faire vacciner mon enfant, les autres le sont. » Enfin, comme le dit Didier Houssin, directeur général de la santé, cité dans le même article, « à la sous-estimation des maladies s’ajoute la perméabilité du public – mais aussi d’une partie du corps médical – aux médecines alternatives, voire aux courants anti-vaccination ».
Ce mouvement anti-vaccin est une réalité et il gagne du terrain aux Etats-Unis et en Europe. Pour ce qui concerne la France, le fiasco gouvernemental dans la communication sur le vaccin contre la grippe A/H1N1 en 2009-2010 n’y est sans doute pas étranger mais les racines de ce mouvement sont plus profondes. On se souvient notamment de la controverse, à la fin des années 1990, sur un éventuel lien, jamais prouvé, entre le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques. C’est à la même époque qu’une étude, dirigée par le chercheur britannique Andrew Wakefield, fait le rapprochement entre le ROR et des cas d’autisme. On sait aujourd’hui que ce médecin, qui touchait de l’argent de l’industrie pharmaceutique, avait délibérément falsifié ses données, raison pour laquelle personne n’était parvenu à reproduire ses résultats. Wakefield a depuis été interdit d’exercer la médecine. Mais le soupçon a mis une dizaine d’années à être lavé et, comme toujours dans ce genre de cas, le mal est fait et les médias ont été beaucoup moins bruyants lorsque le scandale s’est évaporé que lorsque l’article original est paru dans The Lancet…
Le problème, c’est que cette atmosphère de soupçons et de rumeurs, contre laquelle il est déjà par nature difficile de lutter, est entretenue par un petit courant d’activistes anti-vaccins. Aux Etats-Unis, on y retrouve des promoteurs de médecines dites naturelles comme Mercola.com ou le National Vaccine Information Center. Tous les deux viennent d’ailleurs de s’offrir une campagne publicitaire sur un des fameux écrans de Times Square à New York, ce qui a provoqué un tollé dans le monde médical outre-Atlantique. L’égérie de ce mouvement est l’ancienne modèle de Playboy Jenny McCarthy, qui a vu un lien de cause à effet entre la vaccination et l’autisme de son fils. En France, pas encore de “célébrité” pour brandir le même étendard, mais un groupuscule recruté, comme l’a montré une enquête de Conspiracy Watch, chez les habitués des théories du complot, pour la plupart d’extrême-droite. Certains craignent que les médecins profitent de la vaccination pour injecter des puces sous la peau qui serviront aux juifs à prendre le contrôle de l’humanité, d’autres que les vaccins eux-mêmes soient des armes bactériologiques déguisées, le tout dans le but de réduire drastiquement le nombre d’humains sur la planète. Ce genre d’argumentation prêterait plutôt à rire mais, par la magie d’Internet, ces idées diffusent. Ainsi, une de leurs vidéos sur le vaccin de la grippe A/H1N1 a-t-elle été visionnée plus de 800 000 fois.
Chacun est évidemment libre de se faire vacciner ou pas. Ce que je crains cependant, et ce que l’on constate en partie avec cette épidémie de rougeole, c’est que ce genre d’élucubrations se nourrisse du rejet des experts auquel une partie de la société française s’adonne depuis quelques années. Nous sommes passés d’une image sans doute caricaturale où le progrès scientifique et technique allait apporter joie et prospérité à tous et où la figure du chercheur était respectée, car auréolée d’objectivité, à un autre extrême dont j’ai déjà parlé, une image où le savant joue les apprentis-sorciers au service secret de firmes industrielles puissantes qui le payent pour promouvoir les vaccins, les médicaments dangereux comme le Mediator, les téléphones portables aux ondes mortifères, le wifi, les OGM et les produits phytosanitaires, le nucléaire, les nanotechnologies et, maintenant, les sacrifices à faire pour lutter contre le réchauffement climatique. Tous ces produits de la science ne sont pas forcément inoffensifs. Mais pour évaluer leurs vrais risques, il faut s’informer sans sombrer dans la paranoïa.
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Mer 17 Sep - 17:52
Où as-tu été me dénicher ces arguments ? dois-ton te croire plus sur parole se que un professionnel écrit ? Tu as des sources ? Attends je vais t'en donner des études qui prouve que les adjuvants son dangereux pour la santé, déjà les liens donner par akasha le démontre. C'est pas en nous sortant les arguments des lobbys pharmaceutique qu'on va reprendre confiance aux vaccins (enfin de ces adjuvants surtout).
Vaccin : ce que tout parent doit savoir
Un nombre alarmant d’études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins.
Il ne s’agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c’est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.
Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)
Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd’hui au centre d’un scandale qui n’en finit pas. Selon le décompte effectué par l’association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)
Le vaccin contre l’hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu’il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D’autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d’une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages,
dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d’être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n’ont pas eu l’idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.
Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.
Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l’efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s’emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.
L’aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d’Al zheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d’après-guerre. Un rapport risque/avantage douteux
Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu’auraient des vaccins.
L’opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d’avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc.
Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m’oblige à écrire, sans hésiter, qu’il s’agit là d’une pure mythologie.
Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. C’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l’effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle. Le cas emblématique de la diphtérie
Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d’exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l’échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l’excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivant. (6)
En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l’année où la vaccination systématique fut introduite.
En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15 000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre !
En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu’à 800 annuellement en 1972 (un baisse de 99,2 %).
En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l’Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts.
Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.
En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagnent d’un recul de la maladie, jusqu’à une disparition quasi-totale.
Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d’introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi-inexistante (cas de l’Espagne en 1964, de l’Allemagne en 1939). Un phénomène général
Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.
La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y eut de campagne importante de vaccination.
Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.
En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).
La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.
En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéoles) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982. La tuberculose et le BCG
Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu’en France, où tous les écoliers se faisaient vacciner.
Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d’écoliers chaque année.
Les études de l’INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d’Après-Guerre. Les campagnes de vaccination n’ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu’auparavant, avec l’amélioration de l’hygiène et la généralisation de l’eau courante. Ce qui n’est pas étonnant quand on sait que le fait d’être vacciné contre le BCG ne protège ni de l’infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n’ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.
Le problème est que le BCG comporte des risques importants d’effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l’obligation a été supprimée en 2007). C’est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.
Ce n’est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et de l’habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale. La vérité soigneusement dissimulée
Actuellement malheureusement, une industrie gigantesque s’est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d’autant plus lucrative qu’elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.
Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d’euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.
Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliards d’euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.
A l’achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :
la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d’euros, l’acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d’euros, l’achat d’antiviraux pour 20 millions d’euros, 150,6 millions d’euros de masques, 41,6 millions d’euros de dépenses logistiques, 290 millions afin d’indemniser les personnels de santé réquisitionnés, 59,6 millions destinés aux frais d’information et à la campagne de communication, 100 millions de « frais liés à l’organisation territoriale de la campagne de vaccination », et encore 375 à 752 millions d’euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.
Finalement, le nombre de vaccins utilisés n’a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7) Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l’affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde. Pas de suivi des accidents liés aux vaccins
De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s’ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu’on vous expliquera qu’il s’agit d’une pure coïncidence, y compris s’il y a décès.
Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, ils déclenchent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.
Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu’ils considèrent qu’il n’y a pas de lien.
C’est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d’autres personnes que l’on retrouve sur les innombrables sites d’information sur la vaccination. (
Un témoignage parmi d’autres, recueilli par l’EFVV (European forum for vaccine vigilance) :
« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l’identité de mon bébé parce que j’ai peur que cela me retombe dessus, mais j’ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu’un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tetanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c’est. Elle était parfaite. Lorsqu’on lui fit l’injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d’une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s’est endormie profondément, et ne s’est plus jamais réveillée. J’ai commencé à m’inquiéter parce qu’elle semblait dormir plus longtemps que d’habitude et lorsque j’ai voulu vérifier, j’ai remarqué qu’elle avait un peu vomi et qu’elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie mais ils n’ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c’est le vaccin qui l’a tuée. Elle n’avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l’ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd’hui, j’ai peur qu’ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu’ils m’accusent d’avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c’est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »
Mais c’est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s’ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l’évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l’Agence nationale du médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu’elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.
Cela permettrait très rapidement d’établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l’enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c’est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu’injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l’organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.
Mais pour des raisons qui n’ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n’est absolument pas envisagé aujourd’hui par les autorités sanitaires. Que faire ??
Cela veut-il dire qu’il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ?
Non. Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.
Le problème est que l’absence d’études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd’hui d’éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.
Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins.
Il semble toutefois raisonnable a priori d’éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu’on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux.
Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d’autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est dans la plupart des cas, nocif.
De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n’est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d’autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n’est pas prévu par le système. Une réforme indispensable et urgente
Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l’information des médecins comme du grand public à ce sujet.
Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S’il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.
Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l’emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.
Mais même si c’est aux médecins de s’assurer qu’ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d’Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l’utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d’être responsable de notre santé.
Bien à vous,
Jean-Marc Dupuis
Sources :
Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.eu
BMJ 2013;346:f794 Guillain-Barré Syndrome After Influenza Vaccination in Adultsarchive ] , David N. Juurlink, Therese A. Stukel, Jeffrey Kwong, Alexander Kopp, Allison McGeer, Ross E. Upshur, Douglas G. Manuel, Rahim Moineddin, Kumanan Wilson, Arch Intern Med. 2006;166:2217-2221. Décompte effectué par Sanevax : http://sanevax.org/breaking-news-gardasil-fingerprints-found-in-post-mortem-samples/ http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22249285 http://www.quechoisir.org/sante-bien-etre/maladie-medecine/maladie/actualite-aluminium-dans-les-vaccins-lien-de-cause-a-effet-etabli Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.eu http://www.lemonde.fr/epidemie-grippe-a/article/2010/01/04/une-grippe-a-deux-milliards-d-euros_1287422_1225408.html http://www.gardasilandunexplaineddeaths.com/
Voir également :
Meyer, J., & Jensen, K. A. (1954). A fatal case of tuberculosis produced by BCG. Am Rev Tuberc, 70(3), 402–412. JAMES E. F., Fatal case of tuberculosis produced by BCG, American review of tuberculosis, 1955, tome 71, pp.321-323 ; Pedersen, F. K., Engbaek, H. C., Hertz, H., & Vergmann, B. (1978). Fatal BCG infection in an immunocompetent girl. Acta Paediatr Scand, 67(4), 519–523.
OMS, L’éradication mondiale de la variole – Rapport final de la commission mondiale pour la certification de l’éradication de la variole, éd. OMS, 1980.
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Mer 17 Sep - 18:04
MAJ de l'article precedent , que vous n'avait pas lu ......
Petite mise au point : après la publication de ce billet et ma participation, sur le même sujet, à l’émission de Mathieu Vidard, la Tête au carré, beaucoup d’auditeurs et de lecteurs s’en sont pris à moi en m’accusant d’avoir fait un gros amalgame avec le mouvement anti-vaccination et d’être vendu à l’industrie pharmaceutique (tout comme certains m’ont accusé, gratuitement, d’être vendu à Areva lorsque j’ai dit que la catastrophe nucléaire japonaise n’aurait pas de retombée significatives en France). Lisez attentivement mon texte (que j’ai repris en très grande partie dans l’émission) et vous vous apercevrez qu’il n’en est rien. J’ai bien spécifié qu’il y avait deux choses différentes : d’un côté ceux qui pour X raisons, ne faisaient pas vacciner leurs enfants contre la rougeole et, de l’autre, ceux qui faisaient la promotion active et souvent délirante de l’anti-vaccination. Et j’ai bien dit que chacun était libre de ses propres choix mais que, pour ma part, je préférais les choix qui résultaient d’une analyse objective. Voilà. Alors, oui, je pense que le vaccin contre la rougeole est une bonne chose parce qu’en seulement dix ans, il a évité le décès de millions d’enfants dans le monde. En revanche, je ne me prononcerais pas sur le vaccin contre la grippe A/H1N1 parce que 1/ il a été fait très vite 2/ on a vu aussi, très rapidement, que la dangerosité de cette grippe n’était pas celle qui nous avait été annoncée. Donc, j’aimerais bien qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit, parce que c’est pire que l’amalgame dont on m’accuse.
Pour ce qui est de ma “complicité” avec l’industrie pharmaceutique. Je dirais tout d’abord que si j’étais payé par cette industrie, je ne serais probablement pas à écrire des piges les jours et des billets de blog la nuit pour nourrir ma famille. C’est un premier point. Ensuite, l’angle de ce billet (qui n’est même pas un article, on est sur un blog), c’était d’exposer les raisons de la non-vaccination contre le virus de la rougeole et pas du tout d’enquêter sur les industries pharmaceutiques avec lesquelles je n’ai aucun conflit d’intérêt, pas plus que j’ai de conflit d’intérêt avec le nucléaire comme d’autres lecteurs l’ont soupçonné.
D’un autre côté, il est vrai qu’il me serait beaucoup, mais alors beaucoup plus facile, d’écrire des petits billets pleins de sous-entendus ironiques sur les potentielles collusions entre Big Pharma et l’Etat : pas besoin de lire des articles de recherche, pas besoin de dénicher de rapports et d’études, de les lire, des les mettre en lien. Non, juste du jus de crâne et c’est bâché en une demi-heure. Si c’est cela que vous cherchez, du café du Commerce qui ne fait pas mal à la tête et ne fait que conforter l’ère du soupçon généralisé, vous ne le trouverez pas ici. Parce que, de la même manière que je déteste qu’on m’accuse sans preuve, je déteste accuser sans preuve.
Un dernier point : c’est tellement facile et lâche, dans l’anonymat des commentaires, d’attaquer gratuitement ceux qui osent prendre la parole pour défendre publiquement la science quand elle assume correctement sa mission, que je commence à en avoir plus qu’assez de tous ces internautes soi-disant experts qui ne donnent jamais aucune référence, ne signent pas de leur nom et s’adonnent avec délices au dénigrement et à la diffamation quand ce n’est pas carrément de l’insulte. Je suis pour le débat à partir du moment où il se fait de manière équitable et cordiale. Les lecteurs ne sont pas obligés d’être d’accord avec moi, et heureusement d’ailleurs. Simplement, pour le dire, il faut qu’ils y mettent et les formes et des arguments valables parce que je déteste la mauvaise foi et les preuves bidon qu’on me balance sans arrêt. Quant à ceux qui me disent qu’ils sont très déçus et qu’ils ne me liront plus parce que je n’ai pas lissé leurs convictions dans le sens du poil, c’est leur choix. De toute manière, il y a des années que j’ai réalisé qu’on ne prêchait que les convaincus et que ce genre de texte ne pouvait faire changer d’avis qu’à une fraction infinitésimale de la population. Il est des jours où je me demande encore pourquoi je les écris alors que je pourrais passer mon temps à flotter sur mes petits textes rigolos et sans conséquence. Mais c’est précisément parce que je m’en prends plein la tête pour pas cher que je persiste, parce que si un journaliste scientifique ne parle pas des gros problèmes auxquels la science est confrontée, personne ne le fera.
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Mer 17 Sep - 18:53
Ces médias qui nous abrutissent... parfois au péril de notre vie
De nos jours, même les gens franchement peu malins comprennent que la vaccination des femmes enceintes constitue vraiment le faux pas de trop de l'establishment, le harcèlement vaccinal de trop, une bêtise franchement flagrante en plus d'être tout à fait irresponsable et hasardeuse.
Mais c'est alors qu'il faut en remettre en une couche, compter sur de dociles médias qui sont prêts à relayer sans la moindre réflexion ou le moindre esprit critique la moindre ânerie, pourvu qu'elle soit soi-disant sous-tendue par une publication scientifique, quel que soit son contenu.
Et là, pour faire fort, la presse canadienne fait fort (mais la presse européenne va sûrement ressasser ça aussi avec quelques jours de retard...). Alors que la vaccination constitue déjà une cause majeure d'allergies tant chez les adultes que les enfants, on conseille AUX FEMMES ENCEINTES ALLERGIQUES de recevoir une vaccination de plus en prétendant que cela sera favorable à leur bébé!!!!!!!!!!!!
Grossesse: le vaccin contre les allergies est efficace pour le bébé
Les femmes enceintes qui ont des allergies devraient donc considérer une vaccination additionnelle à leur carnet. Selon une étude publiée par MedicalNewsToday, les effets anti-allergènes du vaccin auraient des répercussions positives pour le bébé à naître.
La bonne nouvelle a été annoncée lors de l'Annual Scientific Meeting of the American College of Allergy, Asthma and Immunology (ACAAI). Jay Lieberman, allergologue, a déclaré lors de la rencontre : « Nos recherches démontrent que les femmes qui reçoivent une injection contre les allergies avant ou pendant la grossesse réduisent aussi les risques d’allergies comme l’asthme, les allergies alimentaires et l’eczéma chez leur enfant ».
Malgré le fait qu’aucune médication sur le marché ne puisse enrayer totalement les allergies, l’immunothérapie est connue pour modifier et prévenir l’aggravation des maladies à caractère allergique.
Sachez que si les 2 parents souffrent d’allergies (diverses), les enfants ont 75 % des chances de développer eux aussi des allergies. Ce risque diminue de 30 à 40 % si uniquement un des parents en souffre (ou autre membre de la famille proche). Si aucun des parents n’a de problème allergique, les risques descendent entre 10 et 15 %.
Une réduction des coûts de santé jusqu’à 41 % pourrait être envisagée en effectuant un traitement d’immunothérapie chez la femme enceinte, selon Warner Carr, allergologue et membre du conseil de la ACAAI.
Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire bon sang!!!!!!!!
On marche donc vraiment sur la tête parce qu'on se propose ainsi d'injecter (avant de finir par l'imposer?) des produits susceptibles de causer des allergies à des femmes déjà allergiques et qui en plus, sont dans un double état de fragilité vu leur grossesse.
Il apparaît de plus en plus clair que SI les générations futures en seront du moins encore intellectuellement capables, elles risquent réellement de MAUDIRE leurs ancêtres d'avoir contribué à dégrader à ce point l'ADN humain par toutes sortes de pollutions inutiles et stupides imposées de générataions en générations sur base de dogmes mercantiles, comme cela se produit avec la vaccination. Le taux de maladies prétendument "orphelines" continue d'exploser et une masse trop crédule continue de croire qu'on n'a aucune explication, que personne ne sait d'où ça vient et qu'il n'y a qu'une seule chose à faire: continuer à verser de l'argent à de prétendues associations caritatives.
Voilà le triste monde que les citoyens sont en train de concocter malgré eux pour accueillir les générations futures. Hauts les coeurs?
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Mer 17 Sep - 22:57
Le problème, n'est pas le vaccins en lui même le problème, il s'agit de bien nuancer. Mais bien des adjuvants utilisés, plus certaines campagne de vaccination agressives et certains produits qui se sont réellement avérée mauvaise pour la santé voir mortel (le Gardasil par exemple). le problème est que les lobbys pharmaceutique font passer le profit avant la logique médicale et les soins. C'est réellement un bizness avant toute choses
Tu as posté un lien RTBF, justement la RTBF avait réalisé un excellent reportage sur les adjuvant et cette politique du profit allant à l'encontre de toute logique de la santé
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Lun 10 Nov - 11:27
Bonjour mes frères et sœurs Les langues se délient et la vérité crue surgit...Il était temps, c'est que il s'agit de la vie et la santé de nos petite tête blonde...On ne peux impunément jouer avec leur santé rien ne peux la justifié, même si le vaccin marche sans problème pour un large pourcentage, on ne peux fermé les yeux pour ceux à qui il fut fatale ! Il y a énormément de scandale lié aux vaccins. Il y a encore une affaire grave en Afrique, dont je vous parlerais prochainement, il est temps de réclamer des vaccins propre pour protéger le peuple, et non le empoisonner !! Je pense aussi à cette petite dans le coma en France après la prise de un vaccins anti grippaux !!
L’autisme est bien causé par les vaccins
CNN révèle la fraude du CDC: ils ont dissimulé au public 340% de risque d’autisme lié aux vaccins!
Le lanceur d’alerte du CDC, le Dr William Thompson a publié une déclaration officielle confirmant que l’étude originale avait montré un lien entre le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et l’autisme, plus spécialement chez les enfants afro-américains, et que le CDC en avait caché les résultats.
Un éminent chercheur aux Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le Dr William Thompson admet qu’il a joué un rôle clé en aidant à faire apparaître au grand jour la manipulation des données par le CDC. Cette fraude a consisté à dissimuler une incidence plus élevée de l’autisme due au vaccin ROR chez les garçons afro-américains. Le lanceur d’alerte, le Dr William Thompson a avoué les faits après que le Dr Brian Hooker ait réclamé et obtenu, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act ou FOIA), les données originales d’une étude portant sur l’autisme, avec l’aide du député américain Darrell Issa, président de la Chambre de surveillance et de la réforme du gouvernement. Les documents du CDC, ainsi que les discussions avec le lanceur d’alerte révèlent une manipulation généralisée des données scientifiques, ainsi qu’une pression (du haut vers le bas) sur le scientifique du CDC pour supprimer tout lien de causalité entre le vaccin ROR et le diagnostic ultérieur d’autisme, en particulier dans un groupe d’hommes afro-américains qui avaient reçu leur vaccin « à temps » en conformité avec le calendrier recommandé par le CDC.
Les documents reçus du CDC montrent qu’en 2003, on a découvert comme étant lié au vaccin ROR un risque d’autisme chez les garçons afro-américains de 340%. La découverte de ce risque a été cachée sous la pression de hauts fonctionnaires. Les chercheurs du CDC ont alors recalculé leurs résultats en omettant d’inclure une population donnée afin de pouvoir obtenir les résultats désirés. Mais même en recalculant ainsi les données après avoir omis cette population, un risque significatif d’autisme est encore retrouvé en lien avec le vaccin ROR. La mention d’un tel risque se retrouve par ailleurs également dans la présentation de l’étude originale faite par l’Institut de Médecine (IOM) (cf. pages 29 et 31 de cette présentation)
Le Dr William Thompson qui a travaillé pour l’Agence gouvernementale pendant plus d’une décennie a confirmé que :
« Depuis les débuts de 2003, le CDC était au courant de la relation qui existait entre l’incidence de l’autisme et l’âge auquel le premier vaccin ROR était administré chez les garçons Afro-Américains, mais a choisi de dissimuler la chose. »
Il a fait remarquer :
« Nous avons perdu dix années de recherche parce que le CDC est actuellement tellement paralysé par tout ce qui touche à l’autisme. Ils ne font pas ce qu’ils devraient faire parce qu’ils ont peur des conclusions qui pourraient être tirées. »
Il prétend que ses supérieurs ont commis des actes criminels et a exprimé son profond regret quant à son rôle qui a contribué à masquer les données du CDC.
Cette augmentation du taux d’autisme régressif chez les Afro-Américains a bel et bien été trouvée. L’association Autisme Speaks (fondée en 2005 par les grands-parents d’un enfant autiste) signale que « la question du risque d’autisme régressif chez les enfants Afro-Américains a déjà été posée deux reprises ».
Il semble que la chose soit directement liée à la sortie récente des documents du CDC, ainsi qu’aux aveux du chercheur du CDC, le Dr William Thompson.
Les révélations du Dr Thompson remettent en question les neuf autres études citées par le CDC comme preuves permettant de nier un lien entre autisme et vaccins. Ces révélations ont également suscité une pétition (sur change.org) pour que l’étude frauduleuse soit retirée du journalPediatrics qui fut publié en 2004.
Une note de service de 2004 dans laquelle le Dr Thompson exprimait déjà au Dr Gerberding (chef du CDC à l’époque) ses inquiétudes sur cette étude problématique, a été récemment publiée. Cette étude a bouleversé les citoyens. Cela signifierait-il que le Dr Gerberding aurait commis un parjure au cours d’une audition au Congrès? Un examen plus approfondi sera nécessaire pour le savoir.
Quoi qu’il en soit, de nombreux citoyens qui considèrent la chose comme un méfait délibéré, à la charge des contribuables, ont entamé une campagne médiatique (Twitter etc.) pour informer le public de cette histoire et de ses conséquences. Les parents espèrent que l’Agence sera tenue responsable des dissimulations qui ont été effectuées. Ils réclament également une enquête pour que l’on puisse savoir si le Dr Coleen Boyle aurait aussi commis un parjure dans son témoignage devant le Congrès, quand elle avait été publiquement interrogée sur la question des liens possibles entre les vaccins et l’autisme.
Le Département Américain des Ressources de Santé et des Services de l’Administration a déjà reconnu que l’autisme pouvait être une conséquence indirecte de dommages vaccinaux comme ce fut documenté dans la mise à jour du tableau « Dommages vaccinaux » qui a fait suite au rapport de l’Institut de Médecine (IOM) de 2011. Ils ont rejeté l’autisme comme effet secondaire direct et spécifique de la vaccination ROR mais au vu des dernières révélations, les textes pourraient subir des modifications.
Le CDC a répondu à ces allégations en indiquant qu’ils reconnaissaient que cette étude avait montré une augmentation du risque d’autisme avec le ROR :
« Les résultats des recherches ont révélé qu’entre 24 et 36 mois, la vaccination était légèrement plus fréquente chez les enfants atteints d’autisme, et que cette association était la plus forte chez les enfants de 3 à 5 ans. »
Ils ont rejeté la chose en avançant l’hypothèse que les parents dont les enfants sont autistes se sont précipités pour les faire vacciner avant de rentrer à l’école.
« La chose la plus probable est que tout résulte des exigences de vaccinations préscolaires »
Programme spécial d’éducation pour les enfants atteints d’autisme
Cela soulève des questions parce qu’il y a des exigences de vaccination pour tous les enfants qui fréquentent l’école publique et que les enfants qui disposent d’une exemption pour les vaccins ont déjà été exclus du compte (de l’étude réalisée).
Le CDC indique également que :
« Des études complémentaires, ainsi qu’un examen rigoureux plus récent de l’Institut de Médecine ont établi que le vaccin ROR ne pouvait pas augmenter le risque d’autisme. »
Les études sur lesquelles le CDC se base pour affirmer qu’il n’y a aucun lien entre le vaccin ROR et l’autisme sont au nombre de 4. Le CDC reprend ces études sur son site. Un rapide coup d’œil à ces 4 études soulève plusieurs questions.
* La première étude montre un lien significatif (entre les vaccins et l’autisme)
* La seconde étude a été réalisée par l’infâme Dr Thorsen qui attend son extradition vers les Etats-Unis pour cause de fraude. Il est repris sur la liste du CDC comme l’homme le plus recherché – l’instance ayant remis tout son travail en question- et ceci sans parler des autres problèmes potentiels qui ont été soulevés au sujet de cette étude.
* La troisième étude est de nature préparatoire/préliminaire. Elle se base sur de très faibles échantillons : 28 enfants au total, ce qui est très peu.
* La dernière étude a porté sur 31 enfants pour l’échantillon de contrôle et s’est appuyée sur des entrevues avec les parents pour fournir des renseignements médicaux et comportementaux. Ensuite, ils ont constaté que plus de la moitié (50%) des enfants atteints d’autisme ont régressé peu de temps après la vaccination ROR ((dans un délai de moins de 5 mois après la vaccination), alors même qu’ils ont conclu qu’il n’y avait pas de connexion.
Cela pose la question de savoir pourquoi il n’y a que quatre études qui ont été utilisées pour appuyer les allégations que le ROR est un vaccin sûr. Une recherche rapide sur PubMed permet de tomber sur un document de recherche de 2012, revu par les pairs et qui a porté sur l’étude de plus de 500.000 enfants. Cette recherche a mis en évidence une augmentation significative des effets secondaires après la vaccination ROR: 22 fois plus de risques de méningite, 500% d’augmentation du risque de convulsions fébriles et autres effets secondaires majeurs, y compris des troubles de la coagulation.
La récente publication d’un autre document, relatif à une enquête du Ministère de la Justice en 2002, a montré que le Dr William Thompson était à ce point préoccupé par ce rapport qu’il a envisagé de retirer son nom du document. A la lumière de ses récentes déclarations et des documents publiés sur cette affaire, ne serait-on pas en droit de se demander si tous les avocats concernés n’auraient pas tenté d’empêcher la divulgation de cette information ?
Les aveux, déjà en 2008 sur CBS, du Dr Bernadine Healy, ancienne Directrice du National Institute of Health (NIH). La question du lien entre autisme et vaccins n’est pas tranchée disait-elle, il existe des inquiétudes et le refus par les autorités d’appliquer une vraie Science amène à sacrifier des enfants qui vont être rendus inutilement autistes alors qu’on aurait pu les dépister…
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Lun 10 Nov - 18:22
Sources:
CNN iReport, 24 août 2014
ireport est des nouvelles produites par les utilisateurs (aka, un blog).
Le CDC a depuis publié une déclaration concernant les données en question, avec les instructions pour accéder à l'étude au centre de la controverse. Comme le CDC noté, les auteurs de cette étude ont suggéré que l'explication la forte probablement de la corrélation modérée entre l'autisme et la vaccination dans de petits enfants était l'existence d'exigences d'immunisation pour les enfants autistiques inscrits à l'éducation spéciale les programmes préscolaires .
donc les enfants en question etait DEJA inscrit dans les programmes pre-scolaire pour autiste.
des enfants deja considere comme autiste.
Le 27 août, Thompson a libéré une déclaration via le cabinet d'avocat Morgan Verkamp, LLC, en confirmant qu'il avait parlé avec Dr Brian Hooker. Intitulé "la DÉCLARATION DE GUILLAUME W. THOMPSON, Ph.D., CONCERNANT L'ARTICLE de 2004 EXAMINANT LA POSSIBILITÉ D'UN RAPPORT ENTRE LE VACCIN MMR ET L'AUTISME", la déclaration de Thompson a été libérée ICIet elle commence :
"" Je regrette que mes coauteurs et moi ayons omis des renseignements statistiquement significatifs dans notre article de 2004 publié dans le journal Pediatrics. Les données omises ont suggéré que les mâles afro-américains qui ont reçu le vaccin MMR avant l'âge 36 mois étaient au risque accru pour l'autisme. Les décisions ont été prises concernant lesquelles conclusions annoncer après que les données ont été recueillies et je crois que le protocole d'étude final n'a pas été suivi. ""
Revendication: Le CDC a volontairement supprimé la preuve de cas sur les vaccins de l'autisme chez les garçons afro-américains d'atteindre le public.
Le 24 Août 2014, un iReport de CNN réclamant la suppression intentionnelle de données relatives aux taux d'autisme chez les populations particulières de garçons afro-américains suivants la vaccination ROR sont allés virale. L'histoire a semblé disparaître mystérieusement, qui alimente encore l'idée qu'une dissimulation intentionnelle était en cours.
L'idée que les vaccins conduisent à l'autisme n'est pas une nouvelle théorie de la conspiration, il n'est pas un particulièrement rare. Une étude est largement discrédité publié dans le domaine médical revue The Lancet en 1998 a planté une graine de la peur à propos de l'innocuité des vaccins; et malgré les efforts pour contrer la préoccupation chez de nombreux parents inquiets, les responsables de la santé publique continuent à rencontrer de plus en plus la résistance du public à la vaccination. Et la CNN iReport en question a été basé sur une vidéo qui présentait William Thompson, chercheur principal à la CDC, convenable "avouant" anti-vaccinationist Brian Hooker sur une dissimulation à la CDC, et comprenait du matériel comme une revendication par le Dr Andrew Wakefield (qui a publié en 1998 un document de recherche frauduleux prétendant un lien entre le vaccin ROR et l'apparition de l'autisme et a depuis été interdit de pratiquer la médecine au Royaume-Uni) affirmant que les résultats d'une étude prouvant un lien entre l'autisme et ROR (rougeole , les oreillons, la rubéole et les vaccins) avaient été «cachés» par le CDC:
Spoiler:
Dr Andrew Wakefield: «C'est une histoire vraie d'un véritable fraude délibérée de tromperie de haut niveau du peuple américain avec des conséquences désastreuses pour la santé de ses enfants..."
"Il ya plus d'une décennie, le Dr Scott Montgomery et j'ai mis une hypothèse pour le vaccin ROR et l'autisme:. L'âge que vous recevez le vaccin influe sur le risque Nous partagé cette hypothèse avec les responsables de la vaccination, les membres des Centers for Disease Control, aux réunions ., à Washington, DC et Cold Harbor Spring Un groupe de hauts gens de la sécurité des vaccins du CDC étudié Il éreinté que nous avions raison -.. au moins en partie.
"Par le 9 novembre 2001, il ya près de treize années, les scientifiques supérieurs CDC savaient que l'exposition plus jeune âge à MMR a été associée à un risque accru d'autisme. En 2004, ils ont publié, mais ils se sont cachés les résultats." MMR a été déclaré sécuritaire. "
Un aspect très important de cette rumeur actuelle est la confusion entre la marque nouvelles de CNN avec son iReport , ce dernier étant une plate-forme en vertu de laquelle toute personne peut présenter le contenu. Confusion sur le rôle de CNN à la présentation de cette demande est maintenant référencé dans la partie supérieure du poste restauré; mais les versions antérieures de l'histoire n'ont pas désigné clairement la nature crowdsourcing du rapport, et de nombreux lecteurs ont été amenés à croire à tort CNN faisait la déclaration comme un réseau de nouvelles.
Actuellement, quelques liens circulent de CNN iReport concernant un dénonciateur dissimulation CDC. On est intitulé " Fraude à la CDC découvert, 340% le risque accru d'autisme caché du public , "et un autre est intitulé" CDC autisme dénonciation admet vaccin étude fraude . "
Le second lien a été publié le 22 Août 2014, et le poste de iReport affirme explicitement que la CDC a été impliqué dans une dissimulation intentionnelle:
Citation :
William W. Thompson, Ph.D., scientifique principal auprès de la CDC a pris les devants et a admis le document de 2004 intitulé «L'âge à la première vaccination rougeole-oreillons-rubéole chez les enfants atteints d'autisme et les sujets témoins appariés scolaire: une étude basée sur la population dans la métropole d'Atlanta , "qui a été utilisé à plusieurs reprises par la CDC à refuser la connexion MMR-autisme, était une fraude.
M. Thompson a admis l'augmentation de 340% chez les garçons ayant reçu le vaccin MMR "à temps", par opposition à un retard, a été enterré par lui-même, le Dr DeStefano, le Dr Bhasin, le Dr Yeargin-Allsopp, et le Dr Boyle ... Dr Thompson abord appelé et parlé avec le Dr Brian Hooker, qui a ensuite révélé l'information au Dr Andrew Wakefield et la Media Channel autisme.
Un facteur déterminant du récit de conspiration était la disparition des iReports CNN en question, qui conduit beaucoup à croire que la CDC de connivence avec CNN pour supprimer l'information:
Citation :
Jon Rappoport @jonrappoport Follow CNN restores censored iReports. Are they feeling the pressure? http://bit.ly/1rvv2Ad Autism, MMR vaccine, CDC coverup. 10:34 PM - 25 Aug 2014 CNN restores censored iReports. Are they feeling the pressure? CNN restores censored iReports. Are they feeling the pressure? by Jon Rappoport August 25, 2014 www.nomorefakenews.com 4:20PM ET: bobbydee2014's iReport post is now visible again: "CNN PRODUCER NOT...
WordPress.com @wordpressdotcom
Cependant, les rapports auraient été supprimées, sont actuellement facilement disponibles sur le site web de CNN iReport, maintenant avec un non-responsabilité annexé à eux:
Citation :
CNN PRODUCTEUR NOTE: CNN iReport est la communauté de nouvelles généré par les utilisateurs du réseau. Cette histoire a d'abord été tiré pour un examen plus approfondi après avoir été signalé par la communauté. CNN a tendu la main à la CDC pour commentaire et s'emploie à confirmer les allégations à cet iReport.
Un certain nombre de revendications s'entendant "CDC whistleblower" les allégations font circuler actuellement le web social, particulièrement sur les pages et les sites qui préfèrent des théories de conspiration médicales. En dépit du volume de postes sur le sujet, aucune vérification crédible de ces revendications n'a émergé parmi les niveaux s'intensifiant de rhétorique. Le contexte des remarques de Thompson comme présenté dans les séquences vidéo (vu dans le susdit pépiement) n'a pas été expliqué, mais comme ScienceBlogs noté de cette vidéo, il a l'air d'être hautement manipulé et la tromperie :
Citation :
D'une façon ou d'une autre, une voie, un scientifique CDC aîné a fait l'erreur massive du fait de parler avec Brian Hooker. Cela le scientifique CDC est Guillaume Thompson, bien respecté (jusqu'à, peut-être, maintenant) le scientifique et le coauteur de Destefano et al, aussi bien que premier auteur sur une étude de NEJM largement citée en ne montrant aucune corrélation entre thimerosal dans les vaccins et désordres neurodevelopmental, parmi d'autres études. La première chose j'ai remarqué le fait d'écouter Thompson dans la vidéo de Wakefield consiste juste en ce comment peu il est cité. Plutôt il est paraphrasé par Hooker, qui se décrit comme "le confesseur" de Thompson à qui Thompson "avoue". Les parties avec la voix de Thompson semblent hautement révisées, les morceaux solides brefs. Ils sonnent, au moins la façon qu'ils sont présentés, extrêmement accablants sur le premier écoute. Cela semble très bizarre sur le premier écoutent. Heck, cela paraît très bizarre sur le deuxième écoutent. Ainsi, qu'est-ce qui est arrivé vraiment ? De nouveau, qui sait ? Vous m'excuserez si je réserve le jugement jusqu'à ce que plus de renseignements entrent des sources autre qu'Andrew Wakefield et Brian Hooker parce que je pense que ce que nous voyons est une présentation extrêmement inégale de renseignements choisis de cerise.
Le CDC a depuis publié une déclaration concernant les données en question, avec les instructions pour accéder à l'étude au centre de la controverse. Comme le CDC noté, les auteurs de cette étude ont suggéré que l'explication la forte probablement de la corrélation modérée entre l'autisme et la vaccination dans de petits enfants était l'existence d'exigences d'immunisation pour les enfants autistiques inscrits à l'éducation spéciale les programmes préscolaires :
Citation :
L'accès aux renseignements sur les actes de naissance a permis aux chercheurs d'évaluer des renseignements plus complets sur la course aussi bien que d'autres caractéristiques importantes, en incluant des facteurs de risque possibles pour l'autisme tels que le poids de naissance de l'enfant, l'âge de mère et l'éducation. Ces renseignements n'étaient pas disponibles pour les enfants sans actes de naissance ; dorénavant l'étude de CDC n'a pas présenté des données par la course sur d'autres enfants de course ou noirs, blancs de l'échantillon d'étude entier. Il a présenté les résultats sur les enfants de course noirs et blancs/autres du groupe avec les actes de naissance.
L'étude a regardé de différentes tranches d'âge : enfants vaccinés par 18 mois, 24 mois et 36 mois. Les conclusions ont révélé que la vaccination entre 24 et 36 mois était légèrement plus répandu parmi les enfants avec l'autisme et que l'association était la plus forte parmi les enfants 3-5 ans d'âge. Les auteurs ont dit que cette conclusion était la forte probablement un résultat d'exigences d'immunisation pour l'assistance de programme d'éducation spéciale préscolaire chez les enfants avec l'autisme.
Le 27 août, Thompson a libéré une déclaration via le cabinet d'avocat Morgan Verkamp, LLC, en confirmant qu'il avait parlé avec Dr Brian Hooker. Intitulé "la DÉCLARATION DE GUILLAUME W. THOMPSON, Ph.D., CONCERNANT L'ARTICLE de 2004 EXAMINANT LA POSSIBILITÉ D'UN RAPPORT ENTRE LE VACCIN MMR ET L'AUTISME", la déclaration de Thompson a été libérée ici et elle commence :
Citation :
Je regrette que mes coauteurs et moi ayons omis des renseignements statistiquement significatifs dans notre article de 2004 publié dans le journal Pediatrics. Les données omises ont suggéré que les mâles afro-américains qui ont reçu le vaccin MMR avant l'âge 36 mois étaient au risque accru pour l'autisme. Les décisions ont été prises concernant lesquelles conclusions annoncer après que les données ont été recueillies et je crois que le protocole d'étude final n'a pas été suivi.
Je veux être absolument clair que je crois que les vaccins ont sauvé et continuent à sauver des vies innombrables. Je ne suggérerais jamais que tout parent évite de vacciner des enfants de toute course. Les vaccins préviennent des maladies graves et les risques associés à leur administration sont considérablement emportés par leurs avantages individuels et sociétaux.
Thompson déclare aussi qu'il n'avait pas été rendu conscient que les conversations qu'il avait eues avec Hooker avaient été enregistrées, il n'a non plus consenti à être indiqué publiquement sur l'affaire de l'étude de Pédiatrie de 2004 :
Citation :
J'ai eu beaucoup de discussions avec Dr Brian Hooker au cours des 10 mois derniers concernant les études que le CDC a réalisées concernant les vaccins et les résultats neurodevelopmental en incluant des désordres de spectre d'autisme. Je partage son beliefthat CDC la prise de décision et les analyses devraient être transparentes. Je n'étais pas conscient, cependant, qu'il enregistrait n'importe laquelle de nos conversations, on ne m'a non plus donné de choix concernant si mon nom serait communiqué ou ma voix serait mise sur Internet.
Il conclut .....
Citation :
Les scientifiques raisonnables peuvent et différer vraiment par leur interprétation de renseignements. Je ferai tout que je peux pour aider tous scientifiques impartiaux et objectifs à l'intérieur ou à l'extérieur du CDC à analyser des données recueillies par le CDC ou d'autres organisations publiques dans le but de comprendre si les vaccins sont associés à un risque accru d'autisme. Il y a encore plus de questions que les réponses et j'apprécie que tant de familles cherchent des réponses de la communauté scientifique... Mes collègues et surveillants au CDC ont été entièrement professionnels depuis que cette affaire est devenue publique. En fait, j'ai reçu un prix basé sur la performance après que cette histoire est partie. Je n'ai connu aucune pression ou revanche et n'a pas été escorté certainement du bâtiment, comme certains ont déclaré.
Le 27 août, l'étude de Talonneur dans Neurodegeneration Translationnel a été enlevée du domaine public en raison des inquiétudes levées des conclusions de la recherche. Le journal a exposé :
Citation :
Cet article a été enlevé du domaine public à cause des inquiétudes sérieuses de la validité de ses conclusions. Le journal et l'éditeur croient que sa disponibilité continuée peut ne pas être dans l'intérêt public. L'action de la rédaction définitive sera l'enquête de plus en instance.
Pour une analyse approfondie des défauts et de la désinformation associée à la théorie de conspiration "de tentatives faites pour étouffer l'affaire" d'autisme de CDC actuelle, nous recommandons les postes sur le sujet à Scienceblogs , que la note de la revendication au cœur de cette affaire (c-à-d, la preuve prétendument réprimée d'un risque accru de 340 % d'autisme dans les garçons afro-américains après la vaccination de MMR) que :
[quote]Les données de vaccination ont été tirées des formes d'immunisation exigées pour l'entrée scolaire et les dossiers d'enfants qui est né en Géorgie ont été reliés aux actes de naissance de la Géorgie pour les renseignements sur les facteurs de naissance et le maternel. Fondamentalement, aucune association significative n'a été trouvée entre les raccourcis d'âge examinée et le risque d'autisme. Je note que, même dans la “réanalyse” par Brian Hooker, il n'y a toujours une aucune corrélation pour les enfants qui ne sont pas des garçons afro-américains
Wakefield prétend que les garçons afro-américains ont été "négligés" [dans l'étude de Thompson]. Il prétend aussi que c'est la justification pour lui, mais, évidemment, ce n'est pas. Remarquez comment il néglige complètement de dire en passant que dans chaque autre sous-groupe [examiné dans l'étude], même Hooker ne pouvait pas torturer les données pour le faire avouer un rapport entre l'âge à la vaccination MMR et l'autisme dans autre population autre qu'une très petite population dans l'étude : mâles afro-américains. Chaque fois que cela arrive puisque vous coupez des données épidémiologiques plus parfaites et plus parfaites, vous devriez être alerte pour la possibilité très distincte qui ce que vous regardez vraiment est une corrélation fausse. Comme j'ai montré auparavant, Hooker a confirmé en réalité simplement que Wakefield était incorrect sur chacun sauf les mâles afro-américains et, étant donné combien petit ce sous-groupe était dans l'étude, n'a pas trouvé presque certainement d'évidence soutenant l'hypothèse de Wakefield (telle que cela est) pour les garçons même afro-américains. Pourtant, Wakefield, aussi trompé comme il est, le lance comme "la justification". Il remercie même Hooker de finir par un "scientifique aîné au CDC" se proposer et "confirmer" que certaines de ces "idées que nous avançons" sont vraies. Enfer saint ! Même si vous lancez les déclarations de Thompson dans la manière la plus non flatteuse possible vers le CDC et ses co-investigateurs, Thompson n'a dit rien de la sorte ! |/quote]
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 47 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Lun 10 Nov - 18:46
C'est illisible et presque impossible à comprendre quelque chose...
Qu’est-ce que l’autisme? Est-ce si grave et si coûteux? Rendez-vous compte par vous-même en regardant ci-dessous du temps 3.28 à 4.08 (Pour info, en Belgique, il y a plus de 100 000 autistes dont une majorité de cas d’autisme régressif, soit le type d’autisme qui survient après des vaccins et qui se caractérise par un développement parfaitement normal au départ suivi d’une sorte de « cassure » dans le développement qui correspond au déploiement dans le temps des effets neurologiques des vaccins) :
Tout les faux_fuyants de la CDC sont inutiles les faits sont là...Les propagandes des lobbys pharmaceutiques n'y pourront rien !
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Mer 12 Nov - 8:13
Du Nujol au Tamiflu : la guerre menée par l’industrie pharmaceutique contre nos santés
L’industrie pharmaceutique mène une guerre implacable, au budget colossal, aux manœuvres impitoyables, aux techniques innombrables, contre nos santés. Une histoire des médicaments…
Dans son livre, « The drug story: A factological history of America’s $10,000,000,000 drug cartel, its methods, operations, hidden ownership, profits and terrific impact on the health of the American people », paru en 1949, Morris A. Bealle nous raconte une “drôle” d’histoire. Celle du Nujol [chapitre 1, « What Nujol Started »].
William Avery Rockefeller est né en 1810 et mort en 1906, patriarche d’une dynastie aussi célèbre que discrète, et descendant d’immigrants allemands (Roggenfelder). Old Bill (son surnom), fermier à New-York jusqu’en 1850, se rendit ensuite à Cleveland, où il se fit passer frauduleusement pour un docteur en médecine : le docteur Levingston [1]. Dans son livre étonnant, M. A. Bealle relate qu’Old Bill était marchand de produits « pharmaceutiques », faisant penser à ces charlatans, faux docteurs itinérants en carriole, vendant des élixirs douteux, popularisés par la bande dessinée Lucky Luke (Docteur Doxey), et préfigurant nos visiteurs médicaux (représentants pharmaceutiques).
Le groupe Rockefeller
Beaucoup de remèdes à base de pétrole étaient vendus comme « médicaments » par une clique d’escrocs et de charlatans, Seneca Oil, Rock Oil et American Medicinal Oil. [2] Old Bill vendait des flacons de pétrole brut aux fermiers naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. Il appelait son élixir en flacon : Nujol (New Oil : Nouvelle Huile).
Pendant que son fils John D. Rockefeller Ier fondait la Standard Oil Company, en 1870, grâce aux prêts d’une autre famille discrète et célèbre, les Rothschild, William achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2 dollars à tous ceux qu’il arrivait à convaincre qu’ils étaient malades et seraient mieux avec son « remède ». Très peu cultivé, peu scrupuleux, sans connaissance ou formation médicales, avec quelques notions de comptabilité et une avidité féroce, il sut s’imposer. Le Nujol fut finalement baptisé « cure contre la constipation » et largement commercialisé, avec quelques améliorations provenant des chimistes de la Standard Oil. Cependant, des médecins découvrirent que le Nujol était nocif et provoquait des maladies graves, éliminant les vitamines liposolubles du corps.
La Standard Oil lutta contre la chute des ventes en ajoutant du carotène au pétrole brut pour parer à toute carence. Le sénateur Royal Samuel Copeland, médecin homéopathe et élu sénateur à New York en 1924, aurait été payé 75 000 dollars par an pour promouvoir le Nujol [3]. Beaucoup de médecins ont continué de décrier, en vain, les effets nocifs du Nujol de la Standard Oil. Le médicament Nujol existe toujours sous forme d’huile de paraffine pure, classé comme laxatif doux, il est recommandé pour la constipation chronique rebelle aux thérapeutiques hygiéno-diététiques habituelles.
Dans le livre du docteur Dirk Van Duppen, « La Guerre des Médicaments », nous découvrons sans surprise que dans le top-500 des plus grandes entreprises américaines, l’industrie pharmaceutique est la plus rentable (Fortune 500) [4]. « Pour chaque dollar de chiffre d’affaires, il y a 17 cents de bénéfice net. C’est 5,5 fois plus que la moyenne du top 500 de Fortune. Le taux de profit sur le capital atteint 14,5 % soit six fois la moyenne de Fortune 500. Le bénéfice sur les actions atteint même 27,6 %, soit presque trois fois plus que la moyenne de Fortune 500. En 2002, le bénéfice commun des dix plus grosses entreprises pharmaceutiques s’élevait à 35,9 milliards de dollars. Ce qui leur permettait de dépasser les 33,7 milliards de bénéfice réalisé par les 490 entreprises restantes ! » [5] Cette rentabilité ne faiblit pas d’année en année [6]. Ainsi, « les analystes financiers pensent que le secteur de l’industrie pharmaceutique et biotechnologique est voué à une croissance annuelle du cours des actions de 25 % sur 2009 [7] ».
Quel en fut la part des vaccins dans ces périodes de peur grippale organisée ?
« Les vaccins, un créneau sous les feux de la rampe compte tenu de la grippe H1N1 […] Le marché mondial des vaccins antigrippaux représente 25% du marché des vaccins globaux lui-même évalué à 14 milliards de dollars en 2008 (ou 2% du marché pharmaceutique). » [8]
Par comparaison, « Avec un marché mondial des troubles métaboliques et endocriniens valorisé à plus de 68 milliards de dollars en 2009, le marché mondial des traitements du diabète représente plus de 28 milliards de dollars. » [9]
Autant d’argent en jeu laisse peu de place à l’éthique.
Continuons la Drug story.
Le Lipitor (atorvastatine) est commercialisé par la firme Pfizer, premier laboratoire pharmaceutique mondial au 12 mars 2009 (classement par Chiffres d’Affaires du groupe – cité par “Les Echos” – 75 milliards de dollars). Présenté comme un médicament miracle, de la famille des statines, le Lipitor (et d’autres, zocor, lipanthyl, crestor…) permet de réduire les taux élevés de cholestérol, protégeant contre les attaques cardiaques. Le Lipitor de Pfizer, en outre, occupe la première place du classement prévisionnel des dix médicaments les plus vendus dans le monde en 2010 [10]. Il devrait réaliser un chiffre d’affaires mondial de 11,7 milliards de dollars en 2010. Pourtant, il est possible que les statines dont le Lipitor de Pfizer induisent à long, voire à moyen terme, une insuffisance cardiaque congestive comme le souligne le cardiologue Peter Langsjoen de Tyler, Texas. Langsjoen a renoncé à une carrière attrayante dans un hôpital universitaire afin de consacrer sa compétence à ce qu’il appelle « l’insuffisance cardiaque congestive induite par les statines ». Mais ce n’est pas tout.
Cancers, pertes de mémoire, immunosuppression, perte de la sensibilité à l’insuline (hormone de régulation de la glycémie), troubles cognitifs ou psychiatriques conduisant au suicide, accident vasculaire cérébral, la liste des effets secondaires des statines, souvent non précisées par la firme, est longue, très longue. Joël M. Kaufmann de l’Université de Philadelphie (Prof. émérite) a examiné certains rapports et a trouvé une explication peu flatteuse.
« Les compagnies pharmaceutiques scindent parfois un effet indésirable grave en plusieurs effets secondaires mineurs, afin que leur médicament soit approuvé », a-t-il dit récemment dans une conférence.
« Il s’agit d’une méthode éprouvée afin de maintenir les effets néfastes vraiment alarmants au-dessous des 1% » requis. [11]-voir biographie médicale du Dr P. Langsjoen dans cette référence.
A l’hôpital Baystate Medical Center (Springfield, Massachusetts), l’éthique médicale a reçu un nouvel uppercut à l’estomac. Pfizer a financé presque toutes les études de l’anesthésiste Scott Reuben, spécialisé dans le traitement de la douleur postopératoire et considéré par ses pairs comme une référence en analgésie (la prise en charge de la douleur), ayant notamment publié des études capitales sur le Lyrica (prégabaline) de Pfizer, pour la prise en charge des douleurs neuropathiques, à l’origine de souffrances d’ordinaire très difficiles à soulager. Ces études ont été publiées dans les revues spécialisées les plus prestigieuses de la profession telles Journal of Clinical Anesthesia, Anesthesiology, Anesthesia and Analgesia, etc. Or le Dr Reuben, sponsorisé par la firme Pfizer entre 2002 et 2007, aurait menti, manipulé ses résultats, publié des études fictives. [12]
« Les résultats de ces études – dont 21 sont hautement suspectes -, qui n’ont commencé à soulever des questions que beaucoup plus tard, ont changé en grande partie la façon des médecins d’approcher et de traiter ce type de douleurs postopératoires. » [13]
Le journal Anesthesiology News titre : «Un cas de fraude secoue l’anesthésiologie. Un chercheur du Massachusetts impliqué dans la falsification de données et autres méfaits ».
Vous trouverez dans ce journal la liste des 21 études de Reuben susceptibles d’être retirées en premier.
« Notons que cette indication (douleurs neuropathiques) du Lyrica n’est toujours pas remise en cause de nos jours, à part par des voix indépendantes, telles Arznei-Telegramm, et ce malgré le procès du Neurontin (gabapentine), qui a permis au public comme au monde médical d’apprendre les manipulations et autres interventions de Pfizer afin de présenter le Neurontin comme efficace dans des indications autres que l’épilepsie, alors que ces allégations ne reposent pas sur des fondements scientifiques [14]. »
Selon un article du 11 mars du Wall Street Journal, Scott Reuben a aussi falsifié des données concernant l’efficacité de l’antidépresseur Effexor (venlafaxine), produit par la firme Wyeth (fusionnée avec Pfizer) dans les douleurs neuropathiques et postopératoires. [15]
Pour ce qui est des liens avec Pfizer, l’article du Wall Street Journal nous apprend qu’en plus des financements des recherches par Pfizer, la firme comptait Reuben parmi ses conférenciers ; il était membre du ‘speakers bureau’ de la firme, terme qui désigne ce stock de leaders d’opinion (key opinion leaders) prêts à l’emploi dès lors qu’il s’agit de promouvoir un médicament du labo qui les paie dans des congrès, des media, des publications, etc. (Voir le site Pharmacritique).
Le médicament phare de Merck, vendu comme un remède miracle entre 1999 et 2004 porte le doux nom de Vioxx. C’est un antidouleur et un anti-inflammatoire. En Australie se tient actuellement un procès qui oppose un millier de particuliers au groupe Merck. Les plaignants accusent le géant pharmaceutique d’avoir caché les risques d’accidents cardiovasculaires liés à l’utilisation du Vioxx. Des membres de la direction de Merck et de ses succursales se sont échangés par mail une liste de chercheurs et d’universitaires ayant mis en évidence les effets négatifs du Vioxx.
Les documents apparus à la Cour fédérale de Melbourne révèlent que des membres du personnel de Merck ont admis avoir usé de tactiques d’intimidation contre des chercheurs critiques, menaçant de couper les vivres à leurs fondations, leurs labos, ou d’interférer dans leurs nominations universitaires… Au moins huit spécialistes en recherche clinique ont été menacés ou intimidés par Merck [16].
Merck aurait aussi créé de toutes pièces une fausse revue scientifique, “The Australasian Journal of Bone and Joint Medicine”, la faisant passer pour une publication officielle et indépendante d’expertise scientifique. La revue se contentait en réalité de reprendre systématiquement les articles scientifiques favorables aux produits de la compagnie. Il s’agissait ni plus ni moins que d’une opération marketing, tellement bien faite que seuls des experts avisés de la presse scientifique pouvaient le comprendre.
La FDA estime que le Vioxx, ce traitement largement utilisé contre l’arthrite, a provoqué, entre 1999 et 2004 aux États-Unis, environ 160 000 crises cardiaques et attaques cérébrales. Il serait à l’origine de 27 785 décès. Le médicament a été soustrait des pharmacies en 2004, alors que les rumeurs de dangerosité commençaient à se faire insistantes. En 2007, Merck a conclu un accord amiable avec la plupart des plaignants étasuniens, pour un montant de 4.5 milliards de dollars. (Voir le site Les Mots ont un Sens ). Les dirigeants de Merck, ont préféré accumuler les profits (2 milliards de dollars tous les ans) plutôt que d’interrompre la vente d’un médicament qu’ils savaient mortel ! [17]
GlaxoSmithKline (GSK), sixième groupe pharmaceutique mondial en 2009 (33,60 milliards de dollars de chiffre d’affaires), commercialise l’Avandia (rosiglitazone), un médicament contre le diabète.
Révélés par le New-York Times, des rapports confidentiels affirment que plus de 500 attaques et 300 troubles cardiaques pourraient être évités chaque mois en retirant l’Avandia du marché. Au troisième trimestre 2009, 304 vies auraient même pu être épargnées si les diabétiques avaient opté pour une autre pilule [18].
L’Avandia « doit être retirée du marché », conclut le rapport de deux responsables de la Food and Drug Administration (FDA). Depuis 1999, des dizaines d’études scientifiques indépendantes ont abouti à la même conclusion. Mais GSK riposte par des études privées, faites par la firme, et qui « prouvent » l’innocuité de sa molécule. « […] les cadres de GSK ont tenté d’intimider des médecins indépendants [...] et cherché les moyens de minimiser le fait que les médicaments concurrents pouvaient réduire le risque cardiovasculaire », selon une enquête du Sénat US [19]. On a seulement demandé à GSK de fournir de nouvelles études, pas attendues avant… 2020 ! Le brevet de GSK sur Avandia expirant en 2012, le plus gros du risque commercial sera largement passé.
Le Tamiflu (oseltamivir) est un antiviral indiqué dans la grippe. Il est commercialisé par le groupe Roche (Hoffmann-La Roche-Genentech), troisième groupe pharma mondial en 2009 (43,10 milliards de dollars de chiffre d’affaires). Le Tamiflu est un des seuls à être efficaces contre le virus de type A/H1N1, selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Roche (et Novartis, 4è) ont largement profité des alertes grippales (aviaire puis A/H1N1), via la vente de Tamiflu pour Roche, et de vaccins pour Novartis [20]. Grâce à l’OMS et à la Direction générale de la Santé française [21], entre autres, et grâce à leurs experts «indépendants», le Tamiflu est certainement un booster des ventes pour Roche (Tamiflu sales boost Roche profits).
Pourtant, relayé par le très sérieux British Medical Journal (BMJ), une revue qui fait figure de référence dans le monde médical :
« Un long article détaille qu’il n’existe pas de preuve solide de l’efficacité du Tamiflu. Les auteurs, des chercheurs indépendants de la Collaboration Cochrane, voulaient passer en revue tous les essais cliniques menés sur le Tamiflu – une vingtaine. Dans leur ligne de mire, l’article pivot sur lequel s’est appuyé le laboratoire Roche pour vanter les mérites de son produit auprès des autorités. Cet article répertorie dix études cliniques financées par Roche. Mais les résultats de huit d’entre elles n’ont en fait jamais été publiés par le labo. Les chercheurs ont donc réclamé les données à Roche afin de les analyser. Niet. Refusé. » [22]
Sur les maigres données scientifiques exploitables, la Cochrane Collaboration a conclu à l’absence d’impact positif du Tamiflu. Une étude non publiée de 1.447 adultes a prouvé que le Tamiflu n’était pas meilleur que le placebo [23].
Le Tamiflu, un médicament qui a fait l’objet d’énormes dépenses publiques, inefficace ? Il n’est pas seulement inefficace, mais aussi très dangereux. Ainsi le BMJ nous rappelle qu’il ne faudrait pas prescrire du Tamiflu aux enfants [24]. L’agence sanitaire britannique, la Health Protection Agency (HPA), rapportait que plus de la moitié des 248 jeunes élèves qui avaient eu de Tamiflu, après qu’un de leurs camarades eut contracté la “grippe porcine”, ont souffert d’effets secondaires, tels que des nausées, des insomnies et des cauchemars. [25] Tout cela pour raccourcir d’un jour, tout au plus, la durée des symptômes relativement bénins de la grippe. Le Tamiflu a été interdit en Corée du Sud, « après les cas de suicide observés récemment au Japon. » [26]
«Cette annonce succède à celle […] faite par les autorités japonaises de l’observation de plus de 100 cas de comportements anormaux chez des Japonais ayant consommé du Tamiflu. En février dernier, puis en mars [2007, NdA], quatre adolescents se sont jetés dans le vide après une prise de Tamiflu. » [27]
De plus, l’oseltamivir augmenterait sensiblement la dangerosité du virus H1N1 in vitro (en laboratoire) [28]. Cet article révèle les pratiques amorales, non éthiques, de la société Roche, accusée de ventes illégales (Roche accused over illegal Tamiflu deals, par Andrew Jack, paru le 21 mai 2010 dans le Financial Times, édition en ligne, inscription gratuite).
« Lors d’un procès aux prud’hommes intenté par un ancien employé de Roche, John Miller, celui-ci a dévoilé certains stratagèmes douteux utilisés par la filiale britannique du laboratoire suisse. Ce dernier aurait imposé aux visiteurs médicaux des objectifs de vente de Tamiflu (l’antiviral oseltamivir) chiffrés à 15 à 20 millions de livres sterling rien que pour une période de neuf mois de l’année 2006. Les visiteurs médicaux devaient se servir de la menace d’une épidémie imminente de grippe – et des peurs générées par la grippe aviaire -, et ne devaient pas s’embarrasser des lois qui limitent aux professionnels de santé la gestion / prescription de tels médicaments. » (Voir le site Pharmacritique).
A titre d’anecdote, Le Tamiflu fut découvert en 1994 par les chercheurs de Gilead Sciences Inc, entreprise biopharmaceutique (siège est en Californie). (Source : fonzibrain.files)
Donald Rumsfeld, le secrétaire à la Défense de Georges W. Bush en 2001, en a été le directeur en 1988, le Président du Conseil d’Administration de 1997 à 2001, après que Gilead ait cédé à Roche, en 1996, tous les droits d’exploitation du Tamiflu, contre 10 % des ventes [29]. Un investisseur important de Gilead Sciences Inc fut le Groupe Rockefeller (So far this year one Rockefeller-backed company, Gilead Sciences of Foster City, Calif., has gone public.) [30].
Nujol, Lipitor, Lyrica, Vioxx, Avandia, Tamiflu, une affligeante histoire des médicaments. Cette liste non exhaustive a permis de passer en revue les principales techniques des firmes pharmaceutiques, les entreprises les plus rentables au monde, pour vendre leurs produits coûte que coûte :
« Créer de fausses revues spécialisées, intimider, discréditer les scientifiques critiques, fonder de fausses associations citoyennes ou infiltrer celles qui existent, épuiser les ressources limitées des plaignants par des procès interminables, ne fournir que des données favorables en vue d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché [31], débaucher et corrompre des médecins pour effectuer des études bidons [32], mettre dans sa poche des professeurs reconnus dans leur spécialité pour faire apparaître les études des firmes comme indépendantes et sérieuses [33], exercer une pression agressive sur les pharmaciens, sur les chercheurs, sur les médecins dans leurs cabinets ou leurs associations, soudoyer des politiciens ou des membres importants d’organes de contrôle public (OMS [34]-[35], US Department of Health, Education and Wellfare, FDA, ministères de la Santé, Centers for Disease Control CDC, NIH [36], GEIG [37], Agence Européenne du Médicament), scinder un effet indésirable grave en plusieurs effets secondaires mineurs, utiliser des bureaux de leaders d’opinions à leur solde, ne pas fournir de références, au nom du secret commercial (sic) [38], matraquer la population par un marketing publicitaire omniprésent, inonder les revues d’encarts propagandistes réducteurs et mensongers, couper les vivres et les subsides des chercheurs, médecins, scientifiques qui ne jouent pas le jeu… »
L’expérimentation de leurs drogues sur les populations ignorantes des pays en voie de développement, comme Pfizer au Nigéria [39], ou GSK en Amérique Latine [40], de façon tout à fait illégale mais en toute impunité, finit de dresser le portrait psychopathique, non éthique et tout puissant de l’industrie pharmaceutique, quoi que ses professionnels en relation publique nous disent.
Et si tout cela ne suffit pas, la firme paie, arrose et corrompt, et le rideau est baissé, fin de la polémique !
Ainsi, Pfizer, après avoir déjà payé 894 millions de dollars d’indemnisation pour des milliers de dommages corporels liés au Bextra et au Celebrex (traitements contre l’arthrose), s’acquitta d’une amende de 2,3 milliards de dollars pour fausses déclarations concernant le Lyrica, le Zyvox et le Geodon. Pour faire la promotion de ces médicaments, Pfizer avait invité des médecins à des réunions de consultation dans des lieux de villégiature, tous frais payés, sans parler des à-côtés. « Ils avaient eu droit à des parties de golf, à des massages et autres activités. » [41]
Ces menteurs paient pour pouvoir continuer à mentir. Ainsi va le monde lorsqu’il est aux mains de psychopathes, de criminels et d’escrocs. Un monde dont les valeurs les plus élevées sont l’argent, le profit et l’apparence. Les gens, les consommateurs, semblent se réveiller. Ils sont de moins en moins dupes. Si l’on en croit une récente étude de la Henry J. Kaiser Family Foundation, 44 % des personnes interrogées révèlent une perception défavorable des entreprises pharma. Seuls les groupes pétroliers et les assureurs en soins de santé sont en moins bonne place… 70 % des sondés dénoncent le fait que les entreprises biotechnologiques sont trop focalisées sur les profits, et 80 % affirment que leurs traitements coûtent trop cher [42].
Les gens ne devraient surtout pas se rendormir et rester bien vigilants. Car si les psychopathes au pouvoir sont en guerre avec l’humanité [43], l’industrie pharmaceutique mène une guerre implacable, au budget colossal, aux manœuvres impitoyables, aux techniques innombrables, contre nos santés.
« Lorsque des chercheurs dépendent à ce point des firmes pharmaceutiques, qui assurent une part aussi importante de leurs revenus personnels, ils auront du mal à résister à cette tendance très forte qui les pousse à faire en sorte que [les essais cliniques] donnent des résultats favorables aux laboratoires. » Jerome Kassirer, ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine.
« Je crois sincèrement que si toute la matière médicale pouvait être envoyée au fond de la mer, ce serait la meilleure des choses qui puisse arriver à l’humanité, et la pire qui puisse arriver aux poissons. » (« I firmly believe that if the whole materia medica could be sunk to the bottom of the sea, it would be all the better for mankind and all the worse for the fishes.») Oliver Wendell Holmes, M. D., Professor of Medicine at Harvard.)
« Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille. » Marcia Angell est professeure de médecine sociale à l’université de Harvard et ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine (NEJM). [44]
Document faisant partie d’un site très documenté et décortiquant la supercherie liée au cholestérol et ses traitements. Vous trouverez à la fin de cette page expliquant le mécanisme de la toxicité cardiaque des statines, la bibliographie médicale de Peter Langsjoen.
Au niveau européen les vaccins Focetria de Novartis, Pandemrix de GlaxoSmithKline (qui fournit également l’autre antiviral, le Relenza), Celvapan de Baxter International et Panenza de Sanofi-Pasteur ont été utilisés lors de la pandémie A/H1N1.
[21] « Les Médicamenteurs », par Stéphane Horel, éditions du moment, 2010, p. 248.
« La Direction générale de la Santé (DGS) française donne comme consigne aux médecins de prescrire systématiquement du Tamiflu pour les cas suspects de grippe « sur proposition des experts ». Et annonce que les stocks de Tamiflu […] seront distribués gratuitement en pharmacie à partir du 21 décembre sur simple ordonnance. »
[33] http://www.bmj.com/cgi/content/full/336/7658/0 , éditorial de la rédactrice en chef, Fiona Godlee, “Why, for example, is it considered normal for medical leaders to accept personal payment for promoting a company’s drug or device?”
[37] Bruno Lina, le conseiller principal de Roselyne Bachelot au Ministère de la Santé en France, est président du conseil scientifique du Groupe d’expertise et d’information sur la grippe, le GEIG, association créée en 1979. Le directeur général est aussi directeur marketing de Sanofi-Pasteur MSD (la branche vaccins du Groupe Sanofi-Aventis). Sanofi-Aventis est n°1 pharmaceutique en France, n°2 en Europe et n°5 mondial. Le GEIG est financé à 100% par 5 laboratoires fabricants de vaccins. Sanofi paie la moitié d’une note annuelle de 400 000 euros. Le reste est assuré entre autres par GSK, Novartis. « Les Médicamenteurs », op.cit., p.222.
[44] Elle a écrit plusieurs livres et de nombreux articles critiquant les dérapages des laboratoires pharmaceutiques. Son livre le plus connu est un réquisitoire parfaitement argumenté: « La Vérité sur les compagnies pharmaceutiques : Comment elles nous trompent et comment les contrecarrer » (Ed. Le mieux être, 2005). « Industrie pharmaceutique: ses profits valent plus que nos vies », http://www.marianne2.fr/Industrie-pharmaceutique-ses-profits-valent-plus-que-nos-vies_a182958.html
Dr Pascal Sacré, médecin belge, est anesthésiste-intensiviste depuis 2003. Il s’occupe actuellement d’un des six Centre des Brûlés, en Belgique. Vous pouvez le contacter à cette adresse pascalsacre@hotmail.com.
orné Modérateur
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 51 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Ven 14 Nov - 7:30
Pour le retour des vaccins sans aluminium
C’était pourtant passé aux Infos (France 3 Soir)... Un an après, le combat continue et le nombre de victimes ne cesse de grandir...
Je remercie les malades, les associations ainsi que tous les braves gens et les médecins qui se battent dans l’intérêt de nos enfants...
Je remercie également les personnes qui font preuve de bon sens en rejoignant notre page. Merci de partager et d'inviter un maximum d'amis car sans vous rien ne sera possible !
----------------------
Santé : la politique de vaccination remise en cause en France
Voici que les autorités de santé hexagonales se rendent compte que l’obligation n’est pas efficace. La France et l’Italie sont les seuls pays industrialisés à obliger leurs populations à se faire vacciner, ça relativise les certitudes de certains suicidaires :
Sujet: Re: 30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour Ven 14 Nov - 18:48
SANTÉ : Si votre médecin insiste pour vous dire que les vaccins sont sans danger… demandez-lui de signer ce document:
dans lequel il devra confirmer que les vaccins qu’il veut administrer sont sûrs.
La plupart des personnes qui consentent à se faire injecter un vaccin
soit pour elles-mêmes, soit pour leurs enfants, croient en toute bonne foi
que cette pratique améliorera leur santé. Ce que ces personnes ne savent souvent pas,
c’est que même leur médecin n’est vraisemblablement pas bien informé des ingrédients
toxiques contenus dans les vaccins et qui pourraient être susceptibles d’endommager
leur santé à court – moyen – ou long terme. Dave Mihalovic
Si le médecin insiste vraiment pour dire que les vaccins sont sans danger,
il devrait sans aucun problème pouvoir signer le formulaire ci-dessous que vous pourriez conserver dans vos archives pour le produire en cas d’effet secondaire éventuel. La réalité des vaccins est qu’ils présentent un risque bien plus grand pour la santé que les bénéfices qu’ils sont sensés apporter. En fait, deux siècles de statistiques officielles de décès montrent très clairement et scientifiquement
que la médecine moderne n’est intervenue, dans les pays développés que pour un faible pourcentage
dans l’amélioration substantielle de l’espérance de vie. En Amérique du Nord, et dans le Pacifique Sud, le déclin le plus important des maladies infectieuses
s’est historiquement produit soit sans les vaccinations, soit bien avant que se déploient tous les efforts
pour combattre telle ou telle maladie
GARANTIE MEDICALE DE LA SECURITE DU VACCIN
Je, soussigné, Docteur en médecine…………………………………………… autorisé à pratiquer la médecine en/à…………………………………………..
numéro de licence :……………………………………………………………….
spécialité :…………………………………………………………………………
certifie posséder une bonne connaissance des risques et bénéfices de tous les médicaments que je prescris et que j’administre à mes patients.
Dans le cas de (nomNous les esclaves. Lire la suite ... » du patient)………………………………………, âge…………… que j’ai examiné(e), j’estime qu’il/elle court certains risques qui justifient la/les vaccinations que je recommande.
Déclare être informé que les vaccins peuvent contenir certains produits chimiques et biologiques suivants :
Hydroxyde d’aluminiumL’aluminium, le scandale sanitaire. Quels sont les dangers et comment s’en protéger.. Lire la suite ... » * * Phosphate d’aluminium Sulfate d’ammonium * * Amphotéricine B Tissus d’origine animale *: sang de porc, sang de cheval, cerveau de lapin, * Chlorhydrate d’arginine * Rein de chien, rein de singe, * Phosphate de potassium dibasique Embryon de poulet *, oeuf de poulet, oeuf de canard * Veau (bovine) sérique * bétapropiolactone * Sérum de veau foetal formaldéhyde * * formol * gélatine * Sulfate de gentamicine * glycérol * cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain avorté) * hydrocortisone * Hydrolysat de gélatine * Thimérosal mercure * Glutamate monosodique (MSG) * Phosphate de potassium monobasique * néomycine * sulfate de néomycine * Éthoxylate de nonylphénol * Éthoxylate d’octylphénol * Octoxynol 10 * Indicateur rouge de phénol * Phénoxyéthanol (antigel) * Chlorure de potassium * Diphosphate de potassium * Monophosphate de potassium * Polymyxine B * Polysorbate 20 * Polysorbate 80 * Hydrolysat pancréatique de porc (caséine) *Protéines MRC5 résiduelles Désoxycholate de sodium * * sorbitol * Tri (n) butylphosphate, * Cellules VERO, lignée de cellules continues de rein de singe Déclare garantir que ces produits/ingrédients ne présentent aucun danger
par rapport à leur injection dans le corps de mon patient ; Déclare avoir effectué des recherches contradictoires, comme par exemple sur les
graves dommages neurologiques et immunologiques que pourrait provoquer
le mercure et déclare avoir trouvé que ces études non crédibles ; Suis informé que certains vaccins ont été contaminés par le virusEbola :
un crime commercial, et une fraude scientifique selon le DR. LEONARD HORROWITZ !.
et que des chercheurs ont établi un lien entre le SV40 et certains lymphomes
non-Hodgkin et mésothéliomes tant chez les animaux que chez les humains ; Garantis que les vaccins que j’utilise dans ma pratique ne contiennent pas
de SV40 ou autres virus vivants ;
Garantis que les vaccins que je recommande à…………………………..
ne contiennent pas de tissus de foetus humains avortés ; En vue de protéger la santé de mon/ma patient(e),
j’ai pris les mesures nécessaires pour garantir que les vaccins que j’utilise
ne contiennent aucun contaminant dommageable pour la santé. MESURES PRISES : ………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………………. J’ai personnellement effectué des recherches dans la documentation du VAERS américain
et déclare que les vaccins que je recommande sont sans danger pour tout enfant de moins de 5 ans. Signature : Date :