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Novi Orbis - Le Nouveau Monde
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Novi Orbis - Le Nouveau Monde
site d'information sur la géopolitique, la nature, la science, la spiritualité, l'ésotérisme et les Ovnis.
Selon Vincent Nouzille, François Hollande serait le président le plus guerrier et va-t-en-guerre de la cinquième république et celui qui utilise le plus des assassinats ciblés via des cellules secrètes des services de renseignement français. Il souligne aussi la dérive néoconservatrice à l'américaine du gouvernement français et la mise en place du Patriot Act à la française.
Nous espérons que Vincent Nouzille ne glissera pas dans une flaque d'eau de 50 centimètres de haut et qu'il n'a pas la passion de la moto...
Un Airbus A320 de Germanwings, qui effectuait une liaison entre Barcelone et Düsseldorf, et transportait 144 passagers et six membres d'équipage s'est écrasé dans les Alpes françaises.
Assez de mensonges sur le crash de l’Airbus A320 !
Si le copilote de l’A320 ne s’est pas suicidé, toute la narrative officielle tombe à l’eau. Et d’où nous vient cette narrative officielle des autorités françaises ?
Des Etats-Unis ! Le début de la construction de l’histoire officielle a été lancé par le New York Times, repris par tous les médias du monde, y compris français.
Suicide bien commode comme beaucoup de suicides sans cause brandis dès qu’une explication embarrassante doit être fournie.
Il suffit de sortir de l’écoute passive du ronronnement médiatique et d’observer et analyser les discours, pour se rendre compte que tout ce qui s’est dit jusqu’ici
est un tissu de mensonges encore plus vicieux que celui concernant le 11 septembre, car ici, il y a une construction méthodique, brique après brique,
du mensonge. On ne sait pas ce qui s’est passé et on ne le saura peut-être jamais, mais on sait déjà que les explications officielles ne tiennent pas
la route et omettent beaucoup d’éléments qui contredisent les discours.Qu’y a-t-il de faux, dans le discours actuellement en vogue ?
Le copilote Lubitz n’a pas pu vouloir se suicider. Un jeune pilote reconnu à 100% apte à piloter selon les normes très, très strictes appliquées dans le domaine
de l’aviation, surtout dans un pays comme l’Allemagne, ne peut pas se transformer, le temps d’un crash, en un psychopathe bourré de médicaments.
Tous ceux qui l’ont connu rejettent ces allégations. Si elles étaient vraies, alors ne prenez plus l’avion, les normes ne servant à rien.
Du coup, la conversation calme entre les deux pilotes à travers la porte verrouillée du cockpit dont nous parle le New York Times n’a pu avoir lieu.
Si elle avait eu lieu, cela voudrait dire que le jeune homme, en n’ouvrant pas la porte, soit voulait se suicider, ce que nous avons écarté, soit était inconscient,
ce qui rendrait toute conversation impossible.Donc le New York Times ment, et tout ce qui en découle est faux.
Le crash des Alpes rappelle étrangement le crash d’Air Algérie en provenance de Ouagadougou qui a eu lieu au Mali au mois de juillet dernier.
On avait retrouvé des débris sur plusieurs kilomètres, et aucun impact significatif au sol, comme s’il avait été pulvérisé en plein vol. Dans les Alpes,
nous avons à peu près le même schéma. Débris éparpillés un peu partout, et aucun impact sur la montagne. Ce qui voudrait dire que l’avion ne s’est pas
écrasé entier au sol, et qu’il avait commencé à se désintégrer en vol.Ce que semble d’ailleurs confirmer
Ces témoins affirment avoir entendu des explosions et vu de la fumée sortant de l’avion. Ce qui, en passant, démolit le récit du New York Times,
car on ne voit pas comment le commandant de bord pourrait aller pisser et revenir tenir une conversation calme avec son copilote, pendant que son avion
est en feu.Que vient faire le FBI dans cette histoire ? Si les hommes politiques français peuvent être soupçonnés d’allégeance à des forces hégémoniques
extérieures, ce n’est pas le cas des administrations françaises. A ce stade des investigations, il est difficile d’imaginer la machine judiciaire française
demander le concours du FBI autrement que sous forme d’échange de renseignements, et les procédures judiciaires n’ont pas la réputation d’être simples
et rapides. Et pourtant le FBI a été « appelé » à la rescousse, à moins qu’il ne se soit appelé lui-même. Puisque les raisons du crash semblent destinées à être cachées, il est probable que dans les jours à venir, nous ayons régulièrement des révélations gardées
bien au chaud, avec l’aide bienveillante des grands médias dont nous savons pourtant que toute révélation émanant d’eux ne peut être qu’une
révélation commandée.Que s’est-il passé de si grave qui oblige les officiels à s’empêtrer dans des contorsions mensongères, allant jusqu’à salir un jeune
pilote qui, d’après les témoignages, n’aurait pas fait de mal à une mouche ? La coopération internationale dans le mensonge est évidente,
Des micros ont en effet été retrouvés dans ces équipements.
Notre enquête démontre qu’une quarantaine de mots-clés sont susceptibles de déclencher un enregistrement,
lorsqu’ils sont prononcés à proximité d’un détecteur de fumée. Les données sont alors transmises, via le wifi,
à une plateforme interministérielle, classée « secret défense » et gérée par les services de renseignement.
Cette surveillance de masse, permanente et indiscriminée, pèse comme une épée de Damoclès au-dessus de chaque citoyen.
Elle a déjà fait ses premières victimes.
Pour échapper à cette scandaleuse intrusion dans leur vie quotidienne, les Français en seront-ils réduits à chuchoter chez eux ?
Contactés par Rue89, les services du Premier ministre n’ont pour le moment pas réagi.
" On pourrait apparenter ça à un mouchard "
C’est un hacker d’une trentaine d’années qui nous a mis sur la piste. Il préfère rester anonyme. Nous l’appellerons Tom.
La première fois qu’il écrit à la rédaction, début mars, il ne veut communiquer que par e-mails chiffrés. Après plusieurs
échanges et contre la promesse d’un luxe de précautions, il accepte finalement de nous rencontrer et de témoigner, visage masqué.
Propriétaire de son appartement en région parisienne, le jeune homme se procure un détecteur de fumée dès le mois de février.
Habitué de la bidouille et curieux de son fonctionnement, il décide de le démonter à son retour du supermarché.
Tom tombe alors sur des composants auxquels il ne s’attendait pas. Après en avoir discuté avec des connaissances,
le constat tombe : il s’agit bien d’un dispositif d’enregistrement et d’un transmetteur wifi.
Citation :
« Ils n’ont rien à faire dans ce détecteur de fumée grand public. Est-ce que ce ne serait pas un moyen détourné de faire d’autres choses dans nos maisons ? Sans pouvoir en tirer de certitudes, on pourrait apparenter ça à un mouchard. Un mouchard qui serait présent chez tout le monde et qui pourrait transmettre les conversations qu’on pourrait avoir tranquillement dans son salon. »
Sur l'images transmises par Tom, la puce apparaît clairement dans les composants du détecteur.
Encore fallait-il recouper l’information, et s’assurer que le hacker n’a pas manipulé le matériel.
Pour en avoir le cœur net, nous reproduisons l’opération avec les détecteurs de fumée
installés à la rédaction et chez trois de nos journalistes. Malgré les lois en vigueur sur
la protection des sources, les mêmes composants y ont bien été implantés.
Les fabricants, muets comme des carpes
Aucun fabricant de détecteurs de fumée n’a accepté de répondre à nos questions.
Certains se retranchent derrière une simple formule : « Nous ne communiquons pas à ce sujet. »
D’autres, plus agressifs, refusent de s’exprimer sur « des allégations mensongères »
ou balaient « les élucubrations d’un pseudo-hacker qui se croit malin ». Mais nos appels répétés ont visiblement semé la panique au sein de ces entreprises.
Un ancien salarié, qui a eu vent de nos sollicitations infructueuses, se manifeste quelques jours plus tard.
Cet informaticien de 38 ans a été licencié mi-mars, après onze ans d’une carrière sans accroc
chez le numéro deux français des détecteurs de fumée. Très nerveux, l’homme enchaîne cigarette sur cigarette et affirme craindre pour sa vie.
« Vous ne comprenez pas à qui vous avez affaire », répète-t-il. Mi-janvier 2015, cet administrateur système surprend les dirigeants et les représentants juridiques
de son entreprise à l’issue d’une réunion à huis clos. Entre deux portes, ces derniers évoquent rapidement
les attentats de la semaine précédente, et un mystérieux projet, intitulé « opération Smog »,
avant de se séparer.Alerté, le technicien décide de jeter un œil aux documents internes de sa boîte.
Et tombe sur d’étranges échanges de mails entre les plus hauts responsables de la compagnie. L’un écrit ainsi :
Citation :
« Ils veulent détecter les actes terroristes le + tôt possible [sic] ! Ils parlent d’installer une espèce de boîte noire qui détectera ce qu’ils appellent des “signaux faibles”. J’ai pas bien compris mais en gros, nos détecteurs sont pour eux les relais parfaits. »
L’informaticien fouine trop. Trahi par l’historique de ses faits et gestes sur le réseau de l’entreprise,
il se retrouve progressivement mis à l’écart : ses accès à l’intranet sont limités puis révoqués.
Déchargé de tout travail effectif, il s’est senti « placardisé » jusqu’à son licenciement pour insuffisance professionnelle.
Aujourd’hui au chômage, ce lanceur d’alerte garde une certaine amertume contre sa hiérarchie :
Citation :
« Des requins prêts à tout pour que l’opération Smog reste confidentielle. »
Une liste de 37 mots
Opération Smog. C’est ainsi qu’a été baptisée cette manœuvre digne d’un roman d’espionnage.
chaque fabricant devait paramétrer les détecteurs pour les rendre capables de capter le bruit ambiant. L’enregistrement et la transmission des conversations aux services concernés, par le biais des box wifi installées
chez les particuliers, ne se déclenchent que si certains mots sont prononcés.
Voir le document (Fichier PDF) Grâce à l’administrateur système cité plus haut, Rue89 s’est procuré cette liste de 37 mots et expressions (voir le document). Si certains paraissent légitimes à des fins de renseignement, de contre-espionnage et de lutte contre la criminalité organisée, d’autres posent davantage question.
« djihad » ;
« maquereau » ;
« sans-dents » ;
« cocaïne » ;
« Illuminati » ;
« DCRI » ;
« Merci pour ce moment » ;
« 2017 » ;
« Corse » ;
« Gayet » ;
« main qui tremble » ;
« Sommes-nous en dictature ? » ;
« Tor » ;
« Coulibaly » ;
« Delphine Batho » ;
« Bygmalion » ;
« Allah Akbar » ;
« centrale nucléaire » ;
« drone » ;
« ambassade des Etats-Unis » ;
« ambassade du Pérou » ;
« tchétchène » ;
« meurtre » ;
« Sarkozy » ;
« assassiné » ;
« gros poisson » ;
« complot » ;
« Je vais récupérer le colis » ;
« partir en Syrie » ;
« World Trade Center » ;
« Kalachnikov » ;
« Ben Laden » ;
« drogues » ;
« ETA » ;
« Paris-Istanbul pas cher » ;
« Fabrice Arfi » ;
« parapluie bulgare ».
A la lecture de cette liste, on peut supposer qu’elle n’est que parcellaire :
pourquoi « Coulibaly » mais pas « Kouachi » ? Pourquoi « Gayet » mais pas « Trierweiler » ? Pourquoi « DCRI » mais pas « DGSI » ? Incompréhensible.
Violation de la vie privée à grande échelle Ces informations font vivement réagir Adrienne Charmet, de La Quadrature du Net :
Citation :
« Si les faits sont avérés, on peut estimer qu’un palier a été franchi. Nous nous inquiétions, à juste titre, de la loi sur le renseignement, mais cette affaire-là est complètement inattendue. Il s’agirait de pratiques illégales, barbouzardes, qu’aucun gouvernement démocratique ne peut cautionner. »
D’autres comprennent au contraire les motivations de l’opération Smog, comme le sénateur
« La vie, ce n’est pas Disneyland. Ce n’est pas blanc ou noir. En l’occurrence, nous sommes dans une zone grise, sur une ligne de crête entre la sécurité de nos concitoyens et la nécessaire protection des libertés individuelles. Sur ce sujet, le gouvernement a décidé d’avancer sans consulter l’opposition. Je le regrette. Mais je suis aussi conscient de la lourde responsabilité qui pèse sur les hommes et les femmes qui s’occupent de notre sécurité au quotidien. La délégation parlementaire au renseignement a été informée en temps voulu. Il ne nous est pas apparu que la vie privée des Françaises et des Français était menacée par ce projet.J’ai toute confiance dans le professionnalisme de nos services, qui savent faire la différence entre certains mots prononcés, relevant de la simple provocation, et d’autres prononcés avec une intention équivoque. Vous comprendrez que je n’en dise pas plus sur le sujet. »
« Je ne fais que mon travail »
Les services de renseignement sauront-ils vraiment faire la différence ? Pas sûr. Un témoignage met déjà en lumière les premiers ratés du système. Un poissonnier de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine) et lecteur assidu de Rue89, a appelé la rédaction la semaine dernière. Il affirme avoir passé de longues heures en garde à vue, dans les locaux de la DGSI à Levallois-Perret, le 18 mars. Selon lui, les enquêteurs lui posaient exclusivement des questions sur un mot qu’il aurait prononcé chez lui, à plusieurs reprises : « maquereau ». Sans explications, il dit avoir été relâché sans poursuites le lendemain.La DGSI n’a pas donné suite à nos appels. Michel D., lui, reste secoué par la mésaventure :
Citation :
« Je ne comprends pas. Je ne fais que mon travail, je n’ai rien à me reprocher. »
Il envisage désormais de se débarrasser de son détecteur de fumée.
STOP ! NE JETEZ PAS TOUT DE SUITE VOS DÉTECTEURS DE FUMÉE
Le système de manipulation ne fonctionne que grâce au système pyramidal cloisonné et seul celui qui est au sommet de la pyramide connaît tout de l’organisation de celle-ci et du but poursuivi dont il est l’instigateur. C’est ainsi que l’adage « diviser pour régner prend tout son sens ». Dans tout système pyramidal cloisonné il existe une multitude de Hiérarchies supérieures les unes aux autres, prenons l’exemple d’un organisme bancaire :
Au niveau le plus bas on trouve les employés qui doivent obéir aux instructions de leur chef d’agence et réaliser certains objectifs mais ne sont pas au courant de l’Éthique véritable du Grand Directeur. Au second niveau on trouve les chefs d’Agence qui eux aussi sont soumis au directives de Directeurs régionaux mais n’en savent pas plus. Au 3° niveau on trouve les Grands directeurs portant l’Emblème de la Banque (Crédit Agricole, Banque Populaire etc.) qui ne sont pas au courant de ce qui se trame plus haut. Au 4° niveau se trouve la Banque d’État qui gouverne toutes les banques Au 5° niveau trouve la Banque Mondiale dirigeant toutes les Banques d’État et c’est là que se trouve l’Entité gouvernante qui détermine l’Éthique et son but. Cette entité délègue aux Hiérarchies inférieures le soin d’accomplir les multiples tâches afin que tout fonctionne pour concrétiser ce but.
C’est ainsi que l’employé qui travaille dans une agence bancaire peut sans le savoir participer à un programme de mondialisation et de manipulation mondiale sans en être réellement averti. L’Organisme bancaire qui l’emploie peut très bien utiliser ses bénéfices pour financer des guerres, la vente d’armes ou des trafics de drogue ou manipuler les dirigeants et chefs d’État… Chaque niveau Hiérarchique n’est donc au courant que d’une partie du puzzle…
La spirale de massacres et de destructions engendrée par les Etats-Unis a détruit les sociétés en Irak, en Libye, en Syrie, en Somalie et au Yémen, mais la plupart des Etatsuniens se sentent irréprochables. "Les gens, les médias sociaux et le système politique" acceptent tous l'idée que leur gouvernement a le droit d'intervenir dans les affaires des autres nations et qu'il a toujours raison dans ses revendications. " Ils se comportent comme les rouages zombifiés d'une machine de mort impériale."
Les États-Unis ont utilisé la base aérienne d'Al Anad au Yémen comme zone de transit pour les attaques de drones
qui ont tué quelques 1000 personnes depuis 2009. Ces crimes ont été commis sous le couvert de la lutte contre
le terrorisme, mais maintenant que ce même endroit est le lieu de représailles pour le gouvernement US et son allié,
l'Arabie saoudite, les Forces spéciales des États-Unis ont fui Al Anad avant que la base ne soit envahie par des rebelles
d'Ansar Allah, aussi connus sous le nom de Houthis.
Il est vrai que l'Arabie saoudite a bombardé des positions Houthis et menace de lancer une invasion terrestre avec l'aide de l'Egypte. Ces deux pays sont des États clients des Etats-Unis et ne pourraient organiser leurs actions sans avoir le feu vert de Washington.
L'histoire du Yémen et des alliances internationales changeantes qui ont amené à la guerre civile est quelque peu complexe. Les Houthis ont évincé le président Hadi soutenu par les Etats-Unis et l'Arabie Saoudite qui est maintenant en fuite. Son prédécesseur, Ali Abdallah Saleh, fut également un favori de l'Arabie, mais dirige maintenant l'avancée des Houthis. Bien que les détails peuvent être source de confusion, une chose est simple : l'impérialisme US et la guerre de terreur lancés sur cette région sont finalement une faute et continuent de détruire nation après nation.
Dans son zèle pour maintenir son hégémonie, les États-Unis recourent à la force brute et soutiennent ceux qui font de même. Le résultat a généré des monceaux de cadavres en Irak, en Libye, en Syrie, en Somalie et au Yémen, mais les décisions qui conduisent à ces crimes sont endémiques à la politique US.
Dire que Barack Obama et ses prédécesseurs au bureau ovale ont fait un gâchis du Moyen-Orient est la définition même de la litote. Parce que les objectifs des Etats-Unis ne sont jamais bienveillants, ses politiques impérialistes, horrible d'une décision à l'autre, sont le seul dénominateur commun.
Washington a utilisé les djihadistes en Libye pour renverser le gouvernement Kadhafi, ce sont ces mêmes groupes qui ont tué l'ambassadeur étatsunien à Benghazi. Maintenant les Etats-Unis se battent contre les mêmes personnes qu'ils ont soutenu il y a quelques années. Les Etats-Unis combattent avec Al-Qaïda et l'Etat islamique en Syrie mais contre ces deux mêmes groupes en Irak. Washington a finalement décidé d'accepter le renversement de Moubarak en Egypte, mais prend désormais en charge la restauration d'un régime dictatorial avec un autre leader. Les Etats-Unis considèrent le président du Soudan comme un criminel de guerre, mais combattent du même côté que lui au Yémen aujourd'hui. Lorsque l'impérialisme est l'intention, les événements ne se passent jamais comme prévus.
Le chaos n'a de sens que lorsque la vraie nature de la politique étrangère US est reconnue. Les alliances changeantes et apparemment étranges des compagnons de la politique impérialiste font partie de la doctrine de longue date du Manifest Destiny. Le Manifest Destiny affirme que les États-Unis ont le droit d'étendre leur influence partout où ils le veulent. Le terme se référait initialement à la conquête de l'Amérique du Nord au 19e siècle, mais cette pensée est encore une base de la conscience de ce pays.
La plupart des Etatsuniens ne savent que peu de choses ou tout simplement rien du tout sur le Yémen ou l'Arabie saoudite, mais sont toujours heureux de se référer à la première personne du pluriel pour parler de leur gouvernement. Ils demandent, "Que devrions« nous »faire au sujet de la Syrie / Irak / Yémen / Libye ?"
Alors que les présidents se succèdent, les gens, les médias sociaux et le système politique ont tous accepté que leur gouvernement ait le droit d'intervenir dans les affaires des autres nations et qu'il a toujours raison et a une position moralement légitime dans ses revendications. Le nombre d'Etatsuniens qui se demande si l'action de Barack Obama d'évincer le président de la Syrie ou de soutenir le président de l'Ukraine est légitime reste très limité.
Les exemples de décisions folles sont infinies. Le président Reagan a conclu des ententes avec l'Iran mais fut l'instigateur d'une attaque irakienne contre l'Iran. Plus tard, le Etats-Unis attaquaient l'Irak dans deux guerres différentes. La destruction de ce pays a conduit à une guerre sectaire brutale, et à l'ascension des Houthis au Yémen.
Le Yémen est aujourd'hui l'épicentre d'un impérialisme qui devient fou. Les Saoudiens craignent que les chiites Houthis soient pris en charge par leur rival l'Iran, avec qui les États-Unis veulent maintenant se réconcilier dans le cadre des négociations sur l'énergie nucléaire. L'Arabie saoudite est donc du côté d'Israël pour tenter de faire échouer tout accord. Il n'existe toujours pas d'honneur parmi tous ces voleurs.
Quelque soit les décisions prises par Washington cela se traduira par des conséquences imprévues et vers plus de violence politique. Chaque escalade apporte un plus grand danger et les Etats-Unis sont sans rival en ce qui concerne la destruction de millions de personnes. La violence et le chaos sont devenus non seulement les moyens de parvenir à leurs fins, mais une fin en soi. C'est juste la façon dont les Etats-Unis procèdent.
L'Arabie Saoudite est à la tête d'une coalition contre les Houthis au Yémen. Dans quelle mesure, cette opération va-t-elle permettre de stopper la progression des Houthis et de leurs alliés, les partisans de l'ex-président Saleh, au Yémen ?
C’est laPHOTO/VIDEO DU JOUR... La dictature est à notre porte
Quand une nation commence à obliger son peuple à voter (qui plus est sur des machines électroniques) ; quand un pays peut censurer n’importe quelle expression sans contrôle judiciaire ; quand un gouvernement impose ses lois malgré l’opposition populaire (et même parlementaire) ; quand un Etat s’apprête à surveiller vos déplacements, vos conversations, vos ordinateurs ; quand les élus se voient chaque jour attaqués (puis relaxés) pour corruption par un pouvoir judiciaire aux ordres ; quand on sait que le budget militaire est le seul budget maintenu et que les armées patrouillent devant nos bâtiments publics, on peut dire sans trop exagérer que toutes les conditions pour établir une dictature sont réunies.
Maintenant, il ne reste plus que la révolution. Pas celle qui permettra au peuple de se libérer de son joug
pour établir une nouvelle démocratie non, mais celle qui permettra à la dictature de devenir légitime :
rappelons ici la formule de George Orwell « on ne fait pas une dictature pour sauver une révolution,
on fait une révolution pour établir une dictature ».
Et cette révolution, c’est peut-être la sortie de la Grèce ; à moins que ce ne soit un autre attentat. Ou bien encore une catastrophe naturelle. Et pourquoi pas une révolte populaire, ou l’arrivée au pouvoir du FN ? Ce qui est certain, c’est que toutes les conditions sont réunies pour qu’un gouvernement autoritaire qui se retrouverait demain au pouvoir ait la capacité technique d’exercer un contrôle et une surveillance de masse sur son peuple. Et c’est à la faveur d’un drame ou d’une catastrophe que cette dictature prendra forme. Mais si vous n’avez rien à cacher, diront les plus malins, alors pourquoi ne pas se laisser surveiller ? Nous abreuvons aujourd’hui gratuitement, et volontairement, tous les banques de données du monde entier par nos actions quotidiennes, et nous nous plaindrions de la récolte de ces dernières pour des raisons de « vie privée » ? Alors que le terrorisme frappe chaque jour des civils innocents ?
Rassurez-vous, tout le monde ne sera pas « surveillé » – regardez qui sont les ennemis publics les plus en vue : Snowden, Manning, Assange… de dangereux individus, des traitres à la Nation, etc… Les terroristes, eux, sont introuvables. Peut-être n’ont-ils pas Facebook, ou pas de portable ?
En réalité, pour la plupart ces nouvelles lois seront inutiles. Ils n’ont effectivement « rien à cacher ». Mais ce n’est pas ceux-ci qui intéressent les renseignements. Ceux qui sont indirectement visés sont ceux qui veulent dénoncer « ceux qui ont quelque chose à cacher ». Pas les dealers à la petite semaine, pas les resquilleurs des allocations, tout cela n’est rien. Mais bien plutôt les lanceurs d’alertes, les journalistes un peu trop fouineurs, les analystes « hétérodoxes »… ce sont ceux-là que nos gouvernements veulent empêcher de (leur) nuire. Car s’il y en a qui trichent, trompent et volent (et pas qu’un peu), ce sont justement ceux qui, pour ne pas qu’on les confonde, qu’on les dénonce, qu’on les attrape, font voter des lois qui empêchent aux citoyens vigilants de rendre public ce qui dérangerait leurs petites affaires…
Comme dans 1984 : les pauvres, « la masse populaire », n’intéresse guère les services de renseignements. Il n’ont pas besoin d’autre chose que du pain et des jeux paraît-il. Les riches, « l’élite », elle, ne sera pas non plus surveillée (elle pourra éteindre son « télécran » – se déconnecter). Il ne manquerait plus que ça ! Reste une petite frange de la population. Ceux qui sont assez éduqués et qui disposent d’assez de temps et d’énergie pour s’informer, réfléchir, prendre du recul, sont ceux qui peuvent un jour ou un autre « tomber » sur « quelque chose », et il ne faudrait surtout pas qu’ils parlent. Imaginez qu’à TF1 on diffuse que les « bons » Etats protègent les terroristes, fomentent des coups d’Etat, volent le peuple et lui mentent… Il faut d’abord aux agents du gouvernement savoir « ce que vous savez », pour ensuite pouvoir vous empêcher de parler. Sans contrôle judiciaire cela va de soi. Et au moyen d’un délit « d’exception » comme celui « d’apologie du terrorisme ». Une étape supplémentaire manquait à cet arsenal autoritaire, c’est-à-dire le droit pour un gouvernement de contrôler toutes les communications de ses administrés. Après, on pourra toujours dire que cela ne nous concerne pas, mais le jour où l’on vous dira que ce que vous pensez n’est plus adapté à ce qu’on vous demande de croire il sera trop tard : vous serez en infraction. Alors c’est vrai qu’aujourd’hui cela ne semble pas si grave. Par petites touches successives chaque loi nouvelle renforce un peu plus les pouvoirs de la police au détriment de ceux de la justice. Et supprime toute possibilité future de contestation. Et cela est très grave. Il suffira au nouveau dictateur de dire qu’un terroriste est quelqu’un qui ne pense pas comme lui pour pouvoir faire arrêter légalement tous ses opposants. Vous aurez beau alors contester vigoureusement en frappant à la porte de la chambre 101, il vous faudra vous soumettre de gré ou de force à la police de la pensée. Vous ne serez déjà plus libre.
Débrouille – Pâte : Le Sugru est une pâte qui, comme de la pâte à modeler, peut prendre de multiples formes! Et alors? Eh bien, cette pâte peut réparer un peu n’importe quoi ou être façonnée en objet pour vous rendre service!
Examiné à partir d'aujourd'hui en commission à l'Assemblée nationale, le projet de loi sur le renseignement, censé être une arme antiterroriste, confère à l'exécutif des pouvoirs de surveillance exorbitants, sans contrôle judiciaire. Décryptage.
Un Patriot Act à la française ? Sous couvert de lutter contre le terrorisme, le projet de loi sur le renseignement,
présenté à partir d'aujourd'hui en commission à l'Assemblée nationale,et examiné en séance le 13 avril 2015,
risque d'entraîner la France dans une véritable dérive sécuritaire. C'est en tout cas la crainte de multiples associations
et syndicats qui dénoncent depuis plusieurs semaines ce texte, initié dans la foulée des attentats de Paris et pour lequel
le gouvernement a décrété la procédure d'urgence, gage d'un examen à grande vitesse et d'un débat public sacrifié.
Une précipitation coupable, tant les mesures imaginées par le député PS Jean- Jacques Urvoas, rapporteur du projet,
marquent un véritable tournant dans le droit français. Il offre l'impunité aux agents du renseignement,
légalise la surveillance de masse, ou encore confère au premier ministre un pouvoir de contrôle exorbitant.
Le champ d'action de cette loi, tout comme la nature des outils intrusifs désormais autorisés nécessiteraient une large consultation
de la société civile. Le ministre de l'Intérieur, lui-même, en avait, semble-t-il, conscience en septembre dernier lorsqu'il s'était
fermement opposé à la légalisation des nombreuses technologies que le gouvernement veut, pourtant, mettre désormais en place...
La France parmi les « Neuf Yeux ».
Vous connaissez les « Five Eyes » – « Cinq Yeux » en français ? L’expression désigne l’alliance conclue entre
les services de renseignement et d’espionnage de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni
et des États-Unis afin de partager les millions d’informations que chacun de ces pays collecte chaque mois.
À la base de la surveillance de masse, ces Five Eyes ont été rejoints par quatre autres États
le Danemark, la Norvège et les Pays-Bas et la France –, formant ainsi le groupe des Nine Eyes.
1. Des outils intrusifs qui menacent les libertés
En légalisant la surveillance de masse en France, ce projet de loi met à mal plusieurs droits fondamentaux. Ne serait-ce, s'il fallait en citer qu'un, que l'article 12 de la Déclaration des droits de l'homme : « Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires ou illégales dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance... » Or, ce texte prévoit de doter les services de renseignements de dispositifs techniques très intrusifs. Ils pourront scruter et analyser en temps réel le trafic Internet en plaçant des « boîtes noires » directement chez les fournisseurs d'accès (FAI), sonoriser des espaces privés, voitures ou domiciles, capter des images, géolocaliser des objets ou véhicules, pirater des ordinateurs ou téléphones portables...
Jusqu'ici, filant sa métaphore, le renseignement français expliquait qu'il pêchait au harpon tandis que la NSA (l'agence de renseignement américaine), elle, pêchait à large filet. Avec cette loi, la technique du harponnage est bel et bien révolue. Preuve en est, les agents pourront utiliser des IMSI catchers, sortes d'antennes téléphoniques qui permettent d'« aspirer » autour d'elles l'intégralité du trafic mobile (conversations, SMS, trafic Internet...) comme de suivre les mouvements des propriétaires de ces téléphones. En septembre dernier, un projet de loi entendait autoriser l'administration pénitentiaire à utiliser des IMSI catchers pour surveiller les conversations de certains détenus. Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, s'y était... opposé. « Il ne faudrait pas que les technologies prévues pour intercepter les communications d'individus que l'on a intérêt à surveiller permettent, du même coup, d'écouter d'autres personnes qui ne devraient pas l'être. » Belle intention aujourd'hui oubliée. Ce projet de loi balaye toute protection du citoyen contre les abus de la puissance publique, son droit à la vie privée, l'inviolabilité du domicile, le secret des correspondances... « Dans le droit français, on peut priver quelqu'un de certains de ses droits, comme de son droit à la liberté, si on le met en prison. Mais cela se fait sous l'autorité indépendante d'un juge, en cas d'infraction pénale, et on a droit à un recours. Là, on n'est même pas en cas d'infraction pénale, on devrait prendre encore plus de précaution... », estime Laurence Blisson, secrétaire nationale du Syndicat de la magistrature (SM).
Il faut également penser à l'effet produit sur les citoyens. Pour Maryse Artiguelong, coordinatrice de l'Observatoire des libertés et du numérique (OLN), « il est évident que si vous pensez être surveillé, vous allez vous-même vous autocensurer. Cela reste une atteinte énorme à la liberté d'expression, à la vie privé ». Ce projet de loi ne garantit pas, non plus, que le secret des sources des journalistes sera préservé. Pire : révéler qu'une personne ou une organisation est surveillée par le renseignement sera puni par le droit ! Et tant pis pour les Edward Snowden et autres lanceurs d'alerte. « Nous exigeons que cette loi protège le droit des journalistes à travailler sans être espionnés, faute de quoi, elle constituerait une grave violation de la liberté de la presse et des médias. Le gouvernement doit rétablir la protection de la confidentialité des sources des journalistes », s'insurge ainsi Christophe Deloire, secrétaire général de Reporters sans frontières.
2. Un champ d'application très large
Les ministères qui pourront ordonner de telles écoutes sont la Défense, l'Intérieur, mais aussi l'Économie et les Finances, avec l'accord du premier ministre. Le champ d'application de la loi prévoit notamment la « prévention de la criminalité et de la délinquance organisée » et la « prévention des violences collectives de nature à porter gravement atteinte à la paix publique ». Un périmètre bien trop flou et susceptible de dérives. « Qui va décider de ce qu'on doit considérer comme "violences collectives"? interroge la CGT police. Une simple manifestation ne pourrait-elle pas être classée dans cette catégorie, vu le "risque" inhérent de ce genre de rassemblement ? Toute personne y participant pourrait être mise sur écoute ? »
Pour les associations et syndicats, on ne peut pas parler d'une loi antiterroriste. « En incluant les violences collectives dans ce texte, on autorise l'utilisation de pouvoirs intrusifs dans le champ politique et des mobilisations collectives, dénonce Laurence Blisson, du SM. Les centrales syndicales, les organisations politiques devraient vraiment s'en inquiéter. L'autre dérive possible de ce texte consisterait à renforcer les pouvoirs des agents de renseignement dans les quartiers populaires pour surveiller les initiatives politiques qui y naissent, au nom de la prévention des émeutes de banlieues. » Le périmètre d'action s'étend également pour préserver les « intérêts économiques et scientifiques majeurs ». « On voit se nicher des mesures de surveillance touchant des personnes qui remettraient en cause les intérêts du patronat, comme dénoncer des pratiques illégales d'entreprises nationales de l'armement ou de l'énergie », souligne Laurence Blisson. Autant de points susceptibles d'entraîner des dérives.
3. Peu de contrôles et aucune garantie
Le projet de loi supprime la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS) et la remplace par une Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR). Cette dernière est composée de seulement neuf membres dont quatre parlementaires, deux magistrats de la Cour de cassation, deux magistrats du Conseil d'État et une personne recrutée pour ses compétences techniques. « Cette composition n'est pas satisfaisante, mais ce qui nous préoccupe surtout ce sont ses pouvoirs », estime Laurence Blisson. La CNCTR devra étudier les requêtes d'interception et d'écoutes émises par le premier ministre - au minimum 3 000 par an - mais n'aura qu'un pouvoir consultatif. Matignon enverra à la commission chaque demande et celle-ci aura vingt-quatre heures pour décider si elle se saisit, un silence équivalant à une approbation. Si la commission décide de débattre, elle aura trois jours pour émettre un avis... que Matignon ne sera pas obligé de suivre. En dernier recours, et à condition qu'elle le vote à la majorité absolue, la CNCTR pourra saisir le Conseil d'État. Ce dernier pourra alors ordonner la fin de la surveillance et la suppression des informations recueillies. « C'est la seule avancée du texte, estime Laurence Blisson. Les personnes qui se pensent surveillées pourront également saisir le Conseil d'État, mais elles n'auront accès à aucun document, ne pourront pas être défendues par un avocat, ni ne sauront pourquoi ni comment elles ont été placées sur surveillance. Ni ce qui a été récolté. » Pour Pierre Tartakowsky président de la Ligue des droits de l'homme, c'est un projet de loi qui organise l'impunité des agents de l'État, inscrit dans une logique purement sécuritaire. « On veut bien d'une loi sur le renseignement, mais une loi qui donne des garanties, que les agents aient des comptes à rendre. Pour cela, il faut une mobilisation de la société civile, comme il y en a eu pour le tristement célèbre fichier Edvige. »
4. Une surveillance sous-traitée au privé
Ce projet de loi entend placer chez les fournisseurs d'accès à Internet (FAI) des « boîtes noires », des dispositifs de traitement automatisé et en temps réel des données, dans le but de « révéler une menace terroriste ». Un algorithme sera chargé de scruter en profondeur le trafic Internet des Français et des étrangers en contact avec notre pays, et de déterminer, selon les comportements, si une personne est suspecte, avant de transmettre son identité à l'exécutif. L'État pratiquera ainsi des interceptions massives comparables à celles de la NSA, mais en s'appuyant sur les opérateurs privés. Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, dénonçait pourtant, en septembre dernier, cette pratique dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale : « Cette technique est très onéreuse - son coût pour les fournisseurs d'accès serait de l'ordre de 140 millions d'euros - et peut considérablement perturber le trafic. Très intrusive, elle peut présenter des risques importants ; nous ne souhaitons donc pas l'utiliser. » Le rappellera-t-il au cours des débats ? Pour Sylvain Steer, du Centre d'études sur la citoyenneté, l'informatisation et les libertés (Cecil), les opérateurs ne seront pas en mesure de refuser ces dispositifs et cela permettra de surveiller intégralement toutes les communications. « On est vraiment dans de la surveillance algorithmique, relève-t-il. On délègue à la technique le fait d'analyser les pratiques de nos concitoyens. La machine va repérer des signaux faibles, comme des recherches, des connexions à un site identifié, le fait de ne faire que des brouillons dans une boîte mail... Autant de choses qui pourraient être analysées comme des comportements déviants. » Toutes ces données, il va falloir les traiter. Pour Maryse Artiguelong de l'OLN, l'État va certainement déléguer beaucoup de compétences au privé, dès l'installation de ces boîtes noires. « L'État en a l'habitude. Par exemple, la plate-forme nationale des interceptions administratives, qui s'occupe des écoutes téléphoniques, a été directement installée chez Thales. Forcément, des intervenants privés, même habilités secret défense, vont intervenir. » Des dispositifs seront également envisagés chez les moteurs de recherche et les hébergeurs de contenus. « Un des porteurs du projet a clairement évoqué son souhait d'avoir une personne habilitée secret défense chez Google », raconte Sylvain Steer.
3 points (Miami, Porto Rico et l’île des Bermudes) formant un vaste triangle dans l’océan Atlantique. Dans ce triangle, depuis plus d'un siècle, de nombreuses disparitions inexpliquées d’avions et de navires, souvent caractérisées par leur soudaineté et l’absence d’épave. Partant de ce constat indéniable, de nombreux scientifiques et journalistes ont enquêté sur les causes de ces disparitions, sans jamais trouver d’explications fiables.
Le Triangle des Bermudes est le secteur le plus mystérieux de notre planète
pour l’aéronautique et la marine. De nombreux mythes et légendes accompagnent
des théories plus pragmatiques et des témoignages mystérieux.
Et si on regardait un beau docu ? Le cueilleur d’arbres
Lorenzo Pellegrini est bûcheron spécialisé dans le choix et la coupe d’arbres destinés à la lutherie. Agé de 85 ans, il travaille toujours et transmet son savoir à des successeurs dont le luthier de guitares Jean-Michel Capt qui à inventer la table d’harmonie. LIEN--> Voir son invention ici: https://youtu.be/eF_rwi-vAjA
Il y a des questions supplémentaires quant à la possibilité d’un délai qui pourrait mettre hors de service le clavier,
qui peut être programmé par la compagnie aérienne elle-même, mais il n’est pas nécessaire et totalement facultatif.
Cela signifie qu’il est probable, en fonction du niveau de formalité à Germanwings, qu’aucun délai n’ait été programmé
dans le clavier. Cela signifierait que l’équipage de cabine, nous entendons par là les hôtesses de l’air, aurait le code
d’entrée du cockpit et pourrait très probablement entrer à volonté, même si la porte était en position de verrouillage.
Il y a une raison pour laquelle nous publions ces informations qui, auparavant, n’étaient pas autorisées à être accessiblesau public:
Il y a plus de 24 heures, il a été mentionné que le «pilote» “martelait” et poussait des “cris perçants” dans une tentative
pour entrer dans le cockpit, cette information est devenue d’intérêt public vital. En outre, aussitôt que la fausse information
a été publiée, que les contrôleurs aériens n’ont pas pu communiquer avec l’équipage de l’avion, il aurait dû être mentionné
que les membres d’équipage ont des téléphones satellites disponibles. Plutôt que de frapper à une porte,
le pilote pourrait bien avoir été au téléphone demandant au NORAD de faire atterrir l’avion pour lui.
Ces téléphones sont généralement dans chaque zone de l’équipage, à l’avant et à l’arrière(…).
Une référence est faite dans ce manuel de vol aéro-médical:
Système anti-piratage
De nouveau, nous mentionnons la même chose que nous avons soulevée pendant la disparition du MH370 : les avions modernes “fly by wire”(avec des commandes de vol électriques), pendant des années, disposaient de systèmes d’atterrissage en mode automatique à bord qui sont en place pour empêcher les avions d’être détournés et qu’ils n’entrent en collision avec des centrales nucléaires. On nous dit que les avions peuvent atterrir en utilisant ce système avec des vents allant jusqu’à 30 nœuds. Nous savons aussi qu’un accident contrôlé dans une zone qui causerait des dommages collatéraux minimaux est le deuxième événement programmé dans ce système. (…)
Tous les rapports, qui pendant un certain temps semblaient presque rationnels à un point, ont été remplacés par l’ordre du jour axé sur des mensonges et des histoires de couverture. Ça a recommencé.
C’est laPHOTO/VIDEO DU JOUR... La défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD) déménage ces appareils de communications à Cheyenne Mountain à cause des menaces d’une attaque IEM
Dahboo 77 “Quand vous commencez à les voir se déplacer dans les montagnes, dans les bunkers, c’est que quelque chose est sur le point de se produire (…)“.
La défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD) déménage ces appareils de communications dans un bunker de la guerre froide
va déplacer son matériel de communication dans un bunker en montagne datant de la guerre froide, les agents ont dit.
Le déplacement à la base de Cheyenne Mountain dans le Colorado est conçu pour protéger les capteurs et les serveurs sensibles de la commande
à partir d’une attaque potentielle par impulsion électromagnétique (EMP), les officiers militaires ont dit.
Le Pentagone la semaine dernière a annoncé un contrat de 700 millions de $ avec la Société Raytheon
pour superviser le travail de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD) et du US Northern Command. (…)
Le bunker dans la montagne Cheyenne est une caverne creusée dans une montagne dans les années 1960
qui a été conçu pour résister à une attaque nucléaire soviétique.(…)
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Sujet: Re: L'INFO DU JOUR... Lun 13 Avr - 12:10
nimporte qoi ces peutaitre un ecercice rien de plus
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: L'INFO DU JOUR... Lun 13 Avr - 14:56
youcef a écrit:
N'importe quoi c'est peut-être un exercice rien de plus
Non non pas du tout Youcef, l'information a été vérifié, ils sont bien entrain de réaménager se bunker qui au départ avait été prévu durant la période de la guerre froide avec l'URSS, en cas de conflit. L'amiral William Gortney l'a indiqué en personne, donc l'info est fiable (lire ici).Au fait se n'est pas spécialement une attaque nucléaire au sole qui les inquiètent, mais d'une impulsion électromagnétique, provoquer naturellement ou par une explosion nucléaire en altitude. (lire l'article) Donc avant d'affirmer que les gens disent des bêtises, se renseigner pour ne pas avoir l'air bête....
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Sujet: Re: L'INFO DU JOUR... Lun 13 Avr - 15:26
cest du bleuf cest juste un excercice me maneuvre logistique rien de plus tu crois alors quils va y avoire une guerre entre le monde et les usa hhhhhh elle a peur une attaque terrroriste un vieux cliché alor qoi ils deplace ce materielle millitaire unltra sophistique rien que pour le plaisire je sait pas tout cette couverture mediatique qui tourne autre de ce cachecache en dit long
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: L'INFO DU JOUR... Lun 13 Avr - 15:57
youcef a écrit:
cest du bleuf cest juste un excercice me maneuvre logistique rien de plus tu crois alors quils va y avoire une guerre entre le monde et les usa hhhhhh elle a peur une attaque terrroriste un vieux cliché alor qoi ils deplace ce materielle millitaire unltra sophistique rien que pour le plaisire je sait pas tout cette couverture mediatique qui tourne autre de ce cachecache en dit long
Non je n'ai pas du tout peur, vu que je vis ma vie pleinement, de plus je ne crois rien, j'avance des preuve, c'est toi qui crois, pas moi.....Mais se voiler la face ne sert à rien non plus c'est comme ça. Moi je t'ai apporter les preuves de ce que j'avance, toi mis à part des affirmations péremptoire baser sur ton propre avis, tu a rien pour étayer. Donc jusqu'à ce que tu me prouve le contraire, c'est moi qui ai raison, et toi tord...Donc celui qui a peur c'est toi vu que tu nies les évidences.
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Sujet: Re: L'INFO DU JOUR... Lun 13 Avr - 16:29
jais peur oui jais peur de la guerre c'es terrifiant la guerre et vous en parlez conne ci cetais un muffins
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: L'INFO DU JOUR... Lun 13 Avr - 16:44
youcef a écrit:
jais peur oui jais peur de la guerre c'es terrifiant la guerre et vous en parlez conne ci cetais un muffins
Non merci chou v,la que je sort de table Non j'en parle comme d'une chose qu'on ne pourra éviter si il doit en être ainsi, avoir peur, ou angoissé ou dramatiser n'y changera rien, par-contre en restant zen et fort, on garde son taux vibratoire élever, et ça cela peu vraiment faire la différence. Il existe un monde invisible et en connaître (certaine) clés peut aider à voir les choses sous un angle plus positif. Tu sais je ne suis pas différente de toi, ou d'un autre membre, j'ai aussi une famille des gens que j'aime et une vie que j'adore, crois-tu que je désire perdre tout ça ? bien sûr que non, mais je sais ce qu'il adviendra voilà tout...
il ne s’agit pas de la guerre ICI, et surtout pas aux USA… La vérité c’est que les Américains craignent et se préparent à une catastrophe bien pire !!!! Je n’explique: Les savants de la NASA pensent officiellement qu’il y a un grave danger lié au soleil = impulsion électromagnétique (EMP) ou peut-être à la planète X. (non officiel pour la NASA) De plus notre système solaire à pénétrer dans une région de l’espace hautement énergétique. Les effets se font actuellement sentir sur le comportement des planètes, du soleil, et de la terre elle-même.
J'ai envie de dire que la lumière c'est la vie. Sans la lumière, qu'est-ce qu'elle serait triste en tous cas.
Mais ça n'est pas seulement du plaisir pour la vue, pour nos sens, elle est aussi une énergie.
Une énergie déterminée par sa longueur d'onde, sa fréquence et son intensité.
On répartit ainsi les champs lumineux par leur couleur. Les UV par exemple commence par la couleur violette.Dans le domaine médical on utilise les UV A et les UV B pour traiter les maladies de peau comme le psoriasis, la dermite, le vitiligo et l'eczéma. Mais en général en luminothérapie on utilise la lumière blanche, qui génère des réactions par l'intermédiaire de l'oeil et qui influence ainsi la production d'hormone comme la mélatonine, l'hormone du sommeil et la sérotonine et la noradrénaline qui, comme vous le savez, sont responsables de notre bonne humeur. La mélatonine par exemple est produite lorsqu'il fait sombre et ça tombe bien puisque c'est elle qui provoque l'endormissement. Et, dès que la lumière s'intensifie sa production est stoppée. La vie est ainsi faite qu'elle est rythmée en quelque sorte par cette alternance de jour et de nuit, de lumière et de noir. Dans le noir on ressent le besoin de se reposer et de dormir et par contre dès que le soleil et la lumière nous inonde on se sent rempli d'énergie, et cela aide à chasser le stress, et les mauvaises pensées. Et tout ceci constitue les cycles biologiques qui nous gouvernent, le repos, l'activité, la nuit, le jour, c'est notre horloge biologique qui est en marche. On a déterminé avec précision que la lumière du jour déclenchait la production de Cortisol, une hormone du " stress positif" en quelque sorte et qui nous remplit d'énergie pour attaquer la journée qui commence. Et c'est ainsi que plus le jour est lumineux et la nuit noire et meilleur seront les cycles de notre vie, activité et sommeil. Ceci est idéal bien sûr car en fait nous ne vivons plus aussi proche de la nature et ne travaillons plus dans les champs pour profiter à plein de cette luminosité et de ce cycle lumière et noir. Certains même travaillent la nuit au moment où il faudrait dormir et ils dorment donc au moment où il faudrait être en pleine activité. Il est évident que notre horloge ne peut qu'être déréglée et que le sommeil entre autre ne peut qu'en être perturbé, même si les pouvoirs d'adaptation de notre organisme sont extraordinaires.
Il y a aussi ceux qui travaillent toute la journée dans des bureaux éclairés par la lumière artificielle. Là aussi il faut savoir que cette lumière est entre 10 et 20 fois moins puissante que la lumière d'une journée ensoleillée et même d'une journée nuageuse. Et il se produit ce qu'il doit se produire , une véritable carence en lumière, et elle favorise la baisse de notre tonus, de notre bonne humeur, de notre activité et peut même produire une véritable somnolence en plein jour contre laquelle il est difficile de lutter. Et le cycle est ainsi fait que le sommeil qui s'ensuit est de mauvaise qualité. Il est donc primordial de faire le plein de lumière tous les jours, même pendant les jours les plus courts et les plus sombres de l'hiver. Au point que l'on a fabriqué des appareils de luminothérapie pour pallier à ces manques de luminosité. Les effets du manque de lumière sont de mieux en mieux connus. En hiver, les cas de dépressions saisonnières sont nombreux, et il est établi que la cause de ces troubles est principalement le manque de lumière.C'est curieux aussi, je ne sais pas si vous l'avez remarqué, mais les gens qui sont dépressifs ont tendance à s'enfermer dans le noir, derrière des volets clots, derrière des lunettes noires, et ils ont horreur de la lumière. Exactement ce qu'il ne faudrait pas qu'ils fassent. Que ce soit de l'irritabilité, de la tristesse, du blues, des troubles du sommeil, de la mauvaise humeur, une baisse de l'activité sexuelle, pensez à la lumière et baignez vous dans un univers lumineux. On considère qu'une personne sur 5 est en carence de lumière dans la saison froide. Il faut exposer votre corps, vos yeux, à beaucoup de luminosité. J'ai connu des gens qui vénéraient ainsi le soleil et la première chose qu'ils faisaient c'était de regarder le jour se lever et prendre ainsi un bain de lumière. Sans vous conseiller d'aller adorer le soleil, il faut savoir que dans toute chose il y a du bon à prendre. Car dans ce cas, c'est certain, c'est excellent pour votre tonus. L'efficacité de ces traitements à base de luminothérapie est avéré. On expose le patient environ une bonne demi-heure par jour à une forte luminosité (environ plusieurs dizaines de milliers de lux, l'unité de mesure), ceci à quelques centimètres de la lampe et les dépressions disparaissent en moins de 15 jours. Certains n'ont jamais sommeil le soir et par contre le matin ils ont toujours sommeil et sont fatigués. On arrive à les synchroniser par des cures de luminothérapie.
Alors là aussi il vaut mieux prévenir que guérir car je me doute que vous n'avez pas du tout envie d'aller vous faire soigner dans les hôpitaux. Et puis surtout nous avons notre lampe naturelle, le soleil, qui ne demande qu'à rendre service. Il est là pour cela, pour que notre horloge fonctionne à merveille. Dès le matin ouvrez les fenêtres et le moins habillé possible, regardez, vous aussi, le soleil se lever. Et même sans regarder le soleil, la luminosité d'un jour normal est éclatante et ouvrez donc grand les yeux. Bannissez les lunettes noires et ouvrez grands vos volets afin que la lumière inonde votre maison. Les effets de ces cures sont immenses et ne se limitent pas à une bonne humeur. On a par exemple fait des tests chez les personnes agées proche de la démence. Des scientifiques anglais ont soumis un groupe de 47 résidents d'une maison de retraite à une exposition quotidienne de 1000 lux chaque jour pendant 2 heures. Et ils ont créé un 2ème groupe témoin souffrant des mêmes maux et qui par contre était exposé à une lumière plus sombre. Et au bout de 2 semaines les résultats étaient impressionnants. Le groupe exposé s'était considérablement amélioré alors que le groupe témoin avait stagné Le sommeil avait été considérablement amélioré également. Et j'en avais eu la preuve à plusieurs reprises lorsque je recevais des malades. J'avais en effet fabriqué une lampe qui émettait un rayon lumineux trés étroit. A l'intérieur de cette grosse boite j'avais mis une lampe de 1000 watts, mais il ne sortait qu'un rayon de 1 à 2mm. Ce rayon était donc trés lumineux. Par ailleurs je localisais dans l'iris du patient, une zone perturbée, et je braquais ce rayon sur cette zone pendant une minute environ, pas trop proche vous vous en doutez, il ne fallait pas bruler la cornée. Et j'avais eu des résultats assez extraordinaires. Et trés rapides en plus. Je me souviens encore de ce patient qui n'avait recu qu'un seul traitement de luminothérapie et qui m'avait annoncé une semaine plus tard que depuis, il n'avait plus du tout ressenti cette colite qui le tenaillait depuis longtemps. Cela agissait par une action réflexe comme le ferait une aiguille d'acupuncture sur un méridien. On peut donc agir par une aiguille, par un massage, par la châleur ou par la lumière sur ces points réflexes.
En tous cas je ne saurais trop vous conseiller de rechercher la lumière.
Rassurez-vous, moi aussi j'ai les yeux sensibles, les yeux bleux le sont souvent,
mais il ne s'agit pas d'aller fixer le soleil non plus. Vous avez compris,
il vous faut sortir des lieux clots et aller dehors où notre créateur a disposé tout ce
qu'il nous faut pour bien vivre. En contact avec la nature, avec ses grands espaces,