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Novi Orbis - Le Nouveau Monde
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Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Ven 12 Sep - 1:11
Rappel du premier message :
Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...
Texte Akasha
Bonjour les gens Aujourd'hui vu que personne n'a encore parlé de la chute de votre gouverneMENT, j'aimerai vous donner mon analyse Pour commencer, il n'est pas normale qu'un gouvernement ayant un bilan aussi catastrophique garde la main, et est au centre de la formation du second. En Belgique dans le même cas de figure, c'est les élections anticipées..Aussi comment est-il possible que se soit le ministre sortant avec une cote de popularité aussi médiocre, soit nommé formateur et conserve son poste ? De plus votre président a lui aussi une cote de popularité avoisinant les 15%..Il est donc étonnant de le voir toujours à son poste prenant des responsabilités aussi grande....Il est donc évident qu'il s'agit d'une cabale comprenant deux volets. Premièrement il fallait évincer les éléments "subversifs en les personnes de Montebourg et Hamon. Eux qui ont osé critiqué ouvertement les décisions prisent sur la politique entreprise sur certains dossiers..Dont l'économie justement. Ainsi avons-nous vu proposer de redistribuer 1/3 des économies budgétaires aux familles les plus fragilisées (cf les la classe ouvrière et moyenne). Pour relancer le pouvoir d'achat. Il était aussi question de baisses d'impôts concernant les classes moyennes et populaires. Secundo, Hamon a critiquer la politique sur la réduction des déficits...Deuxièmement, Il fallait absolument placer Macron, c'est chose faire désormais...Pure produit de la politique atlantiste qui sera parfait pour poursuivre les négociation de la TAFTA (NDLR traité transatlantique). Monsieur Macron est issu des classe du fameux Young leader & French America (promotion 2012). Voilà un parfait technocrate qui pourra travailler en synergie avec l'UE afin de concrétiser le grand dessein étasunien. Il est bien de savoir que c'est déjà se genre d'institution plus où moins officielle qui travaille depuis des décennies à la formation de l'UE ultralibérale en équation avec celle des Etats-Unis...Nous sommes donc dans une logique de continuité ! (pour plus de renseignement sur les Young Leaders and co, consultez se sujet). Ou encore ici sur les pères fondateurs de l'UE avec les américains : Scandale: Gladio, le formatage de l'Europe par les réseaux fascistes et les USA. Bien ! Je poursuis, Donc vous voilà avec Macron sur les bras Je vais vous donner un scoop...Savez-vous qu'il était au Bilderberg 2014 Et voilà que quelques mois plus tard il est judicieusement placé, c'est beau non? Attendez, je n'ai pas fini Il a également entrepris ces études chez les jésuites tout comme Valls d'ailleurs..Et d'autres grands responsables de la politique européenne...Je poursuis, savez-vous qui était aussi au Bilderberg de cette année ? Fleur Pellerin !
Qui était de plus de la promotion 2012 des Young Leaders, incroyable non ? Heureusement que je suis là pour tout balancer Ah oui...(j'ai failli oublier, Macron était aussi adoubé d'une autre casquette, Il a également travaillé pour la banque Rothschild. Qui décidément est un véritable vivier de la classe politique internationale !
Pour terminer, je relaterai le jeu de la chaisse musicale, ainsi assistons-nous impuissant au plassement de pantin au servisse atlantiste...Bekasem remplace donc le déchut Hamon, elle pourra ainsi poursuivre sa politique dégueulasse entamer par son ami peillon et leur si cher théorie du genre... Fillippetti à la culture remplacée par Fleur Pellerin...et donc Montebourg évincé par Macron ! Enfin pour complêter le panier de crabe nous trouvons Patrick Kanner (troisième nouveau) et Marisol Touraine qui se partagent les anciennes attributions de Belkacem.
Texte et propos Akasha
Je termine par vous proposez quelques liens connexes :
“Vue du château de Chambord, le Régent Philippe II duc d’Orléans donne ses ordres pour la chasse”. Peinture de Pierre Denis Martin, 1722.• Crédits : Josse / Leemage – AFP
“Quel président voulez-vous être ?” La première question des débats télévisés est si générale, si large qu’elle semble avoir été conçue uniquement pour permettre aux candidats de s’échauffer la voix (et aux techniciens de régler leurs micros).
Mais au-delà des réponses stéréotypées, façonnées pour tenir en une minute trente, il convient de se concentrer sur des petits faits de campagne clairsemés. Pris bout à bout, ils permettent bien davantage d’éclairer cette interrogation.
Quel président voulez-vous être ? Chez Emmanuel Macron, cette série de faits clairsemés illustre une vision volontiers centralisatrice, voire une inclination quelque peu monarchique.
Passons vite sur la démarche d’avoir fait broder son parti de ses initiales, EM, passons sur les phénomènes de cour, logiques devant une ascension si spectaculaire, et concentrons-nous sur ses propositions.
Hier, devant l’Association des maires de France, le favori de la présidentielle a réitéré l’une de ses propositions-phares : la suppression de la taxe d’habitation pour 80 % des ménages. Emmanuel Macron prive ainsi les collectivités locales de la maîtrise d’une partie de leur budget. Il s’est bien sûr engagé à ce que l’État compense le manque à gagner, mais cette reprise en main budgétaire face aux communes revient à une forme de re-centralisation. Car le gouvernement pourra toujours refuser, sous prétexte d’économies, de rembourser les collectivités à 100% (ce ne serait pas la première fois). Une logique similaire prévaut pour une autre proposition d’Emmanuel Macron : la renationalisation de l’Assurance-chômage. Fini la gestion des partenaires sociaux, c’est l’État qui dirige.
Ajoutons à cela une mesure symbolique, certes, mais signifiante. Emmanuel Macron veut recréer les chasses présidentielles, cette lointaine tradition royale qui renvoie à François 1er. Selon le candidat d’En Marche, ces chasses présidentielles, supprimées en 2010, “fascinent partout” dans le monde et participent de “l’attractivité” de la France.
L’histoire ne dit pas si l’on verra le gouvernement En Marche, à cheval, débusquer le gibier dans la brume du domaine de Chambord. (Arrivés à ce stade du billet politique, vous comprenez enfin le choix de l’illustration)…
Pour caractériser cette éventuelle présidence Macron, il faut aussi observer la manière dont il conduit sa campagne…
Là encore, cela en dit plus long qu’un débat télévisé. L’organigramme est saisissant : contrairement aux autres prétendants, le candidat de En marche n’a pas de directeur de campagne. Le directeur de campagne, c’est lui. Par ailleurs, qui pourrait aujourd’hui citer le nom de l’un de ses porte-paroles ? Au-delà du cénacle journalistique, pas grand-monde… Candidat, directeur de campagne et porte-parole, Emmanuel Macron fait tout. Par son organisation, il nous dit : « la campagne, en l’état, c’est moi ».
Pas de jurys citoyens, nulle démocratie participative dans la bouche du favori de l’élection. « J’assume la verticalité », confesse-t-il d’ailleurs à propos de son mouvement. Ainsi, récemment, En Marche a annoncé que ses candidats aux législatives seraient désignés après la présidentielle. Autrement dit, encore davantage que dans les autres partis, ces candidats n’auront pas le temps de faire leur propre campagne et procéderont entièrement de la figure d’Emmanuel Macron.
Exemples isolés ou stratégie théorisée, Frédéric ?
Il ne faut pas y voir, me semble-t-il, des annonces de circonstances ou de coups de communication improvisés. Tout cela s’inscrit au contraire dans une réflexion historique et politique très construite. Emmanuel Macron en avait tracé les lignes dans un entretien fort intéressant accordé à l’hebdomadaire “Le 1”, en juillet 2015. Que dit-il ? A la question de savoir si “la démocratie est forcément déceptive”, Emmanuel Macron répond ceci :
“Dans la politique française, cet absent est la figure du roi, dont je pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort. La Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif : le roi n’est plus là ! On a essayé ensuite de réinvestir ce vide, d’y placer d’autres figures : ce sont les moments napoléonien et gaulliste, notamment. Le reste du temps, la démocratie française ne remplit pas l’espace. On le voit bien avec l’interrogation permanente sur la figure présidentielle, qui vaut depuis le départ du général de Gaulle. Après lui, la normalisation de la figure présidentielle a réinstallé un siège vide au coeur de la vie politique. Pourtant, ce qu’on attend du président de la République, c’est qu’il occupe cette fonction. Tout s’est construit sur ce malentendu.”
Le discours du candidat En Marche est limpide. Il vise à concilier, sous l’habit du président, les “deux corps du Roi”, théorisés par Kantorowicz.
Derrière le discours d’Emmanuel Macron, peut-être faut-il déceler aussi un raisonnement plus stratégique. Depuis quinze ans, sur fond de lassitude démocratique, chaque président est élu par contraste avec son prédécesseur : la fin de mandat de Jacques Chirac fut jugée ronronnante, alors Nicolas Sarkozy se présenta en “candidat de la réforme et de la rupture”. Le mandat de Nicolas Sarkozy fut jugé vibrionnant et bling bling, alors François Hollande se présenta en “candidat normal”. Le mandat de François Hollande est marqué par le manque d’incarnation, alors Emmanuel Macron se fait fort de la restaurer.
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mar 4 Avr - 1:34
Présidentielle 2017 : Tout savoir (ou presque) sur le parcours de Macron.
Emmanuel Macron nous est souvent présenté dans les médias comme un homme brillant, un génie ou un philosophe, qui incarnera la rupture avec le quinquennat d’Hollande. Mais lorsqu’on examine son parcours on se rend compte qu’il y a de forte chance qu’il incarne plutôt la continuité. C’est ce qu’on va voir dans cette vidéo.
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 50 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mar 4 Avr - 17:50
Vidéo censurée à multiples reprises par France Télévision et YouTube pour cacher au public la vacuité de Macreux :
Une fuite massive du public lors du meeting d’Emmanuel Macron à Marseille : « très ennuyeux », « trop superficiel », « reste dans la banalité », « du vide », « du vent », « que des trucs qui jouent sur les émotions »
orné Modérateur
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 50 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mar 11 Avr - 6:59
Emmanuel Macron s’attaque au chiffrement mais se trompe de cible, par Numérama
Citation :
C’est là qu’on voit que le fameux “social libéral”, c’est un peu comme le “social démocrate” : c’est le contraire de ce qui est affiché, et il n’est donc que bien peu social, et bien peu libéral comme on le voit ici…
Et comme si les terroristes vont continuer à utiliser ces applications après une telle loi…
En présentant son programme anti-terroriste, Emmanuel Macron s’est attaqué aux acteurs de l’Internet qui ne font pas assez contre les terroristes, notamment en matière de chiffrement. Mais le candidat d’En Marche ! se trompe de cible.
À deux semaines du premier tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron durcit son discours. À l’occasion de la présentation de son programme consacré à la lutte contre le terrorisme, le candidat d’En Marche ! a tenu un propos résolument offensif contre les « acteurs de l’Internet », en clair les grandes entreprises de la Silicon Valley, qu’il accuse de ne pas agir suffisamment contre les terroristes.
« Jusqu’à présent, les grands groupes de l’Internet ont refusé de communiquer leurs clés de chiffrement ou leurs accès aux contenus au motif qu’ils ont garanti contractuellement à leurs clients que leurs communications étaient protégées. Cette situation n’est plus acceptable », a lancé Emmanuel Macron, flanqué du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian et de l’ancien patron du Raid, Jean-Michel Fauvergue.
Et l’ex-ministre de l’économie d’ajouter que « les acteurs de l’Internet, s’ils persistent dans leur position, devront assumer un jour d’avoir été complices d’attentats ».
Curieusement, Emmanuel Macron ne semble pas se souvenir de l’article 424-15-2 du code pénal qui prévoit déjà de sanctionner ceux et celles ne se pliant pas à l’obligation de coopération en vue d’obtenir le déchiffrement des messages. Cette disposition, qui concerne aussi bien le particulier que l’éditeur d’une solution de communication chiffrée, vise à empêcher une entrave à l’exercice de la justice.
Le refus de transmettre la version en clair des messages chiffrés et les conventions secrètes servant au déchiffrement est puni de 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende et la peine est portée à 5 ans et 75 000 euros « si le refus est opposé alors que la remise ou la mise en œuvre de la convention [secrète de déchiffrement] aurait permis d’éviter la commission d’un crime ou d’un délit ou d’en limiter les effets ».
Il y a aussi du chiffrement disponible sur Facebook Messenger.
En outre, dans le cas du chiffrement de bout en bout, ce ne sont pas les entreprises qui détiennent les clés de déchiffrement permettant de lire en clair les messages : ce sont les utilisateurs finaux. C’est pour cette raison, par exemple que WhatsApp n’a pu apporter qu’une aide limitée à la police britannique dans l’affaire du chauffard qui a utilisé sa voiture pour renverser des passants avant de les attaquer au couteau.
Le chiffrement de bout en bout consiste à faire en sorte que seuls les participants à une discussion puissent lire les messages qu’ils s’échangent. Quand cette sécurité est en place, même le fournisseur du service n’est pas en mesure de voir le contenu de la conversation. Il se retrouve alors dans l’incapacité de répondre favorablement aux requêtes judiciaires ou administratives de déchiffrement.
orné Modérateur
Messages : 1259 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 50 Localisation : où ça ?
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Lun 17 Avr - 9:17
L'homme de paille : Macron découvre son programme pour l'Enseignement Supérieur...et avoue ne pas le comprendre (MAJ)
* "Parce qu’il est différent des responsables politiques qui l’ont précédé : il a eu UN VRAI métier..."
Ouh la, il a eu un vrai métier. ça c'est du changement, bravo. C'est sûr, que travailler dans une banque d'affaire, ça va lui permettre de sauver la France.
* "Lorsqu’il parle d’économie, lui,il sait de quoi il parle : il a travaillé dans une entreprise et a été Ministre de l’Economie"
Ah oui, sil a travaillé dans une entreprise alors là, ça change tout.
* "Parce qu’il ne doit rien à personne d’autre qu’à nous il n’aura pas d’ascenseur à renvoyer."
Rothschild a organisé des levées de fonds pour Macron dans la plus "grande discrétion"
Coulisses politiques. Aucune entreprise n’a financé le mouvement [En marche!, NDLR], aucune structure juridique, se défendait Emmanuel Macron sur BFM TV le 24 février.
Certes. Mais il semblerait que ses anciens patrons sponsorisent tout de même l’enfant de la “maison” en toute discrétion. En témoigne ce texto envoyé il y a quelques mois par la direction de Rothschild à un listing très sélect de banquiers d’affaires de la place parisienne : « Chers amis, un cocktail dînatoire de levée de fonds est organisé pour Emmanuel Macron le 27 septembre à 20 heures à la Terrasse Martini, 50 avenue des Champs-Élysées. À cette occasion, Emmanuel vous fera part de sa vision et de ses propositions, cela sera aussi l’occasion de discuter avec lui de façon informelle. Si vous souhaitez vous joindre à nous, pourriez-vous le confirmer en répondant à ce SMS, en indiquant si vous serez accompagné. Pour des raisons de confidentialité, nous vous demandons une très grande discrétion autour de cet événement. »
Selon En marche!, 6,5 millions d’euros de dons ont été récoltés auprès d’environ 20 000 particuliers. Seulement 3 % de ces dons seraient supérieurs à 5 000 euros.
Terminons par une touche d'humour, ça ne fait jamais de tort :
La Bajon - La banquière d'Emmanuel Macron se confie
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Ven 28 Avr - 1:15
SI VOUS HÉSITEZ À VOTER MACRON, REGARDEZ ÇA
Si vous hésitez à voter Macron, regardez cette vidéo Ancien ministre de l’économie, ancien banquier d’affaires, Macron peut avoir l’image d’un homme compétent, qui saurait gérer l’économie du pays et réduire le chômage.
► Mais quel est son bilan ? Macron, c’est le pacte de responsabilité et le CICE qui coûtent 41 milliards d’euros par an, soit 204 milliards (!) sur le prochain quinquennat. Est-ce que ça a marché ? Partagez pour informer, discuter avec bienveillance, et taguez vos potes sous votre partage ►► Pour soutenir nos vidéos : http://bit.ly/tipeeeosonscauser ► Les sources : http://osonscauser.com/hesitez-a-vote... ► Pour ne pas rater nos vidéos, le mieux est de s’abonner à notre chaîne Youtube : http://bit.ly/osonssabonner
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L’augmentation vertigineuse des chiffres du chômage sous Hollande pendant le quinquennat de Hollande (+ 30 % ) Chômage mai 2012 : 2 780 400 Chômage février 2017 : 3 617 900 Augmentation absolue ; + 837 500 chômeurs en 5 ans Augmentation relative : + 30 % en 5 ans ( (837 500 / 2 780 400) * 100 )
Tous les chiffres portent sur les chômeurs de catégorie A inscrits à Pôle Emploi en fin de mois et proviennent des statistiques de la DARES (données mensuelles brutes / catégorie A) : http://dares.travail-emploi.gouv.fr/d...
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Sam 29 Avr - 1:26
Macron accuse le Front National d'avoir commis un attentat contre De Gaulle...10 ans avant la création du parti
Il en avait sorti des phrases ridicules et des mensonges mais alors là, il fait très fort et pour le coup, il se fait reprendre illico par le journaliste. A la bonne heure.
Ces derniers jours, Macron rivalise de malice dans des déclarations toutes plus fantasques les unes que les autres. Non content d'accuser le FN d'un attentat qu'il n'aurait jamais pu commetre puisque le parti est né 10 ans plus tard, il a également affirmé récemment que le FN et la sortie de L'UE, c'est la guerre:
"Le nationalisme, c'est la guerre", lance Emmanuel Macron à Marine Le Pen
Lors du grand débat présidentiel sur BFMTV et RMC ce mardi, un vif échange a eu lieu entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen au sujet de l'Union européenne. "L'Europe permet de protéger. Avec la sortie de l'euro, pour les épargnants, pour les travailleurs, ce sera une baisse de pouvoir d'achat (...) Ce que vous proposez, c'est le nationalisme. Le nationalisme, c'est la guerre", a lancé le candidat En Marche. "On ne se présente pas comme la nouveauté quand on ressort de vieilles badernes qui ont au moins 50 ans", lui a répondu la candidate Front national.
D'après lui qui a été pourtant invité au groupe mondialiste le plus influent qui soit (Bilderbreg) et qui a été 4 ans au gouverment Hollande, il ne fait pas parti du système:
Je suis nouveau dans la vie politique, contrairement à Madame Le Pen qui est dans le système politique depuis des décennies. #Élysée2017pic.twitter.com/sUe7AM4WDe
On apprend aussi que "La France est un pays où une femme ou un homme qui s'est battu(e) pour sa vie doit pouvoir avoir un titre de séjour". Eh ben on est mal barré parce que seuls dix pays au monde vident en paix totale et le nombre de gens qui se battent pour survivre dans le monde doit se compter en millions. Mais pour Macron, ce n'est pas un problème, bien au contraire.
La France est un pays où une femme ou un homme qui s'est battu(e) pour sa vie doit pouvoir avoir un titre de séjour. #Élysée2017
"EN VÉRITÉ JE VOUS LE DIS !" 67:"Les pauvres qui ne peuvent pas voyager voyageront plus facilement"
"EN VÉRITÉ JE VOUS LE DIS !" 8: "La culture française n'existe pas"
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mer 3 Mai - 0:38
Bonsoir mes frères & sœurs à 8 jours des élection présidentiel et de savoir par qui la France va encore être un peu plus sous la coupe du globalisme international. On remarque de plus en plus à quel point Macron et son "mouvement" nous montre que la France va se retrouver sous un vrai régime avec ses codes et ses principes rigides et ils ne manquent d'ailleurs pas de s'inspirer de régimes anciens comme nous allons le voir. De plus on remarque aussi qu'il a tout les tics d'un vrai dictateur, comment les français peuvent être autant aveugle et inculte ? Pour terminer ma note, on risque même d'avoir de nouveau affaire à mon titre en complet, et oui le Valls va sans doute faire son retours, mais ça demande confirmation, rien de officiel : Législatives : Macron prêt à accueillir Valls dans sa majorité «s'il quitte le PS», là on pourra dire, la coupe est pleine !! Akasha.
En marche: le nom du mouvement de Macron et ses références au régime de Vichy et au fascisme
"Emmanuel Macron est-il aussi vierge de toute pollution idéologique qu’il le dit ? Son mot d’ordre : « En marche ! » est-il vraiment inédit, original ? Pas tout à fait.
Scrutée de près, l’histoire de France, peut réserver des surprises.
Marcel Bucard est le fondateur d’une variante française du fascisme italien. Ce normand a 19 ans en 1914, il se prépare à la prêtrise. Mais son patriotisme est tel qu’il s’engage comme simple soldat. Il finira la guerre capitaine, blessé deux fois, croix de guerre, dix citations.
Il renonce à la soutane et s’engage en politique. Admirateur de Mussolini, il fonde un petit parti, le « Francisme » qui réunit quelques milliers de militants. Chemise bleue, béret, ceinture et bottes, salut « franciste », ils se donnent des allures militaires et paradent beaucoup. On les voit à l’œuvre le 6 février 1934. Mais Bucard n’a rien d’un Jacques Doriot ou même d’un Marcel Déat, les chefs « fascistes » les plus en vue dans les années 30. L’idéologie clamée par le Francisme est aussi confuse que péremptoire, mystique ultra-catholique, ouvriérisme, internationalisme fasciste et culte du chef…
Le 18 juin 1936, le Francisme est dissous comme ligue factieuse. Il renaît après la débâcle. Désormais, le héros de la Grande Guerre, le patriote, collabore. Il réunit autour de 10 000 adhérents, peu opérants. Mais Bucard proclame : « Nous n’avons aucun goût pour l’esclavage ! » (5 octobre 1941). En août 1944, il fuit en Allemagne. On le retrouve à Sigmaringen. Après la capitulation de l’Allemagne nazie, il cherche à gagner l’Espagne de Franco. Il est arrêté, jugé pour haute trahison et condamné à mort. Bucard est passé par les armes le 21 février 1946."
Avec Macron, ce sera la France en marche...vers le nouvel ordre mondial.
A noter que, sans remonter jusqu'au au régime de Vichy, Macron a carrément repris le nom de son mouvement du parti "La France En Marche" qui a déposé ce nom le 12 janvier 2016 alors que Macron a officialisé le sien à peine 3 mois plus tard. En plus de repomper les discours de François Hollande* et de recycler des slogans nazis, il n'est même pas capable de trouver un nom de parti original.
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mer 3 Mai - 1:53
***************
?Comment les français peuvent être autant aveugle et inculte ? Je dirais même comment un français de classe moyenne peut voter contre ses intérêts en votant Macron.
Y'a que le diable qui réussit a faire ça , en faisant peur et ça Marche
Les mêmes qui ont voté Macron dans quelques mois seront dans la rue avec des banderoles
Comment gagner les élections
1) Faire en sorte que le FN passe au 1er tour (fallait démolir Fillon, ils ont réussi)
2) Diaboliser le FN au deuxième tour et hop c'est gagné , vive la France , vive la république,vive les magouilles
MUSIQUE
C'est pas le candidat le plus compétent qui gagne cette élection, c'est le plus malin qui gagne, le diable quoi
Bien que j'ai une intuition que les grands esprits vont s'en mêler de cette élection.
LA COUPE EST PLEINE
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akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Lun 8 Mai - 0:02
Bonsoir mes frères & soeurs Voilà c'est fait... Une partie seulement des français se sont prononcé, avec une abstention record pour élire leur "champion". Le champion du vide, du paraître et de la manipulation mentale aura réussi à tromper ce peuple de" mougeons" décidément trop facile à berner avec toujours les mêmes ficelles pourtant, c'est désopilant au possible. Macron, le candidat du système, le petit disciple de Attali, fils spirituel de Hollande et marionnette des globalistes pro EU et étasuniens prêt à vendre la France au plus offrent. Le peuple français n'y a vu que du feu, adoubé par une presse complaisante et militante, ils auront fait passé la pillule bleue avec du rêves et de veine promesse de lendemain qui chante, mais c'est de déchanter qu'il sera vite question. Le français moyens oublie vite que c'est Macron qui rédigea la loi El Khomri, vendeur de SFR à Patrick Drahi, quoi qu'en dise par exemple Libération qui appartient au dit Drahi qui défend dans un conflit d'intérêt manifeste le Macron. Mais le français moyens ou intéressé (il y en a peu en définitive) on choisi en âme et in-conscience le candidat du système qui a 5 devant lui pour parachever le travail commencé sous au moins Chrac et c'est poursuivit de façon métronome jusqu’au pathétique Hollande en passant par le délinquant égotique Sarkozy. Que va t-il se passé durant ce quinquennat ? Rein ou si peu, on aura de nouveau un président avec une cote de popularité aussi basse que Hollande, mais tout comme son alter ego, il n'en aura cure et se contentera d'assurer la mission que ses supérieur lui ont assigner, c'est à dire vendre une partie de la France et privatiser le reste.... Texte de Akasha.
Jacque Attali : "MACRON sera le prochain président "
Lucifer Nouveau Né
Messages : 9 Date d'inscription : 07/10/2016 Age : 49 Localisation : Essonne
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Lun 8 Mai - 17:08
La première chose qui me vient à l'esprit c'est que la meilleure façon d'être contre la démocratie, est de laisser voter les gens.
La deuxièmec'est que le bonheur doit être la plus grande conquête que l'on doive faire contre le destin qui nous est imposé.
Invité Invité
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Lun 8 Mai - 19:02
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Si les Français sont obligés d'élire quelqu’un qui n'a pas de programme, qu'ils ne veulent pas , ils seront déçus le lendemain, je vous le dis, il y aura une révolution dans ce pays avant 2022.Donc voila, reste savoir si l'élection du 7 Mai avec autant d'abstention et de barrage FN le programme Macron est voulu ?
Il va y avoir une révolution avant 2022 - Jacques Attali - C politique - 17/04/2016
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akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mar 16 Mai - 1:48
Tout d'abord le Bilderberg Group a sélectionné deux acteurs cléz, tout deux présent à la réunion de 2016, à savoir Nicolas Baverez et Etienne Gernelle rédacteur du magazine Le Point et sélectionne 8 personnalité pressentie dont le fameux Edouard Philippe et auront aussi largement contribué à la propagande médiatique pro Macron ! L'aristocratie à tout cadenassé pour pouvoir faire élire leurs champions, il n'y a plus d'alternative...
On y trouve aussi aussi bien Alain Juppé que Laurent Fabius ou encore Christine Lagarde. On a pu aussi y croisé Fleur Pellerin et Dominic Valls.
Important à noter, vous trouverez aussi dans les listes si haut le nom de Sylvie Goulard, qui n'est qu'autre que la 2eme protégée de Attali pressentie comme présidente en 2022 :
Retenez bien ce poste on en reparlera dans un avenir proche !
akasha Administrateur
Messages : 3783 Date d'inscription : 10/09/2014 Age : 46 Localisation : ben là au bout tu vois pas ?
Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mer 17 Mai - 1:01
Bonsoir mes frères & sœurs
Comme prévu, les événements vont assez vite s'enchaîner et les français vite déchanter ! En politique, les codes de honneurs sont un peu différent que pour nous ce n'est pas parce que on se tirent dans les pattes ou qu'ils se diffament que du coup ils se grillent... La preuve avec la nomination de Edouard Philippe comme premier ministre alors qu'il y a 4 mois il n'avait pas hésité à qualifier Macron de "" il n’assume rien mais promet tout" . Mais en politique rien ne tourne vraiment rond.. Par contre d'un autre côté un Valls qui n'aura pas arrêté de faire des ronds de jambes et outre courbettes, c'est vu fermer la porte en pleine figure de son parti ! Du coup le pauvre petit cœur à qualifier, je cite Macron de "méchant"... C'est à pleurer de rire ! Ensuite c'est Bayrou qui lui aussi aura eu des paroles plutôt caustique envers Macron, il a dit ; "que Macron était un "hologramme", le candidat "des forces de l'argent" ". Mais une fois de plus c'est un poste à la clé, même si cela reste à confirmé pour la forme, il sera nommé ministre des affaires étrangères. Ruinant par la même occasion toutes tempérance envers la Russie (sic).
Quelques précisions sur la sortie de Edouard il y a 4 mois de ça sur Macron :
Il y a 4 mois, le nouveau premier ministre taillait un costard magistral à Macron
Qui est Macron ? Pour certains, impressionnés par son pouvoir de séduction et sa rhétorique réformiste, il serait le fils naturel de Kennedy et de Mendès France. On peut en douter. Le premier avait plus de charisme, le second plus de principes. Pour d’autres, il serait Brutus, fils adoptif de César.
Alain Juppé, qui s’y connaît en histoire romaine et échange des SMS en latin avec Bayrou, a le premier osé la comparaison. Brutus, sénateur et philosophe, ne peut être réduit au traître parricide. Plus fidèle à ses principes qu’à la personne du chef, il désespère de voir la République dégénérer. C’est ce que prétend être Macron. Mais Brutus, homme d’action, dresse son bras vengeur tandis que Macron, banquier technocrate, est «en marche». En latin on dit ambulant, chacun en déduira ce qu’il veut…
Non, le Romain qui ressemble le plus à Macron, ce n’est pas Brutus, c’est Macron. Naevius Sutorius Macro, dit Macron, haut fonctionnaire (si si) devenu, à la faveur d’une révolution de palais, le conseiller de Tibère, empereur détaché des affaires courantes, il finira par l’assassiner… C’est en tout cas ce que prétend Tacite, même si Suétone dit le contraire. Ce qui est certain, c’est que ce Macron, personnage mineur de l’histoire romaine, mettra fin à ses jours et à ceux de sa femme sous la pression de Caligula. On ne souhaite cela ni à son homonyme ni à Brigitte qui, elle, m’apparaît à chaque nouvelle critique de goujats machistes plus sympathique encore.
Poussé par les Gracques, club discret de hauts fonctionnaires (les Grecques !), Macron plaît à ceux qui n’aiment ni Fillon, ni Le Pen, ni aucun de ceux qui prétendent incarner la gauche. Macron le patricien, qui après avoir franchi toutes les étapes du cursus honorum se présente en tribun adepte d’un populisme désinvolte. Macron qui quitte un gouvernement qu’il a marqué de son empreinte comme on franchit le Rubicon en déclamant Alea jacta est ! Macron, qui n’assume rien mais promet tout, avec la fougue d’un conquérant juvénile et le cynisme d’un vieux routier (si j’ose dire, s’agissant du promoteur des autocars).
De quoi restera-t-il le nom ? D’une révolution manquée ou d’une victoire éclair ? D’une trahison misérable ou d’une ambition démesurée ? Personne ne peut le dire aujourd’hui. Car une chose est sûre depuis le début de cette campagne : en matière politique, au moins autant que nos ancêtres les Romains, nous sommes fous, nous les Gaulois.
Note Akasha : Là où on a encore vu juste, c'est que le Macron pour sa première visite, accourt chez Merdekel pour sa soumission et poursuivre la politique de mise sous tutelle de Hollande... Avec déjà à la clé quelques trahisons de tailles, voyez plutôt :
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E.MACRON et E.PHILIPPE première journée, premiers actes révélateurs (16/05)
Les premiers actes des Présidents et Premiers Ministres sont souvent révélateurs de l'esprit qui règnera sur le quinquennat. Les principales volontés sont exprimés par ces actes symboliques. Le Président pour sa première journée est allé chez MERKEL et le Premier Ministre à la Préfecture de police. N'est-ce pas en principe le rôle du Ministre de l'intérieur ? Passons... Nous verrons très bientôt si j'ai raison de penser à un quinquennat mouvementé.
Révélation sur E.MACRON ! (14/05) ses réseaux de l'ombre et sa politique d'islamisation secrète.
#MacronGate #MacronLeaks Alors E.MACRON hors système???? https://twitter.com/hashtag/MacronLea... Vous avez vu la panoplie de personnalité que l'on trouve dans un seul mail. Alors imaginez ce qu'il y a dans les 9 giga. Je n'ai sélectionné que les documents qui parle d'islam pour mon sujet. Mais il y a d'autres pépites. -Vous pouvez chercher directement une partie des fichiers ici https://twitter.com/hashtag/macronlea... Ça évitera de choper une merde, on sait jamais
On termine avec l'analyse de Natacha Polony sur l'investiture de Philippe comme 1er sinistre, c'est jamais perdu :
Natacha Polony analyse la nomination d'Edouard Philippe
Texte arrangement et recherche Akasha.
orné Modérateur
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Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Ven 19 Mai - 18:26
Bonsoir, Vous l'aurez sans doute bien compris, le nouveau gouvernement Macron 1 est totalement tourné pro EU, Ce qui signifie que pour les enjeux important dont le peuple a besoin, il faudra encore attendre 5 ans (sic). Il suffit de voir la provenance et les convictions affiché des nouveaux membres du gouvernement pour réalisé à quel point la France va encore un peu plus se perdre et se dissoudre dans l'UE co-piloté par les Etats Unis via la locomotive allemande. A qui Macron a t-il consacré sa première visite ? et quel était le point central de cette 1ere entrevue ? Un statut international pour les migrants. Il y a un point très important que peu de médias ont apporté une précision de taille. C'est aux niveau de la défense, il n'y a plus de ministre de la défense, mais bien le titre de ministre des armée, un titre tombé en désuétude depuis 1977. Cela veut dire que Macron s'érige en chef suprême des armées, et Sylvie Goulard aura un rôle de secrétaire à la défense pour le suppléer. Comme déjà précisé si haut, elle a fait partie des invités du Bilderberg 2016, voici quelques précisions la concernant.
Sylvie Goulard (Bilderberg), nouvelle ministre de la Défense, ne se sent pas française et méprise le "petit peuple français"
« Sylvie Goulard me confiait dans notre parcours commun au ministère des Affaires étrangères ‘Je ne me sens pas française’ et c’est cette personne qui est placée au ministère de la Défense rebaptisé ministère des Armées, ça promet ! »
En 2014, le média Lyon Mag relayait déjà des propos forts sympathiques de la part de la député européenne à l'égart des français. Selon elle, "Le député européen ne s'adresse pas au petit public français."
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Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mar 30 Mai - 1:09
Que va t-il se passer en France après mai 2017 ?
orné Modérateur
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Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Lun 5 Juin - 9:48
Bonjour, La France risque de bientôt se réveiller avec une gueule de bois post élection et très vite redescendre dans les rues pour protester. Quand à Macron sa cote de popularité risque de bien vite fleureté avec les scores de son prédécesseur, mais il s'en fiche éperdument, il est là pour une mission, ce n'est pas moi qui le dit, mais lui. Orné
Code du travail, chômage, retraites : ces réformes prêtes à êtres dégainées après les élections législatives
L’agenda social du Président Macron se remplit : d’abord, un approfondissement de la loi El-Khomri, touchant les salaires comme les conditions de travail et sa durée légale ; ensuite, une restructuration du système d’assurance chômage, avec le risque que celle-ci se transforme en protection minimaliste pour des travailleurs précarisés ; enfin une nouvelle réforme des retraites, potentiellement explosive. Sans oublier la refonte de la formation professionnelle et la suppression progressive de 120 000 postes de fonctionnaires. Basta ! fait le point sur ce qui attend tous ceux qui vivent de leur travail une fois passées les élections législatives.
Foncièrement impopulaire, la loi El-Khomri, en élargissant les possibilités de dérogation au code du travail par accord d’entreprise, a suscité le plus long et l’un des plus intenses mouvement social des cinquante dernières années. Qu’importe. Fraîchement élu président de la République, Emmanuel Macron est déterminé à en élargir – le plus vite possible – le champ d’application, à l’aide d’une nouvelle réforme, cette fois dictée par la voie des ordonnances. Et il ne compte pas s’arrêter là. Le nouveau pensionnaire de l’Élysée promet de restructurer deux autres piliers du compromis social tissé au sortir de la guerre : d’une part le système d’assurance-chômage, d’autre part celui des retraites. Avec en toile de fond, un double objectif : maîtriser les dépenses budgétaires et, s’agissant du code du travail, « simplifier la vie des entreprises » au risque d’augmenter encore le chômage et la précarité. En cinq ans, le nombre d’inscrits au Pôle emploi, sans activité ou en activité réduite, a bondi de 30 %, et concerne désormais plus de 5,5 millions de personnes [1].
Une nouvelle réforme du travail, version XXL
La vivacité de l’opposition à la loi El-Khomri avait suscité la consternation à Bruxelles : pour les fonctionnaires de la Commission, la réforme, qui concernait essentiellement la question du temps de travail, n’était qu’un minimum. Publiée le 9 août 2016, la loi travail consacre notamment la primauté de l’accord d’entreprise, qui peut désormais prévoir des dispositions moins favorables que la loi ou l’accord de branche – la fameuse « inversion de la hiérarchie des normes » – dans un plus grand nombre de domaines : durée maximale de travail hebdomadaire (qui peut désormais être portée de 44 à 46 heures sur douze semaines d’affilée), durée quotidienne (12 heures maximum au lieu de 10, toujours sur simple accord d’entreprise), ou encore taux de majoration des heures supplémentaires (10 % au lieu de 25 %)...
Les rémunérations sont aussi visées par la loi El-Khomri, via les « accords de préservation ou de développement de l’emploi », qui peuvent être conclus non seulement en cas de difficultés économiques mais aussi, désormais, pour « conquérir de nouveaux marchés » – on parle alors d’accords « offensifs ». Emmanuel Macron veut aller plus loin, et profiter de la légitimité issue de son élection pour taper vite et fort : une nouvelle loi travail, si possible bien plus ambitieuse que la précédente. Il compte étendre encore les possibilités de dérogation dans plusieurs domaines essentiels, en particulier les salaires ou les conditions de travail, relativement épargnés jusqu’ici. À ce jour, le contenu détaillé de ces mesures n’est pas arrêté – du moins officiellement. Il dépendra pour partie du futur rapport de forces avec les organisations syndicales, et du résultat des élections législatives.
Référendum d’entreprise et sécurisation... des licenciements
Au sein du code du travail, le gouvernement souhaite aussi renforcer plusieurs dispositifs contenus dans les dernières réformes. D’abord, le référendum d’entreprise. Suite à la loi El-Khomri, celui-ci peut être convoqué par des syndicats représentant 30 % des salariés (donc minoritaires), afin d’entériner un accord d’entreprise. Le gouvernement souhaite aujourd’hui étendre cette possibilité à la direction. Mis en place pour faciliter la production d’accords collectifs, les référendums sont très mal vus par les organisations opposées à la loi travail, qui y voient un moyen de contourner les représentants syndicaux, mais aussi un risque de division des salariés ou de chantage à l’emploi. Ainsi chez Novo Disk, un passage aux 39 heures payées 37 a récemment été validé par les employés, alors que les syndicats majoritaires étaient contre.
Autre mesure qui fait son retour : le plafonnement des indemnités prud’homales pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, ou « licenciement abusif ». Une vieille demande patronale. Rappel : après un premier échec avec la loi Macron en 2015, la mesure revient l’année suivante par la fenêtre de la loi travail. Sous la pression des syndicats, elle y perd cependant son caractère obligatoire : le juge peut s’inspirer de ce « référentiel indicatif », mais n’y est pas contraint. C’est sur ce dernier point qu’entend revenir le président. Problème : les salariés ont peu à y gagner, et sans doute beaucoup à y perdre. Par exemple, si le barème actuel devenait obligatoire, un salarié en CDI depuis 18 mois et licencié de manière abusive, aurait droit au maximum à deux mois d’indemnités prud’homales… De quoi licencier à moindre frais ?
Enfin, dernier élément du train de mesures prévues pour l’été, la généralisation de la délégation unique du personnel (DUP), déjà étendue par la loi sur le dialogue social (loi Rebsamen) de 2015. Jusqu’ici, la DUP, qui permet – sur décision de l’employeur – de fusionner les trois instances de représentation du personnel (délégué du personnel, comité d’entreprise, CHSCT [2]) en une seule, était réservée aux entreprises de moins de 300 salariés. Là encore, les syndicats « non-alignés » n’ont jamais été chauds : ils y voient un affaiblissement des instances, avec moins de moyens consacrés, en particulier pour les questions relatives à la santé et la sécurité des travailleurs. « Ces dernières vont perdre leur spécificité, être écrasées par l’impératif économique », juge ainsi Eric Beynel, porte-parole de Solidaires.
Délivrance uniquement sur ordonnances
Sur ces différents points, la méthode envisagée irrite déjà plusieurs organisations syndicales. Emmanuel Macron l’a dit et répété : il compte aller vite, et pour cela réformer le code du travail par la voie des ordonnances. Prévue par l’article 38 de la Constitution, cette procédure permet au gouvernement d’édicter des normes de valeur légale à partir d’ordonnances prises en Conseil des ministres. Au préalable, une loi d’habilitation doit être votée par le Parlement : elle fixe la thématique et la durée sur lesquels le gouvernement est autorisé à agir. Elle prévoit aussi un délai au terme duquel l’exécutif doit, sous peine de nullité des ordonnances, avoir déposé un projet de loi de ratification, permettant in fine au Parlement de valider (ou non) ces mesures.
Sur le calendrier précis, le gouvernement entretient un certain flou. Le premier ministre Édouard Philippe a annoncé, mardi 30 mai, une loi d’habilitation pour juillet, et une publication des ordonnances « avant la fin de l’été », donc avant le 21 septembre [3]... Formellement, la concertation avec les syndicats est prévue pour s’achever mi-juillet. Mais ces derniers, tout en étant pour certains prêts à se mobiliser, réclament a minima des échanges jusqu’à fin septembre. Pour l’instant, « tout le monde s’observe », commente Fabrice Angéï, membre du bureau confédéral de la CGT. Un chose est sûre : jusqu’aux élections législatives, qui donneront une idée plus précise de ses marges de manœuvre, le gouvernement n’a pas intérêt à donner l’impression de vouloir passer en force. Pour autant, même après les élections, il devra prendre en compte un calendrier qui ne s’arrête pas à la nouvelle réforme du travail.
L’assurance-chômage sous la coupe de l’État
Un embrasement dans les rues et dans les entreprises, comparable au scénario de l’année 2016, pourrait en effet compromettre la suite du calendrier social, dont la deuxième étape devrait être une profonde réforme de l’assurance-chômage. L’exécutif souhaite, en premier lieu, procéder à l’étatisation de cette caisse, gérée de manière paritaire depuis 1967 [4]. Dans quel but ? Officiellement, pour prendre acte du rôle de l’État dans sa gestion, celui-ci étant garant de son financement. Dans les faits, il s’agit d’abord pour le gouvernement de reprendre la main sur les paramètres d’indemnisation (durée, montant...) pour effectuer, le cas échéant, les ajustements jugés nécessaires. Ensuite, via un recours accru à l’impôt (la CSG), d’alléger la part des cotisations sociales dans le financement du système, avec le risque de glisser progressivement d’une véritable assurance-chômage à un « filet de sécurité » minimaliste, sur le modèle anglo-saxon...
Autre volet de la réforme, la couverture chômage doit être étendue à des catégories jusqu’ici non-protégées : auto-entrepreneurs, chefs d’entreprise, artisans et commerçants, professions libérales, ou encore agriculteurs. Un droit à la démission tous les cinq ans, permettant de toucher des indemnités, doit aussi être instauré. Des mesures présentées comme progressistes, mais dont le financement pose là-encore problème : d’après les annonces du nouveau président, il sera reporté sur les demandeurs d’emploi, via un renforcement des dispositifs de contrôle des recherches. Un corps de contrôleurs doit être créé pour assurer ces vérifications. Une nouvelle fois, le calendrier n’est pas précisément connu, mais ces réformes pourraient intervenir d’ici le début de l’année 2018.
Il en va de même pour la future réforme de la formation professionnelle, qui est aussi dans les cartons. Il s’agirait d’une petite révolution, puisque la gestion des financements pourrait échapper aux OPCA, les organismes paritaires chargés de collecter la contribution patronale, et revenir à la Caisse des dépôts et aux Urssaf. Les crédits seraient directement affectés aux comptes personnels de formation (CPF) des salariés, qui s’adresseraient ensuite eux-mêmes à des organismes de formation labellisés. Le système viserait à réduire les intermédiaires pour faciliter l’accès à la formation. Plus proche d’une logique de marché, il éloignerait aussi les représentants des salariés de sa gestion effective.
Les pièges de la retraite par points
Quatrième gros dossier : la remise à plat du système des retraites. Un temps évoquée pour l’après 2022, son calendrier vient de connaître une accélération notable : il est désormais question d’une loi déposée d’ici la fin de l’année, pour un vote du Parlement, là encore, début 2018. Quel sera le contenu de cette réforme ? L’ancien ministre de l’Économie devenu président veut d’abord mettre fin à la multiplicité des régimes existants, au nombre de 35 aujourd’hui entre les régimes de base et les régimes complémentaires, pour instaurer un « système universel », dans lequel « un euro cotisé donne les mêmes droits, quel que soit le moment où il a été versé, quel que soit le statut de celui qui a cotisé ».
En clair, tout en restant à ce stade sur un système par répartition – dans lequel, selon le principe de solidarité intergénérationnelle, les actifs paient les pensions des retraités – il s’agirait de fusionner l’ensemble des régimes de retraite (régime général, régime agricole, fonctions publiques, régimes spéciaux, indépendants, etc.) en un seul et unique système. Seconde clé de voûte de la réforme : la cotisation par points, accumulés sur un compte personnel tout au long du parcours professionnel, quel que soit le secteur d’activité. Le montant de la pension serait ensuite calculé en multipliant le nombre de points par leur valeur au moment du départ en retraite, comme cela est déjà le cas dans les régimes complémentaires AGIRC et ARRCO, en prenant en compte la durée de cotisation, ou encore des critères de pénibilité. 120 000 fonctionnaires en moins ?
Touchant aux régimes spéciaux, la réforme est potentiellement explosive, puisqu’elle promet, à terme, de niveler les modalités de départ en retraite, de même que le calcul des pensions. Bien que le nouveau président se soit engagé à ne pas modifier ces éléments durant le quinquennat, l’unification du système permettra à terme à l’État, comme pour l’assurance chômage, de jouer plus facilement sur ses paramètres généraux. Pour l’économiste Jean-Marie Harribey, le système par point pose également problème, en accentuant l’individualisation du système et en affaiblissant sa logique redistributive. Pour ce dernier, l’introduction d’un critère d’âge de départ à la retraite pour calculer le montant des pensions (plus quelqu’un part tard, plus sa retraite est élevée) aurait aussi pour effet de pousser les salariés à se maintenir plus longtemps sur le marché du travail, en particulier pour les revenus les plus faibles.
Enfin le compte pénibilité, instauré sous François Hollande mais dont la conception fait l’objet de vives critiques, notamment patronales, devrait être réexaminé, potentiellement en parallèle de la réforme des retraites. Emmanuel Macron a déjà annoncé un moratoire sur la mise en œuvre du dispositif, initialement prévue au 1er septembre. Mais sur tous ces dossiers, auxquels on pourrait encore ajouter la réduction des effectifs prévue dans la fonction publique – annoncée à 120 000 fonctionnaires en moins, dont 70 000 dans les collectivités locales – l’exécutif n’abattra ses cartes qu’une fois les résultats des élections législatives connus. Emmanuel Macron bénéficiera-t-il d’une majorité pour conduire ses réformes tel qu’il l’entend ?
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Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Lun 12 Juin - 0:51
Bonsoir mes frères & sœurs Alors que les médias complaisants ont bien jouer leur rôle de propagande en relayant peu mais bien pour les législatives en parlant très peu des législatives mais en martelant que Macron et son parti en Marche avaient déjà gagné l'objectif est donc bien atteint... Mais il y a tout de même une belle leçon à en tiré et qui est bien plus parlante que toutes les propagandes ou parti-pris du monde. de un on est sur une abstention record, en effet seul 51.2 % des veautans ont daigné se déplacé aux urnes. Alors que le record atteint en 2012 était de 42,72 %. Mais il y a bien plus intéressant comme chiffre, mais en même temps assez effrayant, voyez plutôt, on sais que le Macron au présidentielle a fait 8 656 346 voix alors qu'en France le corps électoral potentiel (français disposant de droit de vote), est de exactement 53 242 805 personnes, dès lors, Macron ne représente que 16% des français, quand à ses députés on est sur 14,5% ! Le régime est bien en marche.... Un autre point noir, on parle beaucoup de médias russes dans la presse, mais pourtant en France aussi il se passe des choses graves. Voyons l'éviction de Olivier Delamarche viré pour cause de critiques trop acerbe envers Macron. Ou David Pujadas viré par la copine de Macron Delphine Ernotte car Pujadas n'y mettait pas aasez du sien pour promouvoir son champion... Quand à Macron en personne il choisit soigneusement ses médias et en évince d'autres... On a aussi vu un François Bayrou téléphoner à Radio France pour se plaindre d'une enquête de leur journalistes sur les parlementaires, aberrent ! Texte Akasha.
Etat d’urgence permanent: la dictature en marche
Sous prétexte de renforcer les mesures contre le terrorisme, le gouvernement Macron s’apprête à faire passer dans la loi les principales mesures d’exception de l’état d’urgence. En l’absence de tout contrôle judiciaire chaque préfet aura désormais le droit de perquisitionner ou d’assigner à résidence tout citoyen qui le dérange.
L’état d’urgence a été instauré par le gouvernement Valls le 14 novembre 2015 suite à l’attentat du Bataclan. Prolongé systématiquement depuis cette date, il permet en particulier au préfet, sans aucun contrôle du juge, de procéder à des perquisitions, d’assigner à résidence mais aussi de fermer des sites Internet, d’interdire des manifestations, de dissoudre des associations… Bref toute la panoplie de la parfaite petite dictature digne de la Corée du Nord.
Les médias tout puissants, relais officiels de la propagande d’Etat, nous ont longtemps expliqué qu’il s’agissait de mesures provisoires visant à lutter contre le terrorisme. Ah bon ?
Prenons les assignations à résidence par exemple. Cette mesure permet aux préfets d’assigner à résidence toute personne: « dont son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre public« . Et comment le préfet sait-il qu’une personne constitue une menace pour la sécurité et l’ordre public ? Une boule de cristal ? Bingo, presque. Généralement le préfet est informé par une note blanche des service de renseignements, notre Stasi bleu-blanc-rouge.
La note blanche ne possède pas d’en-tête, elle n’est pas datée, pas signée et ne comporte même pas de référence. Depuis le décret royal, on n’a pas trouvé mieux pour décider du sort d’un citoyen en le privant de toute liberté.
Alors vous vous dites, quel outil fantastique contre les candidats terroristes dont on soupçonne qu’ils pourraient un jour passer à l’acte mais dont on n’est pas sûr… Dans le doute aller hop, on les assigne tous.
Le premier problème c’est que l’assignation à résidence ne garantit en rien que la personne ne passera pas à l’acte. il suffit juste pour cela qu’elle ne rende pas à son contrôle judiciaire et qu’elle disparaisse dans la nature.
Le second problème c’est que l’assignation à résidence n’est pas utilisée uniquement contre les terroristes. Elle est également utilisée contre les opposants politiques comme les militants écologistes qui ont été perquisitionnés et assignés à résidence juste avant la COP 21 en novembre 2015.
Si on se souvient des interdictions de manifester qui touchaient les manifestants contre la loi travail quand ce n’étaient pas les manifestations elles-mêmes qui étaient interdites, on commence à comprendre le véritable objectif de tout cela.
Une des premières mesures du gouvernement Macron consiste à casser définitivement le code du travail en allant encore plus loin que la loi El-Khomri. Même le PS ou du moins ce qu’il en reste s’en indigne, c’est pour dire.
Et bien demain, Niet, Nada, Verboten. On nous interdira de manifester contre la loi travail au nom du risque de trouble à l’ordre public. Ca y est, vous avez compris ?
Vous avez encore un doute sur le caractère liberticide de ce projet de loi ? Et bien lisez l’article L228-4 qui indique que « le ministre de l’intérieur peut, après en avoir informé le procureur de la République de Paris faire obligation à toute (personne ciblée par l’autorité administrative) de déclarer ses identifiants de tout moyen de communication électronique dont elle dispose ou qu’elle utilise, ainsi que tout changement d’identifiant ou tout nouvel identifiant ».
Quoi ? Comment ? Un préfet peut vous obliger à déclarer vos identifiants Internet comme ça ? Simplement parce qu’il a des raisons de penser que, peut-être, votre comportement peut présenter une menace pour l’ordre public ? Et oui, vous avez maintenant tout compris. La France, patrie autoproclamée des droits de l’homme va devenir la patrie des non droits de l’homme. Qui que vous soyez, où que vous soyez Big Brother vous suivra à la trace et saura tout sur vous. Ils auront accès à votre boîte mail, votre compte Twitter, votre compte Facebook…
Alors bien sur, quelques personnes ont vu l’escroquerie qui se profile et commencent à se manifester. L’Union Syndicale des Magistrats par exemple vient de publier un communiqué de presse dans lequel elle dénonce la mise en place d’un « Etat policier ». (1)
Elle souligne en particulier l’absence de tout contrôle par les juges et conclue que: « dans un Etat démocratique, sortir de l’état d’urgence ne signifie pas introduire dans le droit commun des mesures d’exceptions et exclure le contrôle de l’autorité judiciaire. »
La Ligue des Droits de l’Homme, elle, rappelle que « loin de ne concerner que les actes de terrorisme, ces mesures s’appliqueraient indifféremment à une large gamme de délits. Chacun pourrait alors être victime de cet arbitraire. Aujourd’hui déjà, nous voyons des dispositions inscrites dans l’état d’urgence utilisées contre des militants associatifs, syndicaux ou politiques. » (2)
L’indifférence générale des Français devant ces mesures liberticides en dit long sur l’état de notre pays. Dans l’ère assumée du chacun pour soi, la plupart des sujets du Roi Macron se disent que cela ne les concerne pas et ne les concernera jamais. L’égoïsme de chacun est aujourd’hui devenu officiellement l’un des principaux piliers de notre démocratie moribonde.
Le 21 décembre 2016, à l’occasion d’une nième prolongation de l’état d’urgence, la France a écrit au Conseil de l’Europe pour le prévenir qu’elle allait continuer à violer la Convention Européenne des Droits de l’Homme en raison de la « persistance de la menace terroriste« . Avec l’Ukraine et la Turquie, la France est le 3ème pays qui déroge ainsi à la CEDH.
Demain, la loi permettra donc de mettre en œuvre des mesures de violation des libertés fondamentales contre toute personne « à l’égard de laquelle il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre publics« , c’est-à-dire vous ou moi pour peu qu’on ne la ferme pas suffisamment.
Après chaque attentat, on nous explique pourtant que c’est notre mode de vie que les terroristes veulent détruire, nos valeurs et surtout notre liberté. Avec cette loi Macron liberticide, la victoire des terroristes sera totale. Au nom de la préservation de nos libertés, on nous prive de nos libertés publiques et individuelles. Elle est pas belle l’hypocrisie de nos dirigeants ?
Dimanche, la France va voter pour donner à Macron une majorité afin de mettre en oeuvre ses projets de saccage de nos libertés fondamentales. Dans quelques mois, ce sera la gueule de bois quand ils se rendront compte qu’à défaut d’une République en marche, c’est une Dictature en marche qu’ils viennent de porter au pouvoir.
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Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mer 14 Juin - 0:53
Bonsoir mes frères & sœurs
Macron le "grand président" désigné par une presse avide comme étant jupitérien, se rêve surtout en Caligula mais en définitive il ne sera qu'un Néron de pacotille mettant à terme son pays à feu et à sang ! Ce triste sir qui n'a jamais été élu que par 16 % de la population française et un 14,2 % pour les législatives a parfaitement manœuvré pour s'arroger les pleins pouvoir, ne choisissant que des collabo-rateur de bas niveau et sans expérience tout acquit à sa cause, des valets, des faire valoir qui quémanderont leur pitance pour services rendu. Telle une court moyenâgeuse ou se débat courtisant et comploteur avide de pouvoir..
Il y a comme des airs de "déjà vu" qui font craindre des jours sombres dont certaines mémoire et ignorants semblent ne pas voir venir la mise au pas qui à comme des air de déjà-vu...
En effet il est étonnant de voir à quel point ici même on assiste de façon récurrente une russophobie fort peu pertinente et qu'on passe sous silence une information aussi importante que "Emmanuel Macron se nomme chef des services secrets". Et sont bien incapable de anticiper ce que cela peut signifier Akasha.
Comment Emmanuel Macron veut cultiver le secret
Emmanuel Macron entend mettre en scène un pouvoir olympien. Autant par l’usage de la force que par celui du secret.
"Vous verrez que moi, je n'ai pas peur du secret." Emmanuel Macron a glissé cela dans un sourire insondable, quelques mois avant son élection, comme je l'interrogeais sur l'étrangeté des confidences que François Hollande croyait habile de distiller en tous sens et qui, invariablement, se retournaient contre lui. Emmanuel Macron n'était encore que candidat mais, d'évidence, il s'imaginait président. Il suivait une stratégie de conquête élaborée au millimètre "et en même temps", pour parler comme lui, se projetait dans la fonction qu'il aurait à incarner autant qu'à exercer. Le décalage était troublant : lui que l'on décrivait à l'envi en créature de marketing, vorace de communication et d'éléments de langage, se préparait à économiser sa parole, à cohabiter avec le secret. Et d'avance, il en jubilait.
Il a réussi à cacher jusqu'au dernier moment le nom de son Premier ministre
Maintenant qu'il est à pied d'œuvre, on mesure qu'il n'avait pas menti. Si, quand il ne se hasarde pas à blaguer sur les kwassa-kwassa, Emmanuel Macron renoue avec la conception "gaullo-mitterrandienne" de la fonction présidentielle (il a utilisé plusieurs fois l'expression), ce n'est pas seulement dans le rétablissement d'une "verticalité" au sein de l'exécutif ni dans la restauration d'une majesté à l'Elysée ; c'est aussi par la gestion de son exposition, l'hypercontrôle de son image, de ses mots et même ses silences. Sous le quinquennat Macron, promis, juré, le chef de l'Etat saura se faire rare et mutique. Il préservera son mystère et avec lui, ceux du pouvoir. N'a-t-il pas réussi, pour la première fois sous la Ve République, à cacher jusqu'au dernier moment le nom de son Premier ministre?
"Macron n'est pas le genre d'homme à divulguer les cibles de nos services de renseignement", assurait pendant la campagne l'un de ses futurs ministres – référence à l'une des maladresses les plus embarrassantes de François Hollande. Désormais, Macron sera le genre de président à piloter en personne le travail des services secrets, à travers une structure ad hoc lotie à l'Elysée. Une telle réorganisation exposera sa responsabilité dans des affaires délicates par essence. Il ne l'ignore pas, assurent ceux qui ont abordé le sujet avec lui, mais il n'en a cure.
Le secret, il l'a dit, ne lui fait pas peur.
C'est en ce sens qu'il faut interpréter l'expression "présidence jupitérienne", régulièrement invoquée depuis le 7 mai pour analyser la mise en scène de la fonction par le nouveau chef de l'Etat. Le terme renvoie à la stratégie inspirée jadis à François Mitterrand par le publicitaire Jacques Pilhan, génie de la communication politique moderne. Il a été employé par Emmanuel Macron dans une interview fleuve publiée sur le site Challenges.fr en octobre 2016, pour être opposé à la "présidence normale" chère à François Hollande, dont il actait l'échec. Comprendre : le pouvoir macronien se veut souverain par la force mais autant par la distance. Car Jupiter est bien le dieu qui foudroie, mais il campe sur les hauteurs, hors d'atteinte des hommes. Olympien.
Ne pas être un président WhatsApp
De ce point de vue, le quinquennat d'Emmanuel Macron s'annonce comme l'antithèse des mandats de ses deux prédécesseurs. Si Nicolas Sarkozy et François Hollande avaient un point commun, c'est la recherche éperdue d'une omniprésence par la parole – jusqu'aux écarts de langage pour le premier, à la banalisation pour le second. Sarkozy était le président de la télévision, Hollande celui du SMS ; Macron, lui, s'est promis de ne pas être un président WhatsApp.
Avec son arrivée, l'Elysée est devenu un palais silencieux. Les conseillers "n'ont pas vocation à s'exprimer" (ainsi répondent-ils aux journalistes qui les sollicitent), le poste de porte-parole de la présidence, qui devait être créé, ne l'est toujours pas, et le chef de l'Etat sera avare de ces "off" dont ses devanciers étaient coutumiers. Quant aux ministres, ils sont sous surveillance. Interdiction de laisser "fuiter" les délibérations internes au gouvernement, sous peine de sanction. Le secrétaire général de l'Elysée, Alexis Kohler, a prévenu les intéressés. "Si je vous parle sans autorisation, je vais au piquet", m'a murmuré l'un d'eux, mi-confus, mi-goguenard. La ministre du Travail vient même de déposer plainte après que Libération a dévoilé des documents internes sur la future réforme du droit du travail. Emmanuel Macron promettait le renouvellement. Voilà qui, en effet, renouvelle les rapports entre le pouvoir et la presse. Mais d'une manière inquiétante.
La cohérence de tout cela est expliquée dans ce qui reste le texte de référence du macronisme : un entretien accordé à la revue Esprit au printemps 2011, sous le titre allusif : "Les labyrinthes du politique". Le futur chef de l'Etat, pas encore ministre, y mettait en garde contre la tentation, habituelle à l'Elysée selon lui, de "construire un discours volontaire pour masquer l'impossibilité d'agir". Son intention est donc inverse : un laconisme volontaire qui serve à préparer l'action.
"Il y a une forme d'opacité assumée"
"La parole médiatique, c'est la nourriture donnée à un monstre qui ne s'arrête jamais", expliquait Emmanuel Macron dans un autre bréviaire de sa future action, publié en juillet 2015 dans l'hebdomadaire Le 1. Citant le philosophe Gilles Deleuze, il y ajoutait que "la politique et la pensée politique se construisent dans les plis", avec cette affirmation qui en disait déjà long sur sa vision du pouvoir : "Les plis de la vie sont les moments où il y a une forme d'opacité assumée. C'est une bonne chose parce qu'on se construit dans l'opacité."
Personne ne s'alarmera si le président de la République s'abstient de parler pour ne rien dire, ni si les plis de sa toge flambant neuve laissent dans l'ombre des projets d'avenir. Il lui reste à convaincre que l'on peut sans se contredire vouloir une politique plus ouverte et un pouvoir très fermé.
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Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Sam 17 Juin - 2:18
Bonsoir mes frères & sœurs Ce que Macron essaye de faire est aussi visible que le nez de Anissa Khedher C'est de s'arroger les pleins pouvoir en manipulant tout ce petit monde incapable de prendre des décisions et de gouverner. Comme une journaliste le précise c'est de réduire le travail législatif ! Comme je vous l'ai montré il c'est autoproclamé chef des services secrets, avant c'était des armées, il veut agir en vrai petit caporal. Mais lorsqu'on voit le niveau de certains des candidats, c'est affligeant, on se demande vers où va la France, c'est très inquiétant, les gens vont vitre s'en mordre les doigts de leur choix. Ce qu'on voit aussi, c'est que certains journalistes commence à sortir de leur léthargie provoquée par leur fascination macrobienne... Il faut aussi bien avoué (ce que eux ne font pas), c'est que beaucoup ce sont fait jeter comme de veille capote usagère après emploie et bon service pour sa campagne... Maintenant qu'il n'en a plus besoin qu'il peut ce comporter en éjaculateur précoce Akasha.
Affligeant : Des candidats En Marche n’ont même pas le niveau d’un délégué de classe »
Jean-Rémi Baudot (journaliste BFMTV) : « Le casting En Marche au niveau local laisse parfois à désirer. On a vu ces derniers jours des gens qui refusent de débattre avec des politiques plus expérimentés par peur de la confrontation. Et puis il y a ceux qui ne sont pas au niveau, et on se rend compte que certains n’ont même pas le niveau de délégué de classe. Une candidate du Rhône [Anissa Khedher] se décompose littéralement à la télévision, incapable de tenir un débat avec des arguments de fond, comme sur la forme, c’est en termes d’image absolument ravageur, et pour l’instant, peut-être que c’est elle qui sera élue. ».
– BFM TV, 16 juin 2017, 10h36
En marche vers l'incompétence : Anissa Khedher, candidate sur Bron, Rillieux,Vaulx-en-Velin,Sathonay
Emilie Guerel, candidate En Marche dans la 7e circonscription du Var (Seyne-sur-Mer), n’est visiblement pas à l’aise devant une caméra. Cela commence à devenir une habitude pour le parti de la moralisation, qui offre une nouvelle preuve de l’incompétence de ses candidats. Cette candidate est par ailleurs poursuivie pour fraude à l'assurance-maladie. Plusieurs candidates (Anissa Khedher et Fabienne Colboc) avaient fait parler d’elles ces derniers temps, lors d’interviews télévisées, jugées catastrophiques.
Si vous ne le savez pas, je vous apprends que j’ai ferraillé contre certains, présentés comme écologistes, qui soutenaient sans hésitation le vote en faveur d’Emmanuel Macron. Contre Yves Paccalet et Corinne Lepage, notamment, auxquels j’aurais pu ajouter Matthieu Orphelin, ancien de la fondation Hulot, et très proche de ce dernier. Je laisse de côté, car ils sont par trop grotesques, des gens comme François de Rugy — lui aussi, comme Valls, avait signé la charte de la primaire socialiste avant de s’essuyer les fesses avec — ou Cohn-Bendit, désormais commentateur de matchs de foot et chroniqueur entre deux pubs chez Europe 1.
J’ai pu dire à certains, ces dernières semaines, que je préférerais me couper un bras que de voter Macron, et c’était faux. J’ai besoin de mes bras, surtout depuis le 7 janvier 2015, car mes jambes ne sont plus ce qu’elles étaient. C’était faux, mais c’était vrai, car je voulais surtout dire : jamais. Mais pourquoi, amis lecteurs ? Le psychodrame finalement comique du deuxième tour de la présidentielle a opposé deux personnages très détestables, mais également très différents.
Il va de soi, et qui me lit un peu le sait évidemment, que je ne donnerai jamais ma voix à des crapules racistes. Je m’empresse de dire que je comprends aisément ceux qui, craignant — à tort, selon moi — une victoire de Le Pen, ont placé un bulletin Macron dans l’urne. Je les comprends, mais je ne les approuve aucunement. Ils en sont restés à des considérations nationales, estimant, cette fois à juste titre, qu’il est préférable de vivre dans un pays qui n’est pas dirigé par une clique comme celle-là.
Là-dessus, nous pourrions presque — presque — tomber d’accord. En effet, il est plus tranquille de vivre dans un pays où l’on n’expulse pas massivement les étrangers et où la bouille de madame Le Pen n’envahit pas les écrans. Seulement, la question posée n’est pas celle du confort moral, mental et quotidien d’une partie de la population. La question est : où va-t-on maintenant ? J’ai eu l’occasion d’écrire — encore dans mon dernier livre, Ce qui compte vraiment — sur les migrations humaines en cours. Des études concordantes indiquent qu’une bande de terre peuplée de 550 millions d’habitants, courant du Maroc à l’Iran, via l’Algérie, l’Égypte, Israël, la Palestine, l’Irak, la Syrie, l’Arabie saoudite, devient peu à peu inhabitable sur fond de dérèglement climatique. Les températures diurnes vont atteindre 50 degrés, celles nocturnes ne descendront plus sous les 30 degrés.
En clair, des dizaines de millions d’humains, peut-être des centaines de millions à terme, quitteront des territoires grillés par la chaleur. Regardez une carte, et dites-moi, je vous prie, où ils iront en priorité. Ce cataclysme désormais si proche — encore dix ans, encore trente ans ? — représente un danger abyssal pour les valeurs qui sont les nôtres, et ramènerait le Front National à bien peu de choses. Car de vous à moi, comment des peuples habitués à commander le monde — comme le nôtre, depuis le conseil de sécurité de l’ONU — réagiraient-il à des arrivées en masse ? Essayons d’être tous sincères, cela changera des mauvaises habitudes. De ce point de vue, le Front National de 2017 est hélas, hélas, hélas, bien peu de choses.
Le dérèglement climatique est la mère des batailles, car il porte en germe la dislocation de toutes les sociétés humaines, et la guerre de tous contre tous. Or n’est-il pas certain que l’aggravation continuelle de l’effet de serre est intrinsèquement lié à l’explosion du commerce mondial ? Et que cette explosion est fatalement soutenue par cette divine croissance que la plupart des pays sont décidés, comme naguère ce pauvre imbécile de Sarkozy, à aller chercher avec les dents ?
La croissance, c’est bien sûr de l’effet de serre concentré. La croissance de biens matériels, c’est inévitablement des émissions de gaz supplémentaires. Mon satané ordinateur en a produit, mais aussi la moindre chaussette si bon marché fabriquée au Vietnam par des gueux. Mais aussi le moindre ballon de foot cousu par des gosses dans un entrepôt sans lumière du Pakistan. Mais encore tout ce que vous portez, tout ce que vous possédez, tout ce que vous souhaitez posséder un jour. Et je parle de climat, mais je pourrais parler aussi de notre contribution nette, par nos importations, à la désagrégation de tant d’écosystèmes. Et d’ailleurs de l’appétit de tant de classes dites supérieures, dans les pays du Sud, pour nos propres signes extérieurs de richesse : bagnoles, parfums, alcools, fringues, bijoux.
Tel est en trois mots le commerce mondial, largement dominé par la surpuissance des transnationales, qui n’ont plus à prouver leur amoralité. Celles du tabac, de l’amiante, des pesticides et de milliers de produits chimiques tous différents, ont amplement montré ce qu’étaient leurs buts, et leurs actions. Moi, je crois bien que c’est dans ce cadre, car c’est celui de la réalité, qu’il faut juger l’arrivée au pouvoir suprême d’Emmanuel Macron. Faut-il une fois de plus radoter ? Oui, visiblement.
Mais d’abord un petit détour par le rapport Rueff-Armand, bible des technocrates, publié en 1960. Il insiste beaucoup sur les « retards » de l’agriculture, l’« archaïsme des structures parcellaires » et le manque de productivité de ce qu’on n’appelle déjà plus des fermes. Ce texte décisif et limpide « ne peut se dissimuler […] que le progrès des rendements tendra à accentuer la contraction des effectifs de main-d’œuvre ». Tout est dit en peu de mots. Il va falloir remembrer, c’est-à-dire augmenter les surfaces moyennes par la loi, et chasser de leurs terres les paysans « surnuméraires ». Le rapport Rueff-Armand n’est pas la seule cause du grand massacre des paysans et des campagnes, mais il leur servi de cadre explicatif. De justificatif auprès des puissants qui allaient dynamiter la civilisation paysanne. Tout devait disparaître, et tout a disparu avec : outre les mares et les tas de fumier dans la cour, outre les haies, les talus, le bocage, outre les abeilles, les grenouilles, les oiseaux, outre le nom des combes, des fossés, des champs, des bois, outre la lenteur et l’épaisseur du temps, la beauté d’un monde encore possible.
Si je parle de ce texte, c’est tout simplement parce qu’il a servi de repère, explicitement, à un autre rapport, connu sous le nom de Rapport Attali. À son arrivée en 2007, Sarkozy a aussitôt confié à son ami — de gauche, on s’en doute — le soin de réunir de toute urgence une « Commission pour la libération de la croissance française ». Pardi ! il fallait relancer la machine. Ces corniauds, qui de droite, qui de gauche, promettent depuis 1974 la fin du chômage de masse, et comme ils échouent à en pleurer, ils rêvassent de retrouver l’élan perdu de ces foutues 30 Glorieuses — une partie de notre vrai drame en vient —, quand la croissance atteignait 8% — en 1960 — ou encore 7,1 % en 1969.
Donc, une Commission de plus. J’en extrais les lignes directrices suivantes :
- Préparer la jeunesse à l’économie du savoir et de la prise de risque ; - Participer pleinement à la croissance mondiale et devenir champion de la nouvelle croissance ; - Construire une société de plein-emploi ; - Instaurer une nouvelle gouvernance au service de la croissance.
Et j’y ajoute, pour faire bon poids, la fin du principe de précaution voulu par Chirac en 2005, pourtant si frêle garde-fou contre les délires « développementistes ». Parmi les 20 mesures-phares du rapport, pas une ne parle même de la crise écologique planétaire. Le dérèglement climatique n’est seulement pas évoqué. Ces gens sont irresponsables, au point d’en devenir criminels.
Or, et j’y arrive enfin, qui est le rapporteur de ce funeste document, appelé à révolutionner la France au service de la croissance ? Emmanuel Macron, comme certains de vous le savent. Il était alors, à 29 ans, déjà l’ami d’Attali, et l’est resté. Ce qu’est Attali et ce que j’en pense, je l’ai écrit la dernière fois ici, après bien d’autres papiers. Ce type est profondément détestable. Il sera peut-être ministre.
Macron est un être radicalement petit. Je ne discute pas qu’il est doté de ce que certains appellent « l’intelligence logico-mathématique ». Il a fait des études, dont l’ENA. Apparemment fort bien. À ce stade, cela prouve que son cerveau fonctionne, ce qui est bien le moins lorsque vos deux parents sont médecins, dont l’un une sommité. Et puis ? Mais rien du tout ! On sait qu’il a été banquier d’affaires, ce qui prédispose assurément à considérer le sort des humiliés de ce monde. On se souvient, mais on ne se souviendra jamais assez, de cette phrase prononcée en mai 2016 en face d’un gréviste : « Vous n’allez pas me faire peur avec votre tee-shirt. La meilleure façon de se payer un costard, c’est de travailler ». Travailler. Parler de travailler, quand cela veut dire pour lui lire des textes, recevoir, blablater, contresigner des ordres. Il a lu des livres, certes, mais surtout passé 99 % de son temps disponible en compagnie de gens riches, en bonne santé, échangeant de plaisants propos avant que de passer à table. Que sait-il du monde réel ? Une infime rumeur du sort de milliards d’êtres humains dont la vie est une plainte.
Ne parlons pas même de la France. Parlons une fois au moins du monde. Des paysans de partout, chassés de chez eux par le marché mondial et les satrapes locaux, qui finiront dans des bidonvilles sans eau ni chiottes. Des grands singes qui meurent, comme meurent les fabuleuses forêts de notre Terre. Des océans dont nous sommes sortis un jour, et auxquels nous rendons ce cadeau par l’empoisonnement et l’hécatombe. Des sols dont tout dépend, gorgés de toutes les bontés chimiques estampillés Monsanto ou Bayer, entreprises si performantes que Macron les porte au pinacle. Des éléphants, des Pygmées d’Afrique, des lions et des tigres, des Bochiman, des Yanomami, des îles Andaman, des habitants de Lagos, de Mexico, de Mumbai, des gosses d’Agbogbloshie brûlant le plastoc de nos vieux ordinateurs pour en retirer un fil de cuivre [cf. la vidéo ci-dessous, NdE], de la puanteur, de la saleté, des maladies qui ne guériront jamais, des plaies aux jambes, au nez, aux yeux, aux mains qui ne se refermeront jamais. Il faudrait parler de ceux qui « soufflent vides les bouteilles que d’autres boiront pleines ». Macron se tait et se taira toujours, car il ne sait rien, mais le dit avec ce sourire kennédien qui plaît tant aux commentateurs et aux cuistres, si souvent les mêmes.
Voyez-vous, quelqu’un qui, en 2017, ne voit pas l’abîme qui vient, est à mes yeux irrécupérable. Et tel le cas de Macron, à ce point immergé dans l’idéologie de la machine, de la puissance matérielle, des droits de l’homme industriel à tout saloper, et pour tout dire du capitalisme débridé, qu’il ne rêve que d’une chose : encore plus. Encore plus loin, encore plus vite, toujours plus loin, toujours plus vite. Ne vous y trompez pas : son élection a son importance. Elle en aura dans le domaine clé de l’économie réelle, quand il s’agira de se partager les parts de marché comme on découpait jadis le territoire futur des colonies. Je vous le dis en toute certitude : Macron sera l’homme de la fuite en avant, car il l’est déjà.
Je ne doute pas qu’il offrira des colifichets à ceux des supposés écologistes qui lui auront fait suffisamment de lèche. Ici, un poste de député, là des strapontins au Conseil économique, social et environnemental (CESE), ailleurs quelque poste ou fromage républicains. Et les heureux récipiendaires iront comme de juste vanter le fort engagement « écologiste » de leur maître, avant de pourfendre les sectaires et fondamentalistes de mon espèce. Je ne les plains pas, je les vomis.
Moi, en ne votant pas pour ce sale type au second tour de la présidentielle, je savais ce que je faisais. Moi, je pensais au monde et à ses êtres. Moi, je ne fantasmais pas un péril fasciste pour mieux cacher que je défends à mon profit un monde moribond, aussi dangereux que peuvent l’être certains blessés déchaînés. Moi, je suis un écologiste.
Fabrice Nicolino
akasha Administrateur
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Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mar 27 Juin - 2:01
Sylvie Goulard a été grassement payée par un think tank américain pro-UE
Depuis mardi 10 heures et son communiqué de départ, silence radio. Sylvie Goulard se tait. Elle n'a eu aucun contact avec ses anciens amis du MoDem, avec lesquels elle est déjà brouillée depuis longtemps et dont elle vient d'entraîner la chute. Selon nos sources, l'éphémère ministre des Armées a appelé Emmanuel Macron dès dimanche dernier pour lui faire part de son souhait de quitter le gouvernement.
Le Président, surpris, lui a demandé de prendre le temps d'une réflexion de vingt-quatre heures. Décision a été prise de diffuser le communiqué le lendemain matin. "Ceux qui disent qu'elle a été poussée vers la sortie par l'Elysée dans le but de provoquer la chute de Bayrou se trompent lourdement ; Macron était furieux", certifie un proche de la ministre.
Sylvie Goulard a été rémunérée pendant deux ans par un think tank américain
Au JDD, Sylvie Goulard assure "avoir mûri sereinement [sa] décision". "On sort d'une campagne présidentielle où les Français veulent que l'on fasse de la politique autrement… La classe politique doit se poser la question du renouvellement de ses pratiques et de ses règles", analyse-t-elle. C'est donc pour mettre son ministère à l'abri des affaires qu'elle aurait décidé, "en conscience", de ne plus occuper sa fonction : "Vous imaginez un acte judiciaire me concernant en pleine opération militaire ou terroriste? J'ai estimé que ce n'était pas possible. C'est tout."
A-t-elle aussi craint de devenir la cible de nouvelles attaques ? Sibyllin, Le Canardenchaîné évoquait cette semaine des "ménages" quand elle était eurodéputée. Sur sa déclaration d'intérêts au Parlement de Strasbourg, Sylvie Goulard mentionne d'elle-même un poste de "conseiller spécial" auprès de l'"Institut Berggruen" pour des revenus "supérieurs à 10.000 euros mensuels". Selon nos sources, via sa propre société de conseil, elle a été rémunérée par cet institut d'octobre 2013 à janvier 2016. "Tout était déclaré et ces sommes étaient brutes", insiste un proche de l'ancienne ministre.
Créé et financé par Nicolas Berggruen, fils du richissime marchand d'art Heinz Berggruen, l'institut Berggruen, dont le siège est en Californie, est une organisation à but non lucratif chargée de "réfléchir aux systèmes de gouvernance". Sylvie Goulard, qui se destinait au Quai d'Orsay, a-t-elle été bien inspirée d'être appointée par cet organisme pendant plus de deux ans, pour près de 300.000 dollars ? "Le Berggruen fait la promotion de l'Union européenne et contribue au débat d'idées", jure-t-elle, parlant "d'un non-sujet"… à plus de 10.000 dollars par mois.
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Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Mer 28 Juin - 1:09
Etat d’urgence permanent : la dictature en marche
Sous prétexte de renforcer les mesures contre le terrorisme, le gouvernement Macron s’apprête à faire passer dans la loi les principales mesures d’exception de l’état d’urgence. En l’absence de tout contrôle judiciaire chaque préfet aura désormais le droit de perquisitionner ou d’assigner à résidence tout citoyen qui le dérange.
L’état d’urgence a été instauré par le gouvernement Valls le 14 novembre 2015 suite à l’attentat du Bataclan. Prolongé systématiquement depuis cette date, il permet en particulier au préfet, sans aucun contrôle du juge, de procéder à des perquisitions, d’assigner à résidence mais aussi de fermer des sites Internet, d’interdire des manifestations, de dissoudre des associations… Bref toute la panoplie de la parfaite petite dictature digne de la Corée du Nord.
Les médias tout puissants, relais officiels de la propagande d’Etat, nous ont longtemps expliqué qu’il s’agissait de mesures provisoires visant à lutter contre le terrorisme. Ah bon ?
Prenons les assignations à résidence par exemple. Cette mesure permet aux préfets d’assigner à résidence toute personne : “dont son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre public”. Et comment le préfet sait-il qu’une personne constitue une menace pour la sécurité et l’ordre public ? Une boule de cristal ? Bingo, presque. Généralement le préfet est informé par une note blanche des service de renseignements, notre Stasi bleu-blanc-rouge.
La note blanche ne possède pas d’en-tête, elle n’est pas datée, pas signée et ne comporte même pas de référence. Depuis le décret royal, on n’a pas trouvé mieux pour décider du sort d’un citoyen en le privant de toute liberté.
Alors vous vous dites, quel outil fantastique contre les candidats terroristes dont on soupçonne qu’ils pourraient un jour passer à l’acte mais dont on n’est pas sûr… Dans le doute aller hop, on les assigne tous.
Le premier problème c’est que l’assignation à résidence ne garantit en rien que la personne ne passera pas à l’acte. il suffit juste pour cela qu’elle ne rende pas à son contrôle judiciaire et qu’elle disparaisse dans la nature.
Le second problème c’est que l’assignation à résidence n’est pas utilisée uniquement contre les terroristes. Elle est également utilisée contre les opposants politiques comme les militants écologistes qui ont été perquisitionnés et assignés à résidence juste avant la COP 21 en novembre 2015.
Si on se souvient des interdictions de manifester qui touchaient les manifestants contre la loi travail quand ce n’étaient pas les manifestations elles-mêmes qui étaient interdites, on commence à comprendre le véritable objectif de tout cela.
Une des premières mesures du gouvernement Macron consiste à casser définitivement le code du travail en allant encore plus loin que la loi El-Khomri. Même le PS ou du moins ce qu’il en reste s’en indigne, c’est pour dire.
Et bien demain, Niet, Nada, Verboten. On nous interdira de manifester contre la loi travail au nom du risque de trouble à l’ordre public. Ca y est, vous avez compris ?
Vous avez encore un doute sur le caractère liberticide de ce projet de loi ? Et bien lisez l’article L228-4 qui indique que « le ministre de l’intérieur peut, après en avoir informé le procureur de la République de Paris faire obligation à toute (personne ciblée par l’autorité administrative) de déclarer ses identifiants de tout moyen de communication électronique dont elle dispose ou qu’elle utilise, ainsi que tout changement d’identifiant ou tout nouvel identifiant ».
Quoi ? Comment ? Un préfet peut vous obliger à déclarer vos identifiants Internet comme ça ? Simplement parce qu’il a des raisons de penser que, peut-être, votre comportement peut présenter une menace pour l’ordre public ? Et oui, vous avez maintenant tout compris. La France, patrie autoproclamée des droits de l’homme va devenir la patrie des non droits de l’homme. Qui que vous soyez, où que vous soyez Big Brother vous suivra à la trace et saura tout sur vous. Ils auront accès à votre boîte mail, votre compte Twitter, votre compte Facebook…
Alors bien sur, quelques personnes ont vu l’escroquerie qui se profile et commencent à se manifester. L’Union Syndicale des Magistrats par exemple vient de publier un communiqué de presse dans lequel elle dénonce la mise en place d’un “Etat policier”. (1)
Elle souligne en particulier l’absence de tout contrôle par les juges et conclue que : “dans un Etat démocratique, sortir de l’état d’urgence ne signifie pas introduire dans le droit commun des mesures d’exceptions et exclure le contrôle de l’autorité judiciaire.”
La Ligue des Droits de l’Homme, elle, rappelle que “loin de ne concerner que les actes de terrorisme, ces mesures s’appliqueraient indifféremment à une large gamme de délits. Chacun pourrait alors être victime de cet arbitraire. Aujourd’hui déjà, nous voyons des dispositions inscrites dans l’état d’urgence utilisées contre des militants associatifs, syndicaux ou politiques.” (2)
L’indifférence générale des Français devant ces mesures liberticides en dit long sur l’état de notre pays. Dans l’ère assumée du chacun pour soi, la plupart des sujets du Roi Macron se disent que cela ne les concerne pas et ne les concernera jamais. L’égoïsme de chacun est aujourd’hui devenu officiellement l’un des principaux piliers de notre démocratie moribonde.
Le 21 décembre 2016, à l’occasion d’une nième prolongation de l’état d’urgence, la France a écrit au Conseil de l’Europe pour le prévenir qu’elle allait continuer à violer la Convention Européenne des Droits de l’Homme en raison de la “persistance de la menace terroriste”. Avec l’Ukraine et la Turquie, la France est le 3ème pays qui déroge ainsi à la CEDH.
Demain, la loi permettra donc de mettre en oeuvre des mesures de violation des libertés fondamentales contre toute personne “à l’égard de laquelle il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre publics”, c’est-à-dire vous ou moi pour peu qu’on ne la ferme pas suffisamment.
Après chaque attentat, on nous explique pourtant que c’est notre mode de vie que les terroristes veulent détruire, nos valeurs et surtout notre liberté. Avec cette loi Macron liberticide, la victoire des terroristes sera totale. Au nom de la préservation de nos libertés, on nous prive de nos libertés publiques et individuelles. Elle est pas belle l’hypocrisie de nos dirigeants ?
Dimanche, la France va voter pour donner à Macron une majorité afin de mettre en oeuvre ses projets de saccage de nos libertés fondamentales. Dans quelques mois, ce sera la gueule de bois quand ils se rendront compte qu’à défaut d’une République en marche, c’est une Dictature en marche qu’ils viennent de porter au pouvoir.
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Sujet: Re: Gouvernement Valls 2 ça va valser ! Macron ne vous offrira pas de macarons...:) Lun 3 Juil - 1:47
Emmanuel Macron : "Il y a ceux qui réussissent, et ceux qui ne sont rien"
Pour ceux qui penseraient que cette phrase a été dénaturée car prise hors de son contexte, écoutez là dans son intégralité...ça ne change strictement rien. Pour Macron, si vous ne produisez rien, vous n'êtes rien. Cela en dit long sur la façon de fonctionner de cet ancien banquier d'affaires qui semble mesurer la valeur humaine des gens à leur réussite sociale.